1 me quand il croit aimer un être… On parle trop de nirvana et de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païe

2 ra refuse le monde et le condamne sans appel : le nirvana ne peut accueillir le samsara (qui est la vie diverse, infiniment mou

3 me quand il croit aimer un être… On parle trop de nirvana ou de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païe

4 ra refuse le monde et le condamne sans appel : le nirvana ne peut accueillir le samsara (qui est la vie diverse, infiniment mou

5 me quand il croit aimer un être… On parle trop de nirvana et de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païe

6 ra refuse le monde et le condamne sans appel : le nirvana ne peut accueillir le samsara (qui est la vie diverse, infiniment mou

7 ntier à la Maya, sans plus rêver la délivrance du nirvana , cet enlisement dans la forme du monde, sans espoir de salut individu

8 ntier à la Maya, sans plus rêver la délivrance du nirvana , cet enlisement dans la forme du monde, sans espoir de salut individu

9 er qui ? C’est dans l’énigme jamais résolue de ce nirvana romantique (où le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) qu

10 er qui ? C’est dans l’énigme jamais résolue de ce nirvana romantique (où le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) qu

11 our doit s’élever à une extase libératrice : « un nirvana prodigieux, où le moi entier se fondrait, s’abîmerait en extase, et g

12 re fut décisive pour Wagner écrivant Tristan : le nirvana qu’invoque André Walter, c’est la « joie suprême » d’Isolde. 64. J.

13 de l’individualité, l’effort pour échapper par le nirvana à la roue des renaissances en vue de se résorber dans le grand Tout :