1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 onférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)b Lundi soir, dans la salle du Lyceum,
2 Conrad Meili parla des écoles qui représentent la peinture française, des débuts du xixe siècle à nos jours. Partis du classici
3 au. M. Meili a mis en évidence cette courbe de la peinture moderne avec une netteté et un relief remarquable. Les œuvres de cet
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
4 veauté de son théâtre et de l’art qu’il défend en peinture , en musique. Suppression du clair-obscur et de la pénombre. Ôter la p
3 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
5 lus dans l’opposition des deux mondes que dans la peinture elle-même de l’Orient. Tandis que s’accumulent les traits qui compose
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 part je préfère la légende à l’histoire comme la peinture à la photographie. Une œuvre d’art est un merveilleux foyer de contag
7 s paradoxaux. Donzé n’est pas de ceux pour qui la peinture consiste à habiller une idée. Voyez son portrait de Meili : il ne pre
8 parmi les jeunes qui vouent tout leur amour à la peinture pure. Je crois même que, Paul Donzé touché à son tour par la grâce dé
9 de songer à la Hollande, sa seconde patrie si la peinture est sa première et Neuchâtel la troisième… Il y a par Eugène Bouvier
10 r Eugène Bouvier quelque chose de nouveau dans la peinture neuchâteloise : un lyrisme un peu amer, d’une tristesse qui ne s’affi
11 u’affirmer l’existence et la vitalité d’une jeune peinture originale dans un pays qu’on s’est trop souvent plu à dire si âpre, p
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
12 Rilke, trace de lui un portrait qu’on dirait, en peinture , très « interprété ». Non pas une photographie morale, mais une sorte
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
13 tion », je ne puis m’empêcher de penser que cette peinture d’Aden est assez faite pour y contribuer : si grande est en effet l’h
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
14 s inventif des artistes contemporains, avec une «  Peinture  » d’un intense lyrisme de couleurs. Zingg avec un « Enterrement au Pa
15 osshardt. C’est un véritable renouvellement de la peinture à sujet religieux qu’annonce cette grande composition : trois longues
8 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
16 e charme profond de Selma Lagerlöf revit dans ces peintures d’une Laponie lointaine, où des gens simples mènent des existences bi
9 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
17 arme profond de Selma Lagerlöf qui revit dans ces peintures d’une Laponie lointaine et d’une humanité si proche. Moins d’art peut
10 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
18 d’Épinal, malgré moi trop pareille aux innocentes peintures de paradis modernisé que vulgarise la propagande communiste. Mais leu
11 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
19 nt été grandes tour à tour, dans la musique ou la peinture , la poésie ou la philosophie. Et peut-être ne serons-nous jamais auss
12 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
20 d’Épinal, malgré moi trop pareille aux innocentes peintures de paradis modernisé que vulgarise la propagande communiste. Mais leu
13 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
21 rien, et personne ne saurait le démontrer. Et la peinture , quelle peut bien être son action ? L’architecture, au moins, nous po
22 athie est au moins la moitié moins excitée par la peinture du bonheur que par celle de l’infortune. » Et encore : « Une âme fait
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
23 rien, et personne ne saurait le démontrer. Et la peinture , quelle peut bien être son action ? L’architecture, au moins, nous po
24 athie est au moins la moitié moins excitée par la peinture du bonheur que par celle de l’infortune. » Et encore : « Une âme fait
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
25 rien, et personne ne saurait le démontrer. Et la peinture , quelle peut bien être son action ? L’architecture, au moins, nous po
26 athie est au moins la moitié moins excitée par la peinture du bonheur que par celle de l’infortune. » Et encore : « Une âme fait
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
27 qu’il jugeait aussi sévèrement que C. G. Jung la peinture contemporaine. Dans une lettre à Stefan Zweig datée du 20 juillet 193
17 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
28 outes nos activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture , Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lor
18 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
29 nt été grandes tour à tour, dans la musique ou la peinture , la poésie ou la philosophie. Et peut-être ne serons-nous jamais auss
19 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
30 t de faire mentir les formes. À défaut donc d’une peinture impossible, ou trop aisément pittoresque, on tentera de décrire l’œuv
20 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
31 tiste qui a perdu son génie et ne croit plus à la peinture , mais qui a conservé son « métier » et l’envie d’être à l’avant-garde
21 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
32 t de faire mentir les formes. À défaut donc d’une peinture impossible, ou trop aisément pittoresque, on tentera de décrire l’œuv
22 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
33 tiste qui a perdu son génie et ne croit plus à la peinture , mais qui a conservé son « métier » et l’envie d’être à l’avant-garde
23 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
34 ive Église. Notre musique, notre sculpture, notre peinture sont nées dans le chœur des églises, tandis que notre poétique se com
24 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
35 t de faire mentir les formes. À défaut donc d’une peinture impossible, ou trop aisément pittoresque, on tentera de décrire l’œuv
25 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
36 tiste qui a perdu son génie et ne croit plus à la peinture , mais qui a conservé son « métier » et l’envie d’être à l’avant-garde
26 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
37 ive Église. Notre musique, notre sculpture, notre peinture sont nées dans le chœur des églises, tandis que notre poétique se com
27 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
38 l’Américain moyen en matière d’art et surtout de peinture . (La fin de Fantasia, sur l’Ave Maria de Schubert, n’est qu’une suite
28 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
39 ouable… Toute la culture de l’Occident — musique, peinture , philosophie, littérature — est sortie des églises et des couvents. H
29 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
40 Voici le carrosse de Washington, à l’abandon. La peinture craquelée tombe par morceaux, les coussins de velours rouge sont mois
30 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
41 Voici le carrosse de Washington, à l’abandon. La peinture craquelée tombe par morceaux, les coussins de velours rouge sont mois
31 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
42 hœur des églises et des chapelles de couvents. La peinture et la sculpture se sont constituées sur les autels, dans les nefs, et
32 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
43 e antidote : l’exposition des chefs-d’œuvre de la peinture suisse du xvie siècle, repliés de Bâle à Berne, avant d’être cachés
44 outes nos activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture , Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lor
33 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
45 cascades, comme on en voit aux tapisseries et aux peintures murales du xviiie . Soudain j’ai remarqué l’heure et renversé ma chai
34 1946, Journal des deux mondes. Virginie
46 Voici le carrosse de Washington, à l’abandon. La peinture craquelée tombe par morceaux, les coussins de velours rouge sont mois
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
47 d’Épinal, malgré moi trop pareille aux innocentes peintures de paradis modernisé que vulgarise la propagande communiste. Mais leu
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
48 e antidote : l’exposition des chefs-d’œuvre de la peinture suisse du xvie siècle, repliés de Bâle à Berne, avant d’être cachés
49 outes nos activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture , Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lor
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
50 cascades, comme on en voit aux tapisseries et aux peintures murales du xviiie . Soudain j’ai remarqué l’heure et renversé ma chai
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
51 Voici le carrosse de Washington, à l’abandon. La peinture craquelée tombe par morceaux, les coussins de velours rouges sont moi
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
52 uils cannés s’y perdent, et quelques chevalets de peinture . Luxe inouï de la solitude et du silence. Un rideau de pins et l’eau
53 écidé un beau jour d’abandonner définitivement la peinture , et cela, au moment de ses plus grands triomphes en Amérique. — Pas d
54 un peintre. Depuis la création d’un marché de la peinture , tout a été radicalement changé dans le domaine de l’art. Regardez co
40 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
55 la jeune littérature, la jeune musique, la jeune peinture , la jeune chorégraphie américaines ont traversé cette maison de Brook
41 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
56 mari. Dites. Le peintre. Vous allez régenter la peinture au nom de vos dogmes, nous fabriquer de l’allégorie, du bergsonisme d
42 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
57 ouable… Toute la culture de l’Occident — musique, peinture , philosophie, littérature — est sortie des églises et des couvents. H
43 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
58 l’Américain moyen en matière d’art et surtout de peinture . (La fin de Fantasia, sur l’Ave Maria de Schubert, n’est qu’une suite
44 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
59 vous à un étudiant en mal de poésie, de roman, de peinture ou de musique ? Je veux dire, non pas la question banale, doit-il ou
45 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
60 oopératives, et enfin l’art moderne tout entier : peinture , musique, littérature, poésie, théâtre et sculpture : presque tous le
46 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
61 oopératives, et enfin l’art moderne tout entier : peinture , musique, littérature, poésie, théâtre et sculpture ; presque tous le
47 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
62 oses sans lesquelles on ne crée rien de grand. La peinture ne se fait pas dans les musées, mais dans les villes où existe un mar
63 oopératives, et enfin l’art moderne tout entier : peinture , musique, littérature, poésie, théâtre et sculpture : presque tous le
64 initiative, dès qu’il s’agit d’autre chose que de peinture , de parfums, ou de vins du cru ? J’ai dit que nous sommes trois-cents
48 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
65 oopératives, et enfin l’art moderne tout entier : peinture , musique, littérature, poésie, théâtre et sculpture : presque tous le
49 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
66 n’est pas insoluble, à notre avis. La musique, la peinture et la littérature, comme les sciences et la philosophie, naquirent sa
50 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
67 -ci sur une doctrine. Le mal serait entré dans la peinture , dit-elle, avec les pommes de Cézanne, pommes de pure forme, sans con
68 réalisme socialiste, qui ne se distinguent de la peinture bourgeoise d’environ 1880 que par la couleur des parements. Nous atte
51 1952, Articles divers (1951-1956). Grandeur de la Petite Europe (5 décembre 1952)
69 de disciples, presque tout ce qui compte dans la peinture , dans la musique et dans l’architecture européennes. Et la majeure pa
52 1953, Articles divers (1951-1956). Des conciles à la bombe atomique ou la fin dans le commencement (janvier 1953)
70 ils nous parlent tantôt de musique concrète ou de peinture abstraite, et les deux adjectifs sont évidemment faux : on pourrait a
71 trouve justifier, par ailleurs, l’ambition d’une peinture dite abstraite, ambition qui n’est point ou ne doit pas être celle de
53 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
72 nité foncière de nos peuples. Ni la musique ni la peinture , créations typiques de l’Europe, n’ont jamais été nationales : elles
54 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
73 enaissance, au xviie siècle français, on a vu la peinture , la poésie, la musique et la danse prospérer sous toutes sortes de ty
74 aujourd’hui cela est possible encore. Certes, la peinture et la littérature sont tombées au plus bas en Russie soviétique ; mai
55 1953, Articles divers (1951-1956). Préface à Photo + scène (1953)
75 ulement de nos techniques mais de cinq siècles de peinture occidentale. Une exposition de photos de scène accomplissant le pèler
56 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
76 dier à cette situation, qui est aussi celle de la peinture et de la poésie au xxe siècle ? Il me semble que ceux qui tiennent l
57 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
77 yers de culture locaux se généralisent ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y
78 ons « riantes » de la Nature dans la poésie et la peinture médiévales concernent les vergers. Le reste était terreur. 41. L’En
58 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
79 enquêtes en commun ; — expositions itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d’œuvres musicales modernes, projections
80 tes européens pouvons redouter, également, que la peinture inspirée par le « réalisme socialiste » n’entraîne l’adhésion soulagé
81 e succès et d’efficacité de telles expositions de peinture contemporaine (russe chez nous, européenne en URSS) résidera donc dan
59 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
82 tains de ses représentants les plus illustres. La peinture russe, même celle qui, en la personne d’un Ivanov, d’un Sourikov ou d
83 gieuses, n’a pas retrouvé le chemin de la vieille peinture d’icones et n’est parvenue à exprimer l’esprit national qu’à travers
84 nt encore à peine connus en France, tandis que la peinture et la littérature françaises y furent accueillies plus chaleureusemen
85 vgorod, Vladimir, Moscou. La « découverte » de la peinture française moderne rendit possible celle des icônes. Rien de ce qui fu
60 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
86 u. Il se déclare surpris par « l’uniformité de la peinture soviétique » (France-Soir, 19 janvier 1956). Selon lui, les peintres
61 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
87 yers de culture locaux se généralisent ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y
62 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
88 es demeurés présents et actifs, tels que statues, peintures , monuments, rites et rêves. Et il s’agit surtout de complexes dynamiq
63 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
89 yers de culture locaux se généralisent ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y
90 ons « riantes » de la Nature dans la poésie et la peinture médiévales concernent les vergers. Le reste était terreur. 81. « Ei
64 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
91 es disciplines de la culture. « L’évolution de la peinture de Giotto à Manet », « l’évolution de la science de Sumer à nos jours
65 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
92 géographie on parle aujourd’hui couramment de la peinture française, de la musique allemande, de la science russe, ou que sais-
93 aux. Aucune de ces choses n’existe en réalité. La peinture , la musique, la littérature même — qui tient pourtant de si près aux
94 sical à notre Europe de l’Ouest. Le périple de la peinture est à peu près le même. Vous voyez que, dans ces deux cas, l’histoire
95 nos nations actuelles n’a le droit de dire : « La peinture , c’est à moi, et je te laisse la musique si tu veux. » Quant aux scie
66 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
96 ns, crée des bourses, organise des expositions de peinture , patronne la révision des manuels d’histoire, et prépare une série de
67 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
97 estre, créations typiques de l’Europe). Prenez la peinture  : les couleurs chantent si elles sont bien opposées dans leur pureté
68 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
98 la civilisation qui avait produit les fascinantes peintures rupestres de Lascaux et d’Altamira. C’est dans le Moyen-Orient qu’une
69 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
99 use, artiste érudit et précieux, s’est inspiré de peintures traditionnelles, fresques, mosaïques ou cratères, vases décorés ou pi
70 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
100 devienne une affaire d’ingénieurs philosophes. La peinture abstraite n’est pas moins puritaine, en apparence, mais on voit mieux
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
101 la civilisation qui avait produit les fascinantes peintures rupestres de Lascaux et d’Altamira. C’est dans le Moyen-Orient qu’une
102 use, artiste érudit et précieux, s’est inspiré de peintures traditionnelles, fresques, mosaïques ou cratères, vases décorés ou pi
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
103 s de scandale, ni d’écrits, ni de gravures, ni de peintures , etc., scandaleux mais qu’il y ait partout à profusion des symboles s
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
104 Je vis donc en songe ce tableau, seulement pas en peinture , mais comme une réalité. Je ne sais d’ailleurs pas exactement ce que
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
105 voyons déjà périmée. (Il déclare, en 1917, que la peinture de plein air — alors « moderne » — « n’est pas faite pour le peuple »
106 que le « peuple » aujourd’hui tient pour la vraie peinture et oppose à l’art abstrait.) D’une entreprise aussi vaste que la sien
75 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
107 e la musique allemande de Bach à Beethoven, de la peinture française d’Ingres à Cézanne. Là où une grande pensée est conçue, là
76 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
108 lorieux passé, des cathédrales gothiques ou de la peinture de la Renaissance. Nous ne pouvons que nous demander si de tous ces f
109 rien de commun avec ce que nous connaissons de la peinture chinoise. Non seulement les révolutions asiatiques s’opèrent sans la
77 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
110 pe de branches importantes de la culture comme la peinture et la musique a suivi, au cours des âges, à peu près les grands axes
111 les grands axes du commerce et de l’économie. La peinture et la musique qui se développent en Italie du Nord au xiv e siècle et
78 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
112 omme dit Vigny) dont ne nous restent plus que les peintures rupestres de Lascaux et d’Altamira, l’Europe a été lentement repeuplé
79 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
113 omme dit Vigny) dont ne nous restent plus que les peintures rupestres de Lascaux et d’Altamira, l’Europe a été lentement repeuplé
80 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
114 a poésie et la métaphysique. Coteaux modérés : la peinture et le roman. Sommets : la philosophie politique et historique, la thé
115 ble à la musique flamande de la Renaissance, à la peinture hollandaise ou vénitienne du xviiie siècle, et qu’elle s’est conform
116 de médiocrité dans nos productions versifiées. La peinture avait pris un beau départ au xvie siècle, mais l’école turbulente de
117 l, plusieurs théâtres. Les collections privées de peinture sont parmi les plus belles du monde, Reinhart à Winterthour et Hahnlo
81 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
118 imposant leurs œuvres à Paris… L’évolution de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, t
82 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
119 é du nom de sa terre natale. Il n’y eut jamais de peinture suisse, au sens où l’on a pu parler d’une peinture vénitienne ou holl
120 einture suisse, au sens où l’on a pu parler d’une peinture vénitienne ou hollandaise ; ni de musique suisse, comme on parle d’un
121 imposant leurs œuvres à Paris… L’évolution de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, t
83 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
122 uable…x Toute la culture de l’Occident — musique, peinture , philosophie, littérature — est sortie des églises et des couvents. H
84 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
123 hœur des églises et des chapelles de couvents. La peinture et la sculpture se sont constituées sur les autels, dans les nefs, et
85 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
124 Land de T. S. Eliot, aux romans de Faulkner, à la peinture de Picasso — ces œuvres-là, dialectiquement, nostalgiquement, dans la
86 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
125 ittérature, d’un Hodler et d’un Paul Klee pour la peinture , d’un Alberto Giacometti pour la sculpture, d’un Dürrenmatt et d’un M
87 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
126 plongée sous-marine et l’humanité disparaît de la peinture de Nora Auric. Est-ce qu’il y a trop de gens sur la terre ? On le pen
88 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
127 par Simone Martini, n’ont jamais pensé faire une peinture « siennoise » une peinture conforme au génie du lieu. Ils s’inspiraie
128 jamais pensé faire une peinture « siennoise » une peinture conforme au génie du lieu. Ils s’inspiraient des Florentins. De même,
129 s mondiale, des grandes écoles d’architecture, de peinture , de musique et de littérature, du style roman au baroque, et de là au
130 ouvenir de Cézanne, et par le climat. Et puis, la peinture hollandaise doit plus au ciel et à sa lumière humide, qu’à la terre d
89 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
131 d’eaux, par l’imagerie de 1848 et par beaucoup de peinture éloquente, la légende helvétique s’est imposée. Trois mains levées so
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
132 imposant leurs œuvres à Paris… L’évolution de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, t
133 ique de Lavater, la pédagogie de Pestalozzi et la peinture de Füssli sont nées dans le cercle de Bodmer. Bâle dans le même temp
134 s’il existe, entre leurs œuvres et ce pays. La peinture  : de Nicolas Manuel à Paul Klee Elle prend en Suisse un beau dépar
135 outes nos activités. Fougueux et appliqué dans sa peinture , Manuel n’hésite pas un instant à planter là pinceaux et chevalet lor
136 r et de l’École suisse de Bodmer à Zurich, met en peinture le Serment du Grütli, puis émigre à Londres où il dirigera l’Académie
137 lotte Bonaparte. Arnold Böcklin, Bâlois, fait en peinture de la littérature symboliste. Voilà une gloire — due à l’Allemagne su
138 Londres ou de Munich, cela ne fait pas encore une peinture suisse. Quel est le plus grand poète français ? « Hugo, hélas ! », ré
139 ncontestables réussites de l’art total — musique, peinture , poésie, danse — à la fois populaire et d’allègre avant-garde. Qu’il
140 ger ou Paul Klee, mais en prose, en musique ou en peinture . Faut-il penser que la cité suisse est trop bien ordonnée pour un poè
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
141 de des civilisations un peu connues et qui va des peintures de Lascaux, pièges magiques, jusqu’aux pièges cosmiques de nos labora
92 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
142 ès particulièrement de l’histoire des arts, de la peinture et de la musique. Au risque d’empiéter sur le domaine de MM. Weidlé e
143 imposant leurs œuvres à Paris… L’évolution de la peinture suit à peu de choses près les mêmes voies. Or ces voies, notons-le, t
144 cles après sa mort. Qu’il s’agisse de musique, de peinture , d’architecture, de philosophie ou de science, pour ne rien dire de l
145 de nos nations actuelles. Il n’y a pas plus de «  peinture française » que de « chimie allemande » ou de « mathématiques soviéti
146 Tout le monde n’a pas besoin de se consacrer à la peinture ou à la musique ou à la littérature et d’en faire sa carrière, mais t
93 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
147 utes les figures de la rhétorique. (De même qu’en peinture , le tableau, le portrait, l’exposition, le musée ; ou en musique l’ha
148 de ces styles et mouvements dans tous les arts : peinture , sculpture, architecture, musique. Là encore, l’unité nationale joue
149 existe plus au xxe siècle : l’École de Paris, en peinture , n’est pas « française », et le style dodécaphonique ou sériel n’est
94 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
150 uils cannés s’y perdent, et quelques chevalets de peinture . Luxe inouï de la solitude et du silence. Un rideau de pins et l’eau
151 écidé un beau jour d’abandonner définitivement la peinture , et cela, au moment de ses plus grands triomphes en Amérique. — Pas d
152 un peintre. Depuis la création d’un marché de la peinture , tout a été radicalement changé dans le domaine de l’art. Regardez co
95 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
153 On a fabriqué le nationalisme au xixe siècle. En peinture , voyez comme l’École de Paris est peu française en vérité : Picasso,
96 1970, Articles divers (1970-1973). Ce que la Suisse peut apporter à l’Europe (19 mars 1970)
154 e la sculpture religieuse dans les temples, de la peinture religieuse. Ce n’est qu’en Europe que l’on a utilisé tous ces procédé
97 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
155 ureaucratie ; et enfin l’art moderne tout entier, peinture , musique, poésie, essai, théâtre et sculpture : presque tous leurs gr
98 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
156 ion sur une doctrine. Le mal serait entré dans la peinture , dit-elle, avec les pommes de Cézanne, pommes de pure forme, sans con
157 réalisme socialiste, qui ne se distinguent de la peinture bourgeoise d’environ 1880 que par la couleur des parements. Nous prop
99 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
158 On a fabriqué le nationalisme au xixe siècle. En peinture , voyez comme l’École de Paris est peu française : Picasso, Chagall, V
100 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Éducation, civisme et culture
159 ès particulièrement de l’histoire des arts, de la peinture et de la musique. Je voudrais proposer ici un seul exemple : celui de
160 ur tour la musique occidentale. L’évolution de la peinture suit à peu de chose près les mêmes voies, qui traversent avec une glo
161 lle il s’est formé. Qu’il s’agisse de musique, de peinture , d’architecture, de philosophie ou de science, pour ne rien dire de l
162 de nos nations actuelles. Il n’y a pas plus de «  peinture française » que de « chimie allemande » ou de « mathématiques soviéti
163 Tout le monde n’a pas besoin de se consacrer à la peinture ou à la musique ou à la littérature et d’en faire sa carrière, mais t