1
erne du romantisme, Vinet l’avait trouvé. Mais sa
position
purement chrétienne — un mysticisme de cadre solidement moral, c’est-
2
vivre autant que de penser qui les ont amenés aux
positions
qu’on vient d’esquisser. Mais on trouve tout dans les livres des jeun
3
iscussion de ces thèses subtiles, d’autant que la
position
de l’auteur dans cet essai me paraît encore ambiguë : on peut se dema
4
s idées, on le sent un peu gauche encore dans les
positions
conquises. Il n’empêche que son livre manifeste une belle unité de pe
5
d’hui notre race… ». Et peut-être n’est-il pas de
position
plus périlleuse, puisqu’elle risque de ne laisser subsister en nous q
6
de la vie moderne.) Après avoir défini quelques «
positions
en face de l’inquiétude », M. Rops considère les deux solutions les p
7
s se fige à mesure que l’esprit s’établit sur ses
positions
. Or donc, j’avais vingt ans. Je vivais chez mes parents, comme tant d
8
petites phrases qui suffisent presque à situer la
position
d’attaque de nos auteurs : « Tout créateur néglige sa personnalité »
9
le de vouloir être soi. Ayant ainsi esquissé ses
positions
éthiques, l’auteur part pour Aden. Quel n’est pas son étonnement de d
10
stoire est faite de telles compensations. 3. Des
positions
politico-sociales comme le fascisme ou le national-socialisme ne sont
11
e chrétien, que gît la faiblesse religieuse de sa
position
. Ce qui, plus que tout, fait défaut à ce génie, c’est le sens tragiqu
12
un talent qu’il n’est plus temps de discuter, une
position
morale exemplairement ambiguë. Rien de plus légitime que le désir d’ê
13
dépasse. Cependant cette défense meurtrière d’une
position
toute théorique se révélant pour l’instant malaisée, ils utilisent le
14
tout de suite, ne comportent nulle allusion à la
position
politique de ce journal. Le titre : La Crise est dans l’homme 38, s’o
15
ord et la Russie de Staline ; il adopte enfin une
position
assez voisine de celle de MM. Aron et Dandieu, sans aller jusqu’à prô
16
a préface, se déclarer satisfait d’indiquer « des
positions
de résistance », une « ligne de retranchement ». Ce négativisme m’app
17
tuelles, forcer certains à se retrancher dans des
positions
que, peut-être, ils étaient bien près d’abandonner. Il nous est indif
18
s pour cela il faudrait tout d’abord connaître la
position
du calvinisme dialectique en face de l’action humaine. Position, marq
19
lvinisme dialectique en face de l’action humaine.
Position
, marquons-le tout de suite, intenable in abstracto, intenable en logi
20
tenable en logique rationaliste, comme toutes les
positions
existentielles, qu’ici nous défendrons ; intenable comme le fait chré
21
gnages qu’on a pu lire plus haut définissent deux
positions
révolutionnaires malaisément comparables : l’une matérialiste, l’autr
22
dialectique » de l’Histoire, qui caractérisent la
position
marxiste. Par contre, les bases doctrinales exposées ici par des memb
23
s des Alpes ici croisées, n’est pas seulement une
position
clef de l’Europe, mais aussi, et pour cette raison même, l’origine tr
24
les Églises que des institutions de classe. Cette
position
simpliste de problèmes vieux comme le monde chrétien a du moins le mé
25
re, assumé en pleine conscience. Telle sera notre
position
d’attaque vis-à-vis des intellectuels qui se prétendent « aux côtés d
26
e l’assiette au beurre et de la révolution. Seule
position
« pratique », affirment-ils, non sans une sincérité qui fait peine. C
28
eneurs, contre la condition prolétarienne. f. «
Positions
d’attaque », L’Ordre nouveau, Paris, n° 6, décembre 1933, p. II-III.
30
ans notre exposé. Voici donc en quelques mots nos
positions
de combat : 1° « Sans théorie révolutionnaire, pas d’action révolutio
31
ront se compléter. 5. Lénine : Que faire ? f. «
Positions
d’attaque pour l’ordre nouveau », La Revue des vivants, n° 12, décemb
32
rend également le retour à Calvin, comme aussi la
position
prise par Barth et son école (p. 14). L’adhésion à une pensée nouvell
33
on, comme si ce n’était pas là, déjà, prendre une
position
, mais à coup sûr, la pire ! Nous nous sommes laissés endormir. Nos ma
34
’il se voit à cette époque « dans la plus étrange
position
, où se puisse jamais trouver un mortel ». Mais depuis ! À mesure que
35
t-il pas le besoin de s’affirmer matérialiste. La
position
de Ramuz paraît assez voisine de celle de Berdiaev. Tous deux considè
36
rte non seulement des idées neuves — une nouvelle
position
des problèmes — mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiq
37
étroits que les auteurs ont su nouer entre leurs
positions
philosophiques et leurs conclusions d’ordre politique et social. Ces
38
tant qu’il n’est pas très facile de repérer leurs
positions
, sur le plan de l’action publique. On ne connaît pas en France de par
39
vue de notre foi, il me semble d’ailleurs qu’une
position
monarchiste peut être justifiée plus facilement — ne fût-ce que par l
40
le des actuelles monarchies protestantes — que la
position
nationaliste. Il y a dans le nationalisme moderne une véritable idolâ
41
hrétienne. La revue a d’ailleurs franchement pris
position
dans un numéro spécial intitulé : Rupture entre l’ordre chrétien et l
42
as aux rêves, et ce n’est pas l’affirmation d’une
position
politique qui permettra de « faire la France protestante ». Je croira
43
ie. Ce volume intitulé l’Homme debout définira la
position
philosophique de l’ON. Sur la position du groupe relativement aux jeu
44
éfinira la position philosophique de l’ON. Sur la
position
du groupe relativement aux jeunesses russes et fascistes, voir R. Dup
45
nul homme ne peut jamais se dire chrétien. Cette
position
paradoxale a permis les interprétations les plus diverses. Elle assur
46
r dans le néant. Seule la révolte du chrétien est
position
, obéissance. Si donc l’appel de Dieu isole du monde un homme, c’est q
47
s œuvres mineures, toute création réelle étant la
position
d’un acte indépendant des mécanismes de la société. Il nous faut fair
48
i véritable est celle qui croit sans avoir vu. Sa
position
nous paraît sur ce point tout à fait orthodoxe et courageuse. Au cont
49
ic et Nunc . Ces deux références peuvent fixer sa
position
spirituelle. Toutefois, l’exposé qu’on va lire n’est pas un résumé de
50
pas contenir une revendication de droit, mais une
position
de fait. La voici : le bien de tous n’est ni concevable ni réalisable
51
ences qu’on ne peut limiter au « privé ». Mais la
position
du chrétien dans le monde d’aujourd’hui est trop exceptionnelle — sin
52
on, comme si ce n’était pas là, déjà, prendre une
position
, mais, à coup sûr, la pire ! Nous nous sommes laissés endormir. Nos m
53
maximum. Troisième question. — Il y a dans votre
position
personnaliste un danger bien plus grand que celui de l’oligarchie. C’
54
maintenant indiquer en quelques thèses rapides la
position
personnaliste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes phi
55
t l’action, l’esprit et la matière. Il évoque une
position
théologique. Il évoque un certain humanisme, un certain moralisme, un
56
ède. Mais du moins la lutte est circonscrite, les
positions
sont nettes, connues de tous. Il y a même un fait très frappant : c’e
57
s qu’on a pu lire dans ce Cahier définissent deux
positions
révolutionnaires malaisément comparables : l’une matérialiste, l’autr
58
dialectique » de l’Histoire, qui caractérisent la
position
marxiste. Par contre, les bases doctrinales exposées ici par des memb
59
fs. Parce qu’il n’y a plus de « personnes ». — La
position
définie par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révo
60
assurer provisoirement le régime nouveau dans des
positions
qu’à vrai dire il n’avait pas suffisamment préparées. Cette tactique,
61
oser quelques maximes tactiques déduites de notre
position
personnaliste, il n’est pas inutile de formuler quelques remarques su
62
rsonnalistes dans le plan moral, ils occupent une
position
originale et bien nette, particulièrement propre à leur rallier une j
63
hrétienne. La revue a d’ailleurs franchement pris
position
dans un numéro spécial intitulé : Rupture entre l’ordre chrétien et l
64
uveau , ils sont cependant autonomes. 76. Sur la
position
du groupe relativement aux jeunesses russes et fascistes, voir R. Dup
65
rte non seulement des idées neuves — une nouvelle
position
des problèmes — mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiq
66
étroits que les auteurs ont su nouer entre leurs
positions
philosophiques et leurs conclusions d’ordre politique et social. Ces
67
’on ne peut limiter au domaine « privé ». Mais la
position
du chrétien dans le monde d’aujourd’hui est trop exceptionnelle — sin
68
on, comme si ce n’était pas là, déjà, prendre une
position
, mais, à coup sûr, la pire ! Nous nous sommes laissés endormir. Nos m
69
maximum. Troisième question. — Il y a dans votre
position
personnaliste un danger bien plus grand que celui de l’oligarchie. C’
70
maintenant indiquer en quelques thèses rapides la
position
personnaliste vis-à-vis de cette nouvelle tactique. Si les jeunes phi
71
t l’action, l’esprit et la matière. Il évoque une
position
théologique. Il évoque un certain humanisme, un certain moralisme, un
72
ède. Mais du moins la lutte est circonscrite, les
positions
sont nettes, connues de tous. Il y a même un fait très frappant : c’e
73
our la première fois, devant le grand public, les
positions
du mouvement personnaliste naissant, celles de la jeune droite, et ce
74
s qu’on a pu lire dans ce Cahier définissent deux
positions
révolutionnaires malaisément comparables : l’une matérialiste, l’autr
75
dialectique » de l’Histoire, qui caractérisent la
position
marxiste. Par contre, les bases doctrinales exposées ici par des memb
76
fs. Parce qu’il n’y a plus de « personnes ». — La
position
définie par la phrase citée de M. Nizan est exactement celle des révo
77
assurer provisoirement le régime nouveau dans des
positions
qu’à vrai dire il n’avait pas suffisamment préparées. Cette tactique,
78
oser quelques maximes tactiques déduites de notre
position
personnaliste, il n’est pas inutile de formuler quelques remarques su
79
rsonnalistes dans le plan moral, ils occupent une
position
originale et bien nette, particulièrement propre à leur rallier une j
80
hrétienne. La revue a d’ailleurs franchement pris
position
dans un numéro spécial intitulé : Rupture entre l’ordre chrétien et l
81
changé. La crise nous a fait voir soudain que les
positions
intellectuelles héritées du libéralisme conduisaient à ce régime de f
82
ans, l’intervention de ce génie considérable, la
position
de cette question plutôt gênante qu’est son œuvre en plein cœur de no
83
s son rôle de simple observateur. Étant donnée sa
position
essentiellement intermédiaire, l’on conçoit que ce n’est que justice.
84
ui. Tous comptes faits, toute vie consumée, toute
position
rongée et corrodée par le réactif qu’elle secrète, toutes ces évaluat
85
trois activités de Dieu bien distinctes. « Cette
position
différente dans la hiérarchie de Dieu distingue les trois temps d’une
86
vement naturel et perverti de nos pensées. Cette
position
du problème, que nous venons d’esquisser, nous permettra de situer ho
87
re est un acte, j’entends par acte, justement, la
position
d’une qualité incomparable, jaillie de l’opposition de deux termes au
88
rt à la menace ou à l’espoir du fascisme, que les
positions
se dessinent. Mais alors, si la droite et la gauche deviennent les vr
89
l. Nous pensons avoir été plus loin que la simple
position
théorique du problème — et nos expériences de cet été le prouvent. Ma
90
principe, à César. Sans préjudice d’une prise de
position
occasionnelle en faveur d’une cause humaine, de la patrie, ou même de
91
antithèse est forcée et que mes définitions de la
position
catholique ne sont pas formulées en termes catholiques. Je comprends
92
e ce genre. Et pourtant, pour peu qu’on adopte la
position
des catholiques eux-mêmes vis-à-vis de leurs grands docteurs, on est
93
e cette opinion commune est un négatif absolu des
positions
fondamentales de la Réforme. Voilà l’opposition réelle, du noir au bl
94
ou, comme je l’écrivais, son grand pouvoir. » Les
positions
sont nettes maintenant. Examinons alors l’origine du secret que l’Égl
95
lement drame entre la vision et l’objet, entre la
position
de l’homme et la proposition du monde. C’est la région de la rencontr
96
ise contre le problème du Mal ». Notons que cette
position
du problème, ce double front contre l’athéisme et contre le dogmatism
97
te, avant tout, c’est de retrouver intégrées à la
position
d’Esprit les notions de minimum vital intérieur et européen, de servi
98
faudrait pourtant refaire les bases…) Quant à la
position
d’Henri Petit vis-à-vis de la foi, je m’excuse de la résumer en trois
99
— j’admire qu’un incroyant ait su donner à notre
position
personnaliste sa plus solide justification humaine. Henri Petit veut
100
Europe ; et ce serait pour nous désespérer de nos
positions
les plus fondamentales. Tout nous porte d’ailleurs à croire que les y
101
ahurissement profond. Quand elle l’avait remis en
position
, c’était le hérisson qui se déroulait et courait dans la haie voisine
102
ahurissement profond. Quand elle l’avait remis en
position
, c’était le hérisson qui se déroulait et courait dans la haie voisine
103
Ils y déploient cependant une vulgarité que leur
position
rend frappante, et une insigne maladresse, surtout lorsqu’ils prétend
104
el abandonné au jeu des lois. Le confort de cette
position
n’est pas niable, tant qu’il ne s’agit de rien d’autre que d’édifier,
105
-unes des conséquences (méthodologiques) de notre
position
. ⁂ Nous ne pouvons faire comprendre la véritable valeur d’une philoso
106
ahurissement profond. Quand elle l’avait remis en
position
, c’était le hérisson qui se déroulait et courait dans la haie voisine
107
Ils y déploient cependant une vulgarité que leur
position
rend frappante, et une insigne maladresse, surtout lorsqu’ils prétend
108
el abandonné au jeu des lois. Le confort de cette
position
n’est pas niable, tant qu’il ne s’agit de rien d’autre que d’édifier,
109
dire que toutes les attaques marxistes contre les
positions
d’Esprit et de l’ON depuis quatre ans, n’avaient pas même l’excuse de
110
t avec un naturel qui est succès de ce livre, les
positions
constructives d’Esprit, et même de L’Ordre nouveau (lequel était part
111
amner les Italiens et leurs admirateurs français,
position
négative, paresseuse, et donc faible, mais d’essayer de résoudre « à
112
inue en Espagne, les deux camps restent sur leurs
positions
. Troisième figure. — Février. Les Italiens prennent Malaga, mais Rom
113
iolence et la brutalité, c’est se placer dans une
position
spirituelle inférieure, pour autant que la défensive est en principe
114
é — très peu systématique, et c’est heureux — des
positions
maîtresses de la Réforme. Quant à la thèse particulière, qui est la n
115
ou moins déjeté. Cela provient évidemment de leur
position
quand ils travaillent aux champs. Et cette position provient de la fo
116
sition quand ils travaillent aux champs. Et cette
position
provient de la forme de leurs outils. Ils n’utilisent guère que des «
117
e de la vérité. Le mot d’incarnation résume cette
position
. On nageait en pleine confusion. Les anciens se vantaient et accablai
118
la réalité fédéraliste. Or il se trouve que notre
position
personnaliste est fondamentalement liée à une forme fédérative de l’É
119
eois et du collectivisme dictatorial. Elle est la
position
centrale, à la fois naturelle et spirituelle, dont l’individualisme e
120
ou moins déjeté. Cela provient évidemment de leur
position
quand ils travaillent aux champs. Et cette position provient de la fo
121
sition quand ils travaillent aux champs. Et cette
position
provient de la forme de leurs outils. Ils n’utilisent guère que des «
122
amner les Italiens et leurs admirateurs français,
position
négative, paresseuse, et donc faible, mais d’essayer de résoudre « à
123
auteur de Penser avec les mains reprend ici les
positions
de l’Ordre nouveau. On sait qu’il s’agit d’une dichotomie, rationnell
124
changé. La crise nous a fait voir soudain que les
positions
intellectuelles héritées du libéralisme conduisaient à ce régime de f
125
le conclue une enquête sur le capitalisme sur les
positions
grotesques (économiquement parlant) de M. Coquelle-Viance ? Le Féd
126
chapitre qui paraît aujourd’hui précise assez ma
position
: on a pu voir les motifs que j’avais de ne point en appeler à Lawren
127
pas une opinion personnelle qu’il expose, mais la
position
officielle du Parti et du Führer. » À la suite de ce discours, l’étud
128
n 1921, nous constatons que, dans l’ensemble, les
positions
furent très vite prises, et très nettement. « Tandis qu’à la manière
129
Ces « propos » s’égrènent de 1908 à 1935, mais la
position
de l’auteur n’a pas varié durant ce temps. Elle se ramène, me semble-
130
avamment et trop scrupuleusement — l’ensemble des
positions
« officielles » de la philologie et de l’histoire littéraire pour ne
131
l me paraît important de reconnaître au moins, sa
position
. Qu’on parte de la passion ou de la mystique pour tenter de ramener l
132
oir passé la nuit à se promener et à retourner la
position
… Et l’attaque commencée, ils sont jusqu’au bout ces comédiens étonnan
133
te se dit en allemand Niederlage, littéralement :
position
de qui gît à terre, de qui est couché au-dessous (cf. l’expression «
134
l. Comment situer dans l’Europe d’aujourd’hui les
positions
civiques de la Réforme et sa morale personnaliste ? Calvin, vous le s
135
. Calvin combattait sur deux fronts, au nom d’une
position
non point centriste, mais centrale. Nous, de même, reprenons le comba
136
l me paraît important de reconnaître au moins, sa
position
. Qu’on parte de la passion ou de la mystique pour tenter de ramener l
137
oir passé la nuit à se promener et à retourner la
position
… Et l’attaque commencée, ils sont jusqu’au bout ces comédiens étonnan
138
te se dit en allemand Niederlage, littéralement :
position
de qui gît à terre, de qui est couché au-dessous. (Cf. l’expression «
139
l me paraît important de reconnaître au moins, sa
position
. Qu’on parte de la passion ou de la mystique pour tenter de ramener l
140
oir passé la nuit à se promener et à retourner la
position
… Et l’attaque commencée, ils sont jusqu’au bout des comédiens étonnan
141
te se dit en allemand Niederlage, littéralement :
position
de qui gît à terre, de qui est couché au-dessous. (Cf. l’expression «
142
ttéralement « inestimable ». Comment prendrait-on
position
devant un homme qui récuse sans cesse tout parti pris, et d’abord, qu
143
i catholique, je suis chrétien tout simplement. »
Position
caractéristique du protestantisme libéral tel qu’il se développa au s
144
qu’il faut se forcer pour n’abandonner point les
positions
auxquelles on tient, et qui ne sont pas exactement les siennes… ar.
145
guerre. Le seul moyen de dépasser cette mauvaise
position
du problème, c’est de prévoir pour la cité et la culture une structur
146
e nous jugions tout à l’heure insuffisants. Notre
position
géographique, par exemple, est un péril certain si l’on ne s’attache
147
des, par nos initiatives, par certaines prises de
position
peut-être, les bases de la fédération européenne. L’illustrer, c’est