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me quand il croit aimer un être… On parle trop de
nirvana
et de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païe
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ra refuse le monde et le condamne sans appel : le
nirvana
ne peut accueillir le samsara (qui est la vie diverse, infiniment mou
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me quand il croit aimer un être… On parle trop de
nirvana
ou de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païe
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ra refuse le monde et le condamne sans appel : le
nirvana
ne peut accueillir le samsara (qui est la vie diverse, infiniment mou
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me quand il croit aimer un être… On parle trop de
nirvana
et de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païe
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ra refuse le monde et le condamne sans appel : le
nirvana
ne peut accueillir le samsara (qui est la vie diverse, infiniment mou
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ntier à la Maya, sans plus rêver la délivrance du
nirvana
, cet enlisement dans la forme du monde, sans espoir de salut individu
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ntier à la Maya, sans plus rêver la délivrance du
nirvana
, cet enlisement dans la forme du monde, sans espoir de salut individu
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er qui ? C’est dans l’énigme jamais résolue de ce
nirvana
romantique (où le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) qu
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er qui ? C’est dans l’énigme jamais résolue de ce
nirvana
romantique (où le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) qu
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our doit s’élever à une extase libératrice : « un
nirvana
prodigieux, où le moi entier se fondrait, s’abîmerait en extase, et g
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re fut décisive pour Wagner écrivant Tristan : le
nirvana
qu’invoque André Walter, c’est la « joie suprême » d’Isolde. 64. J.
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de l’individualité, l’effort pour échapper par le
nirvana
à la roue des renaissances en vue de se résorber dans le grand Tout :