1
funèbre, adieu à la guerre et aux jeux, avant de
partir
pour de nouvelles conquêtes. Terriblement lucide, ce regard en arrièr
2
ns un coin du tableau des ruades, des chevaux qui
partent
tout droit, la tête dressée, des vachettes qui se mordillent et se fr
3
bien j’aurais juste le temps de le noter avant de
partir
. Ou bien je me mettrai à l’analyser plus longuement. Mais alors je le
4
i de ta lèvre, un peu sceptique, quand mon esprit
partait
dans le rêve d’un idéal de fortune, idole naïve de ma jeune angoisse…
5
parade — et l’on gagna. Enthousiasmé, « Mimosa »
partit
pour la Riviera afin de négocier la vente de cette martingale avec de
6
is un mot d’adieu à ma maîtresse d’une nuit et je
partais
dans une direction quelconque. Il advint que ce fut celle de l’Italie
7
)am Quand vous avez fermé ce petit livre, vous
partez
en chantonnant le titre sur un air sentimental, bien décidé au fond,
8
table cette rose qui s’effeuilla sur les dés, et
partit
d’un long rire. Elle me regardait et l’étranger aussi se mit à me reg
9
cela, préparer le terrain. D’autre part, il faut
partir
de ce qui est. Mais comment retourner contre l’ennemi ses propres bat
10
cela, préparer le terrain. D’autre part, il faut
partir
de ce qui est. Mais comment retourner contre l’ennemi ses propres bat
11
gent leurs douceurs. Tiens moi bien nous allons
partir
l’air s’entrouvre un feu rose éclôt voici ton heure au regard le plus
12
st rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on
est parti
. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouv
13
a nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ;
partir
en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement continu, martel
14
près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi,
pars
, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
15
ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et
partir
en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne… Déjà je suis repr
16
ont revêtu cet air inaccoutumé qui signale que tu
es parti
. Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d
17
eul instant — nos rêves sont instantanés — que tu
es parti
; et maintenant tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des main
18
ce courage léger. Le moralisme nous trahit
Partons
du cas concret de nos trois auteurs. Le problème, à vrai dire, les dé
19
seau pointu sur leurs épaules naguère divines. Je
pars
à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de g
20
qui s’ouvre ramène le bal dans mes déserts. (Elle
est partie
. — Des rires en cape de velours s’enfuient vers les jardins.) Qu’il y
21
st rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on
est parti
. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouv
22
a nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ;
partir
en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement continu, martel
23
près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi,
pars
, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
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ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et
partir
en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne, et les petites ge
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ont revêtu cet air inaccoutumé qui signale que tu
es parti
. Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d
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eul instant — nos rêves sont instantanés — que tu
es parti
; et maintenant tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des main
27
sacré à l’inspection des terres. Chaque jour nous
partons
en break à deux chevaux, pour l’un des onze villages du burgraviat. P
28
seau pointu sur leurs épaules naguère divines. Je
pars
à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de g
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qui s’ouvre ramène le bal dans mes déserts. (Elle
est partie
. — Des rires en cape de velours s’enfuient vers les jardins.) Qu’il y
30
st rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on
est parti
. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je crois y trouv
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a nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ;
partir
en martelant le parquet jusqu’à produire un roulement continu, martel
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près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi,
pars
, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
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ce désir, comme un tendre souvenir de voyage, et
partir
en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne, et les petites ge
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ont revêtu cet air inaccoutumé qui signale que tu
es parti
. Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d
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eul instant — nos rêves sont instantanés — que tu
es parti
; et maintenant tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des main
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sacré à l’inspection des terres. Chaque jour nous
partons
en break à deux chevaux, pour l’un des onze villages du burgraviat. P
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27 mars 1946 Entre les deux mondes. — L’avion
partira
dans trois jours. Déjà par l’imagination, j’habite l’Europe. Je circu
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t que nous ferons à rebours en trois heures. Nous
sommes partis
tout au début de la matinée. Voici déjà l’après-midi, voici le soir,
39
« ministres du saint Évangile » et deux juges. À
partir
du xviie siècle, les généalogies que j’ai pu consulter ne mentionnen
40
uffirait de renverser la mode, et de statuer qu’à
partir
d’aujourd’hui l’on va se moquer doucement de ceux qui parlent mal, au
41
informe, voilà qui ne scandalise les masses qu’à
partir
du jour où elles constatent que « ça ne rend plus ». Et pour cette se
42
as d’autre sens pour nous. Bourgeois et marxistes
partent
de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté
43
nt de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous
partons
de la liberté du risque, — perdre sa vie. Cette opposition est tellem
44
e relative du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils
partent
donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir
45
la fameuse législation du travail (c’est-à-dire à
partir
du travail), sinon toutefois l’organisation des loisirs, qui lui sera
46
i l’on ne part pas tout de suite de l’acte, on ne
partira
jamais. Tel est le ressort de la révolution de L’Ordre nouveau. D’une
47
alisé certains de nos adversaires, qui prétendent
partir
des faits concrets et matériels. L’un d’entre eux revendiquait récemm
48
s héros de Pierre Girard sont de doux ahuris, qui
partent
dans la vie avec une conscience pure et des gants beurre-frais. Ils n
49
qu’un point de départ soit juste. Il faut encore
partir
, — sinon le point de départ se transforme en un simple point de vue,
50
ent beaucoup et vont où l’Esprit les appelle. Ils
partent
bien souvent sans autre raison que la certitude qui leur vient de pou
51
eul souci est d’être, le plus fidèlement. C’est à
partir
d’elle seule qu’un art original se développera naturellement en un ar
52
ouvent un de leurs compagnons du début, celui qui
était parti
pour le Venezuela, et qui a subi, lui aussi, des emprisonnements, le
53
hrase : « La véritable culture ne s’acquiert qu’à
partir
du moment où l’homme entre en contact avec les réalités. C’est pourqu
54
i arrive avec son violon. Dresse-toi, viens, nous
partons
dans le vaste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma maison, c
55
l’histoire, le fait extrême, le concretissimum à
partir
duquel nous puissions penser activement la personne, c’est-à-dire réd
56
hisons de la personne, n’existent réellement qu’à
partir
du moment où l’homme n’existe plus en tant que tel. Que l’homme s’aff
57
ce que le bien de l’ensemble ne peut exister qu’à
partir
du bien de chaque personne. Le bien de l’ensemble est comme une exten
58
ire était l’homme véritable, et duquel il fallait
partir
pour aboutir, dans quelques siècles peut-être, à un homme nouveau cap
59
ctrine marxiste cohérente. Force nous est donc de
partir
du marxisme « moyen », théorique et vulgarisé, celui précisément que
60
vidu n’a jamais existé qu’à l’état de définition.
Partir
des conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des con
61
ce du but.) Supposez maintenant qu’on vous dise :
partez
pour une course qui n’aura pas de fin, puisque vous devrez marcher ju
62
ant — celui qui ne croit pas au but — refusera de
partir
, ou tentera de se suicider. Le croyant au contraire trouvera des forc
63
force efficace n’est plus celle des fusils — qui
partent
tout seuls et dans tous les sens — mais celle d’un regard précis, d’u
64
informe, voilà qui ne scandalise les masses qu’à
partir
du jour où elles constatent que « ça ne rend plus ». Et pour cette se
65
s d’autre sens pour nous. Bourgeois et marxistes
partent
de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté
66
nt de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous
partons
de la liberté du risque, — c’est peut-être perdre sa vie. Cette oppos
67
e relative du communisme et du capitalisme. ⁂ Ils
partent
donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir
68
la fameuse législation du travail (c’est-à-dire à
partir
du travail), sinon toutefois l’organisation des loisirs, qui lui sera
69
qu’un point de départ soit juste. Il faut encore
partir
, — sinon le point de départ se transforme en un simple point de vue,
70
ou mieux — car ce terme même suppose un centre à
partir
duquel s’opérerait la dépression du pouvoir, opération fort improbabl
71
hisons de la personne, n’existent réellement qu’à
partir
du moment où l’homme n’existe plus en tant que tel. Que l’homme s’aff
72
ce que le bien de l’ensemble ne peut exister qu’à
partir
du bien de chaque personne. Le bien de l’ensemble est comme une exten
73
ire était l’homme véritable, et duquel il fallait
partir
pour aboutir, dans quelques siècles peut-être, à un homme nouveau cap
74
comme il l’a dit lui-même. Force nous est donc de
partir
du marxisme « moyen », théorique et vulgarisé, celui précisément que
75
vidu n’a jamais existé qu’à l’état de définition.
Partir
des conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des con
76
ce du but.) Supposez maintenant qu’on vous dise :
partez
pour une course qui n’aura pas de fin, puisque vous devrez marcher ju
77
ant — celui qui ne croit pas au but — refusera de
partir
, ou tentera de se suicider. Le croyant, au contraire, trouvera des fo
78
force efficace n’est plus celle des fusils — qui
partent
tout seuls et dans tous les sens — mais celle d’un regard précis, d’u
79
informe, voilà qui ne scandalise les masses qu’à
partir
du jour où elles constatent que « ça ne rend plus ». Et pour cette se
80
d’autre sens pour nous. Bourgeois et marxistes
partent
de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté
81
nt de la nécessité du gain, — gagner sa vie. Nous
partons
de la liberté du risque, — c’est peut-être perdre sa vie. Cette oppos
82
ute relative du communisme et du capitalisme. Ils
partent
donc de la nécessité. Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir
83
qu’un point de départ soit juste. Il faut encore
partir
, — sinon le point de départ se transforme en un simple point de vue,
84
ne contrainte ou de quelque plan étatique, mais à
partir
d’une commune mesure et pour des fins dernières identiques. 4. — L’
85
rd, en effet, qui, cinquante ans avant Nietzsche,
partait
en guerre contre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et dénonç
86
sayer autre chose, d’essayer au moins une fois de
partir
d’un fondement vrai, d’une vision vraie de l’homme et de l’État, de r
87
. J’apporte, moi aussi, quelques seaux. Puis vous
partez
écrire dans les bois, et moi taper à la machine. À déjeuner, vous me
88
presque. Enfin nos montures sont sellées et nous
partons
chercher le lait, mais vous êtes blême et fatigué. Un trait qui manq
89
tte petite phrase du récit de Brett : « Puis vous
partez
écrire dans les bois. » On allait oublier l’écrivain. Il est là, ados
90
⁂ Résumons les données de ce drame. Le communisme
est parti
d’un principe qu’il tirait logiquement de Marx, et dont il entendait
91
l fallait enregistrer cette démission. Il fallait
partir
d’autre chose que de l’individu : de l’État, de la classe ou de la ra
92
iginal, influencé, etc., tout cela n’importe qu’à
partir
des réponses que l’on donne au problème éternel : où sommes-nous, d’o
93
J’ai dit que tout problème réel se pose à nous à
partir
du moment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la nation, le trav
94
de beauté. (Philosophes, savants et artistes.) À
partir
du xixe siècle, on voit paraître des génies d’une espèce toute diffé
95
⁂ Résumons les données de ce drame. Le communisme
est parti
d’un principe qu’il tirait logiquement de Marx, et dont il entendait
96
l fallait enregistrer cette démission. Il fallait
partir
d’autre chose que de l’individu : de l’état, de la classe ou de la ra
97
uelles, la conclusion précise en vue de quoi nous
sommes partis
. 52. Politique de la personne, chap. III : « Précédence ou primau
98
ent vers une communauté solide et libérale ? ⁂ Je
pars
d’une image, d’un geste, d’une espèce de métaphore, dont j’éprouve to
99
que doit-on faire de son moteur ? » Mais nous ne
partons
pas pour plaisanter avec les bons esprits. Qu’est-ce en effet qu’un e
100
ens précis et décisif de l’expression. Si nous ne
partons
pas, dès nos premières démarches, d’une définition concrète des mots
101
vers elle. C’est donc de cette situation que nous
partons
. C’est parce qu’elle existe autour de nous, et nous en elle sans trop
102
en création. Voilà la grande opposition d’où nous
partons
. Il ne suffit pas de la poser. Il faut en exprimer successivement tou
103
n entre mot et idée est sa conséquence immédiate.
Partons
de cette distinction comme d’un fait, mais d’un fait à détruire aussi
104
t son élan dans une vision. Certes, penser, c’est
partir
d’où l’on est pour aller où l’on voit qu’il faudrait être. Mais si je
105
l faudrait être. Mais si je dis que penser, c’est
partir
de la fin, c’est que l’appel vient en réalité de la fin95. L’imaginat
106
truit l’acte, mais l’acte est juge du temps. ⁂ Je
suis parti
d’une considération très générale de notre désordre universel. J’en a
107
L’Acte comme point de départ (1936-1937)a Nous
partons
de l’impression qu’il existe, entre certains systèmes qu’on a coutume
108
tout. 2° Si on ne part pas tout de suite, on ne
partira
jamais. Le jeu des mots traduit ici le jeu des faits. Impossible de p
109
ra nécessairement des mots tels que « départ », «
partir
» et « tout de suite ». Tout discours sur l’acte manifestera ce troub
110
éliminer ou à la disqualifier. À moins qu’il n’en
parte
, comme de la réalité centrale, impensable et qui permet de penser. No
111
J’ai dit que tout problème réel se pose à nous à
partir
du moment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la nation, le trav
112
de beauté. (Philosophes, savants et artistes.) À
partir
du xixe siècle, on voit paraître des génies d’une espèce toute diffé
113
⁂ Résumons les données de ce drame. Le communisme
est parti
d’un principe qu’il tirait logiquement de Marx, et dont il entendait
114
l fallait enregistrer cette démission. Il fallait
partir
d’autre chose que de l’individu : de l’État, de la classe ou de la ra
115
uelles, la conclusion précise en vue de quoi nous
sommes partis
. 53. Cf. Politique de la personne, chap. iii : « Précédence ou prim
116
ent vers une communauté solide et libérale ? ⁂ Je
pars
d’une image, d’un geste, d’une espèce de métaphore, dont j’éprouve to
117
que doit-on faire de son moteur ? » Mais nous ne
partons
pas pour plaisanter avec les bons esprits. Qu’est-ce en effet qu’un e
118
ens précis et décisif de l’expression. Si nous ne
partons
pas, dès nos premières démarches, d’une définition concrète des mots
119
ers elle. C’est donc de cette situation que nous
partons
. C’est parce qu’elle existe autour de nous, et nous en elle sans trop
120
en création. Voilà la grande opposition d’où nous
partons
. Il ne suffit pas de la poser. Il faut en exprimer successivement tou
121
n entre mot et idée est sa conséquence immédiate.
Partons
de cette distinction comme d’un fait, mais d’un fait à détruire aussi
122
t son élan dans une vision. Certes, penser, c’est
partir
d’où l’on est pour aller où l’on voit qu’il faudrait être. Mais si je
123
l faudrait être. Mais si je dis que penser, c’est
partir
de la fin, c’est que l’appel vient en réalité de la fin98. L’imaginat
124
truit l’acte, mais l’acte est juge du temps. ⁂ Je
suis parti
d’une considération très générale de l’actuel désordre universel. J’e
125
ommerçants et des fermiers de services publics. À
partir
du iie siècle, les « chevaliers » (ou bourgeois) font des fortunes é
126
aut les refaire aux dépens des peuples vaincus. À
partir
du iie siècle, les conquêtes extérieures n’ont plus d’autres causes.
127
à la propriété mobilière, elle se forme surtout à
partir
des adjudications publiques ou à l’abri des charges administratives,
128
ives d’Esprit, et même de L’Ordre nouveau (lequel
était parti
bien plutôt de Proudhon)44. En bref, le sens du livre est celui-ci :
129
brent tous ensemble : c’est bien d’ici qu’il faut
partir
! Chaque journée verra désormais le départ — tout au moins — d’une no
130
agination. Et pourtant il suffit de bien peu pour
partir
: la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que
131
ire. Sa cordialité demeure digne, trait notable à
partir
des Cévennes. Mais bavarde ! De gré ou de force, c’est certain, nous
132
ons et les dessus de cheminée. Après-demain, nous
partons
. Nous fuyons. 27. Monsieur X… « orateur distingué », disait la conv
133
ie la plus sanglante. La politique ne doit jamais
partir
de la réalité irrationnelle de l’homme : d’ailleurs elle ne le pourra
134
lusieurs reprises que la politique idéale devrait
partir
de la personne. Elle doit tenir compte de la personne, et finalement
135
l’extérieur. Une politique saine ne saurait donc
partir
de la personne, mais au contraire de l’impersonnel, pour se diriger c
136
s gens en deuil ! » — Mais, monsieur Simard… — Il
est parti
. Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne pe
137
geoises. Tout cela s’est dissous quand les hommes
sont partis
pour la guerre, et rien ne s’est refait depuis. Quand on veut danser,
138
agination. Et pourtant il suffit de bien peu pour
partir
: la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que
139
obus pour arrêter le courrier. L’autobus vient de
partir
. Il faut téléphoner au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac pos
140
s. Or, c’est mon métier d’en poser… Il vaut mieux
partir
quand on en est là. Quand on en est à ne plus voir le prochain, la si
141
bourgeois ne l’imaginent : ceux qui voudraient «
partir
», se « libérer » et qui reculent pourtant devant le saut. Peut-être
142
obus pour arrêter le courrier. L’autobus vient de
partir
. Il faut téléphoner au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac pos
143
elle nouveauté ? Ou encore pour créer tout cela à
partir
des formes existantes ? Il ne s’agit pas pour nous de « révolutionner
144
que le bourgeois craintif prête à ce terme. Nous
partons
, dans ce pays, d’un certain nombre de structures politiques et morale
145
aller au travail, et toi tu iras à la pêche. Ils
partent
pour le marais, vont tirer le sel, font ce qu’ils avaient à faire. Mo
146
hapitre48, et à chaque fois le coup est bon. Vous
partez
en pleine convention romantique, populaire carte postale. Mais voici
147
agination. Et pourtant il suffit de bien peu pour
partir
: la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que
148
obus pour arrêter le courrier. L’autobus vient de
partir
. Il faut téléphoner au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac pos
149
idé à renouveler ma tentative, dans un mois. Nous
sommes partis
ce matin à 5 heures, par l’autobus, ou « hustubuse » comme l’appellen
150
geoises. Tout cela s’est dissous quand les hommes
sont partis
pour la guerre, et rien ne s’est refait depuis. Quand on veut danser
151
aller au travail, et toi tu iras à la pêche. Ils
partent
pour le marais, vont tirer le sel, font ce qu’ils avaient à faire. Mo
152
de buts communs surtout, je pense… Il vaut mieux
partir
quand on en est là. Quand on en est à ne plus voir le voisin, la situ
153
bourgeois ne l’imaginent : ceux qui voudraient «
partir
», se « libérer » et qui reculent pourtant devant le saut. Peut-être
154
ire. Sa cordialité demeure digne, trait notable à
partir
des Cévennes. Mais bavarde ! De gré ou de force, c’est certain, nous
155
ons, qui est la vie du très grand nombre. Il faut
partir
d’ici, du niveau le plus bas, du canevas brut et plein de trous de l’
156
ie la plus sanglante. La politique ne doit jamais
partir
de la réalité irrationnelle de l’homme : d’ailleurs elle ne le pourra
157
lusieurs reprises que la politique idéale devrait
partir
de la personne. Elle doit tenir compte de la personne, et finalement
158
l’extérieur. Une politique saine ne saurait donc
partir
de la personne, mais au contraire de l’impersonnel, pour se diriger c
159
des gens en deuil ! — Mais Monsieur Simard… — Il
est parti
. Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne pe
160
ons et les dessus de cheminée. Après-demain, nous
partons
. Nous fuyons. 9. Descartes, Spinoza, Hegel. 10. L’équivalent de l
161
le capitalisme à des attitudes religieuses, d’où
serait partie
l’impulsion, attitudes analogues en ceci tout au moins qu’elles mette
162
de peu de portée). Au lendemain de sa rupture, il
partit
pour Berlin où il désirait suivre les cours de Schelling. Il y demeur
163
les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit
partir
pour un Schulungslager (camp d’éducation sociale). Ça ne l’enchante p
164
gue et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à
partir
du xiie siècle, celui qui commet l’adultère devienne soudain un pers
165
, de l’intégrer dans l’existence communautaire. À
partir
du xviiie siècle, le thème du « Coucher de la mariée » n’est plus qu
166
veloppée dans notre histoire et nos cultures qu’à
partir
des xiie et xiiie siècles, et par l’impulsion décisive de l’hérésie
167
d’un ouvrage intitulé L’Amour et l’Occident . Je
partais
d’une réflexion passionnée sur le mythe de la passion, la légende de
168
les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit
partir
pour un Schulungslager (camp d’éducation sociale). Ça ne l’enchante p
169
(c’est très simple : ils ne peuvent ni rester ni
partir
), il en vient à me parler non sans une vive nostalgie de l’œuvre de r
170
meilleur. S’il est vrai que d’abord, il s’agit de
partir
de l’homme réel (ce que ne peuvent faire les meneurs de masses), il n
171
y était considérée comme une maladie ou folie. À
partir
du xiie siècle, sous l’influence de la mystique cathare et de la poé
172
sance des figures puis des solides géométriques à
partir
du point originel. Mais qui oserait encore envisager l’ambition d’un