1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 riche et un peu lourde, son pinceau la palpe, la presse , la réduit à la forme qu’il voit. Il y a de la sensualité dans l’écra
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
2 du cauchemar où les plongent toutes vos drogues : presse , ciné, faux-luxe, suffrage universel, instruction publique. Cela prom
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
3 du cauchemar où les plongent toutes vos drogues : presse , ciné, faux-luxe, suffrage universel, instruction publique. Cela prom
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
4 élégance à bon marché qu’on nous prodigue dans la presse . Les sujets : Walter Pater, Tolstoï, Hardy, Stefan George, Hofmannsth
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
5 urd’hui en disant vite et sans calcul ce qui nous presse qu’on la dira le moins imparfaitement. Je ne t’envoie qu’une lettre.
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
6 vue qu’ont été réunies — rapidement car tout nous presse — les déclarations que l’on va lire. i. « Cahier de revendications
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
7 ec peut-être un air de dégoût, par mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereuseme
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
8 apportèrent tant d’argent aux propriétaires de la presse qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là plus inquiéta
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
9 ec peut-être un air de dégoût, par mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereuseme
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 apportèrent tant d’argent aux propriétaires de la presse qui publie ces articles, me paraissaient en ce temps-là plus inquiéta
11 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
11 ses bottées, nu-tête, chemise ouverte, dont notre presse aime à railler les uniformes, qu’avons-nous à aligner ? Un attirail d
12 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
12 vent servir à déterminer le niveau d’une certaine presse . Si l’on ne voit dans l’auteur d’Adam et Ève qu’une sorte de folklori
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
13 et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la presse , auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La cl
14 s nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la presse . On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies.
14 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
15 les sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la Presse , c’est-à-dire par l’un des agents les plus puissants qui travaillent
16 le revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’État, les banques et le capital) et à la Publicité. L’ho
17 er de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent
15 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
18 e départ. Alors que les partis aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se can
19 oup plus considérable qu’on le croirait à lire la presse politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fa
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
20 blera son fol orgueil : n’a-t-il pas écrit que la presse est de nos jours l’obstacle décisif à la prédication du christianisme
21 À quoi tend la pensée… de Kierkegaard ? Contre la presse et l’opinion publique, il proteste en faveur de ce qui est « original
17 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
22 s hommes préalablement abêtis par l’école, par la presse , par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon b
18 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
23 tes finit toujours par opposer au chrétien qui le presse de conclure sur la destination de l’homme, un « on verra plus tard »,
19 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
24 et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la presse , auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La cl
25 s nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la presse . On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies.
20 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
26 politiques : il supprime les partis et jugule la presse . L’État fasciste enfin résume et codifie officiellement l’idéal natio
21 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
27 vue qu’ont été réunies — rapidement car tout nous presse  — les déclarations que l’on va lire. Suivaient onze « témoignages »
22 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
28 les sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la Presse , c’est-à-dire par l’un des agents les plus puissants qui travaillent
29 le revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’État, les banques et le capital) et à la Publicité. L’ho
30 er de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent
23 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
31 e départ. Alors que les partis aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se can
32 plus considérable qu’on ne le croirait à lire la presse politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fa
24 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
33 tes finit toujours par opposer au chrétien qui le presse de conclure sur la destination de l’homme, un « on verra plus tard »,
25 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
34 et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la presse , auxquelles nul d’entre nous n’échappe, ni ne songe à échapper. La cl
35 s nous dominent. Ne fût-ce que par le moyen de la presse . On peut dire, sans exagérer, que les journaux disposent de nos vies.
26 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
36 politiques : il supprime les partis et jugule la presse . L’État fasciste enfin résume et codifie officiellement l’idéal natio
27 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
37 ue qu’ont été réunies — rapidement, car tout nous presse  — les déclarations que l’on va lire. Suivaient onze « témoignages »
28 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
38 les sont d’ailleurs filtrées et maquillées par la Presse , c’est-à-dire par l’un des agents les plus puissants qui travaillent
39 le revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’État, les banques et le capital) et à la Publicité. L’ho
40 er de l’État, par l’ambiance morale que créent la Presse et la Publicité, et par la peur des bouleversements, qui apparaissent
29 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
41 e départ. Alors que les partis aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se can
30 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
42 us faire envier la suppression des libertés de la presse . (Si les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois
43 ue lutte contre le divorce, alors que toute notre presse bourgeoise lui fait une publicité tapageuse. Et l’adultère, Messieurs
31 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
44 n jeu secret qui se joue sur nos têtes et dont la Presse nous donne l’image conventionnelle. Entre les forces qui dominent la
45 et l’injustice tolérés, devenus normaux, c’est la presse , l’exploitation des pauvres, la raison du plus fort et la loi du tali
46 ncer cette autre tyrannie qui s’appelle la grande presse , et qui voudrait se faire prendre pour l’opinion publique, alors qu’e
32 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
47 r ne sont jamais si lyriquement loués que dans la presse quotidienne… Quant à la carrière du chômage, je lui vois bien des agr
48 ditionnée par ladite crise ; vu l’existence de la presse et la puissance de la publicité ; vu le chômage des intellectuels et
33 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
49 els du dernier siècle, et qui nous vaut la Grande Presse , l’éloquence parlementaire et la jungle capitaliste. Mais le Comité d
50 omatie moscoutaire, le parlementarisme, la grande presse . Rien de plus frappant que cette communauté de refus à gauche et à dr
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
51 mis en œuvre. L’indignation d’une partie de notre presse contre les procédés de pression utilisés par le parti N.-S. vient d’u
35 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
52 us faire envier la suppression des libertés de la presse . (Si les journaux des pays fascistes ou communiste se livrent parfois
53 ue lutte contre le divorce, alors que toute notre presse bourgeoise lui fait une publicité tapageuse. Et l’adultère, Messieurs
36 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
54 saient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre « Le niveau culturel a été élevé p
55 es factions partisanes, vieillards aux commandes, presse « libre » aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement,
56 ontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une presse d’opposition, une population civile plus nombreuse que la militaire,
57 encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni partis, ni civils indifférents et inutilisables, ni
37 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
58 les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la presse d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Ré
59 se d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles
60 son immédiate de la crise actuelle du langage. La presse , la radio, l’éloquence politique et les ouvrages populaires à grand t
38 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
61 modes, l’usage, l’usure des mots aggravés par la presse et par la politique, ont peu à peu fait passer pour communes des sign
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
62 ivre des valeurs qu’on leur transmet, soit par la presse , soit par l’école, ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
63 les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la presse d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Ré
64 se d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles
65 son immédiate de la crise actuelle du langage. La presse , la radio, l’éloquence politique et les ouvrages populaires à grand t
41 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
66 saient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre : « Le niveau culturel a été élevé
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
67 es factions partisanes, vieillards aux commandes, presse « libre » aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement,
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
68 ontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une presse d’opposition, une population civile plus nombreuse que la militaire,
69 encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni partis, ni civils indifférents et inutilisables, ni
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
70 ensibilité éthique nous avertit du danger et nous presse de rechercher et de nommer ses causes. Au risque de forcer un peu les
71 Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et de l’éloquence électorale. Si l’on se mettait à vivre sa morale, i
45 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
72 ivre des valeurs qu’on leur transmet, soit par la presse , soit par l’école, ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes
46 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
73 les intellectuels anarchistes ou libéraux, par la presse d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Ré
74 se d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse au nom de la Révolution, par Hitler dénonçant le Diktat de Versailles
75 son immédiate de la crise actuelle du langage. La presse , la radio, l’éloquence politique et les ouvrages populaires à grand t
47 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
76 saient-ils. Et l’on peut lire chaque jour dans la presse russe des déclarations de ce genre : « Le niveau culturel a été élevé
48 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
77 es factions partisanes, vieillards aux commandes, presse « libre » aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement,
49 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
78 ontairement privées. Elles s’honorent d’avoir une presse d’opposition, une population civile plus nombreuse que la militaire,
79 encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni partis, ni civils indifférents et inutilisables, ni
50 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
80 ensibilité éthique nous avertit du danger et nous presse de rechercher et de nommer ses causes. Au risque de forcer le trait,
81 Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et de l’éloquence électorale. Si l’on se mettait à vivre sa morale, i
51 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
82 Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)e Les raisons Chacun sait et éprouve chaque
83 des partisanneries politiques qui est celui de la presse française, rend à peu près impossibles une documentation objective et
84 ctive et une information sincère. Le procès de la presse n’est plus à faire. Sa réforme pose tant de problèmes et entraîne de
85 des journaux. Le but L’objet des « Clubs de presse  », en même temps que de préparer et d’accélérer cette réforme nécessa
86 et aux méthodes aujourd’hui faussées de la grande presse imprimée. Le principe Ce sont les mêmes procédés techniques (im
87 entralisation, etc.) qui ont fait le succès de la presse moderne, qui font aujourd’hui son servage. « L’imprimé » qui était, i
88 Il s’agit, en contrôlant, en systématisant cette presse parlée qui se crée spontanément, d’établir dans toute la France, un v
89 s grand nombre possible de localités un « Club de presse  ». Les adhérents se réunissent une fois par semaine, pour recevoir et
90  une partie critique. C’est une sorte de revue de presse commentée. On y relèvera les contradictions et les déformations de la
91 s contradictions et les déformations de la grande presse ou de la presse d’opinion, en donnant chaque fois les raisons politiq
92 et les déformations de la grande presse ou de la presse d’opinion, en donnant chaque fois les raisons politiques ou financièr
93 la documentation que continuera à leur fournir la presse . Elle pourrait être une sorte d’école permanente des lecteurs de jour
94 s de journaux ; 3° une partie documentaire sur la presse . Tout en cherchant à remédier à l’action néfaste de la presse imprimé
95 en cherchant à remédier à l’action néfaste de la presse imprimée en se plaçant hors de son domaine, les « Clubs » n’oublient
96 s » n’oublient pas que la réforme organique de la presse est le but final. Dans cette partie, on réunira petit à petit, une do
97 on précise sur la structure et le mécanisme de la presse . Soit en signalant toutes les modifications dans la commandite, la di
98 ssionnels, législatifs, que pose la réforme de la presse . Dès à présent, de tels documents facilitent aux adhérents l’objet de
99 tin : savoir lire avec le minimum de duperie, une presse truquée. L’esprit Il est évident que la portée d’une telle entr
100 de la création et du fonctionnement des clubs de presse . Les « Clubs de presse » sont fondés et dirigés par Denis de Rougemon
101 onctionnement des clubs de presse. Les « Clubs de presse  » sont fondés et dirigés par Denis de Rougemont et R.-Philippe Millet
102 ugement. Mais ils s’engagent, dans les « clubs de presse  », à défendre les principes qui leur sont communs : primauté de la pe
103 Denis de Rougemont. e. « Formons des clubs de presse  », La Flèche, Paris, n° 51, 30 janvier 1937, p. 2. Précédé de la noti
104 t lecteurs de La Flèche le manifeste des clubs de presse en formation. À l’heure où la grande presse française se constitue ch
105 bs de presse en formation. À l’heure où la grande presse française se constitue chaque jour davantage en trusts, il ne suffit
106 éloignée, si peu importante soit-elle, le club de presse dont ils seront les instigateurs devienne rapidement un organisme cra
107 l’heure où l’Argent-roi investit complètement la presse française, à l’heure où Havas règne, à l’heure où la diffusion de la
108 re, en mettant dans le coin la mention : clubs de presse .) »
52 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
109 s sont bouleversées. L’instruction publique et la Presse répandent sinon le goût, du moins la pratique quotidienne de la lectu
110 au gagnant d’une autre loterie ! Toute la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 3 février
53 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
111  ? Il y aurait beaucoup à dire là-dessus… 74. La presse de droite qui avait exploité bruyamment la nouvelle de la nomination
54 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
112 situation » qui fait de moi, pour parler comme la presse , un « intellectuel en chômage. » (Écrire, aux yeux de ces paysans, ne
113 ent aux yeux du premier venu. 13 février 1934 La presse . — Je note à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « d
114 e à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « de droite » reflète assez exactement la mentalité et les conversati
115 ons de la bourgeoisie conservatrice, alors que la presse de gauche ne reflète nullement la mentalité ni les conversations popu
55 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
116 même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre presse d’extrême gauche lorsqu’elle défend le même Léon Blum pour des raison
117 plaçable d’une nation. L’autorité qu’une certaine presse suisse s’était acquise à l’étranger reposait justement sur le fait qu
118 contraignaient même en quelque mesure.) Mais une presse suisse partisane, à la manière des partisans français ou allemands, n
119 artisans français ou allemands, n’est plus qu’une presse d’intérêt local. Là encore, nos chances sont uniques, nous pourrions
120 nos voisins dans les mœurs politiques et dans la presse , tout cela menace et compromet non seulement nos chances à venir, mai
121 tites, qui sont médiocres. J’ai cité le cas de la presse , se réduisant elle-même au rôle de presse locale. Il faut bien dire a
122 s de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale. Il faut bien dire aussi que notre fédéralisme tend à se rédui
56 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
123 . La politique se fonde sur cette croyance, et la presse arrive parfois à lui donner une certaine consistance. Mais ce qui peu
124 r tel autre sujet, il vous rend ce que d’autres — presse ou partis — lui ont prêté, c’est-à-dire la monnaie de votre pièce, no
57 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
125 » tactique du matérialisme vulgaire, celui que la presse bourgeoise a si beau jeu d’attaquer aujourd’hui — encore qu’elle le p
58 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
126 x yeux du premier venu. 13 février 1934 La presse . — Je note à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « d
127 e à l’usage d’un futur historien des mœurs que la presse « de droite » reflète assez exactement la mentalité et les conversati
128 ons de la bourgeoisie conservatrice, alors que la presse de gauche ne reflète nullement la mentalité ni les conversations popu
59 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
129 s sont bouleversées. L’instruction publique et la Presse répandent sinon le goût, du moins la pratique quotidienne de la lectu
130 s hommes préalablement abêtis par l’école, par la presse , par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon b
131 au gagnant d’une autre loterie ! Toute la grande presse en a parlé. Personne ne rit. Léon Bloy rugit dans sa tombe. 28 jan
60 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
132 a. 28 juillet 1935 Le Prochain. — Dans la presse du métro, vers 7 heures du soir, j’avais réussi à ouvrir le livre que
61 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
133 u réarmement à outrance, et même au-delà. Mais la presse n’en parlera pas, cela va de soi, c’est le seul but commun à tous les
134 dère sans envie notre périlleuse liberté, dont sa presse raille les abus, mais dont il espère en secret que sortira sa propre
62 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
135 mbrables discours politiques et des leaders de la presse mise au pas. Certes, les Allemands ont toujours eu le sens du groupe,
63 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
136 États-Unis, s’il faut en croire certains échos de presse sur la vie privée des stars et des magnats de la finance. 87. L’aven
64 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
137 ène la lutte contre la Russie rouge dans toute la presse qu’il possède en Europe, le fait vraiment au nom de l’Évangile ? Et j
65 1938, Journal d’Allemagne. Avertissement
138 ire est à peu près l’inverse de la fonction de la presse . Qu’attendons-nous des journalistes publics, des grands reporters ? U
66 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
139 mbrables discours politiques et des leaders de la presse mise au pas. Certes, les Allemands ont toujours eu le sens du groupe,
140 té même des jeunes, voilà le totalitarisme.   La presse . — Il faut porter à l’actif du régime hitlérien le fait d’avoir su re
141 du régime hitlérien le fait d’avoir su rendre la presse ennuyeuse. Car elle est ennuyeuse, tout le monde le dit ; et qu’un le
142 coureurs cyclistes. Toutes ces raisons rendent la presse allemande assommante pour le grand public. Les tirages baissent, le n
143 gtemps que Kierkegaard a vu que l’existence de la presse quotidienne « rend le christianisme impossible ».) De plus, ces journ
144 rêt à se faire tuer pour assurer la liberté de sa presse  : le droit pour un journal de se vendre à qui il veut, et d’inventer
145 s observations banales souvent reproduites par la presse étrangère. S., directeur d’un des plus grands trusts du Reich, naguèr
67 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
146 ys à dix contre un sans avoir à tirer un obus. La presse italienne, dans son ardeur de néophyte, vend la mèche lorsqu’elle opp
68 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
147 e et de pression morale tels que radio, police et presse , introduisent dans le monde actuel des possibilités plus radicales d’
148 ne certaine inconscience, d’une ignorance dont la presse , de nos jours, nous prive avec acharnement. Du moins voudrait-on rapp
69 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
149 comme plus réel que ce monde. La fatalité qui les presse , et à laquelle ils s’abandonnent en gémissant, supprime l’opposition
70 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
150 États-Unis, s’il faut en croire certains échos de presse sur la vie privée des stars et des magnats de la finance. 187. L’ave
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
151 comme plus réel que ce monde. La fatalité qui les presse , et à laquelle ils s’abandonnent en gémissant, supprime l’opposition
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
152 comme plus réel que ce monde. La fatalité qui les presse , et à laquelle ils s’abandonnent en gémissant, supprime l’opposition
73 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
153 « Le plus grand adversaire de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le christianisme dans un monde o
154 rêcher le christianisme dans un monde où règne la presse . » Et Nietzsche, de son côté, dénonçait la manie d’organiser et de ce
155 ont quelques milliers de lecteurs, tandis que la presse du soir et la radio atteignent chaque jour des millions d’hommes, et
74 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
156 e s’échangent — que le premier se mette à lire la presse du soir, et le second celle du matin ? 29 avril 1939 Comme il est des
75 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
157 eur fructueuse entente… Mais rien n’y fait, notre presse continue, nos partis continuent, nos arguments ne changent pas d’un d
158 es mesures « de prudence » prises à l’égard de la presse — par qui de droit — et qui consistent à ménager non seulement la chè
76 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
159 a pas donné un sou, quoi qu’en dise une certaine presse qui ne se défend plus qu’à coup de calomnies. Ni les « Éléphants », n
77 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VI. Que faire tout de suite ?
160 es de nos institutions : quoi qu’en dise certaine presse , la Suisse mourra si elle se borne à se féliciter de son statut actue
161  ; études et projets techniques ; contact avec la presse  ; etc., etc. D’autres objectifs immédiats ne peuvent être atteints qu
78 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VIII. La Ligue du Gothard vue par la presse
162 VIII. La Ligue du Gothard vue par la presse Rien ne pouvait mieux démontrer la nécessité de notre Ligue que l’i
163 s espoirs que sa seule annonce a réveillés. Si la presse , celle qui sent notre époque et ses métamorphoses, a montré, vis-à-vi
79 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
164 « Le plus grand adversaire de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le christianisme dans un monde o
165 rêcher le christianisme dans un monde où règne la presse . » Et Nietzsche, de son côté, dénonçait la manie d’organiser et de ce
166 ont quelques milliers de lecteurs, tandis que la presse du soir et la radio atteignent chaque jour des millions d’hommes, et
80 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
167 même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre presse d’extrême gauche lorsqu’elle défend le même Léon Blum pour des raison
168 plaçable d’une nation. L’autorité qu’une certaine presse suisse s’était acquise à l’étranger reposait justement sur le fait qu
169 contraignaient même en quelque mesure.) Mais une presse suisse partisane, à la manière des partisans français ou allemands, n
170 artisans français ou allemands, n’est plus qu’une presse d’intérêt local. Là encore, nos chances sont uniques, nous pourrions
171 nos voisins dans les mœurs politiques et dans la presse , tout cela menace et compromet non seulement nos chances à venir, mai
172 tites, qui sont médiocres. J’ai cité le cas de la presse , se réduisant elle-même au rôle de presse locale. Il faut bien dire a
173 s de la presse, se réduisant elle-même au rôle de presse locale. Il faut bien dire aussi que notre fédéralisme tend souvent à
81 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
174 eur fructueuse entente… Mais rien n’y fait, notre presse continue, nos partis continuent, nos arguments ne changent pas d’un d
175 es mesures « de prudence » prises à l’égard de la presse — par qui de droit — et qui consistent à ménager non seulement la chè
82 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
176 ires : c’est le meilleur qui gagnera. Bien que la presse , à peu d’exceptions près, soutienne Willkie — comme elle soutint Land
83 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
177 eterre. Le lendemain même de l’élection, toute la presse qui venait de soutenir Willkie avec ensemble, et qui n’avait pas cess
178 ruine, division, guerre et inflation, toute cette presse proclamait l’union des partis, l’oubli des polémiques, la confiance d
179 ement telle ou telle mesure prise par l’État : la presse et la radio lui en offrent les moyens. S’il a quelque chose de mieux
84 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
180 ction. Si je relève tous ces traits, c’est que la presse et la radio ne cesseront de les souligner et de les détailler le lend
85 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
181 s, ne l’a pas vu. C’est pourtant le désir qui les presse , et l’amour appelant l’amour aux chambres vides, dans la sonorité gla
86 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
182 és se fédèrent au service du pays. Quand le temps presse , comme aujourd’hui, l’on voit ce qui compte, et c’est cela qui unit.
87 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
183 ment le christianisme dans un monde dominé par la presse quotidienne. Toutefois, l’incognito du Prince de ce monde devint diff
88 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
184 s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la presse , les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
185 on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la presse et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
89 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
186 ntaire, contrats sociaux, lois, opinion publique, presse libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite,
90 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
187 ment le christianisme dans un monde dominé par la presse quotidienne. Toutefois, l’incognito du Prince de ce monde devint diff
91 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
188 s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la presse , les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
189 on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la presse et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
92 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
190 ntaire, contrats sociaux, lois, opinion publique, presse libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite,
93 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
191 ment le christianisme dans un monde dominé par la presse quotidienne. Toutefois, l’incognito du Prince de ce monde devint diff
94 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
192 s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la presse , les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
193 on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la presse et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
95 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
194 ntaire, contrats sociaux, lois, opinion publique, presse libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite,
96 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
195 s aventures qui ne lui arrivent pas. La radio, la presse , les meetings monstres, l’invitent à prendre une part sensible — en i
196 on d’hommes, sans la radio, les haut-parleurs, la presse et les transports rapides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
97 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
197 groupes personnalistes critiquaient également la presse en France. Vénale, pauvre en informations, ou mensongère, elle ne ref
198  ? Les personnalistes organisèrent des « clubs de presse  ». Dans chaque quartier de grande ville, dans chaque commune, des cor
199 ransmettre des informations vraies (celles que la presse passait sous silence), lui révéler les secrets de la vénalité des gra
200 crise révolutionnaire ou d’invasion, Les Clubs de presse personnalistes fournirent ainsi le premier modèle des publications fa
98 1944, Les Personnes du drame. Note de l’auteur
201 Note de l’auteur Ce livre allait être mis sous presse en mai 1940, lorsque se déclencha la bataille de France. Le manuscrit
99 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
202 blera son fol orgueil ; n’a-t-il pas écrit que la presse est de nos jours l’obstacle décisif à la prédication du christianisme
203 À quoi tend la pensée de Kierkegaard ? Contre la presse et l’opinion publique, il proteste en faveur de ce qui est « original
100 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
204 modes, l’usage, l’usure des mots, aggravés par la presse et par la politique, ont peu à peu fait passer pour communes des sign