1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
1 sujet de la première partie des conférences, les Objections des intellectuels au Dieu chrétien, fut introduit par M. Raymond de S
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
2 and, que les orateurs exprimaient tour à tour les objections que chacun se faisait à part soi, qu’ils incarnaient les voix contrad
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 clairage, et la chaumière devient palais. C’est l’ objection classique et irréfutable à toute introspection : ce daltonisme du sou
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
4 ton et une ferveur qui rendront vaines beaucoup d’ objections , ou qui expliqueront dès l’abord, et légitimeront aux yeux de beaucou
5 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
5 es antithèses à dessein forcées, et provoquer vos objections , plutôt qu’une adhésion muette à des constatations prudemment mesurée
6 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
6 Calvin s’exprime en termes aussi respectueux des objections possibles. Il est vrai que ce livre est une thèse. Mais il n’est pas
7 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
7 ns de la communauté — indissolubles —, on est une objection vivante à tout individualisme, à tout communisme, à tout « isme ». Qu
8 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
8 rincipaux thèmes de l’œuvre12, sans soulever deux objections que Ramon Fernandez faisait récemment à ces auteurs13. La première po
9 finie comme le prochain de l’Évangile. La seconde objection concerne l’efficacité probable des doctrines de la Révolution nécessa
9 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
10 fortement ce danger. Je n’ai pas, ici, à juger l’ objection de conscience. Je me bornerai à deux remarques seulement. Dans la mes
11 i à deux remarques seulement. Dans la mesure où l’ objection est l’expression d’une vocation particulière, elle tend à échapper à
12 mpliquerait, en effet, logiquement, bien d’autres objections au régime établi. Je m’empresse d’ajouter que les objecteurs chrétien
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
13 ur capital de notre époque, nous voulons dire : l’ objection la plus absolue, la plus fondamentale qui lui soit faite, une figure
14 e. Elle participe encore de la dégradation. « Une objection vraiment méchante s’arcboute toujours contre ce qui la suscite.58 » E
15 gné, il n’apparaît plus nécessaire de réfuter les objections du « sens social ». Plusieurs ouvrages de Kierkegaard portent cette d
11 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
16 ente. Du même coup, il ruine d’ailleurs certaines objections classiques de l’incroyance (l’assimilation de la résurrection de Jésu
12 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
17 cément inopérantes. Réponse. — La force de cette objection réside dans une vue rationaliste du monde. Dans la réalité, nous voyo
18 ées à l’infini. D’autre part, on peut renverser l’ objection . Les lois rigides, rationnelles et générales, ne sont pas celles qui
19 personnalistes, s’accommodent assez aisément de l’ objection de conscience, alors que les lois rationnelles de l’État français tra
20 es de l’État français transforment aussitôt cette objection de conscience en un péril pour la défense nationale et l’ordre public
13 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
21 cule dialectique. On a pu lui opposer une série d’ objections que je ne ferai ici que mentionner, car elles sont fort connues : 1°
14 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
22 es antithèses à dessein forcées, et provoquer vos objections , plutôt qu’une adhésion muette à des constatations prudemment mesurée
15 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
23 mentales. Non pas que, sur ce terrain, les graves objections de méthode que je faisais tout à l’heure ne soient plus valables. Là
16 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
24 cément inopérantes. Réponse. — La force de cette objection réside dans une vue rationaliste du monde. Dans la réalité, nous voyo
25 ées à l’infini. D’autre part, on peut renverser l’ objection . Les lois rigides, rationnelles et générales, ne sont pas celles qui
26 personnalistes, s’accommodent assez aisément de l’ objection de conscience, alors que les lois rationnelles de l’État français tra
27 es de l’État français transforment aussitôt cette objection de conscience en un péril pour la défense nationale et l’ordre public
17 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
28 cule dialectique. On a pu lui opposer une série d’ objections que je ne ferai ici que mentionner, car elles sont fort connues : 1°
18 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
29 es antithèses à dessein forcées, et provoquer vos objections , plutôt qu’une adhésion muette à des constatations prudemment mesurée
19 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
30 mentales. Non pas que, sur ce terrain, les graves objections de méthode que je faisais tout à l’heure ne soient plus valables. Là
20 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
31 que le premier « théoricien » qui ait mérité ces objections s’appelait tout simplement Lénine. (Reprendre point par point les phr
21 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
32 it si magnifiquement dans une de ses réponses aux objections des humanistes : “Christ n’a pas cru pouvoir sauver les hommes autrem
22 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
33 ots concernant ces scrupules, ou peut-être, cette objection informulée. La question que je viens d’esquisser à grands traits, c’e
34 ont apparues comme de fondamentales et créatrices objections de la foi à la forme du monde. Mais, direz-vous encore, nous ne somme
35 Et comment un chrétien pourrait-il m’opposer les objections d’un praticisme à courte vue, quand notre vocation chrétienne braque
23 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
36 u’il faudrait d’abord rendre. Je force un peu mon objection pour être clair. Je n’entends pas que ce recueil n’apporte rien de po
24 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
37 ir combattre une caricature peut correspondre une objection de ce genre. Et pourtant, pour peu qu’on adopte la position des catho
38 ds docteurs, on est obligé de constater que cette objection ne porte guère. En effet, « l’Église ne reconnaît une expression exac
39 ais mon propos est ici simplement de répondre à l’ objection de nos frères romanisés. Si les formules par lesquelles je résume leu
40 préférés29. ⁂ Une fois définie la valeur de cette objection préalable, que pourraient nous opposer les catholiques, si nous les p
25 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
41 lui demander les siens. Mais le Führer a prévu l’ objection , et il la réfute d’avance avec un sens démagogique incomparable. « Av
26 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
42 de l’URSS ou de Hitler me feront sans doute deux objections très importantes. Ils me diront comme ils ont dit souvent déjà : a) N
43 e action culturelle future. Je réponds à ces deux objections  : a) Oui, vos circonstances étaient telles que je serais incapable de
44 e retrouve la misère matérielle. Car à toutes les objections que je puis adresser à ces régimes, leurs partisans finissent par me
27 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
45 de l’URSS ou de Hitler me feront sans doute deux objections très importantes. Ils me diront comme ils ont dit souvent déjà : a)
46 e action culturelle future. Je réponds à ces deux objections  : a) Oui, vos circonstances étaient telles que je serais incapable d
28 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
47 e retrouve la misère matérielle. Car à toutes les objections que je puis adresser à ces régimes, leurs partisans finissent par me
29 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
48 uci de naturaliste. 64. Réponses aux cinquièmes objections . 65. Je fais abstraction de la mode antisorbonnique créée un temps p
30 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
49 t le penseur capital de notre ère. Je veux dire l’ objection la plus absolue, la plus fondamentale qui lui ait été faite. Si le ca
50 regard qui nous perce… Reprenons par exemple son objection au doute cartésien en morale. Après avoir formulé la « monstrueuse co
51 les loups87 dans les meetings politiques. » Cette objection repose sur une croyance tenace en la distinction absolue de la théori
31 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
52 de l’URSS ou de Hitler me feront sans doute deux objections dont j’admets l’importance. Ils me diront comme ils ont dit souvent d
53 action culturelle à venir. Je réponds à ces deux objections  : a) Oui, vos circonstances étaient telles que je serais incapable d
32 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
54 e retrouve la misère matérielle. Car à toutes les objections que je puis adresser à ces régimes, leurs partisans finissent par me
33 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
55 uci de naturaliste. 66. Réponses aux cinquièmes objections . 67. Je fais abstraction de la mode anti-sorbonnique créée un temps
34 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
56 t le penseur capital de notre ère. Je veux dire l’ objection la plus absolue, la plus fondamentale qui lui ait été faite. Si le ca
57 regard qui nous perce… Reprenons par exemple son objection au doute cartésien en morale. Après avoir formulé la « monstrueuse co
58 les loups89 dans les meetings politiques. » Cette objection repose sur une croyance tenace en la distinction absolue de la théori
35 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
59 é de travailler. — Je me suis fait moi-même cette objection . Il est clair qu’un intellectuel aura toujours la possibilité de trav
36 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
60 droit au point décisif, envisage honnêtement les objections , donne à la thèse adverse toutes ses chances, non sans ironie toutefo
61 it suffire, et doit suffire en droit, à réfuter l’ objection d’un moderne, l’objection parfaitement anachronique, mais que je sais
62 e en droit, à réfuter l’objection d’un moderne, l’ objection parfaitement anachronique, mais que je sais inévitable, qui consiste
63 cile à concevoir, pour qu’on puisse écarter cette objection par un simple rappel de l’ordre dans lequel le Traité fut pensé. Je
64 seule qui définit notre présent ! Est-ce que nos objections « philosophiques », et notre crainte du « fatalisme » ne reposent pas
65 pinion de Luther n’est pas sujette à de sérieuses objections . Et la démonstration purement biblique qu’on en trouvera dans le Trai
37 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
66 nous l’a souvent prouvé — à soulever deux types d’ objections fondamentales, très naturelles dans l’état actuel des choses : 1. On
67 ’est-à-dire que ses jours sont comptés. Quant à l’ objection connexe relative au danger d’anarchie, nous rappellerons d’abord que
68 , et surtout, nous poserons à ceux qui font cette objection , la question préalable suivante : confondent-ils le spirituel avec le
69 ile d’aller plus avant. 2. On nous fait aussi une objection inverse : le Conseil suprême deviendrait la suprême tyrannie, celle q
70 lus seulement les corps. Nous répondons que cette objection prouve une totale méconnaissance des buts de la Révolution personnali
38 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
71 droit au point décisif, envisage honnêtement les objections , donne à la thèse adverse toutes ses chances, non sans ironie toutefo
39 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
72 ctrine, et indépendamment de toutes nos fautes, l’ objection marxiste ne vaut rien, alors que l’objection chrétienne est imparable
73 s, l’objection marxiste ne vaut rien, alors que l’ objection chrétienne est imparable. Quand un marxiste me reproche de me content
40 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
74 droit au point décisif, envisage honnêtement les objections , donne à la thèse adverse toutes ses chances, non sans ironie toutefo
75 ait suffire et doit suffire en droit, à réfuter l’ objection d’un moderne, l’objection parfaitement anachronique, mais que je sais
76 e en droit, à réfuter l’objection d’un moderne, l’ objection parfaitement anachronique, mais que je sais inévitable, et qui consis
77 cile à concevoir, pour qu’on puisse écarter cette objection par un simple rappel de l’ordre dans lequel le Traité fut pensé. Je t
78 seule qui définit notre présent ! Est-ce que nos objections « philosophiques » et notre crainte du « fatalisme » ne reposent pas,
79 pinion de Luther n’est pas sujette à de sérieuses objections . Et la démonstration purement biblique qu’on en trouvera dans ce trai
41 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
80 iguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections humaines. Si j’oublie cet au-delà du mariage, mais aussi de tout ordr
42 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
81 on. Notre hôte discute brièvement et poliment mes objections (portant surtout sur le danger de guerre que représente l’hitlérisme)
43 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
82 lui demander les siens. Mais le Führer a prévu l’ objection , et il la réfute d’avance avec un sens démagogique incomparable. « Av
44 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
83 onne. Mon interlocuteur rejette tout de suite une objection possible : Il va sans dire qu’il convient dès l’abord d’écarter de ce
45 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
84 urs. Croyez-moi, je ne cherche pas à esquiver des objections précises111 par un recours aux vérités les plus redoutables de la loi
46 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
85 e voilà qui suffit… Donnons une page à ce genre d’ objections . ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre analyse du mythe,
86 ont l’importance risque de se mesurer au nombre d’ objections qu’elles soulèveront. Je ne songe pas à esquiver des critiques que j’
87  » chevronnés de son temps.) On a remarqué qu’à l’ objection n° 4, je n’ai répondu jusqu’ici que d’une manière tout indirecte et a
88 le monde courtois, l’on aura du moins répondu à l’ objection sceptique que je résumais en tête de ce chapitre. Et rien n’empêche a
89 ion ultérieure, l’auteur discute les innombrables objections que sa thèse n’a pas manqué d’exciter chez les divers spécialistes mi
47 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
90 ns, et même de reconnaître la valeur de certaines objections courantes. Car enfin, dira-t-on, la mystique, au moins dans une de se
91 l’affirmer historiquement. En théorie cependant l’ objection reste possible, et même inévitable. On connaît le casse-tête philosop
48 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
92 iguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections humaines. Si j’oublie cet au-delà du mariage, mais aussi de tout ordr
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
93 e voilà qui suffit… Donnons une page à ce genre d’ objections . ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre analyse du mythe,
94 ont l’importance risque de se mesurer au nombre d’ objections qu’elles soulèveront. Je ne songe pas à esquiver des critiques que j’
95 és et expliqués d’une manière non symbolique… Une objection inverse a été faite : comment se peut-il que jamais un cathare conver
96  » chevronnés de son temps.) On a remarqué qu’à l’ objection n° 4, je n’ai répondu jusqu’ici que d’une manière tout indirecte et a
97 aquelle je viens de me livrer, et compte tenu des objections les plus sensées que firent à ma thèse minima les partisans d’écoles
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
98 ns, et même de reconnaître la valeur de certaines objections courantes. Car enfin, dira-t-on, la mystique, au moins dans une de se
99 l’affirmer historiquement. En théorie cependant l’ objection reste possible, et même inévitable. On connaît le casse-tête philosop
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
100 iguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections humaines. Si j’oublie cet au-delà du mariage, mais aussi de tout ordr
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
101 e voilà qui suffit… Donnons une page à ce genre d’ objections . ⁂ L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre analyse du mythe,
102 ont l’importance risque de se mesurer au nombre d’ objections qu’elles soulèveront. Je ne songe pas à esquiver des critiques que j’
103 és et expliqués d’une manière non symbolique… Une objection inverse a été faite : comment se peut-il que jamais un cathare conver
104  » chevronnés de son temps.) On a remarqué qu’à l’ objection n° 4 je n’ai répondu jusqu’ici que d’une manière tout indirecte et al
105 aquelle je viens de me livrer, et compte tenu des objections les plus sensées que firent à ma thèse minima les partisans d’écoles
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
106 ns, et même de reconnaître la valeur de certaines objections courantes. Car enfin, dira-t-on, la mystique, au moins dans une de se
107 l’affirmer historiquement. En théorie cependant l’ objection reste possible, et même inévitable. On connaît le casse-tête philoso
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
108 iguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections humaines. Si j’oublie cet au-delà du mariage, mais aussi de tout ordr
55 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
109 s quand nous cherchons à discuter, à prévenir des objections que la plupart des auditeurs n’auraient pas eu l’idée de faire. Comme
110 e ! Les théologiens élèveront peut-être de fortes objections contre ce que je vais dire. Je suis prêt à les écouter avec déférence
56 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
111 vu bien d’autres. Il bluffe, il admet toutes vos objections , mais il vous fait sentir qu’elles sont banales, statistiques. Il vou
57 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
112 vu bien d’autres. Il bluffe, il admet toutes vos objections , mais il vous fait sentir qu’elles sont banales, statistiques. Il vou
58 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
113 penseur capital de notre époque, je veux dire : l’ objection la plus absolue, la plus fondamentale qui lui soit faite ; une figure
114 e. Elle participe encore de la dégradation. « Une objection vraiment méchante s’arcboute toujours contre ce qui la suscite.52 » E
115 igné, il ne paraît plus nécessaire de réfuter les objections du « sens social ». Plusieurs ouvrages de Kierkegaard portent cette d
59 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
116 droit au point décisif, envisage honnêtement les objections , donne à la thèse adverse toutes ses chances non sans ironie toutefoi
117 ait suffire, et doit suffire en droit à réfuter l’ objection d’un moderne, l’objection parfaitement anachronique, mais que je sais
118 re en droit à réfuter l’objection d’un moderne, l’ objection parfaitement anachronique, mais que je sais inévitable, et qui consis
119 cile à concevoir, pour qu’on puisse écarter cette objection par un simple rappel de l’ordre dans lequel ce Traité fut pensé. Je t
120 seule qui définit notre présent ! Est-ce que nos objections philosophiques et notre crainte du « fatalisme » ne reposent pas le p
121 pinion de Luther n’est pas sujette à de sérieuses objections . Et la démonstration purement biblique qu’on en trouvera dans le Trai
122 64. Comme l’anarchiste Bakounine. 65. Voir les objections philosophiques de Jules Lequier contre la prescience de Dieu. Elles r
60 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
123 ns de la communauté, — indissolubles — on est une objection vivante à tout individualisme, à tout collectivisme, à tout « isme ».
61 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
124 à l’heure, dans la rue, il ferait aussitôt mille objections . Il vous jugerait avec toute la sévérité que les enfants réservent au
62 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
125 de français) réduisent au silence toute espèce d’ objection humanitaire ou même scientifique. Posons ici une question grave et ma
63 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
126 es Églises s’opposent à l’intervention, c’est par objection de conscience, pacifisme, antimilitarisme, crainte du régime tyranniq
64 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
127 bouge Princeton (N. J.) le 28 octobre 1945. Vos objections à ma thèse sur l’armée et la mort de la guerre militaire, m’obligent
65 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
128 rsonne ne bouge Princeton, 28 octobre 1945. Vos objections à ma thèse sur l’armée et la mort de la guerre militaire m’obligent à
66 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre des gaz n’a pas eu lieu
129 passant par New York, Paris et la Hollande : et l’ objection que partout l’on m’y oppose se résume à peu près dans les termes suiv
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
130 on. Notre hôte discute brièvement et poliment mes objections (portant surtout sur le danger de guerre que représente l’hitlérisme)
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
131 es Églises s’opposent à l’intervention, c’est par objection de conscience, pacifisme, antimilitarisme, crainte du régime tyranniq
69 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
132 es Églises s’opposent à l’intervention, c’est par objection de conscience, pacifisme, antimilitarisme, crainte du régime tyranniq
70 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
133 s peuples se préparent à le réaliser. Passons aux objections plus réalistes d’une réflexion qui accepte au moins d’imaginer, avant
134 erspectives de l’aventure humaine. Cette dernière objection me paraît seule sérieuse, voire inquiétante, car tandis que les précé
135 irer l’attention, d’une part sur la faiblesse des objections préalables qu’on oppose couramment à l’idée d’une fédération mondiale
71 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
136 ment mondial. Rien de plus banal, si ce n’est les objections qui surgissent aussitôt : « Tout cela, dit-on, est bel et bon pour un
137 vons besoin de solutions rapides. » À la deuxième objection , je répondrai que les cantons suisses n’ont adopté une constitution c
138 ions à l’échelle continentale, je répondrai que l’ objection est valable si l’on ne s’attache qu’aux détails de la mise en pratiqu
72 1948, Le Figaro, articles (1939–1953). Sagesse et folie de la Suisse (13 octobre 1948)
139 . Les mêmes menaces, les mêmes espoirs, les mêmes objections s’y retrouvent. Les cantons disent : nos industries seront ruinées si
73 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
140 États-Unis d’Europe ou de gouvernement mondial, l’ objection immédiate qui surgit sur les lèvres des étrangers est la suivante : «
74 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
141 On y a joint deux articles destinés à réfuter les objections les plus courantes du scepticisme ou des routines politiciennes. L’
142 ment mondial. Rien de plus banal, si ce n’est les objections qui surgissent aussitôt : « Tout cela, dit-on, est bel et bon pour un
143 vons besoin de solutions rapides. » À la deuxième objection , je répondrai que les cantons suisses n’ont adopté une constitution c
144 ions à l’échelle continentale, je répondrai que l’ objection est valable si l’on ne s’attache qu’aux détails de la mise en pratiqu
75 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
145 icultés, et c’est là le seul moyen de réduire les objections courantes que peuvent élever contre une fédération européenne les sce
76 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
146 confessions. À cela j’imagine qu’on opposera deux objections courantes : on dira qu’il est trop compliqué de prévoir tous les cas
77 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
147 novembre 1950)f Ce titre appelle deux séries d’ objections , les unes portant sur le mot Europe, les autres sur le mot culture ;
78 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
148 ussies, l’on peut citer la Suisse sans soulever d’ objections . Tout le monde sait que son régime politique est l’un des plus stable
79 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
149 réussies, on peut citer la Suisse sans soulever d’ objections . Chacun sait que son régime politique est l’un des plus stables du mo
80 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
150 aquelle je viens de me livrer, et compte tenu des objections les plus sensées que firent à ma thèse minima les partisans d’écoles
81 1956, Articles divers (1951-1956). Un exemple pour l’Europe (octobre 1956)
151 ussies, l’on peut citer la Suisse sans soulever d’ objections . Tout le monde sait que son régime politique est l’un des plus stable
82 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
152 arguments militant pour l’union ; de discuter les objections courantes ; de rappeler les données objectives, les chiffres et les f
83 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
153 e dialoguée permet de mettre en relief toutes les objections naturelles qui se présentent à l’esprit d’un libéral, et je crois bie
84 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
154 de loin sur son terrain. Mais à quoi bon ? Leurs objections ne sont fondées que sur un refus de principe, qu’ils se gardent bien
85 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
155 dès l’abord qu’il importait de réduire certaines objections de principe, ou mieux certaines craintes vagues mais courantes. Car l
86 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
156 dais à Rome il y a quelques années, agacé par ces objections qui se multipliaient autour du tapis vert, j’ai noté sur un bout de p
157 ous vraiment une culture commune ? Là encore, les objections pleuvent. Je les connais par cœur depuis longtemps, et je ne vous en
158 une culture européenne synthétique. La troisième objection est relative aux langues. Il paraît que nous parlons, en Europe, un t
159 ntendre. Examinons rapidement ces trois groupes d’ objections . La première invoque nos diversités. Il faut commencer par reconnaîtr
160 econnaître qu’elle est exacte, non pas en tant qu’ objection , mais en tant qu’observation. L’Europe est la terre de la diversité,
161 te où le ciel vous avait fait naître. La deuxième objection porte sur l’existence des cultures nationales, qui seraient les seule
162 et des vérifications universelles. La troisième objection porte sur les langues. On croit, toujours sur la base des manuels et
163 ays. Bien entendu, il ne suffit pas d’écarter des objections pour arriver à une définition plus positive de la communauté de cultu
87 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
164 les décrire. D’où la question (forme polie d’une objection fondamentale) que l’on nous pose bien souvent : pourquoi faut-il un C
88 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
165 ais à Rome, il y a quelques années, agacé par les objections que l’on ne cessait d’opposer à l’idée même d’une unité de la culture
89 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
166 ’on sentait qu’il s’agissait en lui non pas d’une objection logique ou de doctrine, mais d’une allergie spirituelle. Son parti pr
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
167 at, il est certain que l’on ne s’arrêtera pas à l’ objection ci-dessus, si l’on a le moindre désir de parvenir à la paix européenn
168 plus pratique pour les gens de qualité. IX. — Des objections qui peuvent être avancées contre le projet … La seconde objection est
169 uvent être avancées contre le projet … La seconde objection est qu’il peut s’engendrer une effémination par suite de la suppressi
170 re sa retraite quand il le pourra. … La troisième objection est qu’il y aurait un grand besoin d’emplois pour les frères cadets e
171 déjà répondu à cela dans ma réponse à la seconde objection . Nous aurons plus de commerçants et de cultivateurs ou d’ingénieux na
172 nes ou mauvaises mains. J’en arrive à la dernière objection  : les princes et les États perdront leur souveraineté, ce qu’ils n’ad
173 mune ce qu’elle jugera à propos. Répondant à des objections , portant généralement sur « l’utopie ».et les « chimères » de son Pro
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
174 j’ai pris un plaisir particulier à la variété des objections , et à votre manière nette et ronde d’y répondre. Il n’y a que la volo
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
175 opté, il ne saurait y avoir qu’une voix. La seule objection possible consisterait à dire que cette paix n’est pas réalisable, qu’
176 le. Je m’appliquerai tout d’abord à écarter cette objection , car il se peut que la réduction d’un tel préjugé soit nécessaire pou
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
177 leurs souffrances ? Toynbee taxe d’orgueil cette objection  : Nous Occidentaux, parce qu’humains, avons tendance à croire que to
94 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
178 otalitaires ont raison. Ils ont raison contre les objections des libéraux, des libertaires et contre tous nos goûts et préjugés in
95 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
179 ms, les romans et la publicité, il m’arrêta par l’ objection suivante : « Mais mon cher, si l’on ne se mariait plus à cause d’une
96 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
180 ctrine, et indépendamment de toutes nos fautes, l’ objection marxiste ne vaut rien, alors que l’objection chrétienne est imparable
181 s, l’objection marxiste ne vaut rien, alors que l’ objection chrétienne est imparable. Quand un marxiste me reproche de me content
97 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
182 patents, devaient réduire l’une après l’autre les objections du scepticisme invétéré (ou faut-il dire traditionnel ?) qui tendait
183 ient mes instituteurs. Qu’en est-il de la seconde objection que je citais : « Si cela se fait par impossible, ce sera néfaste pou
98 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
184 patents, devaient réduire l’une après l’autre les objections du scepticisme invétéré (ou faut-il dire traditionnel ?) qui tendait
185 ient mes instituteurs. Qu’en est-il de la seconde objection que je citais : « Si cela se fait, par impossible, ce sera néfaste po
99 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
186 patents, devaient réduire l’une après l’autre les objections du scepticisme invétéré (ou faut-il dire traditionnel ?) qui tendait
187 ient mes instituteurs. Qu’en est-il de la seconde objection que je citais : « Si cela se fait, par impossible, ce sera néfaste po
100 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
188 t je perdrais mon temps à en écrire ici. Mais des objections apparemment plus réalistes nous sont faites par les partisans « malgr
189 e esquisse que le principe des réponses aux trois objections  : a) La vitesse du progrès vers l’union politique à partir des États-
190 ble qu’à partir de l’avènement de l’ordinateur. L’ objection de la « trop grande complexité » est donc en réalité anachronique. c)
191 té » est donc en réalité anachronique. c) Reste l’ objection portant sur l’existence même des régions, que beaucoup tiennent pour
192 peut répondre — comme d’ailleurs à la plupart des objections portant sur le passage des nations aux régions, puis des régions à la