1
riche et un peu lourde, son pinceau la palpe, la
presse
, la réduit à la forme qu’il voit. Il y a de la sensualité dans l’écra
2
du cauchemar où les plongent toutes vos drogues :
presse
, ciné, faux-luxe, suffrage universel, instruction publique. Cela prom
3
du cauchemar où les plongent toutes vos drogues :
presse
, ciné, faux-luxe, suffrage universel, instruction publique. Cela prom
4
élégance à bon marché qu’on nous prodigue dans la
presse
. Les sujets : Walter Pater, Tolstoï, Hardy, Stefan George, Hofmannsth
5
urd’hui en disant vite et sans calcul ce qui nous
presse
qu’on la dira le moins imparfaitement. Je ne t’envoie qu’une lettre.
6
vue qu’ont été réunies — rapidement car tout nous
presse
— les déclarations que l’on va lire. i. « Cahier de revendications
7
ec peut-être un air de dégoût, par mégarde… On se
presse
au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereuseme
8
apportèrent tant d’argent aux propriétaires de la
presse
qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là plus inquiéta
9
ec peut-être un air de dégoût, par mégarde… On se
presse
au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereuseme
10
apportèrent tant d’argent aux propriétaires de la
presse
qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là plus inquiéta
11
ses bottées, nu-tête, chemise ouverte, dont notre
presse
aime à railler les uniformes, qu’avons-nous à aligner ? Un attirail d
12
vent servir à déterminer le niveau d’une certaine
presse
. Si l’on ne voit dans l’auteur d’Adam et Ève qu’une sorte de folklori
13
et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la
presse
, auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La cl
14
s nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la
presse
. On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies.
15
les sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la
Presse
, c’est-à-dire par l’un des agents les plus puissants qui travaillent
16
le revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la
Presse
(payée par l’État, les banques et le capital) et à la Publicité. L’ho
17
er de l’État, par l’ambiance morale que créent la
Presse
et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent
18
e départ. Alors que les partis aux prises dans la
presse
évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se can
19
oup plus considérable qu’on le croirait à lire la
presse
politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fa
20
blera son fol orgueil : n’a-t-il pas écrit que la
presse
est de nos jours l’obstacle décisif à la prédication du christianisme
21
À quoi tend la pensée… de Kierkegaard ? Contre la
presse
et l’opinion publique, il proteste en faveur de ce qui est « original
22
s hommes préalablement abêtis par l’école, par la
presse
, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon b
23
tes finit toujours par opposer au chrétien qui le
presse
de conclure sur la destination de l’homme, un « on verra plus tard »,
24
et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la
presse
, auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La cl
25
s nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la
presse
. On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies.
26
politiques : il supprime les partis et jugule la
presse
. L’État fasciste enfin résume et codifie officiellement l’idéal natio
27
vue qu’ont été réunies — rapidement car tout nous
presse
— les déclarations que l’on va lire. Suivaient onze « témoignages »
28
les sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la
Presse
, c’est-à-dire par l’un des agents les plus puissants qui travaillent
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le revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la
Presse
(payée par l’État, les banques et le capital) et à la Publicité. L’ho
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er de l’État, par l’ambiance morale que créent la
Presse
et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent
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e départ. Alors que les partis aux prises dans la
presse
évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se can
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plus considérable qu’on ne le croirait à lire la
presse
politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fa
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tes finit toujours par opposer au chrétien qui le
presse
de conclure sur la destination de l’homme, un « on verra plus tard »,
34
et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la
presse
, auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La cl
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s nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la
presse
. On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies.
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politiques : il supprime les partis et jugule la
presse
. L’État fasciste enfin résume et codifie officiellement l’idéal natio
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ue qu’ont été réunies — rapidement, car tout nous
presse
— les déclarations que l’on va lire. Suivaient onze « témoignages »
38
les sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la
Presse
, c’est-à-dire par l’un des agents les plus puissants qui travaillent
39
le revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la
Presse
(payée par l’État, les banques et le capital) et à la Publicité. L’ho
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er de l’État, par l’ambiance morale que créent la
Presse
et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent
41
e départ. Alors que les partis aux prises dans la
presse
évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se can
42
us faire envier la suppression des libertés de la
presse
. (Si les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois
43
ue lutte contre le divorce, alors que toute notre
presse
bourgeoise lui fait une publicité tapageuse. Et l’adultère, Messieurs
44
n jeu secret qui se joue sur nos têtes et dont la
Presse
nous donne l’image conventionnelle. Entre les forces qui dominent la
45
et l’injustice tolérés, devenus normaux, c’est la
presse
, l’exploitation des pauvres, la raison du plus fort et la loi du tali
46
ncer cette autre tyrannie qui s’appelle la grande
presse
, et qui voudrait se faire prendre pour l’opinion publique, alors qu’e
47
r ne sont jamais si lyriquement loués que dans la
presse
quotidienne… Quant à la carrière du chômage, je lui vois bien des agr
48
ditionnée par ladite crise ; vu l’existence de la
presse
et la puissance de la publicité ; vu le chômage des intellectuels et
49
els du dernier siècle, et qui nous vaut la Grande
Presse
, l’éloquence parlementaire et la jungle capitaliste. Mais le Comité d
50
omatie moscoutaire, le parlementarisme, la grande
presse
. Rien de plus frappant que cette communauté de refus à gauche et à dr
51
mis en œuvre. L’indignation d’une partie de notre
presse
contre les procédés de pression utilisés par le parti N.-S. vient d’u
52
us faire envier la suppression des libertés de la
presse
. (Si les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois
53
ue lutte contre le divorce, alors que toute notre
presse
bourgeoise lui fait une publicité tapageuse. Et l’adultère, Messieurs
54
saient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la
presse
russe des déclarations de ce genre « Le niveau culturel a été élevé p
55
es factions partisanes, vieillards aux commandes,
presse
« libre » aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement,
56
ontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une
presse
d’opposition, une population civile plus nombreuse que la militaire,
57
encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plus ni
presse
d’opposition, ni partis, ni civils indifférents et inutilisables, ni
58
les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la
presse
d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Ré
59
se d’opposition, par Staline qui fait taire cette
presse
au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles
60
son immédiate de la crise actuelle du langage. La
presse
, la radio, l’éloquence politique et les ouvrages populaires à grand t
61
modes, l’usage, l’usure des mots aggravés par la
presse
et par la politique, ont peu à peu fait passer pour communes des sign
62
ivre des valeurs qu’on leur transmet, soit par la
presse
, soit par l’école, ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes
63
les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la
presse
d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Ré
64
se d’opposition, par Staline qui fait taire cette
presse
au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles
65
son immédiate de la crise actuelle du langage. La
presse
, la radio, l’éloquence politique et les ouvrages populaires à grand t
66
saient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la
presse
russe des déclarations de ce genre : « Le niveau culturel a été élevé
67
es factions partisanes, vieillards aux commandes,
presse
« libre » aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement,
68
ontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une
presse
d’opposition, une population civile plus nombreuse que la militaire,
69
encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plus ni
presse
d’opposition, ni partis, ni civils indifférents et inutilisables, ni
70
ensibilité éthique nous avertit du danger et nous
presse
de rechercher et de nommer ses causes. Au risque de forcer un peu les
71
Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la
presse
et de l’éloquence électorale. Si l’on se mettait à vivre sa morale, i
72
ivre des valeurs qu’on leur transmet, soit par la
presse
, soit par l’école, ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes
73
les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la
presse
d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Ré
74
se d’opposition, par Staline qui fait taire cette
presse
au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles
75
son immédiate de la crise actuelle du langage. La
presse
, la radio, l’éloquence politique et les ouvrages populaires à grand t
76
saient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la
presse
russe des déclarations de ce genre : « Le niveau culturel a été élevé
77
es factions partisanes, vieillards aux commandes,
presse
« libre » aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement,
78
ontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une
presse
d’opposition, une population civile plus nombreuse que la militaire,
79
encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plus ni
presse
d’opposition, ni partis, ni civils indifférents et inutilisables, ni
80
ensibilité éthique nous avertit du danger et nous
presse
de rechercher et de nommer ses causes. Au risque de forcer le trait,
81
Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la
presse
et de l’éloquence électorale. Si l’on se mettait à vivre sa morale, i
83
des partisanneries politiques qui est celui de la
presse
française, rend à peu près impossibles une documentation objective et
84
ctive et une information sincère. Le procès de la
presse
n’est plus à faire. Sa réforme pose tant de problèmes et entraîne de
85
des journaux. Le but L’objet des « Clubs de
presse
», en même temps que de préparer et d’accélérer cette réforme nécessa
86
et aux méthodes aujourd’hui faussées de la grande
presse
imprimée. Le principe Ce sont les mêmes procédés techniques (im
87
entralisation, etc.) qui ont fait le succès de la
presse
moderne, qui font aujourd’hui son servage. « L’imprimé » qui était, i
88
Il s’agit, en contrôlant, en systématisant cette
presse
parlée qui se crée spontanément, d’établir dans toute la France, un v
89
s grand nombre possible de localités un « Club de
presse
». Les adhérents se réunissent une fois par semaine, pour recevoir et
90
une partie critique. C’est une sorte de revue de
presse
commentée. On y relèvera les contradictions et les déformations de la
91
s contradictions et les déformations de la grande
presse
ou de la presse d’opinion, en donnant chaque fois les raisons politiq
92
et les déformations de la grande presse ou de la
presse
d’opinion, en donnant chaque fois les raisons politiques ou financièr
93
la documentation que continuera à leur fournir la
presse
. Elle pourrait être une sorte d’école permanente des lecteurs de jour
94
s de journaux ; 3° une partie documentaire sur la
presse
. Tout en cherchant à remédier à l’action néfaste de la presse imprimé
95
en cherchant à remédier à l’action néfaste de la
presse
imprimée en se plaçant hors de son domaine, les « Clubs » n’oublient
96
s » n’oublient pas que la réforme organique de la
presse
est le but final. Dans cette partie, on réunira petit à petit, une do
97
on précise sur la structure et le mécanisme de la
presse
. Soit en signalant toutes les modifications dans la commandite, la di
98
ssionnels, législatifs, que pose la réforme de la
presse
. Dès à présent, de tels documents facilitent aux adhérents l’objet de
99
tin : savoir lire avec le minimum de duperie, une
presse
truquée. L’esprit Il est évident que la portée d’une telle entr
100
de la création et du fonctionnement des clubs de
presse
. Les « Clubs de presse » sont fondés et dirigés par Denis de Rougemon
101
onctionnement des clubs de presse. Les « Clubs de
presse
» sont fondés et dirigés par Denis de Rougemont et R.-Philippe Millet
102
ugement. Mais ils s’engagent, dans les « clubs de
presse
», à défendre les principes qui leur sont communs : primauté de la pe
103
Denis de Rougemont. e. « Formons des clubs de
presse
», La Flèche, Paris, n° 51, 30 janvier 1937, p. 2. Précédé de la noti
104
t lecteurs de La Flèche le manifeste des clubs de
presse
en formation. À l’heure où la grande presse française se constitue ch
105
bs de presse en formation. À l’heure où la grande
presse
française se constitue chaque jour davantage en trusts, il ne suffit
106
éloignée, si peu importante soit-elle, le club de
presse
dont ils seront les instigateurs devienne rapidement un organisme cra
107
l’heure où l’Argent-roi investit complètement la
presse
française, à l’heure où Havas règne, à l’heure où la diffusion de la
109
s sont bouleversées. L’instruction publique et la
Presse
répandent sinon le goût, du moins la pratique quotidienne de la lectu
110
au gagnant d’une autre loterie ! Toute la grande
presse
en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 3 février
111
? Il y aurait beaucoup à dire là-dessus… 74. La
presse
de droite qui avait exploité bruyamment la nouvelle de la nomination
112
situation » qui fait de moi, pour parler comme la
presse
, un « intellectuel en chômage. » (Écrire, aux yeux de ces paysans, ne
113
ent aux yeux du premier venu. 13 février 1934 La
presse
. — Je note à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « d
114
e à l’usage d’un futur historien des mœurs que la
presse
« de droite » reflète assez exactement la mentalité et les conversati
115
ons de la bourgeoisie conservatrice, alors que la
presse
de gauche ne reflète nullement la mentalité ni les conversations popu
116
même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre
presse
d’extrême gauche lorsqu’elle défend le même Léon Blum pour des raison
117
plaçable d’une nation. L’autorité qu’une certaine
presse
suisse s’était acquise à l’étranger reposait justement sur le fait qu
118
contraignaient même en quelque mesure.) Mais une
presse
suisse partisane, à la manière des partisans français ou allemands, n
119
artisans français ou allemands, n’est plus qu’une
presse
d’intérêt local. Là encore, nos chances sont uniques, nous pourrions
120
nos voisins dans les mœurs politiques et dans la
presse
, tout cela menace et compromet non seulement nos chances à venir, mai
121
tites, qui sont médiocres. J’ai cité le cas de la
presse
, se réduisant elle-même au rôle de presse locale. Il faut bien dire a
122
s de la presse, se réduisant elle-même au rôle de
presse
locale. Il faut bien dire aussi que notre fédéralisme tend à se rédui
123
. La politique se fonde sur cette croyance, et la
presse
arrive parfois à lui donner une certaine consistance. Mais ce qui peu
124
r tel autre sujet, il vous rend ce que d’autres —
presse
ou partis — lui ont prêté, c’est-à-dire la monnaie de votre pièce, no
125
» tactique du matérialisme vulgaire, celui que la
presse
bourgeoise a si beau jeu d’attaquer aujourd’hui — encore qu’elle le p
126
x yeux du premier venu. 13 février 1934 La
presse
. — Je note à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « d
127
e à l’usage d’un futur historien des mœurs que la
presse
« de droite » reflète assez exactement la mentalité et les conversati
128
ons de la bourgeoisie conservatrice, alors que la
presse
de gauche ne reflète nullement la mentalité ni les conversations popu
129
s sont bouleversées. L’instruction publique et la
Presse
répandent sinon le goût, du moins la pratique quotidienne de la lectu
130
s hommes préalablement abêtis par l’école, par la
presse
, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon b
131
au gagnant d’une autre loterie ! Toute la grande
presse
en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 28 jan
132
a. 28 juillet 1935 Le Prochain. — Dans la
presse
du métro, vers 7 heures du soir, j’avais réussi à ouvrir le livre que
133
u réarmement à outrance, et même au-delà. Mais la
presse
n’en parlera pas, cela va de soi, c’est le seul but commun à tous les
134
dère sans envie notre périlleuse liberté, dont sa
presse
raille les abus, mais dont il espère en secret que sortira sa propre
135
mbrables discours politiques et des leaders de la
presse
mise au pas. Certes, les Allemands ont toujours eu le sens du groupe,
136
États-Unis, s’il faut en croire certains échos de
presse
sur la vie privée des stars et des magnats de la finance. 87. L’aven
137
ène la lutte contre la Russie rouge dans toute la
presse
qu’il possède en Europe, le fait vraiment au nom de l’Évangile ? Et j
138
ire est à peu près l’inverse de la fonction de la
presse
. Qu’attendons-nous des journalistes publics, des grands reporters ? U
139
mbrables discours politiques et des leaders de la
presse
mise au pas. Certes, les Allemands ont toujours eu le sens du groupe,
140
té même des jeunes, voilà le totalitarisme. La
presse
. — Il faut porter à l’actif du régime hitlérien le fait d’avoir su re
141
du régime hitlérien le fait d’avoir su rendre la
presse
ennuyeuse. Car elle est ennuyeuse, tout le monde le dit ; et qu’un le
142
coureurs cyclistes. Toutes ces raisons rendent la
presse
allemande assommante pour le grand public. Les tirages baissent, le n
143
gtemps que Kierkegaard a vu que l’existence de la
presse
quotidienne « rend le christianisme impossible ».) De plus, ces journ
144
rêt à se faire tuer pour assurer la liberté de sa
presse
: le droit pour un journal de se vendre à qui il veut, et d’inventer
145
s observations banales souvent reproduites par la
presse
étrangère. S., directeur d’un des plus grands trusts du Reich, naguèr
146
ys à dix contre un sans avoir à tirer un obus. La
presse
italienne, dans son ardeur de néophyte, vend la mèche lorsqu’elle opp
147
e et de pression morale tels que radio, police et
presse
, introduisent dans le monde actuel des possibilités plus radicales d’
148
ne certaine inconscience, d’une ignorance dont la
presse
, de nos jours, nous prive avec acharnement. Du moins voudrait-on rapp
149
comme plus réel que ce monde. La fatalité qui les
presse
, et à laquelle ils s’abandonnent en gémissant, supprime l’opposition
150
États-Unis, s’il faut en croire certains échos de
presse
sur la vie privée des stars et des magnats de la finance. 187. L’ave
151
comme plus réel que ce monde. La fatalité qui les
presse
, et à laquelle ils s’abandonnent en gémissant, supprime l’opposition
152
comme plus réel que ce monde. La fatalité qui les
presse
, et à laquelle ils s’abandonnent en gémissant, supprime l’opposition
153
« Le plus grand adversaire de l’esprit, c’est la
presse
quotidienne. On ne peut plus prêcher le christianisme dans un monde o
154
rêcher le christianisme dans un monde où règne la
presse
. » Et Nietzsche, de son côté, dénonçait la manie d’organiser et de ce
155
ont quelques milliers de lecteurs, tandis que la
presse
du soir et la radio atteignent chaque jour des millions d’hommes, et
156
e s’échangent — que le premier se mette à lire la
presse
du soir, et le second celle du matin ? 29 avril 1939 Comme il est des
157
eur fructueuse entente… Mais rien n’y fait, notre
presse
continue, nos partis continuent, nos arguments ne changent pas d’un d
158
es mesures « de prudence » prises à l’égard de la
presse
— par qui de droit — et qui consistent à ménager non seulement la chè
159
a pas donné un sou, quoi qu’en dise une certaine
presse
qui ne se défend plus qu’à coup de calomnies. Ni les « Éléphants », n
160
es de nos institutions : quoi qu’en dise certaine
presse
, la Suisse mourra si elle se borne à se féliciter de son statut actue
161
; études et projets techniques ; contact avec la
presse
; etc., etc. D’autres objectifs immédiats ne peuvent être atteints qu
162
VIII. La Ligue du Gothard vue par la
presse
Rien ne pouvait mieux démontrer la nécessité de notre Ligue que l’i
163
s espoirs que sa seule annonce a réveillés. Si la
presse
, celle qui sent notre époque et ses métamorphoses, a montré, vis-à-vi
164
« Le plus grand adversaire de l’esprit, c’est la
presse
quotidienne. On ne peut plus prêcher le christianisme dans un monde o
165
rêcher le christianisme dans un monde où règne la
presse
. » Et Nietzsche, de son côté, dénonçait la manie d’organiser et de ce
166
ont quelques milliers de lecteurs, tandis que la
presse
du soir et la radio atteignent chaque jour des millions d’hommes, et
167
même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre
presse
d’extrême gauche lorsqu’elle défend le même Léon Blum pour des raison
168
plaçable d’une nation. L’autorité qu’une certaine
presse
suisse s’était acquise à l’étranger reposait justement sur le fait qu
169
contraignaient même en quelque mesure.) Mais une
presse
suisse partisane, à la manière des partisans français ou allemands, n
170
artisans français ou allemands, n’est plus qu’une
presse
d’intérêt local. Là encore, nos chances sont uniques, nous pourrions
171
nos voisins dans les mœurs politiques et dans la
presse
, tout cela menace et compromet non seulement nos chances à venir, mai
172
tites, qui sont médiocres. J’ai cité le cas de la
presse
, se réduisant elle-même au rôle de presse locale. Il faut bien dire a
173
s de la presse, se réduisant elle-même au rôle de
presse
locale. Il faut bien dire aussi que notre fédéralisme tend souvent à
174
eur fructueuse entente… Mais rien n’y fait, notre
presse
continue, nos partis continuent, nos arguments ne changent pas d’un d
175
es mesures « de prudence » prises à l’égard de la
presse
— par qui de droit — et qui consistent à ménager non seulement la chè
176
ires : c’est le meilleur qui gagnera. Bien que la
presse
, à peu d’exceptions près, soutienne Willkie — comme elle soutint Land
177
eterre. Le lendemain même de l’élection, toute la
presse
qui venait de soutenir Willkie avec ensemble, et qui n’avait pas cess
178
ruine, division, guerre et inflation, toute cette
presse
proclamait l’union des partis, l’oubli des polémiques, la confiance d
179
ement telle ou telle mesure prise par l’État : la
presse
et la radio lui en offrent les moyens. S’il a quelque chose de mieux
180
ction. Si je relève tous ces traits, c’est que la
presse
et la radio ne cesseront de les souligner et de les détailler le lend
181
s, ne l’a pas vu. C’est pourtant le désir qui les
presse
, et l’amour appelant l’amour aux chambres vides, dans la sonorité gla
182
és se fédèrent au service du pays. Quand le temps
presse
, comme aujourd’hui, l’on voit ce qui compte, et c’est cela qui unit.
183
ment le christianisme dans un monde dominé par la
presse
quotidienne. Toutefois, l’incognito du Prince de ce monde devint diff
184
s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la
presse
, les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
185
on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la
presse
et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
186
ntaire, contrats sociaux, lois, opinion publique,
presse
libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite,
187
ment le christianisme dans un monde dominé par la
presse
quotidienne. Toutefois, l’incognito du Prince de ce monde devint diff
188
s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la
presse
, les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
189
on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la
presse
et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
190
ntaire, contrats sociaux, lois, opinion publique,
presse
libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite,
191
ment le christianisme dans un monde dominé par la
presse
quotidienne. Toutefois, l’incognito du Prince de ce monde devint diff
192
s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la
presse
, les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
193
on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la
presse
et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
194
ntaire, contrats sociaux, lois, opinion publique,
presse
libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite,
195
s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la
presse
, les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
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on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la
presse
et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
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groupes personnalistes critiquaient également la
presse
en France. Vénale, pauvre en informations, ou mensongère, elle ne ref
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? Les personnalistes organisèrent des « clubs de
presse
». Dans chaque quartier de grande ville, dans chaque commune, des cor
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ransmettre des informations vraies (celles que la
presse
passait sous silence), lui révéler les secrets de la vénalité des gra
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crise révolutionnaire ou d’invasion, Les Clubs de
presse
personnalistes fournirent ainsi le premier modèle des publications fa
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Note de l’auteur Ce livre allait être mis sous
presse
en mai 1940, lorsque se déclencha la bataille de France. Le manuscrit
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blera son fol orgueil ; n’a-t-il pas écrit que la
presse
est de nos jours l’obstacle décisif à la prédication du christianisme
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À quoi tend la pensée de Kierkegaard ? Contre la
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et l’opinion publique, il proteste en faveur de ce qui est « original
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modes, l’usage, l’usure des mots, aggravés par la
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et par la politique, ont peu à peu fait passer pour communes des sign