1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 un malaise montait dans l’air plus frais, avec l’ odeur du limon. Nous marchions vers ces hauts arbres clairs, au tournant du
2 les dissonances mélancoliques des lumières et des odeurs , espérant entrer là-bas dans je ne sais quelle harmonie plus reposant
3 e triste volupté emplit notre monde à ce chant. L’ odeur du fleuve est son parfum, le soleil rouge sa douleur. Les bœufs blanc
4 sque plus de sens, comme le fleuve. Elle n’est qu’ odeurs , formes mouvantes, remous dans l’air et musiques sourdes. Penser sera
5 se défaire et couler sans fin vers un sommeil à l’ odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’être pliée
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
6 le seul défaut fut de m’aimer… (Froid aux genoux, odeur de vieille fumée, et ce refus au sommeil qui meurtrit jusqu’à l’âme.)
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
7 e un camélia de tendre orgueil. Il respire déjà l’ odeur merveilleuse des objets et des êtres véritables. Un bateau ne glisse
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
8 ssence ». Celle de Belles-Lettres est en agréable odeur à l’Éternel et à Satan pareillement. Et ceux qu’elle enivre entrent e
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
9 et des alliés imaginaires, des jeux en cachette, odeurs de peaux, comme dans un rêve, des matins de dimanche sonores et tout
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
10 oment de passer la porte, au son de la cloche : l’ odeur de goudron et d’urinoirs qui imprègne les corridors et les habits des
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
11 e de pédantisme, et je ne parle pas du décor, des odeurs , de la poussière, des petites habitudes sordides et de cette matière
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
12 et des alliés imaginaires, des jeux en cachette, odeurs de peaux, comme dans un rêve, des matins de dimanche sonores et tout
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
13 oment de passer la porte, au son de la cloche : l’ odeur de goudron et d’urinoirs qui imprègne les corridors et les habits des
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
14 e de pédantisme, et je ne parle pas du décor, des odeurs , de la poussière, des petites habitudes sordides et de cette matière
11 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
15 h ! comme nous avons besoin d’être purifiés d’une odeur de laboratoire dont notre pensée reste imprégnée. La science se moque
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
16 e regard rajeuni, ces gestes rudimentaires, cette odeur de bois fraîchement coupé que dégagent certaines œuvres récentes des
13 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
17 crifices humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. Moins r
14 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
18 ruits de chars, ses cris d’enfants. Je traverse l’ odeur des groseilliers, écarte des ronces, et voici sous une voûte de feuil
19 il du désordre lent de la vie d’un jardin, dans l’ odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses. Des fils d’ara
20 tête et dans la peau toute cette matinée d’air, l’ odeur de l’ombre sous les feuilles, et cette autre odeur de hautes tiges cr
21 deur de l’ombre sous les feuilles, et cette autre odeur de hautes tiges croissantes et de fourmis rouges. Dès 9 heures j’ai p
22 à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’ odeur , terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femm
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
23 oissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète
24 Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre.
25 oure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ;
26 du château, l’air demeure étouffant et parfois l’ odeur des étangs vient se mêler à celle des vieilles boiseries. Enveloppé d
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
27 deux formes confondent leur ombre et leur songe… Odeur de l’eau, — pour toute la vie. (1929)
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
28 deux formes confondent leur ombre et leur songe… Odeur de l’eau, — pour toute la vie. Bogliaco, lac de Garde, 1928.
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
29 oissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète
30 Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre.
31 oure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ;
32 du château, l’air demeure étouffant et parfois l’ odeur des étangs vient se mêler à celle des vieilles boiseries. Enveloppé d
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
33 ruits de chars, ses cris d’enfants. Je traverse l’ odeur des groseilliers, écarte des ronces, et voici sous une voûte de feuil
34 il du désordre lent de la vie d’un jardin, dans l’ odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses. Des fils d’ara
35 tête et dans la peau toute cette matinée d’air, l’ odeur de hautes tiges croissantes et de fourmis rouges. Dès 9 heures j’ai p
36 à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’ odeur , terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femm
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
37 t née. Et depuis lors elle est restée lacustre. «  Odeur de l’eau — pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube, et ving
38 ant la semaine prochaine, l’épreuve recommencera. Odeur de l’eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un m
21 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
39 crifices humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. Moins r
22 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
40 crifices humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. Moins r
23 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
41 are, un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’ odeur du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le ti
42 ui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses odeurs et la saleté de ses ruelles. Un ruisseau coule au milieu du pavé, cha
43 es rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’ odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presby
24 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
44 la porte un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier.   10 novembre Ce journal n’aura rien d’intime. J’ai à gag
45 doux. Villages blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vignes sablonneuses.  
25 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
46 la porte un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des out
26 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
47 , à tâtons, le verrou de la porte du fond, dans l’ odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un dé
48 e isolé près de moi. Je prends le métro, malgré l’ odeur de buanderie et ce relent de fauves de certains parfums de femmes, ri
27 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
49 la porte un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des out
50 t crevée, et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de
51 es lagunes transfigurés en mirages de Venise. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vignes sablonneuses.
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
52 are, un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’ odeur du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le ti
53 ui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses odeurs et la saleté de ses ruelles. Un ruisseau coule au milieu du pavé, cha
54 es rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’ odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presby
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
55 enfants courent derrière la palissade. Bouffées d’ odeurs , fumées grasses. La zone, terme des pires déchéances, on le dit… Des
56 avachie ou insolente, par leurs parfums et leurs odeurs de bêtes sales, tantôt ils me tentaient par cela même, par leur faibl
30 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
57 , à tâtons, le verrou de la porte du fond, dans l’ odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un dé
58 e isolé près de moi. Je prends le métro, malgré l’ odeur de buanderie et ce relent de fauves de certains parfums de femmes, ri
31 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
59 à merveille. Le déhanchement des inversions et l’ odeur sournoise de l’opium se faisaient à peine remarquer dans le brouhaha
32 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
60 e dans les cafés, dans la ville médiévale, dans l’ odeur douce des magasins de tabac, dans la tristesse des ciels pesants sur
33 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
61 rétienne de l’amour. ⁂ Mais Eckhart ne fut pas en odeur de sainteté. Le pape Jean XXII condamna même ses thèses les plus hard
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
62 à travers mon jardin — Et que s’en répandent les odeurs . » (Cantico, XXVI.) 154. José Ortega y Gasset, Über die Liebe. 155.
35 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
63 d, la couleur de nos pierres après la pluie, et l’ odeur du lac immobile… Tout cela peut se résumer d’un mot. C’est le romanti
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
64 rétienne de l’amour. ⁂ Mais Eckhart ne fut pas en odeur de sainteté. Le pape Jean xxii condamna même ses thèses les plus hard
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
65 à travers mon jardin — Et que s’en répandent les odeurs . » (Cantico, XXVI.) 172. José Ortega y Gasset, Uber die Liebe. 173.
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
66 rétienne de l’amour. ⁂ Mais Eckhart ne fut pas en odeur de sainteté. Le pape Jean XXII condamna même ses thèses les plus hard
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
67 à travers mon jardin — Et que s’en répandent les odeurs . » (Cantico, XXVI.) 161. José Ortega y Gasset, Über die Liebe. 162.
40 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
68 e montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, car cet homme avait le cœur pur. À quelques mètres derri
41 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
69 e montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, car cet homme avait le cœur pur. À quelques mètres, derr
42 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
70 e montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, car cet homme avait le cœur pur. À quelques mètres, der
43 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
71 e montait comme un encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel, car cet homme avait le cœur pur. À quelques mètres derri
44 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
72 e regard rajeuni, ces gestes rudimentaires, cette odeur de bois fraîchement coupé que dégageaient les premières œuvres des éc
45 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
73 montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous.
74 sortie à cheval. Promenons-nous en l’attendant. L’ odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contr
46 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
75 montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous.
76 sortie à cheval. Promenons-nous en l’attendant. L’ odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contr
47 1946, Journal des deux mondes. Virginie
77 montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous.
78 sortie à cheval. Promenons-nous en l’attendant. L’ odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contr
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
79 oissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète
80 Maintenant une odeur fine de benzine traverse les odeurs de la forêt, et le moteur halète au ralenti, dans la fraîcheur sobre.
81 oure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ;
82 du château, l’air demeure étouffant et parfois l’ odeur des étangs vient se mêler à celle des vieilles boiseries. Enveloppé d
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
83 deux formes confondent leur ombre et leur songe… Odeur de l’eau, — pour toute la vie. Bogliaco, lac de Garde, 1928.
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
84 ruits de chars, ses cris d’enfants. Je traverse l’ odeur des groseilliers, écarte des ronces, et voici sous une voûte de feuil
85 il du désordre lent de la vie d’un jardin, dans l’ odeur des feuilles vivantes, de la terre noire, des mousses. Des fils d’ara
86 tête et dans la peau toute cette matinée d’air, l’ odeur de l’ombre sous les feuilles, et cette autre odeur de hautes tiges cr
87 deur de l’ombre sous les feuilles, et cette autre odeur de hautes tiges croissantes et de fourmis rouges. Dès 9 heures j’ai p
88 à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’ odeur , terrains morts où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femm
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
89 la porte un peu trop basse, règne une pénétrante odeur de laurier. On distingue dans l’ombre des amas de branchages, des out
90 t crevée, et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de fumée. Ce matin déjà il a fallu casser une couche de
91 es lagunes transfigurés en mirages de Venise. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vignes sablonneuses.
92 ve à tâtons le verrou de la porte du fond, dans l’ odeur des lauriers épais. Voici les rues du village, illuminées comme un dé
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
93 are, un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’ odeur du raisin foulé monte de la cour, et remplit l’ombre bleue sous le ti
94 ui de loin paraît en ruine, prouve sa vie par ses odeurs et la saleté de ses ruelles. Un ruisseau coule au milieu du pavé, cha
95 es rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’ odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presby
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
96 enfants courent derrière la palissade. Bouffées d’ odeurs , fumées grasses. La zone, terme des pires déchéances, on le dit… Des
97 e isolé près de moi. Je prends le métro, malgré l’ odeur de buanderie et ce relent de fauves de certains parfums de femmes, ri
98 avachie ou insolente, par leurs parfums et leurs odeurs de bêtes sales, tantôt ils me tentaient par cela même, par leur faibl
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
99 e dans les cafés, dans la ville médiévale, dans l’ odeur douce des magasins de tabac, dans la tristesse des ciels pesants sur
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
100 adolescence, au péristyle de la grande maison. L’ odeur des marronniers, les gouttes le long de la balustrade de fer forgé, l
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
101 montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un battant s’entrouvre devant nous.
102 sortie à cheval. Promenons-nous en l’attendant. L’ odeur des chiens imprègne les corridors. Dans un fumoir, à droite, en contr
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
103 ac sent aussi de la bouche qui l’exhale, les deux odeurs s’épousent par infra-mince. » Voudriez-vous nous donner d’autres exem
58 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
104 t née. Et depuis lors elle est restée lacustre. «  Odeur de l’eau pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube , et ving
105 ant la semaine prochaine, l’épreuve recommencera. Odeur de l’eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un m
59 1948, Suite neuchâteloise. VII
106 t née. Et depuis lors elle est restée lacustre. «  Odeur de l’eau — pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube , et vi
107 ant la semaine prochaine, l’épreuve recommencera. Odeur de l’eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un m
60 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
108 ied le long des étalages, lentement à travers les odeurs d’huile brûlée, d’encens ou de pétales de fleurs emplissant des corbe
61 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
109 ent ; on sentait jusque dans les grandes villes l’ odeur fade et sucrée de la fumée, qui provoque à la fois la somnolence et l
62 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
110 n, qui nous apporte des pays lointains, sans leur odeur ni leur température, sans le goût de leurs vins ni la qualité de leur
63 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
111 on, qui nous apporte des pays lointains sans leur odeur ni leur température, sans le goût de leurs vins ni la qualité de leur
64 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
112 rocher, de toucher le joli animal, dont la divine odeur , se répandant au loin, dominait même le souffle embaumé de la prée. I
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
113 rocher, de toucher le joli animal, dont la divine odeur , se répandant au loin, dominait même le souffle embaumé de la prée. I
66 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
114 ance. Aucune romance ne pourrait subsister dans l’ odeur de cuisine qui baigne nos trois petites pièces… Et Sally pense de son
67 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
115 u monde se mêlent à nos derniers paysans dans une odeur de bouillon Maggi et de cigares de Brissago, qui étaient ce que Joyce
68 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
116 u monde se mêlent à nos derniers paysans dans une odeur de bouillon Maggi et de cigares de Brissago, qui étaient ce que Joyce
69 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
117 aque jour, j’ai marché sans penser à rien, dans l’ odeur végétale d’un crépuscule humide, presque orageux, et la présence de B
70 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
118 ac sent aussi de la bouche qui l’exhale, les deux odeurs s’épousent par infra-mince. » Voudriez-vous nous donner d’autres exem
71 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
119 ssions directes dans les villes : bruits, fumées, odeurs , bousculades ou encombrements de toute nature dont la cause est souve
72 1974, Articles divers (1974-1977). Recherche pour un modèle de société européenne (février 1974)
120 eût refusé d’instinct ce bruit, ces vapeurs, ces odeurs , et l’idée même d’aller plus vite à n’importe quel prix, sans savoir