1
rançaise, des débuts du xixe siècle à nos jours.
Partis
du classicisme de David et d’Ingres, les peintres français ont accomp
2
c Orlan, un Kessel ont donné de beaux exemples du
parti
que peut tirer le nouveau romantisme de ce chaos. Salmon a même tenté
3
masses du pain quotidien de la bêtise de tous les
partis
, on comprendra ce que je veux dire. Il faudrait balayer, — et mettre
4
ers noirs au Cap. Sans toucher à des questions de
partis
, avec une passion contenue d’hommes qui ont vu, qui ont souffert, et
5
on plus profonde. (Il serait aisé de montrer quel
parti
Jouve a su tirer des complexes de famille freudiens, ou d’analyses de
6
e faiblesse, c’est toujours un peu en prendre son
parti
. La sincérité crée en nous un fait accompli. J’appelle hypocrisie env
7
ain, comme on dit. Et qui sait tirer un admirable
parti
littéraire de son tempérament vif, insolent et ombrageux. « J’apparti
8
ui saura s’imposer. Léon Perrin a compris tout le
parti
qu’on pouvait tirer des principes cubistes dans un art dont la genèse
9
instant, si doucement… Je me levai sans payer, je
partis
par les rues, une joie violente commençait à m’envahir, contre laquel
10
us désarme. Craignant qu’on ne lui fît un mauvais
parti
, l’ange trouva son salut dans un subterfuge : il insinua qu’il parlai
11
rapportent rien. En effet, je ne représente aucun
parti
, aucune firme. Je ne voyage pour personne. Je ne prétends pas même pa
12
s gobeurs et des inertes, fournit des moutons aux
partis
et prédispose les citoyens suisses à prendre au sérieux les innombrab
13
lus tard socialisme, morgue bourgeoise, esprit de
parti
, arrivisme et parlementarisme. La culture de l’esprit démocratique te
14
niversitaire, prennent leur essor de chérubins du
parti
au cours de ces nombreux banquets de cercles locaux où se fondent les
15
out jamais dans les campagnes, tirant le meilleur
parti
possible de l’exercice ; car il ne manque à ce système, avouez-le, qu
16
est un degré d’intensité dans la vie, non pas un
parti
. Tout extrémiste, de droite comme de gauche, se trouve être dans une
17
rapportent rien. En effet, je ne représente aucun
parti
, aucune firme. Je ne voyage pour personne. Je ne prétends pas même pa
18
s gobeurs et des inertes, fournit des moutons aux
partis
et prédispose les citoyens suisses à prendre au sérieux les innombrab
19
s tard socialisme ou morgue bourgeoise, esprit de
parti
, arrivisme et parlementarisme. La culture de l’esprit démocratique te
20
niversitaire, prennent leur essor de chérubins du
parti
au cours de ces nombreux banquets de cercles locaux où se fondent les
21
out jamais dans les campagnes, tirant le meilleur
parti
possible de l’exercice ; car il ne manque à ce système, avouez-le, qu
22
est un degré d’intensité dans la vie, non pas un
parti
. Tout extrémiste, de droite comme de gauche, se trouve être dans une
23
ndantes des auteurs et des œuvres. Délimiter un «
parti
protestant » dans nos Lettres, n’était-ce point, d’abord, céder à la
24
iète ; non pas de ces questions ni de la prise de
parti
(antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramuz, mais bien au contrair
25
ui qui méritera la phrase de la Saison : « Pas de
partis
de salut violents. » Dès les premiers instants de son accession au mo
26
littéraires. « Bon esprit, prends garde ! Pas de
partis
de salut violents. Exerce-toi ». Objurgation que l’on croirait tirée
27
ilisable, si nous le jugeons du point de vue d’un
parti
. Il n’est pas païen, pour la raison péremptoire qu’il n’y a plus de p
28
de Goethe, s’il ne peut être un argument pour nul
parti
, ne saurait, pour les mêmes raisons, servir d’objet à notre jugement.
29
inutilisable, certes. Mais nous ne sommes d’aucun
parti
et n’avons pas à utiliser qui que ce soit. Il suffit que nous puissio
30
ample et puissante respiration purificatrice, le
parti
de la Santé, comme l’écrivait Philippe Lamour. Peu nous chaut une pur
31
crisie, refus. Qu’on trouve donc ici une prise de
parti
. Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de grandeur
32
ent du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932 le
parti
compte deux millions de membres sévèrement contrôlés. « Mais, nous di
33
de créer une unité révolutionnaire au-dessus des
partis
existants. En Angleterre (New Europe Group de A. R. Orage ; New Engli
34
de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un
parti
national-marxiste dont le rêve est de restaurer la Prusse du grand Fr
35
de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un
parti
national-marxiste dont le rêve est de restaurer la Prusse du grand Fr
36
isse qu’on voit ces déchirures. J’ai donc pris le
parti
de circuler, malgré les résistances multipliées par une époque qui se
37
lus sur quel pied danser.) Pour moi, j’ai pris le
parti
de laisser les étrangers vanter nos vertus bien connues et découvrir
38
ce, souvent, que pour motiver l’appartenance à un
parti
, ou pour se fournir d’arguments précis et « sérieux » qu’on exhibera
39
elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un
parti
de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
40
inent à porter un titre désormais irrecevable. Ce
parti
peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
41
Non pas du point de vue de la politique, car les
partis
de gauche ne prennent guère au sérieux leur intelligentsia, mais du p
42
nnel, nos révoltés préfèrent l’engagement dans un
parti
. C’est bien plus sûr et c’est moins fatigant. « Il existe une doctrin
43
camarades qui s’excitent sur les mots d’ordre du
parti
, et avec pitié les idéalistes qui parlent encore de l’esprit et de la
44
e qui l’a opposé, seul ou à peu près, au puissant
parti
des Chrétiens allemands, fraction de l’hitlérisme qui prétend faire m
45
s journaux d’opinion, dans tous les manifestes de
partis
ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, com
46
ne bien comprise serait impossible. Sans eux, les
partis
politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beauco
47
a jamais eu autant de ligues, de groupements, de
partis
et d’associations qu’aujourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord ré
48
le que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le
parti
que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fo
49
vidu n’a jamais existé qu’à l’état de définition.
Parti
[r] des conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
50
conséquences de ce qu’il écrit ». Voilà pourquoi,
parti
de recherches d’ordre poétique sur la métaphore chez Proust, Blake et
51
ses premières œuvres, et devenu l’un des chefs du
parti
catholique parmi les intellectuels allemands, Scheler rompit finaleme
52
absolue de toute appréciation, de toute prise de
parti
, — de tout acte. C’est ce qu’on pourrait appeler la vision métaphysiq
53
emiers à dénoncer la décadence bureaucratique des
partis
marxistes, et à déclarer que selon lui les « petits groupes » — qu’il
54
l’action publique. On ne connaît pas en France de
parti
protestant comparable aux nombreux groupements catholiques à fins pol
55
, que le chrétien prenne position en présence des
partis
politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse
56
présence des partis politiques. S’il rejette les
partis
pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau, prendre parti. Comme le
57
non pas sur une mystique de race, de classe ou de
parti
, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus
58
nouveauté de leur point de départ. Alors que les
partis
aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les question
59
pliqués de bien pires erreurs dans n’importe quel
parti
, aussi bien à gauche qu’à droite22. Avec cette différence qu’au sein
60
u’à droite22. Avec cette différence qu’au sein de
partis
si nombreux, sa voix n’aurait aucun effet… Dans la perspective que no
61
le : les jeunes protestants n’ont pas à fonder un
parti
. Leur foi n’est pas de celles que l’on met en systèmes. Le fût-elle,
62
ur très petit nombre les empêcherait d’imposer ce
parti
à l’ensemble de la nation. Le temps n’est pas aux rêves, et ce n’est
63
e » publiquement et en tant que chrétien, dans un
parti
parlementaire. Je crois que seul le lieu que nous avons choisi pour n
64
« Enterrez-le ! Enterrez Kagawa ! », proclame le
parti
communiste de Kobé en 1925. Et quelques années plus tard, une ligue r
65
onc renoncer à chercher dans les choses, dans les
partis
, dans l’État ou dans la nation un principe de grandeur qui n’est plus
66
n’en jamais avoir, qui est sans doute le pire des
partis
pris. La littérature romanesque décrit depuis cent ans nos mœurs et n
67
ais il y a plus. Montagnon se plaint de ce que le
parti
socialiste « meurt d’ignorance », et il s’écrie : « Avez-vous étudié
68
lement abêtis par l’école, par la presse, par les
partis
et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon le
69
ien protestant, Camille Jullian — avait adopté un
parti
tout différent, et c’est peut-être le seul reproche sérieux que je me
70
persécution des protestants ne fut pas l’œuvre du
parti
catholique français, mais bien des conseillers étrangers des rois et
71
n intellectuel hésite à s’engager. En ce temps de
partis
, de faisceaux et de fronts, opposer des doctrines, ce n’est plus fair
73
plier pour respecter en lui sa raison d’être. Les
partis
politiques ne possèdent, il est vrai, ni à gauche ni à droite, aucune
74
t-être une raison suffisante pour estimer que ces
partis
sont tous également malfaisants. Beaucoup de gens commencent à sentir
75
es écrits leur possible valeur de témoignages, de
partis
pris accidentels, plutôt que de leur imposer un style indépendant de
76
ogrammes hitlériens avec les objectifs actuels du
parti
! Entre les deux il y a eu le « triomphe », c’est-à-dire qu’Hitler s’
77
s journaux d’opinion, dans tous les manifestes de
partis
ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, com
78
ne bien comprise serait impossible. Sans eux, les
partis
politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beauco
79
a jamais eu autant de ligues, de groupements, de
partis
et d’associations qu’aujourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord ré
80
le que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le
parti
que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fo
81
, que le chrétien prenne position en présence des
partis
politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse
82
présence des partis politiques. S’il rejette les
partis
pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau prendre parti. Comme le
83
elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un
parti
de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
84
nent à porter un titre désormais irrecevable. Ce
parti
peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
85
né de « sabotage idéaliste » par les camarades du
parti
, — ou un de ces chrétiens incertains, dont justement l’incertitude a
86
ques professeurs, peut retarder la formation d’un
parti
ouvertement fasciste, et c’est très bien. Il peut aussi distraire les
87
e met fin aux luttes politiques : il supprime les
partis
et jugule la presse. L’État fasciste enfin résume et codifie officiel
88
l’authenticité n’est établie que par le décret du
Parti
, c’est à peu près le contraire de l’héroïsme personnel. L’État fascis
89
) du marxisme. Ils croient que le fascisme est le
parti
de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit
90
ent symbolisé par la substitution de l’insigne du
Parti
aux anciennes couleurs nationales. La croix gammée, le faisceau du li
91
réciser. 55. Je ne reviens pas sur l’aventure du
parti
des Deutsche Christen… À l’heure où j’écris, le schisme est imminent
92
ent du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932 le
parti
ne compte encore que deux millions de membres, sévèrement contrôlés.
93
s. Bien plus, chez un même homme, ou dans un même
parti
, on trouve des revendications contradictoires : le réactionnaire allè
94
e prévue dans un ordre nouveau. (Condamnation des
partis
, du Parlement, des moyens de propagande de masses, etc. Méfiance méth
95
proprement sociaux. Il a fait de la « gauche » un
parti
négatif, anticlérical d’abord. Il a créé dans le pays une coupure qui
96
i explique dans une large mesure l’impuissance du
parti
de gauche à penser le monde moderne et la situation concrète de la Fr
97
non pas sur une mystique de race, de classe ou de
parti
, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus
98
nouveauté de leur point de départ. Alors que les
partis
aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les question
99
lisme ou l’État, — comme si les parlements et les
partis
n’avaient jamais eu d’existence que dans la cervelle d’un fou. C’est
100
rmule critique. Elle signifie la condamnation des
partis
, plus encore : du parti, en tant que formation d’action, sur le plan
101
ifie la condamnation des partis, plus encore : du
parti
, en tant que formation d’action, sur le plan politique. D’où la conda
102
e (dans le cas le plus favorable) du programme du
parti
, des possibilités pratiques, et des risques personnels que courent le
103
et culturel, fondement sur le plan politique, des
partis
, considérés comme les organes indispensables de toute « réalisation p
104
n intellectuel hésite à s’engager. En ce temps de
partis
, de faisceaux et de fronts, opposer des doctrines, ce n’est plus fair
105
plier pour respecter en lui sa raison d’être. Les
partis
politiques ne possèdent, il est vrai, ni à gauche ni à droite, aucune
106
t-être une raison suffisante pour estimer que ces
partis
sont tous également malfaisants. Beaucoup de gens commencent à sentir
107
es écrits leur possible valeur de témoignages, de
partis
pris accidentels, plutôt que de leur imposer un style indépendant de
108
s journaux d’opinion, dans tous les manifestes de
partis
ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, com
109
ne bien comprise serait impossible. Sans eux, les
partis
politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beauco
110
a jamais eu autant de ligues, de groupements, de
partis
et d’associations qu’aujourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord ré
111
le que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le
parti
que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fo
112
, que le chrétien prenne position en présence des
partis
politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse
113
présence des partis politiques. S’il rejette les
partis
pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau prendre parti. Comme le
114
elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un
parti
de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
115
inent à porter un titre désormais irrecevable. Ce
parti
peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
116
né de « sabotage idéaliste » par les camarades du
parti
, — ou un de ces chrétiens incertains, dont justement l’incertitude a
117
ques professeurs, peut retarder la formation d’un
parti
ouvertement fasciste, et c’est très bien. Il peut aussi distraire les
118
e met fin aux luttes politiques : il supprime les
partis
et jugule la presse. L’État fasciste enfin résume et codifie officiel
119
l’authenticité n’est établie que par le décret du
Parti
, c’est à peu près le contraire de l’héroïsme personnel. L’État fascis
120
) du marxisme. Ils croient que le fascisme est le
parti
de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit
121
ent symbolisé par la substitution de l’insigne du
Parti
aux anciennes couleurs nationales. 44. Voilà sans doute la raison po
122
réciser. 48. Je ne reviens pas sur l’aventure du
parti
des Deutsche Christen… À l’heure où j’écris, le schisme est imminent
123
nt du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932, le
parti
ne compte encore que deux millions de membres, sévèrement contrôlés.
124
s. Bien plus, chez un même homme, ou dans un même
parti
, on trouve des revendications contradictoires : le réactionnaire allè
125
e prévue dans un ordre nouveau. (Condamnation des
partis
purement électoraux, des moyens de propagande de masses, etc. Méfianc
126
proprement sociaux. Il a fait de la « gauche » un
parti
négatif, anticlérical d’abord. Il a créé dans le pays une coupure qui
127
i explique dans une large mesure l’impuissance du
parti
de gauche à penser le monde moderne et la situation concrète de la Fr
128
non pas sur une mystique de race, de classe ou de
parti
, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus
129
nouveauté de leur point de départ. Alors que les
partis
aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les question
130
ères. a) Elle consiste d’abord dans la lutte des
partis
. Pour un très grand nombre de citoyens, le but à atteindre n’est pas
131
trices. Le but est d’abord de faire triompher tel
parti
dont on est membre. On tient le parti pour plus grand que le tout. Ou
132
iompher tel parti dont on est membre. On tient le
parti
pour plus grand que le tout. Ou encore : le but est simplement de mil
133
but est simplement de militer bruyamment dans le
parti
, moins par amour passionné pour son idéal que par haine des autres pa
134
passionné pour son idéal que par haine des autres
partis
, et souvent moins par haine des autres partis que par besoin d’entret
135
res partis, et souvent moins par haine des autres
partis
que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur
136
assimile volontiers la France, « la vraie », aux
partis
de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti a
137
gauche, on fait volontiers passer la fidélité au
parti
avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va b
138
me, dans l’intervalle des crises économiques, les
partis
deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les
139
Et quand tout va mal, quand la crise est là, les
partis
se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rap
140
clarations des congrès — la moderne féodalité des
partis
n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supéri
141
et que l’ancienne féodalité des grands seigneurs.
Partis
: Bastilles à démolir ! Je dis ensuite qu’un honnête homme, et, de pl
142
t, de plus, patriote, se doit de rejeter tous les
partis
. Prétendre entrer dans un parti — le moins mauvais ! — pour essayer d
143
rejeter tous les partis. Prétendre entrer dans un
parti
— le moins mauvais ! — pour essayer de le réformer ou de l’influencer
144
s canons inoffensifs : c’est l’instrument même du
parti
qui est meurtrier. b) On appelle aussi « politique » la rumeur confu
145
itique » la rumeur confuse des idéologies que les
partis
prétendent servir. Tradition républicaine conservatrice, « doctrine »
146
s du parlementarisme. Et encore moins de chefs de
partis
aveuglés par les intérêts peut-être valables, mais limités et proviso
147
aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les
partis
et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-dire qu’ils donneront e
148
nore ou répudie la loi interne : la tactique d’un
parti
, par exemple. Ce n’est pas dans l’utilisation accidentelle et partisa
149
nte. Un libéral qui se soumet aux directives d’un
parti
ne devient pas pour si peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas q
150
es philosophes libéraux — fût partiale, pleine de
partis
pris, et même politique ! 83. Je fais exception pour deux ou trois d
151
tes au congrès de Bruxelles en 1903 (fondation du
parti
bolchévique, c’est-à-dire majoritaire) ; puis à se séparer de Plekhan
152
avoir d’autre que ce que l’État, la classe, ou le
parti
dont ils dépendent les paie pour enseigner ou leur impose de savoir (
153
onne. Car la personne est choix, et donc prise de
parti
: or c’est là ce que raille l’équipe des dilettantes ; mais elle est
154
faire catholique et, mal assuré dans son nouveau
parti
, il voyait ses anciens amis l’abandonner. L’homme qui venait d’« apai
155
ordre » imposé brutalement de l’extérieur à deux
partis
, sans tenir compte des exigences spirituelles fondamentales de chacun
156
l oblige les églises réformées à se constituer en
parti
politique. D’autre part, limitant l’exercice du culte (qui ne peut êt
157
tion « étatiste », plus ou moins contrôlée par le
parti
ultramontain, et dont l’absolutisme de Louis XIV sera l’expression ac
158
prouvait à tout hasard tantôt l’un tantôt l’autre
parti
, émue par tant de conviction, quel que fut par ailleurs l’objet de la
159
ce que j’appellerai une politique chrétienne, un
parti
des chrétiens ? Telle est la première question. Et si l’on répond non
160
le, qu’un chrétien entre dans l’un ou l’autre des
partis
existants, et fasse sienne la cause de ce parti ? Ce sera la seconde
161
partis existants, et fasse sienne la cause de ce
parti
? Ce sera la seconde question. Au sujet de la politique chrétienne, p
162
non contre les ouvriers de Vienne avec l’appui du
parti
clérical, — l’histoire des politiques chrétiennes se confond séculair
163
crois pas qu’il soit souhaitable que se forme un
parti
chrétien, opposé aux autres partis. Je crois que les églises ne peuve
164
que se forme un parti chrétien, opposé aux autres
partis
. Je crois que les églises ne peuvent accomplir tout leur devoir, tout
165
hrétiens, dans la cité ? Si l’Église n’est pas un
parti
, comment et où faut-il que nous prenions parti ? Où allons-nous nous
166
stion : celle de l’adhésion à l’un ou l’autre des
partis
politiques existants. Bien entendu, je ne puis songer à passer en rev
167
e ne puis songer à passer en revue les principaux
partis
qui constituent des forces politiques et sociales dans la cité frança
168
sens, et peut-être le plus typique : l’exemple du
parti
socialiste. Protestation contre la forme actuelle du monde, prédicati
169
me. Pour ma part, je confesse volontiers qu’aucun
parti
ne m’attire davantage, et qu’aucun ne saurait m’apparaître, à premièr
170
tiens qu’il donne à toute action dans le cadre du
parti
. Mais si je refuse ce parti, c’est aussi parce qu’il est un parti, pr
171
tion dans le cadre du parti. Mais si je refuse ce
parti
, c’est aussi parce qu’il est un parti, précisément. Tout le monde fai
172
e refuse ce parti, c’est aussi parce qu’il est un
parti
, précisément. Tout le monde fait aujourd’hui le procès des partis, po
173
ent. Tout le monde fait aujourd’hui le procès des
partis
, pour des raisons assez sérieuses et valables d’opportunité politique
174
d’une minorité infime, soit en Allemagne, où les
partis
de gauche, malgré leur organisation incomparable, se virent balayés e
175
ut adresser une critique encore plus grave à tout
parti
. L’idée même de parti paraît absolument incompatible avec l’idée de v
176
ue encore plus grave à tout parti. L’idée même de
parti
paraît absolument incompatible avec l’idée de vocation. Et la réalité
177
e un mensonge parce que les intérêts immédiats du
parti
le commandent sans discussion. C’est l’homme qui délègue à la majorit
178
Et dans ce sens précis, il faut bien dire que les
partis
sont les agents les plus actifs de la démoralisation des hommes moder
179
emières conclusions : ni politique chrétienne, ni
parti
chrétien, ni parti politique. — Pourtant, il faut agir ! Pourtant, la
180
: ni politique chrétienne, ni parti chrétien, ni
parti
politique. — Pourtant, il faut agir ! Pourtant, la vocation qui nous
181
on pouvoir pour réduire le scandale social. Aucun
parti
n’existe encore dans son pays, qui se consacre à la défense des intér
182
l mot de vocation. Il n’agit pas au bénéfice d’un
parti
. Il prêche et il proteste au nom d’une foi sans cesse proclamée. C’es
183
’on transforme le monde. Ce n’est pas au nom d’un
parti
que Jérémie accusait publiquement son roi et l’obligeait à réparer se
184
t à réparer ses crimes ; ce n’est pas au nom d’un
parti
que Paul ébranle l’Empire romain, ce n’est pas au nom d’un parti que
185
ébranle l’Empire romain, ce n’est pas au nom d’un
parti
que Luther et Calvin déclenchent la plus grande révolution occidental
186
endiquées par le désir des hommes, à l’appui d’un
parti
politique. Seules, ces vocations-là ont transformé le monde, moraleme
187
es cadres simplistes ; — dénoncer la mystique des
partis
, cette tyrannie démocratique ; combattre et dénoncer cette autre tyra
188
est pas une politique chrétienne, ce n’est pas un
parti
politique. C’est un ordre, une chevalerie ! Et le principe de cet ord
189
cès même lui est subordonné. Je demande où est le
parti
qui peut en dire autant. Je demande où les chrétiens trouveraient une
190
ques, ce rappel d’une misère qu’ignorent tous les
partis
, voilà qui rend un son que nous reconnaissons. Voilà qui appelle enfi
191
deux bonnes raisons. D’abord Calvin était chef de
parti
; qui plus est, fondateur d’Église ; donc doublement conscient de la
192
les réalités immédiates ?38 Les clercs ont pris
parti
: les uns avec la foule, les autres avec Pilate. Les uns trahissant g
193
qui sont bien méchants, savent à merveille tirer
parti
contre l’esprit de la liberté qu’il leur laisse. Ils le vénèrent offi
194
ils sont en assez grand nombre pour constituer un
parti
, préparent les voies d’un fascisme culturel, de droite ou de gauche,
195
vilèges pêle-mêle, entre les mains du bureau d’un
parti
, d’un dictateur ou d’un soviet. Cela n’est pas invraisemblable : abdi
196
politique en France (octobre 1935)o 1. — Les
partis
bougent Nous n’avons guère parlé de la politique des partis, dans
197
t Nous n’avons guère parlé de la politique des
partis
, dans cette revue : c’est le sujet le plus vain, le plus stérile et l
198
ent les derniers soubresauts d’avant la mort, les
partis
se mettent à bouger. Ils se divisent, se déforment et se regroupent.
199
ançaise et du comte de Paris, la décomposition du
parti
radical, les dissidences communistes, l’apparition de formations extr
200
au sérieux par le pays. On l’a dit et redit : le
parti
radical, c’est la France. Il faut dire aujourd’hui : c’était la Franc
201
pôles de la nouvelle vie politique. La carte des
partis
parlementaires tend à recouvrir de plus en plus exactement la carte d
202
pas les leviers de l’action : c’est l’affaire du
Parti
communiste. Or, ce parti veut bien la liberté, mais d’une manière tan
203
ion : c’est l’affaire du Parti communiste. Or, ce
parti
veut bien la liberté, mais d’une manière tant soit peu différente. Il
204
ssera-t-on, chez nous, d’opposer à toute prise de
parti
bien franche le rappel revêche et stérilisant à la « complexité » des
205
C’est actuellement l’activité la plus visible du
Parti
N.-S. dans la rue. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis
206
u ». M. Léon Pierre-Quint en prend volontiers son
parti
. M. Brasillach, lui, le déplore. De son temps, les jeunes parlaient d
207
tiplier des centres de propagande au service d’un
parti
ou d’une ligue. (Nous voyons s’amorcer ce réflexe de défense depuis u
208
l, soit comme une manifestation de puissance d’un
parti
, au moins superflue. Les « élections » au Reichstag du 29 mars ne con
209
currence libre de groupes ou d’opinions : un seul
parti
présentait des candidats, et le seul ministre de l’Intérieur était en
210
« lutte électorale » revenait ainsi à la lutte du
parti
au pouvoir contre l’opposition secrète, informulée, des ennemis du ré
211
aner sur ce point, encore que certains membres du
parti
N.-S. reconnaissent qu’on a été « un peu fort » dans l’application de
212
e contre les procédés de pression utilisés par le
parti
N.-S. vient d’un malentendu sur le mot élections, lié chez nous au ré
213
oulez-vous vous faire une opinion quand il y a 46
partis
qui sollicitent vos suffrages ? C’est difficile de faire comprendre c
214
re comprendre complètement le programme d’un seul
parti
aux électeurs. Mais c’est au-dessus des forces d’un simple mortel de
215
l’opinion a été formée et disciplinée par un seul
parti
dirigé par un seul homme. » (Je simplifie à peine le raisonnement : o
216
ères. a) Elle consiste d’abord dans la lutte des
partis
. Pour un très grand nombre de citoyens, le but à atteindre n’est pas
217
trices. Le but est d’abord de faire triompher tel
parti
dont on est membre. On tient le parti pour plus grand que le tout. On
218
iompher tel parti dont on est membre. On tient le
parti
pour plus grand que le tout. On encore : le but est simplement de mil
219
but est simplement de militer bruyamment dans le
parti
, moins par amour passionné pour son idéal que par haine des autres pa
220
passionné pour son idéal que par haine des autres
partis
, et souvent moins par haine des autres partis que par besoin d’entret
221
res partis, et souvent moins par haine des autres
partis
que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur
222
ssimile volontiers [la] France, « la vraie », aux
partis
de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti a
223
gauche, on fait volontiers passer la fidélité au
parti
avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va b
224
me, dans l’intervalle des crises économiques, les
partis
deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les
225
Et quand tout va mal, quand la crise est là, les
partis
se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rap
226
larations des congrès —, la moderne féodalité des
partis
n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supéri
227
et que l’ancienne féodalité des grands seigneurs.
Partis
! Bastilles à démolir ! Je dis ensuite qu’un honnête homme, et de plu
228
politique se confond avec le jeu et la lutte des
partis
, il doit se déclarer de toutes ses forces antipolitique. b) On appel
229
itique » la rumeur confuse des idéologies que les
partis
prétendent servir. Trahison républicaine conservatrice, « doctrine »
230
, également impurs et maléfiques, des rapports de
partis
à partis, ou d’idéologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas cel
231
nt impurs et maléfiques, des rapports de partis à
partis
, ou d’idéologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas celui des in
232
s du parlementarisme. Et encore moins de chefs de
partis
aveuglés par les intérêts peut-être valables, mais limités et proviso
233
aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les
partis
et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-dire qu’ils donneront e
234
trices de ce pays. 41. Prétendre entrer dans un
parti
— le moins mauvais ! — pour essayer de le réformer ou de l’influencer
235
s canons inoffensifs : c’est l’instrument même du
parti
qui est meurtrier. 42. Le gouvernement soviétique lutte contre le di
236
nous possédons sur l’état d’esprit des membres du
Parti
communiste d’une part, sur la puissance de l’inquisition intellectuel
237
ntellectuelle, morale et policière exercée par ce
Parti
d’autre part, nous permettent d’affirmer que, de gré ou de force, le
238
appel permanent des fins dernières conçues par le
Parti
: l’établissement dans cent ans ou mille ans d’un paradis universel.
239
ervateur étranger que je suis, mais aux chefs des
partis
dictatoriaux eux-mêmes. De là toute la passion avec laquelle ils parl
240
la misère et le chômage, nous avons supprimé les
partis
et leurs luttes épuisantes et stériles. Le corps social était malade,
241
norent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni
partis
, ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession,
242
t du syndicalisme, et qu’il fut l’un des chefs du
parti
socialiste. On sait aussi quelles influences déterminantes exercèrent
243
vérité, les deux termes dont se compose le nom du
parti
hitlérien n’ont rien d’antinomique. Ils sont exactement complémentair
244
en montré M. André Siegfried dans son Tableau des
partis
en France. 54. Qui pourra nous expliquer en quoi la « nationalisatio
245
cles. Ils n’ont plus le même sens pour les divers
partis
intellectuels — c’est plus nouveau. Mais surtout, ils n’ont plus un s
246
s, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le
parti
de l’esprit et les autres celui de l’ordre, les uns le parti de la ré
247
esprit et les autres celui de l’ordre, les uns le
parti
de la révolution, les autres celui de la patrie… Les uns voudraient l
248
s la pratique, et pourraient définir utilement le
parti
, si seulement chacun de ces mots avait le même sens pour tout le mond
249
etc. D’où l’embrouillamini de la politique et des
partis
, et la confusion meurtrière de termes dangereusement chargés de passi
250
nal-socialisme, il n’est pas rare qu’un membre du
parti
d’Hitler réponde : « Vous êtes bien mal venu à critiquer ce qui se fa
251
ctionnaires, qui font passer les intérêts de leur
parti
ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son « honneur ».
252
mmun, des haines communes, et pour cela fonder un
parti
unitaire qui s’appuiera sur une mystique renouvelée du pangermanisme.
253
obéissance à une nouvelle vocation créatrice.
Parti
pris de ce livre Cette mise au point me paraît nécessaire pour sit
254
et capitalistes, ou encore ceux qui n’ont d’autre
parti
que celui de leurs intérêts. Mais la reconnaissance de cet unique lie
255
cles. Ils n’ont plus le même sens pour les divers
partis
intellectuels — c’est plus nouveau. Mais surtout, ils n’ont plus un s
256
s, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le
parti
de l’esprit et les autres celui de l’ordre, les uns le parti de la ré
257
esprit et les autres celui de l’ordre, les uns le
parti
de la révolution, les autres celui de la patrie… Les uns voudraient l
258
la pratique, et pourraient définir utilement les
partis
, si seulement chacun de ces mots avait le même sens pour tout le mond
259
etc. D’où l’embrouillamini de la politique et des
partis
, et la confusion meurtrière de termes dangereusement chargés de passi
260
nous possédons sur l’état d’esprit des membres du
Parti
communiste d’une part, sur la puissance de l’inquisition intellectuel
261
ntellectuelle, morale et policière exercée par ce
Parti
, d’autre part, nous permettent d’affirmer que, de gré ou de force, le
262
appel permanent des fins dernières conçues par le
Parti
: l’établissement dans cent ans ou mille ans d’un paradis universel.
263
lecteurs, et de donner de nouveaux arguments aux
partis
de gauche ou de droite. Or s’il est vrai que les Soviets avaient en 1
264
a d’où qu’elle vienne et quoi qu’elle veuille. Le
parti
national-socialiste ne se trouvait pas devant une masse informe et ar
265
ant une masse informe et arriérée, mais devant 46
partis
organisés, une économie très complexe et très malade, un territoire s
266
e qu’Hitler a compris cela qu’il a battu tous les
partis
adverses, et sept millions d’électeurs communistes. Il a compris que
267
es de luttes civiles que fut le régime de Weimar.
Partis
, régions, classes, générations, ville et campagne, Université et peup
268
mune nulle part. Hitler parut et dit : Je suis le
Parti
, je suis le Pays, je suis le Peuple, je suis à la fois le porteur des
269
cial et politique nouveau. » — « Le Führer est le
Parti
, le Parti est le Führer. » — « Parti et État sont une seule et même c
270
litique nouveau. » — « Le Führer est le Parti, le
Parti
est le Führer. » — « Parti et État sont une seule et même chose. » —
271
ührer est le Parti, le Parti est le Führer. » — «
Parti
et État sont une seule et même chose. » — « Hitler est l’Allemagne, l
272
-racial — populaire — unifié — comprenant un seul
parti
». En outre « le parti, le peuple et l’empire sont gouvernés et admin
273
nifié — comprenant un seul parti ». En outre « le
parti
, le peuple et l’empire sont gouvernés et administrés selon le princip
274
supportables. Il en résulta tout d’abord, pour le
parti
régnant, l’obligation de proclamer la primauté pratique de l’économie
275
tariat, c’est-à-dire, concrètement, au service du
Parti
, qui selon la parole du Führer est « la volonté organisée de la natio
276
ntrer que d’autant plus l’individu se sacrifie au
Parti
, d’autant plus il acquiert de valeur personnelle. (Caricature politiq
277
de ces deux « réalités » que les doctrinaires du
Parti
auront su faire admettre comme « scientifique ». Valeur du travail
278
ielle l’incompréhension artistique des membres du
Parti
, ou certaines rancunes personnelles. Le moralisme le plus agressif tr
279
du prolétariat tels qu’ils sont, mais tels que le
Parti
les définit. Attitude philosophique et religieuse. — Il n’est plus
280
position à tout au-delà transcendant. Bien que le
parti
national-socialiste prétende imposer à ses membres la dénomination de
281
des Cultes !) et bien qu’il attaque violemment le
parti
soviétique des sans-Dieu, on ne saurait nier que le Dieu qu’il sert e
282
entendez hors des tâches immédiates qu’impose le
Parti
. 46. Un moins à prolétariat et à territoire surpeuplé (la France es
283
plus à sens civique, se traduisant par un moins à
partis
organisés. 47. À preuve l’échec pratique de l’Action française, qui
284
bins. Et tout le reste est nationalisme. C’est le
parti
radical qui est national. Il l’est si bien qu’il n’a plus même l’idée
285
senberg a beau dire que les dix premiers pas d’un
parti
comme le sien décident de tout son avenir : l’exemple du récent chang
286
ervateur étranger que je suis, mais aux chefs des
partis
dictatoriaux eux-mêmes. De là toute la passion avec laquelle ils parl
287
s professoral accueille-t-elle les injonctions du
Parti
avec une passivité qui est la forme d’opposition la plus aiguë que to
288
la misère et le chômage, nous avons supprimé les
partis
et leurs luttes épuisantes et stériles. Le corps social était malade,
289
« producteur » ou pour « l’Allemand » tels qu’un
parti
les définit, mais non pas pour l’homme total. Elles sont des mesures
290
sent d’un seul mot : le Plan, ou le Führer, ou le
Parti
. Or, tout le monde sent et sait très bien que ce mot n’est pas le der
291
er mot de notre vocation humaine. Ce qui est d’un
parti
est partiel. Ce qui est partiel n’a pas le droit de se vouloir totali
292
norent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni
partis
, ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession,
293
insi couramment du « choix » d’une carrière, d’un
parti
politique ou d’une épouse. Et c’est ainsi que se compose l’éthique de
294
de. Où sont les responsables ? Ce ne sont pas des
partis
, ce ne sont pas des classes, ni des gouvernements et autres mythes co
295
l’incarnation d’une idée ! Il faut en prendre son
parti
: cet écrit n’apportera rien qui nourrisse les haut-parleurs. Mais si
296
gauche utilisent les mêmes formations de combat,
partis
ou ligues, les mêmes tactiques, la même démagogie, au service de doct
297
groupe, le faisceau, la troupe d’assaut, puis le
Parti
ou la nation organisée. On l’oppose à la masse anonyme, tout autant q
298
té profonde de la Nation, à la réalité précise du
Parti
. Nous n’avons pas à « corriger » de tels faits ou de telles religions
299
par ce centre (par exemple, par l’État, ou par le
Parti
). Elle est le rayonnement de l’acte qui unit deux hommes par un lien
300
nt, acheter un poste de radio, s’inscrire dans un
parti
, parler, se taire, payer l’impôt ou frauder le fisc, fonder une banqu