1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 oignaient de ces mêmes qualités : car la façon de peindre correspond à la façon de penser du peintre. Souhaitons d’entendre enc
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
2 h fut une proie du génie. L’homme tel que nous le peint Paul Colin, est peu intéressant. On en a connu bien d’autres de ces j
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
3 un héros de Mauriac. C’est un « homme seul » qu’a peint « par le dedans » M. Jean Prévost, en un saisissant raccourci psychol
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 incurable. Ces jeunes gens n’en finissent pas de peindre leur déséquilibre. Il serait temps de faire la critique des méthodes
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
5 eil rouge sa douleur. Les bœufs blancs, les roues peintes du char, l’Italie des poètes… Mais ce pays tout entier pâmé dans une
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
6 e on fait dans Proust, si les passions qu’il nous peint sont ici tant soit peu russes, et là, gidiennes. Il se connaît assez
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
7 léger, spirituel, fantaisiste (cette touche pour peindre un personnage épisodique : « Il confondait la rose et la pivoine, l’o
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 riva de Genève il y a de cela cinq ou six ans. Il peignait alors des natures mortes, de petits paysages, il dessinait des nus au
9 actus qui ornaient les fenêtres, dans une chambre peinte en bleu vif et ornée de surprenants batiks, il s’est livré pendant qu
10 te quand du haut de San Miniato ou de Fiesole, il peint Florence avec des roses et des jaunes jamais mièvres, sous l’œil méfi
11 annonce le bulletin. Tiens, me dis-je, Bouvier va peindre . Comme peintre religieux, il se cherche encore. On a pourtant l’impre
12 chef d’une école du gris-noir neurasthénique. Il peignait des natures mortes qui décidément l’étaient, à faire froid dans le do
13 core chez un Aurèle Barraud. Il suffit de le voir peint par lui-même pour s’en assurer. La tête large, aux yeux clairs et ass
14 s’y reflèteront soient aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle, le soir, à la lampe, en compagnie de sa femme (elle peint
15 soir, à la lampe, en compagnie de sa femme (elle peint aussi, d’un œil regardant le sujet, de l’autre ce qu’en fait son mari
9 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
16 mit à discourir. Et dans mon ivresse, ses paroles peignaient des tableaux mouvants où je me voyais figurer comme une sorte de « pe
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
17 couvre une secrète parenté de l’âme. Kikou Yamata peint la Suisse avec un pinceau « fait du poil de novembre des chamois ». O
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
18 e. Cet air de famille qu’ont tous les personnages peints par Rembrandt, et qui permet de les identifier au premier coup d’œil,
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
19 la mesure certaine. Au cours d’un livre où il se peint , aux prises avec toutes les formes du mal, jamais vous ne surprendrez
13 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
20 ue, qui consistait à dire : comme elles sont bien peintes  ! (ou mal). — Pauvre type ! Peut-être aurai-je pourtant la force d’av
14 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
21 e immobile, élargie en un lac sinueux. Un paysage peint à l’aquarelle. Le château, salmigondis de styles, résume, si l’on peu
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
22 e immobile, élargie en un lac sinueux. Un paysage peint à l’aquarelle. Le château, salmigondis de styles, résume, si l’on peu
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
23 ù l’on naît à l’amour. Un portrait de notre pays, peint de là-haut, ne ressemblerait guère à mes esquisses. Au lieu de la lum
17 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
24 a Chine fait appeler auprès de lui son peintre. «  Peins -moi sur ce rouleau un crabe ». — « Il me faut vingt ans », dit le pei
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
25 l’absurdité tragique évoque ce combat d’aveugles peint par un primitif flamand. L’humanité pâtit à tous les coups, soit que
19 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
26 n sauveur ! Voici notre erreur perpétuelle : nous peignons notre état un peu plus noir qu’il n’est, afin d’éclairer par contrast
20 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
27 et ce sont elles qui provoquent les désordres et peignent en rouge la révolution. La révolution est créatrice. Mais elle ne cré
21 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
28 a Chine fait appeler auprès de lui son peintre. «  Peins -moi sur ce rouleau un crabe. » — « Il me faut vingt ans », dit le pei
22 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
29 et ce sont elles qui provoquent les désordres et peignent en rouge la révolution. La révolution est créatrice. Mais elle ne cré
23 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
30 a Chine fait appeler auprès de lui son peintre. «  Peins -moi sur ce rouleau un crabe. » — « Il me faut vingt ans », dit le pei
24 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
31 rammergau ! 19. C’est le rôle que joue la parole peinte par Grünewald à côté du Jean-Baptiste de la Crucifixion d’Issenheim :
25 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
32 es. C’est cette vision de vous ainsi qui m’a fait peindre ces planchers, des années plus tard, pour que vous n’ayez plus jamais
26 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
33 e ; tous les mots qu’on écrit, les tableaux qu’on peint , les statues qu’on taille dans la pierre ou qu’on coule en bronze, — 
27 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
34 arce que les siens sont tels. Ainsi les portraits peints par un Rembrandt sont bien davantage pour nous une description du reg
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
35 arce que les siens sont tels. Ainsi les portraits peints par un Rembrandt sont bien davantage pour nous une description du reg
29 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
36 férence à A… … Grande salle de la mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une table et trois chaises sur la scène surélevée. Env
30 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
37 nt vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volet
31 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
38 nt vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volet
39 lques pages de ce livre. Dans ces pages, l’auteur peint notamment le milieu où il s’est retiré, une petite île vendéenne. »
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
40 agunes et les marais, pointent de grands clochers peints de blanc jusqu’à mi-hauteur, et de noir au-dessus, repères pour les n
41 e blanchie, où les volets d’un bleu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est une maison simplette, telle qu’en dessinent les
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
42 nt vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volet
43 férence à A. — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une table et trois chaises sur la scène surélevée. Env
34 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
44 ombrable et écœurante littérature romanesque nous peint ce type du mari qui redoute la « platitude », le train-train des lien
35 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
45 rmoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible — c’est à peine si je trouve une place assise.
36 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
46 décoration de la tente au premier acte, le lierre peint sur les murailles du burg au deuxième) ! Il faudrait un décor simplif
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
47 ombrable et écœurante littérature romanesque nous peint ce type du mari qui redoute la « platitude », le train-train des lien
38 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
48 r la « vision des épées », que Nicolas avait fait peindre au mur de sa cellule. Luther l’interprétait comme une prophétie contr
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
49 décoration de la tente au premier acte, le lierre peint sur les murailles du burg au deuxième !) Il faudrait un décor simplif
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
50 ombrable et écœurante littérature romanesque nous peint ce type du mari qui redoute la « platitude », le train-train des lien
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
51 décoration de la tente au premier acte, le lierre peint sur les murailles du burg au deuxième !). Il faudrait un décor simpli
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
52 ombrable et écœurante littérature romanesque nous peint ce type du mari qui redoute la « platitude », le train-train des lien
43 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
53 répéter chaque fois qu’on l’aime ? Ainsi l’on se peint plus « rosse » que nature. Gide lui-même, à ce jeu, ne s’est pas épar
44 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
54 t enfin subsister que la plus discutable envie de peindre … ⁂ Son réalisme ne fait pas d’histoires, parce qu’il n’est pas une po
55 que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint , lui, c’est la terre des hommes, vue par les yeux de qui l’habite et
56 es débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’ou
57 ard doux et perspicace, un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement ce que vaut une vie d
45 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
58 core Gide. Et William Blake estimait que Milton «  peint très mal le parti céleste et très bien les cohortes infernales. C’est
46 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
59 n, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous peindre une image nette et facilement reconnaissable de la personne de Satan 
47 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
60 core Gide. Et William Blake estimait que Milton «  peint très mal le parti céleste et très bien les cohortes infernales. C’est
48 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
61 n, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous peindre une image nette et facilement reconnaissable de la personne de Satan 
49 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
62 core Gide. Et William Blake estimait que Milton «  peint très mal le parti céleste et très bien les cohortes infernales. C’est
50 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
63 répéter chaque fois qu’on l’aime ? Ainsi l’on se peint plus rosse que nature. Gide lui-même, à ce jeu, ne s’est pas épargné 
51 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
64 e ; tous les mots qu’on écrit, les tableaux qu’on peint , les statues qu’on taille dans la pierre ou qu’on coule en bronze, — 
52 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
65 de l’air, de la respiration ; le Fou lui-même est peint comme l’Éternelle Jeunesse, prête à pénétrer dans l’abîme de la manif
53 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
66 court, ni de feuillages. Tout est pans de brique peinte et de ciment armé diversement coupés et étagés, asphalte plane, paroi
67 ustement, nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est là qu’habite l
54 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
68 t enfin subsister que la plus discutable envie de peindre … ⁂ Son réalisme ne fait pas d’histoires, parce qu’il n’est pas une po
69 que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint , lui, c’est la terre des hommes, vue par les yeux de qui l’habite et
70 es débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’ou
71 ard doux et perspicace, un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement ce que vaut une vie d
55 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
72 i court, ni de feuillage. Tout est pans de brique peinte et de ciment armé, diversement coupés et étagés, asphalte plane, paro
56 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
73 justement nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est là qu’habite l
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
74 faire croire que je la décris. ⁂ Mais ainsi l’on peint un portrait. Style-information, structure-énergie, mythe-événement, f
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
75 ière immobile, élargie en un lac sinueux. Paysage peint à l’aquarelle. Le château, salmigondis de styles, résume l’enquête qu
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
76 agunes et les marais, pointent de grands clochers peints de blanc jusqu’à mi-hauteur, et de noir au-dessus, repères pour les n
77 e blanchie, où les volets d’un bleu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est une maison simplette, telle qu’en dessinent les
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
78 nt vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert. La couleur des volet
79 férence à A… — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en bleu clair. Une table et trois chaises sur la scène surélevée. Env
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
80 rmoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible — c’est à peine si je trouve une place assise.
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
81 t enfin subsister que la plus discutable envie de peindre … ⁂ Son réalisme ne fait pas d’histoires, parce qu’il n’est pas une po
82 que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint , lui, c’est la terre des hommes, vue par les yeux de qui l’habite et
83 es débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’ou
84 ard doux et perspicace, un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement ce que vaut une vie d
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
85 i court, ni de feuillage. Tout est pans de brique peinte et de ciment armé, diversement coupés et étagés, asphalte plane, paro
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
86 ont », ajoute-t-il, mystérieux. Kurt Seligmann a peint , sur un vaste fond blanc, des emblèmes diaboliques empruntés aux occu
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
87 justement nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est là qu’habite l
88 ’attirer — vieux procédé magique — Consuelo avait peint son image : une tête de cheval à la craie sur fond rouge, maigre et q
89 us qu’ils aiment cela, et qu’ils ont du plaisir à peindre cinquante fois, cent fois la même chose ? Pas du tout, ils ne font mê
90 bjective du hasard. On ne trouve guère ses œuvres peintes qu’en Californie, dans une collection privée. Mais avec son petit bag
66 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
91 iente de l’atmosphère du Nouveau Monde : elles en peignent le négatif. L’Américain me paraît peu doué pour les raffinements spir
67 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
92 é scolaire que créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé, dans les t
68 1947, Vivre en Amérique. Avertissement
93 nt, devenait sérieux : dans la situation qu’on me peignait , mes articles risquaient d’incliner quelques décisions graves — s’en
94 , ce recueil1. Je ne prétends donc pas un instant peindre un tableau complet de l’Amérique. La table des matières non traitées
69 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
95 iente de l’atmosphère du Nouveau Monde : elles en peignent le négatif. L’Américain paraît peu doué pour les raffinements spiritu
70 1948, Suite neuchâteloise. VIII
96 ù l’on naît à l’amour. Un portrait de notre pays, peint de là-haut, ne ressemblerait guère à mes esquisses. Au lieu de la lum
71 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
97 on pas la question banale, doit-il ou non écrire, peindre , lire, voir, etc., mais quelle perturbation cette poussée vers l’esth
72 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
98 rès raides et compliqués, entre de hautes façades peintes en jaune. Statuettes vêtues de soie et de fleurs dans des niches, com
99 e en retrait, au-delà de l’abreuvoir, un bâtiment peint en bleu-vert, chargé de clochetons et de reliefs rococo, qui évoque u
73 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
100 ierkegaard s’imposa de jouer devant Régine. Il se peint à ses yeux comme une sorte de roué, de séducteur cynique, qui a peut-
74 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Orienter les espoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)
101 au sein de l’union réalisée et grâce à elle ; de peindre un tableau réaliste des changements sociaux et économiques que produi
75 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
102 Elle sera subitement mise à nu. Je n’entends pas peindre ici quelque utopie qui pourrait amuser nos descendants. Tout peut cha
76 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
103 é scolaire que créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé, dans les t
77 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
104 oit un chef absolu qui ordonne à ses sujets de se peindre le visage en rouge. Cela dure des années, sans problèmes : on se born
105  : on se borne à liquider ceux qui refusent de se peindre . Mais voici que le même chef, un beau jour, s’avise de déclarer aux m
106  À partir de demain, je l’ordonne, soyez libres ! Peignez -vous comme il vous plaira et cessez d’obéir comme des brutes ! » Auss
107 essaie comme il peut de s’en tirer. La plupart se peignent en vert, mais plusieurs en violet ou en rose. Quelques-uns restent ro
78 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
108 parce qu’ils donnent le vertige. Je n’entends pas peindre ici quelque utopie qui pourrait amuser nos descendants. Tout peut cha
79 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
109 Elle sera subitement mise à nu. Je n’entends pas peindre ici quelque utopie qui pourrait amuser nos descendants. Tout peut cha
80 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Pour une politique de la recherche
110 ne science, mais l’activité créatrice de ceux qui peignent , écrivent, conçoivent et inventent. Car s’il est vrai que l’Europe a
81 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
111 ns, deviens bambou toi-même, puis, oublie tout et peins . » (Problème de la limite entre existence et art, ou de l’art comme e
82 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
112 uis disparaît, contrairement à l’œuvre plastique, peinte ou sculptée. L’érotisme, exclu par l’esprit, trouvera donc son « médi
83 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
113 ierkegaard s’imposa de jouer devant Régine. Il se peint à ses yeux comme une sorte de roué, de séducteur cynique, qui a peut-
84 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
114 uis disparaît, contrairement à l’œuvre plastique, peinte ou sculptée. L’érotisme, exclu par l’esprit, trouvera donc son « médi
85 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
115 ns, deviens bambou toi-même, puis, oublie tout et peins . (Problème de la limite entre existence et art, ou de l’art comme ex
86 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
116 lles une pierre ou un morceau de bois, sculpté ou peint d’une certaine manière, sont infiniment plus « utiles » que pour nous
87 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
117 s fleurs intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hérissées d’enseignes baroques. Les façades blanche
88 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
118 e compte, pouvaient faire sans nous. Le monde que peint Nora Auric a ceci de particulier qu’on ne sait s’il est vu de sous l’
89 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
119 de Sienne, dira-t-on, est un paysage qui porte à peindre . Mais si l’une des couleurs de la palette porte en effet le nom de te
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
120 e. À Berne et à Lucerne, debout sur des fontaines peintes de pourpre, de bleu-vert et d’or, cuirassés et bannière au poing, que
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
121 é scolaire que créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé dans les tr
122 t enfin subsister que la plus discutable envie de peindre … Son réalisme ne fait pas d’histoires, parce qu’il n’est pas une polé
123 que nous bariolent les peintres d’Alpe. Ce qu’il peint , lui, c’est la terre des hommes, vue par les yeux de qui l’habite et
124 es débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sérieux de ce fantastique. Mais je m’aperçois un peu tard que j’ou
125 ard doux et perspicace, un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement ce que vaut une vie d
126 vaut une vie d’homme devant Dieu. ⁂ Conrad Witz peint un Christ vêtu de rouge marchant sur les eaux vertes et transparentes
127 Préalpes dans le fond. C’est le plus beau tableau peint en Suisse et aussi le plus ancien, de ceux qui comptent. Urs Graf des
128 aître précis, gracieux, gentiment sensuel, et qui peint les étoffes comme Chardin les fruits. J. H. Füssli, jeune disciple d
129 urréaliste suisse. Léopold Robert, Neuchâtelois, peint de belles Siciliennes au front grec, à l’œil noir, sur un fond de mer
130 carrière d’Hodler s’est faite en Suisse, et il a peint la Suisse dans toutes ses dimensions, physiques, humaines, épiques et
131 ton de Berne, ces fontaines surmontées de statues peintes , ces arcades, ces enseignes en fer forgé, — toute cette effervescence
92 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
132 s fleurs intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hérissées d’enseignes baroques. Les façades blanche
93 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
133 te au milieu de sa bouche grande, charnue et bien peinte  », même s’il s’agit seulement des robes que leur composait Worth tren
94 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
134 s, et des symboles traditionnels de la communauté peints sur les murs de la cathédrale, mais l’expression d’une personnalité q
95 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
135 ’attirer — vieux procédé magique — Consuelo avait peint son image : une tête de cheval à la craie sur fond rouge, maigre et q
136 us qu’ils aiment cela, et qu’ils ont du plaisir à peindre cinquante fois, cent fois la même chose ? Pas du tout, ils ne font mê
137 bjective du hasard. On ne trouve guère ses œuvres peintes qu’en Californie, dans une collection privée. Mais avec son petit bag
96 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
138 exige que tout cela soit inscrit dans les limites peintes en couleurs plates, sans déborder, de l’hexagone français, de l’île a
97 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
139 exige que tout cela soit inscrit dans les limites peintes en couleurs plates, sans déborder, de l’Hexagone français, de l’Île a
98 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
140 ent dans ces célèbres premières phrases où il l’a peinte « telles la princesse des contes ou la madone des fresques… créée pou
99 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — À la table ronde du Conseil de l’Europe
141 lus célèbres de Gauguin, un grand triptyque qu’il peignit au seuil de notre siècle, s’intitule : D’où venons-nous ? Où sommes-n
100 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Éducation, civisme et culture
142 s, et des symboles traditionnels de la communauté peints sur les murs de la cathédrale, mais l’expression d’une personnalité q