1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
1 ble, complètement ivre, et Bettina lui disait à l’ oreille  : « Mon chéri, si j’aime la comtesse ? Mais tu es si laid que cela me
2 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
2 gage. Mais c’est ici que Ford montre le bout de l’ oreille , et que son but réel est la production pour elle-même, non pas le pla
3 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
3 te dès l’entrée. Un violon vient vous siffler à l’ oreille les notes les plus aiguës d’une chanson populaire, et à l’autre extré
4 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
4 essent d’eux-mêmes nos bavardages. J’ai senti mes oreilles se déboucher, nous gagnons l’altitude. Les problèmes qu’il se pose so
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
5 une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une Ind
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
6 sue : la prière en portait l’expression, loin des oreilles des hommes, jusqu’au trône de Dieu. Il n’en est plus ainsi maintenant
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
7 ont encore des lèvres pour me dire une phrase à l’ oreille , de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une
9 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
9 ssante Sonnette, vos paroles ne sont pas pour les oreilles , mais pour les lèvres de ceux qui vous aiment. Car elles sont insensé
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
10 ont encore des lèvres pour me dire une phrase à l’ oreille , de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon oreille de violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une Inde.
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
12 ces harmoniques, comme à l’écoute clandestine, l’ oreille au son d’un passé qui faiblit mais qui n’a pas terminé son message. I
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
13 ul geste rapide eût suffi pour l’attraper par les oreilles . J’imaginai en une seconde la gloire que me vaudrait cette aventure,
14 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
14 vier-février 1934)h J’écris à ceux qui ont des oreilles pour entendre, amis que ma parole n’atteindrait pas, mais ce message.
15 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
15 ce que cette personne dont vous nous rebattez les oreilles  ? » J’ai vu de jeunes sympathisants de nos idées déconcertés par cett
16 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
16 ormal de déclarer que « c’est du latin » pour ses oreilles , mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles litté
17 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
17 ormal de déclarer que « c’est du latin » pour ses oreilles , mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles litté
18 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
18 pplication des mots, c’est trop peu dire pour des oreilles modernes. On a tellement désarmé le langage, on l’a tellement déconte
19 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
19 ormal de déclarer que « c’est du latin » pour ses oreilles , mais encore il existe autant de ces latins-là que de chapelles litté
20 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
20 pplication des mots, c’est trop peu dire pour des oreilles modernes. On a tellement désarmé le langage, on l’a tellement déconte
21 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
21 s’agit, pour eux, de retrouver ce qu’on appelle l’ oreille du peuple. Mais cela suppose une véritable révolution dans les valeur
22 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
22 ement talonnée par un grand flandrin de métis aux oreilles pendantes. De temps en temps il la rejoignait. Ensuite une sorte d’ép
23 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
23 r son prochain » ! Je n’ai pas plutôt soufflé à l’ oreille de ma femme : « C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son é
24 là rien d’étonnant, si l’on ne nous rebattait les oreilles de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfie
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
25 son prochain » ! Je n’ai pas plus tôt soufflé à l’ oreille de ma femme « C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son élo
26 là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les oreilles de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfie
25 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
27 ement talonnée par un grand flandrin de métis aux oreilles pendantes. De temps en temps il la rejoignait. Ensuite une sorte d’ép
26 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
28 emand et qui sans doute a perdu sa vertu pour une oreille habituée : « Il se lève et il tombe avec sa mission. » Nous ne savons
27 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
29 part dupé par ce grand mot dont on lui rebat les oreilles , le peuple de France, un beau jour, ne se décide à jouer sérieusement
28 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
30 entor fanatique, particulièrement désagréable aux oreilles latines. La grande majorité des Allemands pensent au contraire que le
29 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
31 mercredi 28 septembre où les peuples prêtaient l’ oreille guettant le tocsin de la guerre. C’est alors qu’éclata la nouvelle de
30 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
32 — aveugle proie de l’horreur désirée — prêtant l’ oreille au martelant galop du cheval roux de notre Apocalypse — parmi nous, f
31 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
33 institution sociale, d’humilier le mari — roi aux oreilles de cheval, toujours si facilement dupé — et de glorifier la vertu de
34 pirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs oreilles , languissante et triste. Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle
32 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
35 . Le chœur. En ce temps-là, Confédérés Prêtez l’ oreille  ! En ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Monta le vent des pla
36 on sacré. Alors un homme s’est dressé Prêtez l’ oreille  ! Témoin de Dieu dans le fracas de la colère. Là-bas, tous crien
37 . Le chœur. Ce soir encore, Confédérés Prêtez l’ oreille  ! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas, tous crient : E
38 ant. Le chœur. Or écoutez Confédérés ! Prêtez l’ oreille  ! Tutti. Commence ici le Jeu de Nicolas ! 1. Pendant tous les
33 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
39 ouche fermée.) (Tutti.) Tout un peuple a prêté l’ oreille . Mais le grand vent des plaines s’est levé, il emporte la voix du gue
40 e t’en supplie ! Le chant du monde éclate à leurs oreilles et les rend sourds au cri du vieux guetteur ! Chœur des puissances
34 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
41 — aveugle proie de l’horreur désirée — prêtant l’ oreille au martelant galop du cheval roux de notre Apocalypse — parmi nous, f
42 hœur.) Chœur céleste. Terre et cieux prêtez l’ oreille Au mystère de la paix. Cœur angoissé, cœur qui veille Ne cesse pas d’
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
43 institution sociale, d’humilier le mari — roi aux oreilles de cheval, toujours si facilement dupé — et de glorifier la vertu de
44 pirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs oreilles , languissante et triste. Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
45 it ce qu’il veut. Il modifie — et nous dressons l’ oreille  — trois moments décisifs de l’action : a) il met en relief, non sans
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
46 institution sociale, d’humilier le mari — roi aux oreilles de cheval, toujours si facilement dupé — et de glorifier la vertu de
47 pirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs oreilles , languissante et triste. Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
48 it ce qu’il veut. Il modifie — et nous dressons l’ oreille  — trois moments décisifs de l’action : a) il met en relief, non sans
39 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
49 du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la sourde oreille , avec un petit air entendu, quand certains lui posaient cette questio
40 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
50 du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la sourde oreille , avec un petit air entendu, quand certains lui posaient cette questio
41 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
51 ise peut-être la caricature. J’ai entendu, de mes oreilles , un jeune pasteur remercier Dieu, du haut de la chaire, de ce que Die
42 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
52 s… 12. Cette devise rend un son « suisse » à mon oreille . Et c’est ici le lieu de le rappeler : le mot huguenot vient de « Eid
43 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
53 s l’éviter. Nous ne pouvons plus nous boucher les oreilles . Nous ne pouvons plus nous mettre à l’abri de notre histoire, ou de n
44 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
54 ici cependant où l’on verra percer le bout de son oreille pointue : c’est au moment précis où le péché n’est plus reconnu pour
45 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
55 i de guerre de l’archange lumineux. Avez-vous des oreilles pour l’entendre ? Le malheur de ce temps les ouvrira ! Et c’est ici q
46 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
56 ici cependant où l’on verra percer le bout de son oreille pointue : c’est au moment précis où le péché n’est plus reconnu pour
47 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
57 tille dame et ses charmants amis l’écoutent d’une oreille , poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely, really… » d’un
48 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
58 i de guerre de l’archange lumineux. Avez-vous des oreilles pour l’entendre ? Le malheur de ce temps les ouvrira. C’est ici que n
49 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
59 ici cependant où l’on verra percer le bout de son oreille pointue : c’est au moment précis où le péché n’est plus reconnu pour
50 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
60 tille dame et ses charmants amis l’écoutent d’une oreille , poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely, really… » d’un
51 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
61 i de guerre de l’archange lumineux. Avez-vous des oreilles pour l’entendre ? Le malheur de ce temps les ouvrira. C’est ici que n
52 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
62 jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’ oreille  : — Pouvez-vous céder votre table, nous avons besoin d’une table de d
53 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
63 apait gentiment sur l’épaule en murmurant à votre oreille  : « Je suis le Père, et le Fils, et le Saint-Esprit ! » — la plupart
54 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
64 t, quoi qu’on dise on dit tout, si le lecteur a l’ oreille fine. Il ne reste donc plus qu’à distraire ce lecteur, à orienter son
55 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
65 gne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des oreilles clandestines entendront : « la Voix de l’Amérique parle aux Français.
66 chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’ oreille et le front maculé d’encre à copier. Il me cherche du regard par-dess
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
67 ont encore des lèvres pour me dire une phrase à l’ oreille , de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
68 une nostalgie qui ne veut pas de la romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste. Ils l’ont amené du fond d’une Ind
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
69 lissé dans une fente exacte : peu de chose pour l’ oreille , mais moralement l’un des bruits les plus humiliants que l’homme ait
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
70 son prochain » ! Je n’ai pas plus tôt soufflé à l’ oreille de ma femme « C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son élo
71 là rien d’étonnant si l’on ne nous rebattait les oreilles de phrases sur la volonté et la mission du peuple. On a beau se méfie
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
72 ment talonnée par un grand flandrin de bâtard aux oreilles pendantes. De temps en temps il la rejoignait. Ensuite une sorte d’ép
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Avertissement
73 t, quoi qu’on dise on dit tout, si le lecteur a l’ oreille fine. Il ne reste donc plus qu’à distraire ce lecteur, à orienter son
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
74 gne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des oreilles clandestines entendront : « La Voix de l’Amérique parle aux Français.
75 chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’ oreille et le front maculé d’encre à copier. Il me cherche du regard par-dess
63 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
76 gne française — ce sera déjà la nuit là-bas — des oreilles clandestines entendront : La Voix de l’Amérique parle aux Français. I
77 chemise, sort de sa cage vitrée, le crayon sur l’ oreille et le front maculé d’encre à copier. Il me cherche du regard par-dess
64 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
78 t mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les oreilles du train-train de nos corruptions. Donc les Suisses que je vois en I
65 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
79 jour de l’autre hiver, le garçon vint me dire à l’ oreille  : — Pouvez-vous céder votre table, nous avons besoin d’une table de d
66 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
80 « Allô ! Ici Einstein ». Je n’en croyais pas mes oreilles  ; c’est un peu comme si j’avais entendu : « Ici, Newton »… Pourtant,
67 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
81 ment ; des portes se ferment et se rouvrent ; mon oreille est plus ou moins fine ; je m’oriente ou me désoriente… C’est une imm
68 1948, Suite neuchâteloise. V
82 ces harmoniques, comme à l’écoute clandestine, l’ oreille au son d’un passé qui faiblit mais qui n’a pas terminé son message. I
69 1948, Suite neuchâteloise. VIII
83 ul geste rapide eût suffi pour l’attraper par les oreilles . J’imaginai en une seconde la gloire que me vaudrait cette aventure,
70 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
84 ourante sur la culture. Ventre affamé n’a point d’ oreilles , dit le proverbe. Comment lutter contre cette « évidence » ? Il me se
71 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
85 s. Mais je me tairai. « Ventre affamé n’a point d’ oreilles  », et qui suis-je pour lutter ici contre la force d’un proverbe, si c
86 au, ou grotesque, ou les deux ? », me souffle à l’ oreille mon voisin. Ce qui m’a le plus surpris, c’est l’inhumanité (à notre s
87 abinet mondial : en tant que tel il doit prêter l’ oreille à l’opinion mondiale qui parle ici… » Mais sans me laisser achever ma
72 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
88 ue », que l’on invoque, ne sont telles que pour l’ oreille et l’intelligence d’un très petit groupe d’hommes connaissant toute l
89 leur temps ; nos critiques, à l’approcher de leur oreille comme cornet ; et même nos managers y pourraient bercer la clef de le
73 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
90 t mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les oreilles du train-train de nos corruptions. Donc les Suisses que je vois en tr
74 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
91 ant spontanément à ses ordres) nous rebattent les oreilles , il suffit de poser deux questions : ce culte était-il vraiment si da
75 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
92 ’on tournait le bouton d’un poste de radio, à nos oreilles , appelant l’Europe, qui ne pouvait pas répondre, appelant l’Europe sa
76 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
93 musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’ oreille d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… I
77 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
94 andent d’abord du pain. Ventre affamé n’a point d’ oreilles . » Il peut sembler pourtant que le contraire est vrai, que ce sont le
78 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
95 musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’ oreille d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… I
79 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
96 ce démon apparaître partout, passant le bout de l’ oreille entre ces lignes, par exemple ; et certains semblent bien être allés
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
97 de veuves, d’orphelins, qui ne sont agréables aux oreilles d’aucun gouvernement, qui sont la conséquence de la guerre partout, s
81 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
98 hant très bien qu’ils peuvent espérer trouver des oreilles attentives et une aide rapide. Ces affaires étrangères sont devenues
82 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
99 demi-tour du temps qui grinçait si fort pour les oreilles d’un Démosthène, à peine s’il est perceptible pour l’historien qui, s
100 essif, nous ne pouvons nous empêcher de dresser l’ oreille . Cet homme sait ce qu’il dit… La liberté et le pluralisme sont deux c
83 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
101 mais que parfois je crois entendre murmurer à son oreille cette parole qui a sauvé des malades à la mort : défends-toi, tu dois
84 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
102 emand et qui sans doute a perdu sa vertu pour une oreille habituée : « Il se lève et il tombe avec sa mission. » Nous ne savons
85 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
103 et cosmopolitisme, et qui rend plus sensibles à l’ oreille intérieure les arythmies annonciatrices d’accidents du cœur de l’Euro
86 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
104 serrés, et dont les paysans trapus se fixent à l’ oreille un disque plat de cuivre ou d’or. Quant à nos villes, toutes leurs pl
87 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
105 t mettre en vedette, au lieu de nous rebattre les oreilles du train-train du désordre universel. Donc les Suisses que je vois en
106 et cosmopolitisme, et qui rend plus sensibles à l’ oreille intérieure les arythmies annonciatrices d’accidents du cœur de l’Euro
88 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
107 ion chinoise du fédéralisme : « La rencontre de l’ oreille et des bruits. » Définition courante en Suisse mais fausse : le micro
89 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
108 e, et c’est si beau qu’il faut que j’en croie mes oreilles .) Ces conditions de « bonheur » sont, de toute évidence, réunies par
90 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
109 n a sauvés en leur disant seulement au creux de l’ oreille  : « Tu sais que j’ai besoin de toi. » 10. Étude demandée par la Sa
91 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Il n’y a pas de « musique moderne »
110 ue », que l’on invoque, ne sont telles que pour l’ oreille et l’intelligence d’un très petit groupe d’hommes connaissant toute l
92 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
111 emps qu’on vous dit cela et que vous n’avez pas d’ oreilles pour l’entendre. Cela commence en 1308, quand Pierre Dubois, légiste
93 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
112 musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’ oreille d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… S
94 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
113 rience poétique et musicale. C’est une question d’ oreille et non de preuves écrites ou de sources à vérifier, une question d’in
95 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
114 ent de la Cour suprême des États-Unis a prêté une oreille attentive au rapport des autorités locales : « Jamais, de mémoire d’h
96 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Aux origines : le Mythe et l’Épopée
115 r » et ce qu’il y corrige n’est qu’une question d’ oreille , toute subjective ; mais le lecteur des Mahabharatas, livre sacré, s’
97 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). C.J.B. l’Européen, 1891-1974 (printemps 1974)
116 anisme et latinité, et qui rend plus sensible à l’ oreille intérieure les arythmies annonciatrices d’accidents du cœur de l’Euro
98 1974, Articles divers (1974-1977). Surréalisme : un jeu qui dure depuis 50 ans (7-8 septembre 1974)
117 s sectes cathares, avec un ami. Il écoutait d’une oreille , et brusquement il s’est tourné vers nous : « Voilà, dit-il, une Égli
99 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
118 musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’ oreille d’un Oriental, c’est un bruit vague, une espèce de rumeur insensée… S
100 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
119 s passagères (tournez le bouton, bouchez-vous les oreilles ), simples images et paraboles des atteintes combien plus durables que
120 dit : Quand on se promène avec un transistor à l’ oreille , il n’est plus question de réfléchir ou de méditer en marchant. La pl
121 l’exemple de celui qui se promène transistor à l’ oreille  : certains objecteront que grâce aux ondes, tant de gens peuvent appr