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ble, complètement ivre, et Bettina lui disait à l’
oreille
: « Mon chéri, si j’aime la comtesse ? Mais tu es si laid que cela me
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gage. Mais c’est ici que Ford montre le bout de l’
oreille
, et que son but réel est la production pour elle-même, non pas le pla
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te dès l’entrée. Un violon vient vous siffler à l’
oreille
les notes les plus aiguës d’une chanson populaire, et à l’autre extré
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essent d’eux-mêmes nos bavardages. J’ai senti mes
oreilles
se déboucher, nous gagnons l’altitude. Les problèmes qu’il se pose so
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une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon
oreille
d’un violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une Ind
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sue : la prière en portait l’expression, loin des
oreilles
des hommes, jusqu’au trône de Dieu. Il n’en est plus ainsi maintenant
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ont encore des lèvres pour me dire une phrase à l’
oreille
, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées
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une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon
oreille
d’un violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une
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ssante Sonnette, vos paroles ne sont pas pour les
oreilles
, mais pour les lèvres de ceux qui vous aiment. Car elles sont insensé
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ont encore des lèvres pour me dire une phrase à l’
oreille
, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées
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une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon
oreille
de violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une Inde.
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ces harmoniques, comme à l’écoute clandestine, l’
oreille
au son d’un passé qui faiblit mais qui n’a pas terminé son message. I
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ul geste rapide eût suffi pour l’attraper par les
oreilles
. J’imaginai en une seconde la gloire que me vaudrait cette aventure,
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vier-février 1934)h J’écris à ceux qui ont des
oreilles
pour entendre, amis que ma parole n’atteindrait pas, mais ce message.
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ce que cette personne dont vous nous rebattez les
oreilles
? » J’ai vu de jeunes sympathisants de nos idées déconcertés par cett
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ormal de déclarer que « c’est du latin » pour ses
oreilles
, mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles litté
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ormal de déclarer que « c’est du latin » pour ses
oreilles
, mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles litté
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pplication des mots, c’est trop peu dire pour des
oreilles
modernes. On a tellement désarmé le langage, on l’a tellement déconte
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ormal de déclarer que « c’est du latin » pour ses
oreilles
, mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles litté
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pplication des mots, c’est trop peu dire pour des
oreilles
modernes. On a tellement désarmé le langage, on l’a tellement déconte
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s’agit, pour eux, de retrouver ce qu’on appelle l’
oreille
du peuple. Mais cela suppose une véritable révolution dans les valeur
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ement talonnée par un grand flandrin de métis aux
oreilles
pendantes. De temps en temps il la rejoignait. Ensuite une sorte d’ép
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r son prochain » ! Je n’ai pas plutôt soufflé à l’
oreille
de ma femme : « C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son é
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là rien d’étonnant, si l’on ne nous rebattait les
oreilles
de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfie
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son prochain » ! Je n’ai pas plus tôt soufflé à l’
oreille
de ma femme « C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son élo
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là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les
oreilles
de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfie
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ement talonnée par un grand flandrin de métis aux
oreilles
pendantes. De temps en temps il la rejoignait. Ensuite une sorte d’ép
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emand et qui sans doute a perdu sa vertu pour une
oreille
habituée : « Il se lève et il tombe avec sa mission. » Nous ne savons
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part dupé par ce grand mot dont on lui rebat les
oreilles
, le peuple de France, un beau jour, ne se décide à jouer sérieusement
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entor fanatique, particulièrement désagréable aux
oreilles
latines. La grande majorité des Allemands pensent au contraire que le
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mercredi 28 septembre où les peuples prêtaient l’
oreille
guettant le tocsin de la guerre. C’est alors qu’éclata la nouvelle de
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— aveugle proie de l’horreur désirée — prêtant l’
oreille
au martelant galop du cheval roux de notre Apocalypse — parmi nous, f
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institution sociale, d’humilier le mari — roi aux
oreilles
de cheval, toujours si facilement dupé — et de glorifier la vertu de
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pirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs
oreilles
, languissante et triste. Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle
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. Le chœur. En ce temps-là, Confédérés Prêtez l’
oreille
! En ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Monta le vent des pla
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on sacré. Alors un homme s’est dressé Prêtez l’
oreille
! Témoin de Dieu dans le fracas de la colère. Là-bas, tous crien
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. Le chœur. Ce soir encore, Confédérés Prêtez l’
oreille
! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas, tous crient : E
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ant. Le chœur. Or écoutez Confédérés ! Prêtez l’
oreille
! Tutti. Commence ici le Jeu de Nicolas ! 1. Pendant tous les
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ouche fermée.) (Tutti.) Tout un peuple a prêté l’
oreille
. Mais le grand vent des plaines s’est levé, il emporte la voix du gue
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e t’en supplie ! Le chant du monde éclate à leurs
oreilles
et les rend sourds au cri du vieux guetteur ! Chœur des puissances
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— aveugle proie de l’horreur désirée — prêtant l’
oreille
au martelant galop du cheval roux de notre Apocalypse — parmi nous, f
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hœur.) Chœur céleste. Terre et cieux prêtez l’
oreille
Au mystère de la paix. Cœur angoissé, cœur qui veille Ne cesse pas d’
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institution sociale, d’humilier le mari — roi aux
oreilles
de cheval, toujours si facilement dupé — et de glorifier la vertu de
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pirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs
oreilles
, languissante et triste. Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle
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it ce qu’il veut. Il modifie — et nous dressons l’
oreille
— trois moments décisifs de l’action : a) il met en relief, non sans
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institution sociale, d’humilier le mari — roi aux
oreilles
de cheval, toujours si facilement dupé — et de glorifier la vertu de
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pirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs
oreilles
, languissante et triste. Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle
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it ce qu’il veut. Il modifie — et nous dressons l’
oreille
— trois moments décisifs de l’action : a) il met en relief, non sans
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du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la sourde
oreille
, avec un petit air entendu, quand certains lui posaient cette questio
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du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la sourde
oreille
, avec un petit air entendu, quand certains lui posaient cette questio
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ise peut-être la caricature. J’ai entendu, de mes
oreilles
, un jeune pasteur remercier Dieu, du haut de la chaire, de ce que Die
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s… 12. Cette devise rend un son « suisse » à mon
oreille
. Et c’est ici le lieu de le rappeler : le mot huguenot vient de « Eid
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s l’éviter. Nous ne pouvons plus nous boucher les
oreilles
. Nous ne pouvons plus nous mettre à l’abri de notre histoire, ou de n
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ici cependant où l’on verra percer le bout de son
oreille
pointue : c’est au moment précis où le péché n’est plus reconnu pour
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i de guerre de l’archange lumineux. Avez-vous des
oreilles
pour l’entendre ? Le malheur de ce temps les ouvrira ! Et c’est ici q
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ici cependant où l’on verra percer le bout de son
oreille
pointue : c’est au moment précis où le péché n’est plus reconnu pour
57
tille dame et ses charmants amis l’écoutent d’une
oreille
, poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely, really… » d’un
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i de guerre de l’archange lumineux. Avez-vous des
oreilles
pour l’entendre ? Le malheur de ce temps les ouvrira. C’est ici que n
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ici cependant où l’on verra percer le bout de son
oreille
pointue : c’est au moment précis où le péché n’est plus reconnu pour
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tille dame et ses charmants amis l’écoutent d’une
oreille
, poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely, really… » d’un
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i de guerre de l’archange lumineux. Avez-vous des
oreilles
pour l’entendre ? Le malheur de ce temps les ouvrira. C’est ici que n
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jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’
oreille
: — Pouvez-vous céder votre table, nous avons besoin d’une table de d
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apait gentiment sur l’épaule en murmurant à votre
oreille
: « Je suis le Père, et le Fils, et le Saint-Esprit ! » — la plupart
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t, quoi qu’on dise on dit tout, si le lecteur a l’
oreille
fine. Il ne reste donc plus qu’à distraire ce lecteur, à orienter son
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gne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des
oreilles
clandestines entendront : « la Voix de l’Amérique parle aux Français.
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chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’
oreille
et le front maculé d’encre à copier. Il me cherche du regard par-dess
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ont encore des lèvres pour me dire une phrase à l’
oreille
, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées
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une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon
oreille
d’un violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une Ind
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lissé dans une fente exacte : peu de chose pour l’
oreille
, mais moralement l’un des bruits les plus humiliants que l’homme ait
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son prochain » ! Je n’ai pas plus tôt soufflé à l’
oreille
de ma femme « C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son élo
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là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les
oreilles
de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfie
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ment talonnée par un grand flandrin de bâtard aux
oreilles
pendantes. De temps en temps il la rejoignait. Ensuite une sorte d’ép
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t, quoi qu’on dise on dit tout, si le lecteur a l’
oreille
fine. Il ne reste donc plus qu’à distraire ce lecteur, à orienter son
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gne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des
oreilles
clandestines entendront : « La Voix de l’Amérique parle aux Français.
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chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’
oreille
et le front maculé d’encre à copier. Il me cherche du regard par-dess
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gne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des
oreilles
clandestines entendront : La Voix de l’Amérique parle aux Français. I
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chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’
oreille
et le front maculé d’encre à copier. Il me cherche du regard par-dess
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t mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les
oreilles
du train-train de nos corruptions. Donc les Suisses que je vois en I
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jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’
oreille
: — Pouvez-vous céder votre table, nous avons besoin d’une table de d
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« Allô ! Ici Einstein ». Je n’en croyais pas mes
oreilles
; c’est un peu comme si j’avais entendu : « Ici, Newton »… Pourtant,
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ment ; des portes se ferment et se rouvrent ; mon
oreille
est plus ou moins fine ; je m’oriente ou me désoriente… C’est une imm
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ces harmoniques, comme à l’écoute clandestine, l’
oreille
au son d’un passé qui faiblit mais qui n’a pas terminé son message. I
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ul geste rapide eût suffi pour l’attraper par les
oreilles
. J’imaginai en une seconde la gloire que me vaudrait cette aventure,
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ourante sur la culture. Ventre affamé n’a point d’
oreilles
, dit le proverbe. Comment lutter contre cette « évidence » ? Il me se
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s. Mais je me tairai. « Ventre affamé n’a point d’
oreilles
», et qui suis-je pour lutter ici contre la force d’un proverbe, si c
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au, ou grotesque, ou les deux ? », me souffle à l’
oreille
mon voisin. Ce qui m’a le plus surpris, c’est l’inhumanité (à notre s
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abinet mondial : en tant que tel il doit prêter l’
oreille
à l’opinion mondiale qui parle ici… » Mais sans me laisser achever ma
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ue », que l’on invoque, ne sont telles que pour l’
oreille
et l’intelligence d’un très petit groupe d’hommes connaissant toute l
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leur temps ; nos critiques, à l’approcher de leur
oreille
comme cornet ; et même nos managers y pourraient bercer la clef de le
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t mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les
oreilles
du train-train de nos corruptions. Donc les Suisses que je vois en tr
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ant spontanément à ses ordres) nous rebattent les
oreilles
, il suffit de poser deux questions : ce culte était-il vraiment si da
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’on tournait le bouton d’un poste de radio, à nos
oreilles
, appelant l’Europe, qui ne pouvait pas répondre, appelant l’Europe sa
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musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’
oreille
d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… I
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andent d’abord du pain. Ventre affamé n’a point d’
oreilles
. » Il peut sembler pourtant que le contraire est vrai, que ce sont le
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musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’
oreille
d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… I
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ce démon apparaître partout, passant le bout de l’
oreille
entre ces lignes, par exemple ; et certains semblent bien être allés
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de veuves, d’orphelins, qui ne sont agréables aux
oreilles
d’aucun gouvernement, qui sont la conséquence de la guerre partout, s
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hant très bien qu’ils peuvent espérer trouver des
oreilles
attentives et une aide rapide. Ces affaires étrangères sont devenues
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demi-tour du temps qui grinçait si fort pour les
oreilles
d’un Démosthène, à peine s’il est perceptible pour l’historien qui, s
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essif, nous ne pouvons nous empêcher de dresser l’
oreille
. Cet homme sait ce qu’il dit… La liberté et le pluralisme sont deux c
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mais que parfois je crois entendre murmurer à son
oreille
cette parole qui a sauvé des malades à la mort : défends-toi, tu dois
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emand et qui sans doute a perdu sa vertu pour une
oreille
habituée : « Il se lève et il tombe avec sa mission. » Nous ne savons
103
et cosmopolitisme, et qui rend plus sensibles à l’
oreille
intérieure les arythmies annonciatrices d’accidents du cœur de l’Euro
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serrés, et dont les paysans trapus se fixent à l’
oreille
un disque plat de cuivre ou d’or. Quant à nos villes, toutes leurs pl
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t mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les
oreilles
du train-train du désordre universel. Donc les Suisses que je vois en
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et cosmopolitisme, et qui rend plus sensibles à l’
oreille
intérieure les arythmies annonciatrices d’accidents du cœur de l’Euro
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ion chinoise du fédéralisme : « La rencontre de l’
oreille
et des bruits. » Définition courante en Suisse mais fausse : le micro
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e, et c’est si beau qu’il faut que j’en croie mes
oreilles
.) Ces conditions de « bonheur » sont, de toute évidence, réunies par
109
n a sauvés en leur disant seulement au creux de l’
oreille
: « Tu sais que j’ai besoin de toi. » 10. Étude demandée par la Sa
110
ue », que l’on invoque, ne sont telles que pour l’
oreille
et l’intelligence d’un très petit groupe d’hommes connaissant toute l
111
emps qu’on vous dit cela et que vous n’avez pas d’
oreilles
pour l’entendre. Cela commence en 1308, quand Pierre Dubois, légiste
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musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’
oreille
d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… S
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rience poétique et musicale. C’est une question d’
oreille
et non de preuves écrites ou de sources à vérifier, une question d’in
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ent de la Cour suprême des États-Unis a prêté une
oreille
attentive au rapport des autorités locales : « Jamais, de mémoire d’h
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r » et ce qu’il y corrige n’est qu’une question d’
oreille
, toute subjective ; mais le lecteur des Mahabharatas, livre sacré, s’
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anisme et latinité, et qui rend plus sensible à l’
oreille
intérieure les arythmies annonciatrices d’accidents du cœur de l’Euro
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s sectes cathares, avec un ami. Il écoutait d’une
oreille
, et brusquement il s’est tourné vers nous : « Voilà, dit-il, une Égli
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musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’
oreille
d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… S
119
s passagères (tournez le bouton, bouchez-vous les
oreilles
), simples images et paraboles des atteintes combien plus durables que
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dit : Quand on se promène avec un transistor à l’
oreille
, il n’est plus question de réfléchir ou de méditer en marchant. La pl
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l’exemple de celui qui se promène transistor à l’
oreille
: certains objecteront que grâce aux ondes, tant de gens peuvent appr