1
cela s’est purifié dans le Chant funèbre. Et une
phrase
telle que « … Nous sommes sûrs de ne pas nous tromper en nous inquiét
2
ut ton de vie » qu’ils trouvaient au front. D’une
phrase
, il justifie son livre : « Ranimons ces horreurs pour les vouloir évi
3
equel tout apparaît inutile et vain ? Je cite ces
phrases
, tirées d’un récit d’ailleurs admirable4, de Louis Aragon, pour marqu
4
de Janson, et de l’autre dessinant dans l’air des
phrases
musicales. Après quoi Richardot, entrant par la fenêtre, vint annonce
5
elle : (Créer, c’est se surpasser). J’entends des
phrases
qu’il ne faut pas encore comprendre — tout est si fragile —, mais je
6
age, ce qui peu à peu obsède dans l’inflexion des
phrases
, ce qui s’élève en fin de compte de tous ces tableaux de violence et
7
L’homme chante une plainte inouïe de pureté. Deux
phrases
rapides ondulent dans l’air lourd. Le chant descend très doucement la
8
, p. 257. ae. Il manque sans doute un morceau de
phrase
dans l’édition originale.
9
t plus la peine. (Veuillez ne pas voir dans cette
phrase
quelque allusion de mauvais goût.) Je vous ai rencontrée quatre ou ci
10
, je me pris à parler à haute voix, par bribes de
phrases
incohérentes. Je voyais avec une sombre joie les employés et les voya
11
argé, sur cette table. (Je le caresse, entre deux
phrases
.) Mais voici que ce geste de ma mort aussi me lasse, l’image que je m
12
aire admettre que la poésie consiste à écrire une
phrase
». Et cette phrase, c’est un cheval savant qui la lui a dictée : « Ma
13
a poésie consiste à écrire une phrase ». Et cette
phrase
, c’est un cheval savant qui la lui a dictée : « Madame Eurydice Revie
14
dice Reviendra Des Enfers. » — « Ce n’est pas une
phrase
, s’écrie-t-il, c’est un poème, un poème du rêve, une fleur du fond de
15
ue du peut-être ; (comme dans l’une des dernières
phrases
de Sylvie : « Là était le bonheur, peut-être… »). Mais le ton reste s
16
reste, n’est-elle pas de M. Rops lui-même, cette
phrase
qui formule admirablement les exigences conjointes de l’inquiétude et
17
de l’honneur, le mot de Cambronne prodigué et des
phrases
d’un fascinant éclat : « Ô grand Rêve, au matin pâle des édifices, ne
18
rtiens à la grande race des torrents. » Une belle
phrase
, n’est-ce pas ? Je ne sais qu’un Montherlant qui pourrait l’oser dire
19
vre. Désespoir métaphysique. Je me souviens d’une
phrase
de Vinet — laissons s’esclaffer du rapprochement les auteurs de manue
20
tenir, Je ne pouvais pas le suivre. On dit de ces
phrases
. Même, on en pleure. l. « Quatre incidents », Revue de Belles-Lett
21
œillade se souvient d’un vers d’Éluard14. Et des
phrases
, des cris, des mots. Au défaut de l’ivresse naissante se glisse un po
22
t une réaction de défense. On cherche un mot, une
phrase
, pour tuer une réalité dont la connaissance devient douloureuse et tr
23
n pouvoir citer, faute de place, que ces quelques
phrases
de Drieu : « On voit déjà éclater dans les singuliers mouvements de
24
ion à celui du consommateur. Prenons cette petite
phrase
qui n’a l’air de rien : « Nul ne contestera que, si l’on abaisse suff
25
» Je ressentis quelque émotion à l’ouïe de cette
phrase
célèbre. Ensuite, je pensai qu’il arrive aux meilleurs de se répéter,
26
rques certaines. Si le rapport intime qui unit la
phrase
suivante aux considérations précédentes lui échappe, qu’il y voie une
27
ts simples, mais chacun dans sa mûre saveur ; une
phrase
naturellement grave ; une voix douce et virile ; et quel beau titre !
28
ir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la
phrase
la plus malencontreuse de Pascal : le « Qui veut faire l’ange… » a au
29
ements des élèves qui déchiffraient les premières
phrases
exemplaires. (J’aimais pourtant Zoé lave à la fontaine, à cause du no
30
attira des reproches acides, et naturellement, la
phrase
sacrée : « Il faut que tous fassent la même chose, ici ! » Dans la su
31
ements des élèves qui déchiffraient les premières
phrases
exemplaires. (J’aimais pourtant Zoé lave à la fontaine, à cause du no
32
attira des reproches acides, et naturellement, la
phrase
sacrée : « Il faut que tous fassent la même chose ici ! » Dans la sui
33
irantes mais parfaitement concrètes, ces tours de
phrases
d’une familiarité bourrue mais raffinée, cette ivresse verbale jugulé
34
risme démontré. 9. Enfin je citerai deux petites
phrases
qui suffisent presque à situer la position d’attaque de nos auteurs :
35
je vais à pied, j’oublie en chemin les meilleures
phrases
que j’avais préparées pour subjuguer mes amies, je m’intéresse aux cr
36
, des conversations de ce bal, autre chose que la
phrase
, l’unique phrase que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette
37
ns de ce bal, autre chose que la phrase, l’unique
phrase
que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir,
38
qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des
phrases
très frappantes : « L’un garde encore la connaissance au sein d’une f
39
e ébauchés, — quelques mots isolés, des bribes de
phrases
… Or, si comme je le crois et voudrais l’établir plus longuement, le s
40
x yeux ardents et au visage mongol. Il jouait des
phrases
simples, tragiques, à peine modulées, qui donnent le vertige, et dont
41
au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la
phrase
, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel v
42
doit admirer chez M. Du Bos. Et dans l’allure des
phrases
, le rythme même de sa pensée. Parfois certes, un peu gêné par la lent
43
ge d’un jeune normalien marxiste. Citons quelques
phrases
qui donneront le ton et les thèmes principaux : J’avais vingt ans. J
44
en ces pages — et qui s’explique si l’on a lu la
phrase
par quoi se termine un précédent livre de notre auteur : « La veille
45
ontraint déjà à des choix dramatiques ? Certaines
phrases
pourraient le laisser supposer qu’il écrivit en préface au livre réce
46
rimpressions, changements de temps au cours d’une
phrase
, sont ici largement mis en œuvre mais toujours avec une probité singu
47
, mais dans un savoir qui exige sa réalisation ».
Phrase
qui n’imposera le silence à personne, mais fera prendre les armes à q
48
onne, mais fera prendre les armes à quelques-uns.
Phrase
cardinale, au seuil de l’ère révolutionnaire — ère spirituelle — dont
49
e cette présence rayonnante dont on devine chaque
phrase
sous-tendue. Mais rien ne la trahirait mieux que la retenue même de l
50
e tels déchirements. Et c’est lui qui méritera la
phrase
de la Saison : « Pas de partis de salut violents. » Dès les premiers
51
ront avec une assurance tempérée de douceur cette
phrase
type qui résume à leurs yeux la sagesse, la mesure, le bon sens de l’
52
là même justifiée jusqu’à l’évidence. Prenons sa
phrase
pour ce qu’elle est, dans sa simplicité : tout un programme. Et défin
53
sont trop gênantes. Le livre est mal composé. Ses
phrases
courtes se pressent en paragraphes hachés, sur un ton uniformément pé
54
» Je ressentis quelque émotion à l’ouïe de cette
phrase
célèbre. Les cocktails du Moulin-Rouge avaient peu à peu envahi notre
55
ayons, ils ont encore des lèvres pour me dire une
phrase
à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussi
56
, des conversations de ce bal, autre chose que la
phrase
, l’unique phrase que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette
57
ns de ce bal, autre chose que la phrase, l’unique
phrase
que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir,
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x yeux ardents et au visage mongol. Il jouait des
phrases
simples, tragiques, à peine modulées, qui donnent le vertige, et dont
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au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la
phrase
, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel v
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ir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la
phrase
la plus malencontreuse de Pascal : le « Qui veut faire l’ange… » a au
61
majestueuse, et bientôt je me pris à composer des
phrases
, tout en allant comme en rêve sur l’herbe où s’étouffait tout bruit.
62
les heures consiste à n’écrire que quatre ou cinq
phrases
mais en tenant compte de tout ce qui bouge. Il importe de s’arrêter l
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je vais à pied, j’oublie en chemin les meilleures
phrases
que j’avais préparées pour subjuguer mes amies, je m’intéresse aux cr
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ayons, ils ont encore des lèvres pour me dire une
phrase
à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussi
65
, des conversations de ce bal, autre chose que la
phrase
, l’unique phrase que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette
66
ns de ce bal, autre chose que la phrase, l’unique
phrase
que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir,
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x yeux ardents et au visage mongol. Il jouait des
phrases
simples, tragiques, à peine modulées, qui donnent le vertige, et dont
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au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la
phrase
, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel v
69
r l’essentiel cette publication, termine ainsi la
phrase
: « Cruauté franche est signe de santé, dirait Nietzsche ». Nous sign
70
ir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la
phrase
la plus malencontreuse de Pascal : le « Qui veut faire l’ange… » a au
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majestueuse, et bientôt je me pris à composer des
phrases
, tout en allant comme en rêve sur l’herbe où s’étouffait tout bruit.
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les heures consiste à n’écrire que quatre ou cinq
phrases
mais en tenant compte de tout ce qui bouge. Il importe de s’arrêter l
73
t les conversations. Nous entendîmes la fin d’une
phrase
en italien, puis une fanfare joua l’hymne national. Le speaker répéta
74
o, j’ai envoyé à un certain nombre de mes amis la
phrase
suivante : « Au plus fort de la persécution entreprise par Julien l’A
75
ils le sont — que dire du Singe ? Je me répète la
phrase
de mon oncle. En revanche, comment ne pas croire à l’influence des pr
76
cabane au bord du lac ». Brève retraite, dont une
phrase
des Mémoires d’outre-tombe lui suffit pour décrire l’ennui : « Un mai
77
le plus fidèle de tous nos hôtes, en écrivant ces
phrases
sur le banc. Je viens de reprendre son Journal, pour vérifier s’il y
78
régulièrement avant d’avoir atteint la fin d’une
phrase
. Je sais bien que l’influence du suisse allemand y est pour beaucoup,
79
e je préfère au cinéma, ce sont les actualités. »
Phrase
mille fois entendue. Les journaux se couvrent de photos. La couvertur
80
niciens d’Amérique exprime ce point de vue en une
phrase
typique : « La grande majorité des ouvriers parle de Jésus-Christ et
81
ste, existe le savoir. Entendons maintenant cette
phrase
capitale de Kierkegaard : « L’Éthique ne commence pas dans une ignora
82
geant une décision. 2. Ch. Westphal rappelait la
phrase
de Fernandez : « Le chrétien est un embusqué de l’infini. » a. « Hum
83
mis sur le premier ou sur le second membre de la
phrase
—, ce cri est significatif de l’étrange équivoque cultivée par la bou
84
inations : « je turbine » ou « je ne fous rien ».
Phrases
d’esclaves, consternante misère : une misère qui nous rabat au sol.
85
la commodité du lecteur, je recopie les passages
phrases
auxquels s’attachent mes gloses. Je m’excuse par avance de l’avantage
86
’avantage que je m’accorde en détachant ainsi des
phrases
du contexte. Mais si j’adoptais une autre méthode, les dimensions de
87
er (p. 16). Pourquoi ai-je envie, dans une telle
phrase
, de remplacer « libre recherche » par « obéissance », — « respect pou
88
d’une Europe décadente, il ajoutait ces quelques
phrases
d’une sobre grandeur : En dépit d’un préjugé romantique, la décadenc
89
Cynisme ou naïveté ? Car il est évident que cette
phrase
, en fait, supprime toute philosophie. Ou bien le primum vivere se tro
90
dernier mot est essentiel — ou, pour reprendre la
phrase
de Shakespeare, à une histoire racontée par un idiot » (p. 261). C’es
91
Principe d’une politique du pessimisme actif. Une
phrase
de Kierkegaard résume, à mon sens, le fondement et la seule direction
92
gros volumes. Mais il suffit parfois de quelques
phrases
, d’un mot rendu à son vrai sens, pour orienter le débat intérieur, po
93
ue. Et que disent alors les bourgeois ? Les mêmes
phrases
, à peu près, mais sans y croire, ou du moins sans prouver par le fait
94
passé ou l’avenir. Un seul utile à tous La
phrase
de Carlyle est connue, résumant l’utilitarisme de Bentham : « Étant d
95
ttérature » moderne se résume, à mon sens, en une
phrase
un peu grossière : c’est une littérature qui aime parler pour ne rien
96
ommunauté. Le « fait nation », dans les dernières
phrases
de Pillau, n’apparaît-il pas lié au seul malheur des hommes ? Et n’es
97
faut rééduquer les citoyens. Je citerai ici trois
phrases
qu’on pourrait croire tirées de nos propres manifestes s’ils n’étaien
98
nt. Du chapitre sur l’Éducation, je retiens cette
phrase
: « La véritable culture ne s’acquiert qu’à partir du moment où l’hom
99
occasion de s’exercer, et la saisit. Par ces deux
phrases
, nous n’avons pas encore défini le concret comme tel, mais nous avons
100
e du port, par une certaine allure hautaine de la
phrase
. Mais que cet homme est empêtré par le scrupule de ce qu’il se doit !
101
crétin celui qui… » Je prends ces trois débuts de
phrases
dans une seule demi-page, au hasard (p. 73). On trouverait sans doute
102
t il ne saurait avoir raison en quelques tours de
phrases
élégants et péremptoires, et l’on se demande alors si ce bel « abatta
103
de Marx l’a cependant prévue. On se souvient des
phrases
fameuses concernant « le saut du royaume de la nécessité dans celui d
104
Principe d’une politique du pessimisme actif. Une
phrase
de Kierkegaard résume, à mon sens, le fondement et la seule direction
105
ple. J’insiste sur l’aspect humoristique de cette
phrase
, — sur son humour à deux tranchants. Le chrétien ne peut pas prendre
106
ible à un marxiste de le nier, en se référant aux
phrases
finales du Manifeste communiste, à certaines lettres de Engels, etc.
107
us de « personnes ». — La position définie par la
phrase
citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionnaires russes di
108
mis sur le premier ou sur le second membre de la
phrase
—, ce cri est significatif de l’étrange équivoque cultivée par la bou
109
inations : « je turbine » ou « je ne fous rien ».
Phrases
d’esclaves, consternante misère : une misère qui nous rabat au sol.
110
de Marx l’a cependant prévue. On se souvient des
phrases
fameuses concernant « le saut du royaume de la nécessité dans celui d
111
rincipe d’une politique du pessimisme actif. Une
phrase
de Kierkegaard résume, à mon sens, le fondement et la seule direction
112
ple. J’insiste sur l’aspect humoristique de cette
phrase
, — sur son humour à deux tranchants. Le chrétien ne peut pas prendre
113
ible à un marxiste de le nier, en se référant aux
phrases
finales du Manifeste communiste, à certaines lettres de Engels, etc.
114
us de « personnes ». — La position définie par la
phrase
citée de M. Nizan est exactement celle des révolutionnaires russes di
115
mis sur le premier ou sur le second membre de la
phrase
—, ce cri est significatif de l’étrange équivoque cultivée par la bou
116
inations : « je turbine » ou « je ne fous rien ».
Phrases
d’esclaves, consternante misère : une misère qui nous rabat au sol.
117
re sous ce nom n’est qu’un lamentable ramassis de
phrases
empruntées à des révolutions étrangères ou périmées, et de mots d’ord
118
ntractée. Dans son progrès strictement mesuré, la
phrase
ici, vraiment, réfléchit sous nos yeux. Ce n’est pas du récit. C’est
119
dans toutes les classes de la population ». Ces
phrases
sont extraites d’une brochure de Lénine intitulée Que faire ?19 Elles
120
apparemment, appuyés par les masses. Ce sont ces
phrases
enfin et l’attitude intransigeante qu’elles expriment, qui contiennen
121
avec la lutte prolétarienne. » Lénine cite cette
phrase
, et conclut brutalement, à sa manière, en s’écriant : « O Sancta simp
122
concernant la lutte des classes20. Mais les cinq
phrases
que nous citons ci-dessus définissent une tactique de groupe dont il
123
simplement Lénine. (Reprendre point par point les
phrases
citées de Que faire ?) D’où nous pouvons déduire deux conclusions cri
124
ère, ils découvrent leur véritable guérison. Ces
phrases
résument fort bien la thèse que Thurneysen soutient avec une passion
125
nhauer, parce que grand-père l’a connu et aimé ?
Phrase
typique d’un homme qui n’a jamais rencontré Dieu en Christ ; pas plus
126
simples et fondamentales, devrait être dit en une
phrase
, ou développé pendant toute une vie. Aussi bien n’ai-je pas l’intenti
127
ochefoucauld, à Chamfort, on ne rencontre pas une
phrase
qui se rapporte à l’expression ou au visage. Même La Bruyère, physio
128
tisme de Louis XIV sera l’expression achevée. Une
phrase
de Bossuet nous en apprend sur cette doctrine davantage que le mot pe
129
phe du souverain : l’État, c’est moi. Voici cette
phrase
, dont on croirait qu’elle concerne quelque Führer, et non le roi : «
130
la flatterie et par la cruauté. » Cette dernière
phrase
est caractéristique de l’aveuglement de l’auteur, et la noblesse fran
131
’il a 3000 pages. Mais que dites-vous de ces deux
phrases
qui me sont tombées sous les yeux tandis que je parcourais les chapit
132
ux, je résumerai toute ma critique dans une seule
phrase
: un tel compromis n’est possible, comme un douloureux pis-aller, que
133
eu tout-puissant qui permet de faire de si belles
phrases
, qui est si vrai, mais si « abstrait » — dit-on —, et qui vous laisse
134
bancaire et puritaine, Waldo Franck, a écrit une
phrase
qui condense très bien la substance de ce que je voudrais vous faire
135
impuissante et antisociale. » Je crois que cette
phrase
exprime la plus grande vérité actuelle, c’est-à-dire la plus méconnue
136
litique de nos cités. Commentons brièvement cette
phrase
. La cité moderne est en crise, parce que personne n’a su ou n’a osé p
137
ge 39 donne un bon exemple, trop long à citer, la
phrase
ayant 18 lignes (il y en a de beaucoup plus longues). Un certain ryth
138
. Bien des confusions traînent encore dans cette
phrase
. (« solide terrain de l’économie psychique » ?!) Mais cette affirmati
139
»). Je trouve l’explication de ces lapsus dans la
phrase
suivante : « Il y aura lieu de ramener l’action du poète à un phénomè
140
sfaisant, fidèle et pur. Notez aussi cette petite
phrase
du récit de Brett : « Puis vous partez écrire dans les bois. » On all
141
mais de continuer à analyser sans repos ». Cette
phrase
d’Alain montre très bien comment le souci d’honnêteté et de sérieux d
142
t se trouve exprimée tout entière par cette seule
phrase
: Premier temps : En avant ! Deuxième temps : Où allons-nous ? Des ex
143
monopoliser la grâce », écrit M. Miéville en une
phrase
proprement stupéfiante… h. « Autour de Nietzsche : petite note sur l
144
enda écrit dans le numéro de janvier de la NRF la
phrase
suivante : « La religion de l’esprit incarné est celle qui honore l’e
145
ant plus opportune, appliquée à l’auteur de cette
phrase
: « Authenticité, réalité, vérité, matière : autant de synonymes ou p
146
l’esthétique de Ramuz me paraît centrée sur cette
phrase
. Son vocabulaire tout d’abord. Cette abondance de noms de choses ! Co
147
té d’incarnation se manifeste dans l’allure de la
phrase
chez Ramuz. On a pu croire qu’il n’avait pas le sens du rythme : c’es
148
les changements de temps à l’intérieur d’une même
phrase
. Je ne crois pas qu’il soit possible de les ramener à une loi, ni mêm
149
auteur. ⁂ Le centre de Kierkegaard est dans cette
phrase
: « La subjectivité est la vérité. » La subjectivité, ce n’est pas le