1
même souhaiter d’être différent », ce qui est la
négation
de tout progrès moral. De la sincérité envisagée comme moyen de conna
2
us légitime dès l’instant qu’il se traduit par la
négation
de l’invérifiable. Stéphane n’a pas eu confiance. Or la personnalité
3
ne ; on y retrouve facilement les triades : être —
négation
de l’être — nouvel être. Notre époque serait le deuxième temps d’une
4
e ; on y retrouve facilement les triades : être —
négation
de l’être — nouvel être. Notre époque serait le deuxième temps d’une
5
e perverti. Il eût conduit le protestantisme à la
négation
absolue de son essence35, si l’humanité ne possédait d’autres recours
6
vail créateur, seul travail qui n’implique pas la
négation
du loisir, qui ne vide pas le loisir de toute signification positive
7
s qu’on tire l’internationalisme, c’est-à-dire la
négation
de toutes les raisons d’être personnelles. (Je m’excuse du pléonasme.
8
duire un peu de joie dans une activité qui est la
négation
même de la création ; activité purement « nécessitée » par la révolte
9
de crise l’ensemble de ces affirmations et de ces
négations
, cette éthique et cette actualité, ce refus de toutes les synthèses e
10
omprend non, se découvrant soudain plongé dans la
négation
radicale. Mais aussitôt, s’il accepte ce non, l’affirmation de son sa
11
pement d’une « tradition » spirituelle, figure la
négation
absolue de toute histoire : « Vue d’en haut, c’est une série de libre
12
ontre sa condition telle que Dieu l’a voulue, une
négation
du paradoxe de l’Amour. L’universalité du désespoir, qui est la thèse
13
tissent-elles à des dictatures, c’est-à-dire à la
négation
de leur élan originel, an-archique, antiétatiste. Parce qu’elles repo
14
de Dieu, qui sera l’Ordre du Royaume. Et nier une
négation
, c’est s’enfoncer dans le néant. Seule la révolte du chrétien est pos
15
mauvais, qu’allons-nous tirer, mes amis, sinon la
négation
d’un mal, et ce n’est pas encore le bien sauveur ! Voici notre erreur
16
ant ils suivent la coutume bourgeoise, qui est la
négation
de tous leurs idéaux. Certains verront peut-être dans l’Ulysse de Joy
17
ute communauté vivante et progressive. 9. Deux
négations
de la personne Et maintenant, si nous savons ce que nous appelons
18
tique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de
négation
de la pensée. Le peuple veut des programmes pratiques, mais se conten
19
une œuvre spirituelle. Mais ce passage serait la
négation
de leurs principales thèses de combat actuelles, fondées sur le déter
20
tre salut sur un ordre terrestre. Mais toutes ces
négations
, nous les déclarerons au nom d’une espérance qui, elle, a bien le dro
21
vail créateur, seul travail qui n’implique pas la
négation
du loisir, qui ne vide pas le loisir de toute signification positive
22
duire un peu de joie dans une activité qui est la
négation
même de la création ; activité purement « nécessitée » par la révolte
23
tissent-elles à des dictatures, c’est-à-dire à la
négation
de leur élan originel, an-archique, antiétatiste ? Parce qu’elles rep
24
e » entre Dieu et l’homme. Le tout de l’homme est
négation
de Dieu. C’est pourquoi l’homme n’arrive à Dieu et à la Vie qu’en mou
25
tique n’aboutit, pratiquement, qu’à une espèce de
négation
de la pensée. Le peuple veut des programmes pratiques, mais se conten
26
une œuvre spirituelle. Mais ce passage serait la
négation
de leurs principales thèses de combat actuelles, fondées sur le déter
27
tre salut sur un ordre terrestre. Mais toutes ces
négations
, nous les déclarerons au nom d’une espérance qui, elle, a bien le dro
28
vail créateur, seul travail qui n’implique pas la
négation
du loisir, qui ne vide pas le loisir de toute signification positive
29
duire un peu de joie dans une activité qui est la
négation
même de la création ; activité purement « nécessitée » par la révolte
30
ique » d’un tête-à-tête de l’auteur avec sa mort.
Négation
de l’humain trop purement humain dans son effort le plus « spirituel
31
ont l’une est ridicule, et dont l’autre serait la
négation
de tout ce qui précède. Il demande que l’argent soit remis à son équi
32
é païen de l’idée de Providence, mais surtout une
négation
de la foi ? Car la foi est, selon Kierkegaard, cette opération parado
33
e », nous dit saint Paul. La foi serait-elle donc
négation
de la vision ? Ou la vie éternelle, négation de l’incarnation ? Nulle
34
donc négation de la vision ? Ou la vie éternelle,
négation
de l’incarnation ? Nullement, mais accomplissement, et splendeur de c
35
du sien d’abord. Dans cet aheurtement violent de
négations
contradictoires, d’affirmations qui s’entretuent, la relation de l’ho
36
il y a cette différence capitale : que toutes les
négations
(antithèses) de Kierkegaard se fondent dans l’acte de foi originel (s
37
er ce soir si je n’avais eu à vous offrir que ces
négations
nécessaires. Car on ne peut refuser ce qui existe qu’au nom d’une vol
38
est démontré par des voies imprévues, comment la
négation
de Dieu entraîne la négation du prochain, dans un esprit voué à la pl
39
mprévues, comment la négation de Dieu entraîne la
négation
du prochain, dans un esprit voué à la plus torturante logique. s. «
40
t a raison, qui veut qu’on n’abatte le mal, cette
négation
perpétuelle, qu’à coups d’affirmations du bien prépondérantes. À tout
41
réalité une tentative de plébiscite, et donc une
négation
de la démocratie réelle. (Encore une fois : le référendum n’est possi
42
léniniste que marxiste, et qui comporte même une
négation
précise de la croyance originelle en l’évolution « mécanique ». L’asp
43
s il faudra subir les brutalités excitées par nos
négations
irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaiss
44
ement » hégélien, — c’est-à-dire en même temps la
négation
apparente et la plénitude réelle — de l’effort socialiste. Le chef
45
impriment, sans remarquer que leur langage est la
négation
du langage, la négation de la culture, la négation de sa mesure vivan
46
r que leur langage est la négation du langage, la
négation
de la culture, la négation de sa mesure vivante et de la dignité de s
47
égation du langage, la négation de la culture, la
négation
de sa mesure vivante et de la dignité de ses grands prêtres, les « cl
48
l’éthique des maîtres oisifs est-elle vraiment la
négation
de l’éthique des travailleurs, qui les a enrichis ? Serait-il absurde
49
nter ce qui serait bien. » Cette phrase serait la
négation
de ce qu’il y a de plus efficace dans l’effort de l’auteur, s’il l’av
50
léniniste que marxiste, et qui comporte même une
négation
précise de la croyance originelle en l’évolution « mécanique ». On do
51
onduisit la bourgeoisie à son triomphe, puis à sa
négation
; tel est le cas des mesures politiques que s’imposent les dictatures
52
s il faudra subir les brutalités excitées par nos
négations
irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaiss
53
ition. On ne peut l’approcher que par la voie des
négations
. Nous avons proposé une dialectique critique dont les deux termes nég
54
impriment, sans remarquer que leur langage est la
négation
du langage, la négation de la culture, la négation de sa mesure vivan
55
r que leur langage est la négation du langage, la
négation
de la culture, la négation de sa mesure vivante et de la dignité de s
56
égation du langage, la négation de la culture, la
négation
de sa mesure vivante et de la dignité de ses grands prêtres, les « cl
57
l’éthique des maîtres oisifs est-elle vraiment la
négation
de l’éthique des travailleurs, qui les a enrichis ? Serait-il absurde
58
nter ce qui serait bien. » Cette phrase serait la
négation
de ce qu’il y a de plus efficace dans l’effort de l’auteur, s’il l’av
59
léniniste que marxiste, et qui comporte même une
négation
précise de la croyance des militants en l’évolution « mécanique ». On
60
onduisit la bourgeoisie à son triomphe, puis à sa
négation
; tel est le cas des mesures politiques que s’imposent les dictatures
61
s il faudra subir les brutalités excitées par nos
négations
irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaiss
62
ition. On ne peut l’approcher que par la voie des
négations
. Nous avons proposé une dialectique critique dont les deux termes nég
63
icile » dans les assertions de Luther, ni dans sa
négation
joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ébranlent plus que le
64
éforme. Quant à la thèse particulière, qui est la
négation
du libre arbitre religieux, c’est-à-dire du pouvoir qu’aurait l’homme
65
encore une question — il aboutit évidemment à la
négation
absolue du personnalisme, chrétien ou humaniste. Ce serait — je simpl
66
t justifier en bonne doctrine « dialectique » ses
négations
actuelles du but final de Marx. Il légitime son étatisme totalitaire
67
icile » dans les assertions de Luther, ni dans sa
négation
joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ébranlent plus que le
68
es usines. C’est tout. Il est vrai que ces quatre
négations
couvrent une implicite affirmation, qui est celle du réarmement à out
69
de neutre. L’esprit totalitaire est une puissante
négation
du seul principe qui tienne rassemblés nos cantons, et de l’idéal com
70
tage de notre État en trois nations. Ce serait la
négation
la plus radicale des bases mêmes de la Confédération. Souvenons-nous
71
es historiques et la tradition ancestrale sont la
négation
même du totalitarisme. Un État qui représente et qui incarne le seul
72
e l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la
négation
pure et simple du mariage, que l’on prétend fonder sur lui. C’est qu’
73
’émouvante formule de la fidélité courtoise ; une
négation
sans retour de la vie. Mais la fidélité dans le mariage est au contra
74
it que nous adorons la vie nous précipite dans sa
négation
. C’est la profonde misère, le désespoir d’Éros, sa servitude inexprim
75
r notre dilemme ne saurait être la pure et simple
négation
de l’un de ses termes. Je l’ai dit et j’y insiste encore : condamner
76
alisme de l’âme et du corps, d’origine juive ; la
négation
de la vie ; l’immoralité de l’amour du prochain sans choix préalable
77
réalité une tentative de plébiscite, et donc une
négation
de la démocratie réelle. (Encore une fois : le référendum n’est possi
78
ts d’ordre tactiques, un appareil centralisé — la
négation
parfaite de nos doctrines. 6. On croit si peu à la mort des partis qu
79
ous parlaient mystiques et romantiques : c’est la
négation
et la mort du monde des formes et du langage humain, la négation et l
80
mort du monde des formes et du langage humain, la
négation
et la mort du divers, du moi distinct et agissant. C’est la Nuit des
81
naturelles. Mais cette ascèse n’aboutit pas à la
négation
du réel. Elle transforme et oriente à nouveau les forces de l’individ
82
le est. Imaginez cela : Madame Tristan ! C’est la
négation
de la passion, au moins de celle dont nous nous occupons. L’ardeur am
83
trême exigence d’Unité. Mais l’unité dernière est
négation
de l’être actuel, dans sa souffrante multiplicité. Ainsi l’élan suprê
84
» incroyable. Car le fait de l’Incarnation est la
négation
radicale de toute espèce de religion. Il est le suprême scandale, non
85
sement. À quoi tend l’ascèse « orientale » ? À la
négation
du divers, à l’absorption de tous en Un, à la fusion totale avec le d
86
plus contradictoires. Chez lui, a-t-on pu dire, «
négation
et affirmation forment à elles deux la vérité. L’une n’est pas vraie
87
ncevoir que par rapport à l’autre. Affirmation et
négation
sont inséparables, n’étant que les deux aspects d’une même vérité.97
88
e parfois l’extrême de la chasteté exaltée. Et la
négation
de la mort, chez Milton, le conduit à des conclusions bien proches de
89
t ce n’est pas d’un immense intérêt. L’ascèse, la
négation
du monde créé, l’identification de l’attrait sexuel avec le vouloir-v
90
ui ont permis de s’emparer du pouvoir). C’est une
négation
de l’au-delà dont le but n’est pas de supprimer les dieux mais de s’e
91
e jour, forme illimitée de la créature ; le soir,
négation
illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit, profonde
92
qui concerne les citoyens : et l’eugénisme est la
négation
rationnelle de toute espèce d’aventure privée. Mais cela ne peut qu’a
93
ion dit aux Allemands : — Procréez ! et c’est une
négation
de la passion ; mais il dit aux peuples voisins : — Nous sommes trop
94
t moderne, éprouvant que la guerre totale est une
négation
de la passion guerrière, se jette alors dans des aventures absurdes,
95
e l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la
négation
pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. C’est qu’o
96
’émouvante formule de la fidélité courtoise ; une
négation
sans retour de la vie. Mais la fidélité dans le mariage est au contra
97
it que nous adorons la vie nous précipite dans sa
négation
. C’est la profonde misère, le désespoir d’Éros, sa servitude inexprim
98
r notre dilemme ne saurait être la pure et simple
négation
de l’un de ses termes. Je l’ai dit et j’y insiste encore : condamner
99
remarquables de Pierre Klossowski : le Mal et la
négation
d’autrui dans la philosophie de D. A. F. de Sade et Temps et Agressiv
100
le est. Imaginez cela : Madame Tristan ! C’est la
négation
de la passion, au moins de celle dont nous nous occupons. L’ardeur am
101
trême exigence d’Unité. Mais l’unité dernière est
négation
de l’être actuel, dans sa souffrante multiplicité. Ainsi l’élan suprê
102
» incroyable. Car le fait de l’Incarnation est la
négation
radicale de toute espèce de religion. Il est le suprême scandale, non
103
sement. À quoi tend l’ascèse « orientale » ? À la
négation
du divers, à l’absorption de tous en Un, à la fusion totale avec le d
104
plus contradictoires. Chez lui, a-t-on pu dire, «
négation
et affirmation forment à elles deux la vérité. L’une n’est pas vraie
105
ncevoir que par rapport à l’autre. Affirmation et
négation
sont inséparables, n’étant que les deux aspects d’une même vérité115.
106
e parfois l’extrême de la chasteté exaltée. Et la
négation
de la mort, chez Milton, le conduit à des conclusions bien proches de
107
t ce n’est pas d’un immense intérêt. L’ascèse, la
négation
du monde créé, l’identification de l’attrait sexuel avec le vouloir-v
108
ui ont permis de s’emparer du pouvoir). C’est une
négation
de l’au-delà dont le but n’est pas de supprimer les dieux mais de s’e
109
e jour, forme illimitée de la créature ; le soir,
négation
illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit, profonde
110
qui concerne les citoyens : et l’eugénisme est la
négation
rationnelle de toute espèce d’aventure privée. Mais cela ne peut qu’a
111
ler dit aux Allemands : Procréez ! — et c’est une
négation
de la passion ; mais il dit aux peuples voisins : — Nous sommes trop
112
t moderne, éprouvant que la guerre totale est une
négation
de la passion guerrière, se jette alors dans des aventures absurdes,
113
e l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la
négation
pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. C’est qu’o
114
’émouvante formule de la fidélité courtoise ; une
négation
sans retour de la vie. Mais la fidélité dans le mariage est au contra
115
it que nous adorons la vie nous précipite dans sa
négation
. C’est la profonde misère, le désespoir d’Éros, sa servitude inexprim
116
r notre dilemme ne saurait être la pure et simple
négation
de l’un de ses termes. Je l’ai dit et j’y insiste encore : condamner
117
le est. Imaginez cela : Madame Tristan ! C’est la
négation
de la passion, au moins de celle dont nous nous occupons. L’ardeur am
118
trême exigence d’Unité. Mais l’unité dernière est
négation
de l’être actuel, dans sa souffrante multiplicité. Ainsi l’élan suprê
119
» incroyable. Car le fait de l’Incarnation est la
négation
radicale de toute espèce de religion. Il est le suprême scandale, non
120
sement. À quoi tend l’ascèse « orientale » ? À la
négation
du divers, à l’absorption de tous en Un, à la fusion totale avec le d
121
plus contradictoires. Chez lui, a-t-on pu dire, «
négation
et affirmation forment à elles deux la vérité. L’une n’est pas vraie
122
ncevoir que par rapport à l’autre. Affirmation et
négation
sont inséparables, n’étant que les deux aspects d’une même vérité »10
123
e parfois l’extrême de la chasteté exaltée. Et la
négation
de la mort, chez Milton, le conduit à des conclusions bien proches de
124
t ce n’est pas d’un immense intérêt. L’ascèse, la
négation
du monde créé, l’identification de l’attrait sexuel avec le vouloir-v
125
e jour, forme illimitée de la créature ; le soir,
négation
illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit, profonde
126
qui concerne les citoyens : et l’eugénisme est la
négation
rationnelle de toute espèce d’aventure privée. Mais cela ne peut qu’a
127
ler dit aux Allemands : Procréez ! — et c’est une
négation
de la passion ; mais il dit aux peuples voisins : — Nous sommes trop
128
t moderne, éprouvant que la guerre totale est une
négation
de la passion guerrière, se jette alors dans des aventures absurdes,
129
e l’amour tel qu’on l’imagine de nos jours est la
négation
pure et simple du mariage que l’on prétend fonder sur lui. C’est qu’o
130
’émouvante formule de la fidélité courtoise ; une
négation
sans retour de la vie. Mais la fidélité dans le mariage est au contra
131
it que nous adorons la vie nous précipite dans sa
négation
. C’est la profonde misère, le désespoir d’Éros, sa servitude inexprim
132
r notre dilemme ne saurait être la pure et simple
négation
de l’un de ses termes. Je l’ai dit et j’y insiste encore : condamner
133
remarquables de Pierre Klossowski : le Mal et la
négation
d’autrui dans la philosophie de D. A. F. de Sade et Temps et Agressiv
134
lesquels, parmi les belligérants, représentent la
négation
la plus radicale de l’idéal fédéraliste qui nous unit, par conséquent
135
songe ordinaire n’était que l’omission ou bien la
négation
d’une vérité qui subsistait ailleurs et nous jugeait encore. Mais le
136
songe ordinaire n’était que l’omission ou bien la
négation
d’une vérité qui subsistait ailleurs et nous jugeait encore. Mais le
137
ines : celle du silence et celle de la parole. La
négation
du désir amoureux par l’acte même qui l’accomplit, c’est le signe phy
138
de Dieu, qui sera l’Ordre du Royaume. Et nier une
négation
, c’est s’enfoncer dans le néant. Seule la révolte du chrétien est pos
139
icile » dans les assertions de Luther, ni dans sa
négation
joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ébranlent plus que le
140
ous parlaient mystiques et romantiques : c’est la
négation
et la mort du monde des formes et du langage humain, la négation et l
141
mort du monde des formes et du langage humain, la
négation
et la mort du divers, du moi distinct et agissant. C’est la Nuit spir
142
naturelles. Mais cette ascèse n’aboutit pas à la
négation
du réel. Elle transforme et oriente à nouveau les forces de l’individ
143
alisme de l’âme et du corps, d’origine juive ; la
négation
de la vie ; l’immoralité de l’amour du prochain sans choix préalable
144
’autre, pour ainsi dire, et n’existant que par la
négation
de l’autre, si bien que le contraste entre les deux relève en fin de
145
e n’est pas je ne sais quel groupement de doubles
négations
et de demi-mesures — c’est l’Europe fédérée devant les deux empires.
146
e est comme paralysée, neutralisée par une double
négation
. Elle se refuse également à chacun des « blocs » mais elle ne sait pa
147
ent, reprend Denis de Rougemont, que cette double
négation
devienne une affirmation, sous peine de voir le monde entier sombrer
148
us légitime dès l’instant où il se traduit par la
négation
de ce qui reste invérifiable. Stéphane n’a pas eu confiance. Or la p
149
ines : celle du silence et celle de la parole. La
négation
du désir amoureux par l’acte même qui l’accomplit, c’est le signe phy