1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 t atteindre à pareille intensité de réalisme. Une perpétuelle palpitation de vie anime ce livre et lui donne un rythme tel qu’il s’
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 courir l’arabesque des sentiments et le mouvement perpétuel de l’amour. Plaisir de se sentir engagé dans un système d’ondes de fo
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
3 es. Mais le monde échappe toujours à nos cadres — perpétuel conflit du réel avec nos rêves de puissance : notre ambition la plus
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
4 immédiat à toute impulsion spontanée (Gide), ou «  perpétuel effort pour créer son âme telle qu’elle est » (Rivière), ou encore re
5 ment (« cette curiosité donnée comme raison d’une perpétuelle attente »), — ce que l’auteur découvre c’est ce « merveilleux contrai
6 tes). Rivière définissait la sincérité comme « un perpétuel effort pour créer son âme telle qu’elle est ». Il voyait dans cet eff
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
7 secrètement, parce que de ces « ratages » naît le perpétuel besoin d’évasion qui est la condition de son progrès moral. C’est ain
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
8 Saint-John Perse. Nous appelions une Révolution perpétuelle une perpétuelle insurrection contre tout ce qui prétendait nous empêc
9 e. Nous appelions une Révolution perpétuelle une perpétuelle insurrection contre tout ce qui prétendait nous empêcher de vivre, de
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 ogerie, ou quelque plan d’une machine à mouvement perpétuel . Une autre encore : cette fois-ci c’est un Evard : des roses noires s
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 me voyez vivre encore, dans un état de sincérité perpétuelle envers tous mes élans, accueillant avec un enthousiasme juvénile, c’e
12 icences ; elle m’apparaît comme un divertissement perpétuel et dénué d’inquiétude. Et cela n’est pas sans me charmer, croyez-moi.
9 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
13 il n’y a plus seulement la femme, avec le miracle perpétuel de sa sensibilité. Il y a encore la princesse, le témoin intelligent
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 és dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel . Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations longues… Mais un
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
15 traire considérer celles-ci comme leur accusation perpétuelle  ? Car la vraie question qu’elles posent, chrétiennement, c’est de sav
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
16 tel livre. Il y a des sujets éternels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la Fin du Monde est l’un d’eux.
17 rnels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la Fin du Monde est l’un d’eux. Un vrai mythe, c’est-à-dire un é
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
18 n de ses amis, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une
14 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
19 rocement d’être humain. Seule cette revendication perpétuelle de l’humain contre l’inhumain portera toujours en elle-même une garan
15 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
20 rce et la joie d’envisager la vie comme un combat perpétuel dont l’enjeu est à chaque instant total, éternel et urgent. Je demand
16 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
21 as qu’ils n’ont plus de réponses à offrir à leurs perpétuelles et urgentes questions ; en face de philosophies qui de Descartes à Ka
17 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
22 parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un perpétuel et anxieux besoin de dire les choses, comme pour s’en assurer à la fo
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
23 és dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel . Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations longues… Mais un c
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
24 parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un perpétuel et anxieux besoin de dire les choses, comme pour s’en assurer à la fo
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 és dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel . Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations longues… Mais un c
21 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
26 nce, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes prend une forme encore
27 étien est à la fois ange et bête. Dans ce conflit perpétuel , il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu’il leur d
22 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
28 durée. Car notre durée n’est sans doute que notre perpétuel refus de l’éternité. Dieu dit oui : l’homme comprend non, se découvra
23 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
29 cipe entre tous néfaste : celui de la comparaison perpétuelle . À qui fallait-il être égal ? Sur le plan politique, la réponse était
24 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
30 : l’an 33 de notre ère, la réponse éternelle à la perpétuelle question du monde, nous est donnée. C’est d’abord une réponse faite à
25 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
31 t pas encore le bien sauveur ! Voici notre erreur perpétuelle  : nous peignons notre état un peu plus noir qu’il n’est, afin d’éclai
26 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
32 onne Puisqu’il est manifeste que l’acte est le perpétuel auteur de notre humanité, nous ne pouvons connaître cette humanité, s
27 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
33 nce, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes prend une forme encore
34 étien est à la fois ange et bête. Dans ce conflit perpétuel , il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu’il leur d
28 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
35 cipe entre tous néfaste : celui de la comparaison perpétuelle . À qui fallait-il être égal ? Sur le plan politique, la réponse était
29 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
36 en vue de la révolution : elle est donc un choix perpétuel et partial dans la réalité. Elle possède ainsi, par elle-même, une va
30 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
37 nce, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux attitudes prend une forme encore
38 étien est à la fois ange et bête. Dans ce conflit perpétuel , il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu’il leur d
31 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
39 cipe entre tous néfaste : celui de la comparaison perpétuelle . À qui fallait-il être égal ? Sur le plan politique, la réponse était
32 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
40 en vue de la révolution : elle est donc un choix perpétuel et partial dans la réalité. Elle possède ainsi, par elle-même, une va
33 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
41 e difficulté subsiste. L’édit a été donné comme «  perpétuel et irrévocable ». Il s’agira de tourner cet obstacle légal. En fait,
34 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
42 sent Brett et les autres de cet état d’irritation perpétuelle où vivait Lawrence : « Je suis épuisé — Par l’effort que je fais pour
35 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
43 n, qui veut qu’on n’abatte le mal, cette négation perpétuelle , qu’à coups d’affirmations du bien prépondérantes. À tout péché misér
36 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
44 Et comment la distingueraient-ils quand l’effort perpétuel et d’ailleurs émouvant de leur théologie est de combler tant bien que
37 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
45 roblèmes de la vie banale. Il y a dans ce passage perpétuel de l’abstrait au concret, ou plutôt dans cette mêlée shakespearienne
38 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
46 t que l’une est une langue « avertie », posant un perpétuel avertissement, tandis que les autres ont plutôt l’air de résulter d’u
47 eulement des formes. C’est un monde en recréation perpétuelle , et tout s’y tient parce que chaque être y agit pour tout ce qu’il n’
39 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
48 pensée se réduit à une méthode de procrastination perpétuelle . On attend le prochain congrès… Je ne dirai pas de mal de nos outils
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
49 tain sens. Elle constitue pour nous une tentation perpétuelle . Et déjà beaucoup pensent que la révolution ne pourrait être faite qu
50 certainement, s’oppose à l’acte. Deux tentations perpétuelles menacent de déprimer en nous la volonté d’incarnation, c’est-à-dire d
51 n’est qu’une évasion par l’intérieur, une ironie perpétuelle et désabusée. Il y a enfin la manière banale d’être non conformiste,
41 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
52 pensée se réduit à une méthode de procrastination perpétuelle . On attend le prochain congrès… Je ne dirai pas de mal de nos outils.
42 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
53 tain sens. Elle constitue pour nous une tentation perpétuelle . Et déjà beaucoup pensent que la révolution ne pourrait être faite qu
54 certainement, s’oppose à l’acte. Deux tentations perpétuelles menacent de déprimer en nous la volonté d’incarnation, c’est-à-dire d
55 n’est qu’une évasion par l’intérieur, une ironie perpétuelle et désabusée. Il y a enfin la manière banale d’être non conformiste,
43 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
56 cains… Ce fut la grande Permission, la Permission perpétuelle — jusqu’à la crise de 1930. Il nous en reste une génération de gloire
44 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
57 son ouvrage, pour gagner de quoi vivre, tentation perpétuelle de changer de condition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le c
45 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
58 ne peuvent être mieux saisis que dans l’unique et perpétuelle question que nous posent toutes les pages de la Bible. Ils renvoient
59 cte et de toute création, une invention totale et perpétuelle , une actualité permanente, la seule chose qui change quelque chose au
46 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
60 i variés que possible. Il s’agira d’une invention perpétuelle , et non de l’application quasi automatique d’un dogme rigide. Le Cons
47 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
61 volonté de synthèse, et non point dans la crainte perpétuelle de n’aboutir qu’à des mélanges bâtards. Notre unité existe, mais sur
62 t au contraire (ou plutôt ce doit être) un combat perpétuel , exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer une « cult
63 n ? Pour réveiller leurs pouvoirs créateurs, leur perpétuelle nouveauté ? Ou encore pour créer tout cela à partir des formes exista
48 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
64 it » qui devait être l’agent du changement total, perpétuel et seul réel, est devenu le gardien des conformismes, ou du moins n’a
65 en Christ. Il possède en lui-même la mesure d’une perpétuelle transformation, nécessaire dans tous les domaines où son activité peu
66 par exemple, la dogmatique n’est qu’une question perpétuelle , une autocritique si l’on veut, que l’Église s’adresse à elle-même, e
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
67 stances non choisies, de rencontres, une sorte de perpétuel journal de nos relations avec le monde, empruntant toutes les formes
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
68 son ouvrage, pour gagner de quoi vivre, tentation perpétuelle de changer de condition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le c
51 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
69 ne peuvent être mieux saisis que dans l’unique et perpétuelle question que nous posent toutes les pages de la Bible. Ils renvoient
70 cte et de toute création, une invention totale et perpétuelle , une actualité permanente, la seule chose qui change quelque chose au
52 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
71 gence inhumaine de perfection, comme une question perpétuelle , un aiguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections hum
72 té. Et tandis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus, une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité
53 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
73 rime et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste perpétuel , il se trouve entièrement déterminé par le bon et le juste — contre e
74 C’est que le désir de nouveauté et de changement perpétuel , dès que l’esprit insatiable l’excite, devient une menace pour la vie
75 utrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Polémiste perpétuel , Nietzsche se trouve entièrement déterminé par le bon et le juste — c
54 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
76 es sauver. Désormais, l’amour n’est plus fuite et perpétuel refus de l’acte. Il commence au-delà de la mort, mais il se retourne
55 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
77 essus de la mer des possibles. C’est l’infidélité perpétuelle , mais c’est aussi la perpétuelle recherche d’une femme unique, jamais
78 est l’infidélité perpétuelle, mais c’est aussi la perpétuelle recherche d’une femme unique, jamais rejointe par l’erreur inlassable
79 byssale de l’hérésie manichéenne, le renversement perpétuel du jour en Nuit et de la nuit en Jour. Le même élan qui portait l’âme
80 ragique de l’Ironie transcendentale, ce mouvement perpétuel du romantisme, cette passion qui ruine sans relâche tous les objets q
56 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
81 gence inhumaine de perfection, comme une question perpétuelle , un aiguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections hum
82 té. Et tandis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus, une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité
57 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
83 ous avions l’impression de circuler sur une scène perpétuelle . Les bons bourgeois n’étaient plus, à nos yeux, que des sortes de fig
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
84 es sauver. Désormais, l’amour n’est plus fuite et perpétuel refus de l’acte. Il commence au-delà de la mort, mais il se retourne
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
85 essus de la mer des possibles. C’est l’infidélité perpétuelle , mais c’est aussi la perpétuelle recherche d’une femme unique, jamais
86 est l’infidélité perpétuelle, mais c’est aussi la perpétuelle recherche d’une femme unique, jamais rejointe par l’erreur inlassable
87 byssale de l’hérésie manichéenne, le renversement perpétuel du jour en Nuit et de la nuit en Jour. Le même élan qui portait l’âme
88 ragique de l’Ironie transcendantale, ce mouvement perpétuel du romantisme, cette passion qui ruine sans relâche tous les objets q
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
89 gence inhumaine de perfection, comme une question perpétuelle , un aiguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections hum
90 té. Et tandis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus, une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité
61 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
91 es sauver. Désormais, l’amour n’est plus fuite et perpétuel refus de l’acte. Il commence au-delà de la mort, mais il se retourne
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
92 essus de la mer des possibles. C’est l’infidélité perpétuelle , mais c’est aussi la perpétuelle recherche d’une femme unique, jamais
93 est l’infidélité perpétuelle, mais c’est aussi la perpétuelle recherche d’une femme unique, jamais rejointe par l’erreur inlassable
94 byssale de l’hérésie manichéenne, le renversement perpétuel du jour en Nuit et de la nuit en Jour. Le même élan qui portait l’âme
95 ragique de l’Ironie transcendantale, ce mouvement perpétuel du romantisme, cette passion qui ruine sans relâche tous les objets q
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
96 gence inhumaine de perfection, comme une question perpétuelle , un aiguillon qui empêche de retomber sous le coup des objections hum
97 té. Et tandis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus, une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité
64 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
98 s ? Je crois qu’on s’est trop laissé prendre à sa perpétuelle polémique contre les convertis-convertisseurs. Il faudrait voir que p
65 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
99 privilège que l’on « hérite ». C’est une conquête perpétuelle . Elle est sans doute un héritage « politique ». Mais rien ne se dépré
66 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
100 is, souffrance des visages et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère exténuante, hâte, érotisme, énervement
67 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
101 d être convaincue de la valeur et de la nouveauté perpétuelle d’un message purement biblique. C’est le premier point. Mais cela éta
68 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
102 n’est pas éternelle qu’il convient de dire, mais perpétuelle . Se figure-t-on que l’homme a le droit et le pouvoir de décréter « l’
103 ne peut pas le nier par un décret. 13. Neutralité perpétuelle . — Certes, les premiers Confédérés déclarèrent que leur alliance deva
104 ait oublier le nom.) De même pour la neutralité «  perpétuelle  » : cela signifie simplement que nous refusons d’envisager son abando
69 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). II. Le symbole du Gothard
105 communes des Waldstätten conclurent leur alliance perpétuelle . Historiquement, le Gothard représente tout un passé de solidarité co
70 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
106 volonté de synthèse, et non point dans la crainte perpétuelle de n’aboutir qu’à des mélanges bâtards. Notre unité existe, mais sur
107 t au contraire (ou plutôt ce doit être) un combat perpétuel , exaltant, le battement du cœur de l’Europe. Vouloir créer une « cult
108 n ? Pour réveiller leurs pouvoirs créateurs, leur perpétuelle nouveauté ? Ou encore pour créer tout cela à partir des formes exista
71 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
109 un privilège que l’on hérite. C’est une conquête perpétuelle . Elle est sans doute un héritage politique. Mais rien ne se déprécie
72 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
110 une trop grande influence, et c’eût été la guerre perpétuelle jusqu’au démembrement inévitable. La division des Suisses en deux cam
111 ard du voisin de langue ou de confession, crainte perpétuelle d’être majorisé. Notons que cette maladie a fait son apparition en Su
73 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
112 n’est pas éternelle qu’il convient de dire, mais perpétuelle . Se figure-t-on que l’homme a le droit et le pouvoir de décréter « l’
113 e peut pas le nier par un décret. 13. Neutralité perpétuelle . — Certes, les premiers Confédérés déclarèrent que leur alliance deva
114 ait oublier le nom.) De même pour la neutralité «  perpétuelle  » : cela signifie simplement que nous refusons d’envisager son abando
74 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
115 comme réalité que comme arrière-pensée, allusion perpétuelle et nostalgie, révèle toute l’étendue de notre ennui, le dégoût de l’h
75 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
116 is nous ne pouvons rien, à jamais, sur le miracle perpétuel qui fait coïncider la justice et la joie, les pures spéculations de l
76 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
117 comme réalité que comme arrière-pensée, allusion perpétuelle et nostalgie, révèle toute l’étendue de notre ennui, le dégoût de l’h
77 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
118 is nous ne pouvons rien, à jamais, sur le miracle perpétuel qui fait coïncider la justice et la joie, les pures spéculations de l
78 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
119 comme réalité que comme arrière-pensée, allusion perpétuelle et nostalgique, révèle toute l’étendue de notre ennui, le dégoût de l
79 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
120 is nous ne pouvons rien, à jamais, sur le miracle perpétuel qui fait coïncider la justice et la joie, les pures spéculations de l
80 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
121 is, souffrance des visages et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère exténuante, hâte, érotisme, énervement
81 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
122 d’un univers composé de groupements autonomes en perpétuelle interaction n’a pas encore été traduite dans nos institutions. Nos na
82 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
123 n de ses amis, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une
83 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
124 ne peuvent être mieux saisis que dans l’unique et perpétuelle question que nous posent toutes les pages de la Bible. Ils renvoient
125 cte et de toute création, une invention totale et perpétuelle , une actualité permanente, la seule chose qui change quelque chose au
84 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
126 s ? Je crois qu’on s’est trop laissé prendre à sa perpétuelle polémique contre les convertis-convertisseurs. Il faudrait voir que,
85 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
127 tel livre. Il est des sujets éternels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la Fin du Monde est l’un d’eux.
128 rnels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement perpétuel  — et la Fin du Monde est l’un d’eux. Un vrai mythe, c’est-à-dire un é
86 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
129 t que l’une est une langue « avertie », posant un perpétuel avertissement, tandis que les autres ont plutôt l’air de résulter d’u
130 eulement des formes. C’est un monde en recréation perpétuelle , et tout s’y tient parce que chaque être y agit pour tout ce qu’il n’
87 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
131 Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétuel de carte postale qui baigne la cuvette californienne et qui explique
88 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
132 Un autre voulait vivre abondamment au sein d’une perpétuelle pauvreté. Devint soleil. Et quel est celui qui s’approche avec son pa
89 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
133 is, souffrance des visages et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère exténuante, hâte, érotisme, énervement
90 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
134 Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétuel de carte postale qui baigne la cuvette californienne et qui explique
91 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
135 xtes à haute pression, son chef y entretenant une perpétuelle agitation fouettée de mots heureux, de colères blanches et d’enthousi
92 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
136 lle est sa mobilité. J’entends bien : sa mobilité perpétuelle . Ainsi l’ennemi ne saura pas où viser. Nous voici condamnés au nomadi
137 pagne ni de centres urbains, mais une circulation perpétuelle sur la Terre et les Morts des Autres. Vous voyez que les relations hu
93 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
138 lle est sa mobilité. J’entends bien : sa mobilité perpétuelle . Ainsi l’ennemi ne saura pas où viser. Nous voici condamnés au nomadi
139 pagne ni de centres urbains, mais une circulation perpétuelle sur la Terre et les Morts des autres. Vous voyez que les relations hu
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
140 n tension peu souvent relâchée, cette interaction perpétuelle du témoignage et de l’écriture, il se trouve que cela correspond à un
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
141 parallèles. Toutes deux ont leur origine dans un perpétuel et anxieux besoin de dire les choses, comme pour s’en assurer à la fo
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
142 és dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel . Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations longues… Mais un c
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
143 stances non choisies, de rencontres, une sorte de perpétuel journal de nos relations avec le monde, empruntant toutes les formes
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
144 son ouvrage, pour gagner de quoi vivre, tentation perpétuelle de changer de condition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le c
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
145 is, souffrance des visages et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère exténuante, hâte, érotisme, énervement
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
146 Aux régions polaires sans été. Au faux printemps perpétuel de carte postale qui baigne la cuvette californienne et qui explique