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Trappe. « N’oublie jamais », me disait un de mes
oncles
, « que plus l’ancêtre dont on se réclame est éloigné, moins on a de c
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que dire du Singe ? Je me répète la phrase de mon
oncle
. En revanche, comment ne pas croire à l’influence des professions hér
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, le récit du mariage de Virginie présidé par son
oncle
âgé de 102 ans (« Il avait arpenté tous les camps de la guerre de Séc
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u’on a peine à comprendre ses intentions. Il a un
oncle
qui est curé, mais je ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la
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u’on a peine à comprendre ses intentions. Il a un
oncle
qui est curé, mais je ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la
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’aime assez l’impertinence. Il imagine un certain
oncle
à lui, qu’il appelle l’abbé Bazin. « Cet abbé mourut, nous dit-il, pe
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fit de vifs reproches à ses derniers moments. Mon
oncle
en fut affligé, et pour mourir en paix, il dit à l’archevêque d’Astra
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que le blessé n’est autre que le meurtrier de son
oncle
. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le tuer dans son bain. Al
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ng qu’il pourrait occuper parmi les barons de son
oncle
. Il songe aussi à son amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il
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ses parents, fut élevé à la cour du roi Marc son
oncle
. Or il était fréquent, chez les plus anciens Celtes, que l’on confiât
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oit… les druides.83 » Tristan élevé par Marc, son
oncle
maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils » du roi. (
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ès au xviie siècle. 142. L’abbé de Sade, propre
oncle
du marquis, est l’auteur d’un ouvrage intitulé : Remarques sur les pr
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que le blessé n’est autre que le meurtrier de son
oncle
. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le tuer dans son bain. Al
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ng qu’il pourrait occuper parmi les barons de son
oncle
. Il songe aussi à son amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il
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ses parents, fut élevé à la cour du roi Marc son
oncle
. Or il était fréquent, chez les plus anciens Celtes, que l’on confiât
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oit… des druides96. » Tristan élevé par Marc, son
oncle
maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils » du roi. (
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ès au xviie siècle. 160. L’abbé de Sade, propre
oncle
du marquis, est l’auteur d’un ouvrage intitulé : Remarques sur les pr
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que le blessé n’est autre que le meurtrier de son
oncle
. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le tuer dans son bain. Al
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ng qu’il pourrait occuper parmi les barons de son
oncle
. Il songe aussi à son amie, — pour la première fois semble-t-il ! Il
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ses parents, fut élevé à la cour du roi Marc son
oncle
. Or il était fréquent, chez les plus anciens Celtes, que l’on confiât
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t… des druides. »88 Tristan élevé par Marc, son
oncle
maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, le « fils » du roi. (
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s au xviiie siècle. 149. L’abbé de Sade, propre
oncle
du marquis, est l’auteur d’un ouvrage intitulé : Remarques sur les pr
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le grecque, mais la conduit à une heureuse fin. L’
oncle
van der Kabel vient de mourir, et devant ses sept héritiers naturels,
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s les autres, une ou quelques larmes sur moi, son
oncle
défunt, et cela en présence d’un respectable magistrat qui en dresser
25
lésiastiquement, mais la vision de la maison de l’
oncle
, s’avançant vers lui sur ces flots, est bien trop réjouissante… Glanz
26
achs, maintenant, a fermé les yeux. Il évoque son
oncle
van der Kabel, ses bienfaits, ses redingotes grises, puis Lazare et s
27
t enregistrée, il héritera de tous les biens de l’
oncle
, pour lui avoir dédié, entre tant d’autres, une seule pensée d’amour
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u’on a peine à comprendre ses intentions. Il a un
oncle
qui est curé, mais je ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la
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le grecque, mais la conduit à une heureuse fin. L’
oncle
van der Kabel vient de mourir, et devant ses sept héritiers naturels,
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s les autres, une ou quelques larmes sur moi, son
oncle
défunt, et cela en présence d’un respectable magistrat qui en dresser
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lésiastiquement, mais la vision de la maison de l’
oncle
, s’avançant vers lui sur ces flots, est bien trop réjouissante… Glanz
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achs, maintenant, a fermé les yeux. Il évoque son
oncle
van der Kabel, ses bienfaits, ses redingotes grises, puis Lazare et s
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t enregistrée, il héritera de tous les biens de l’
oncle
, pour lui avoir dédié, entre tant d’autres, une seule pensée d’amour
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rappe. « N’oublie jamais », me disait un de mes
oncles
, « que plus l’ancêtre dont on se réclame est éloigné, moins on a de c
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que dire du Singe ? Je me répète la phrase de mon
oncle
. En revanche, comment ne pas croire à l’influence des professions h
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personnage du plus beau dialogue de Kassner92, l’
oncle
Hammond Sterne, de Bath, qui haïssait les boutons et n’admettait au m
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ns et n’admettait au monde que les boucles : Mon
oncle
s’agitait tout particulièrement et s’abandonnait à de sombres pensées
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lois de la lutte des fils contre les pères. Et l’
oncle
subversif, du côté maternel, a toutes chances de prestige, selon les
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quer, dans son mauvais espagnol, qu’il va voir un
oncle
malade dans un village voisin. L’agent lui jette un regard méprisant
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personnage du plus beau dialogue de Kassner93, l’
oncle
Hammond Sterne, de Bath, qui haïssait les boutons et n’admettait au m
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ns et n’admettait au monde que les boucles : Mon
oncle
s’agitait tout particulièrement et s’abandonnait à de sombres pensées
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le futur prix Nobel. André venait d’avouer à son
oncle
qu’il avait eu, à 25 ans et pour la première fois, des « relations se
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e » au nom de l’Évangile et du Royaume de Dieu, l’
oncle
le rejetait à l’incroyance. André Gide jugea la lettre de son oncle «
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à l’incroyance. André Gide jugea la lettre de son
oncle
« admirable ». Elle le condamnait certes, mais avec quelle virtú pate
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liminé. On peut penser aussi que la sévérité de l’
oncle
à l’occasion d’une aventure féminine ne pouvait pas déplaire à l’homo
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Charles avait raison. Que n’a-t-il répondu à cet
oncle
en lui citant d’autres versets non moins « simples et clairs » : — «
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doute fort). Or l’Évangile, selon la version de l’
oncle
, dit que l’impudique n’entre pas au Royaume, mais il dit aussi, et su
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t zoologiste et fils d’un naturaliste, ayant pour
oncles
, cousins, neveux et fils une pléiade d’hommes qui ont marqué dans les
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ophiques. 108. Voir les Lettres à von Preen de l’
oncle
, et la Correspondance avec Hofmannsthal du neveu. 109. Interview de
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s terres qu’on nomme France aujourd’hui. Tous ses
oncles
sont ducs ou rois, ses cousines et ses tantes reines ou impératrices
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se de son « père », c’est-à-dire du roi Marc, son
oncle
maternel, lequel joue le rôle du père chez les Celtes, il a commis et
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Tristan, âgé de 14 ou 15 ans, séjourner chez son
oncle
le roi Marc « comme un homme étranger, et il fit si bien qu’en peu de
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d Tristan entend cette nouvelle, il pense que son
oncle
l’envoie en Irlande plutôt pour y mourir que pour avoir Iseut. » Mais
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it…, je vous remets Iseut pour vous ou pour votre
oncle
. » Tous ces géants, dragons et traîtres qui le blessent d’une épée em
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i toujours en tête une recommandation d’un de mes
oncles
: « Plus l’ancêtre dont on se réclame est éloigné, moins on a de chan
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z les Celtes, comme chez bien d’autres peuples, l’
oncle
maternel prend la place du père (même vivant) et devient le « père no
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er progressivement, se déguiser en protecteur, en
oncle
, en ami aîné et plus sage, et finalement s’évanouir tout à fait dans
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tage des gènes ? Hélas, comme le disait un de mes
oncles
: « Plus l’ancêtre dont on se réclame est éloigné, moins on a de chan
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t, pour moi, sont ceux-là seuls dont mes parents,
oncles
et tantes nous parlaient quand nous étions jeunes. Et ceux-là seuls é
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de notre maison, et de son frère le général, des
oncles
et cousins plus éloignés de Bretagne, de Prusse, d’Autriche, d’Italie