1
e du monde occidental », et, au-dessus des ruines
prochaines
de nos cités mécaniciennes, ils rallument le mirage d’un Orient parad
2
passait, à la fois si lent — jusqu’à l’arrivée du
prochain
métro, du prochain autobus, — si rapide : déjà les lumières des boule
3
si lent — jusqu’à l’arrivée du prochain métro, du
prochain
autobus, — si rapide : déjà les lumières des boulevards glissaient de
4
oderne recule devant l’évidence de la banqueroute
prochaine
de sa civilisation. Il répugne à admettre qu’une époque entière ait p
5
s d’œil, dans le léger étourdissement de l’amitié
prochaine
). Et la générosité des lumières d’avant le soir, — et cette espèce de
6
uer les caractères confessionnels. Espérons qu’un
prochain
salon, organisé s’il le faut dans de plus vastes locaux, pourra donne
7
t ainsi encore que l’idéal chrétien de l’amour du
prochain
a tourné pratiquement à la méfiance systématique du voisin inévitable
8
l’on annonce de plusieurs côtés21, la publication
prochaine
des œuvres principales de l’un des plus grands esprits du xixe siècl
9
nds principes » de 89 ou les commanditaires de la
prochaine
dernière ? Il reste que les arguments, les témoignages apportés, la p
10
s d’œil, dans le léger étourdissement de l’amitié
prochaine
). Et la générosité des lumières d’avant le soir, — et cette espèce de
11
. (Tout cela c’était pour préparer quelque battue
prochaine
.) Visiblement, ils trouvent leur plaisir dans ces longs mutismes de g
12
s d’œil, dans le léger étourdissement de l’amitié
prochaine
). Et la générosité des lumières d’avant le soir, — et cette espèce de
13
humaine. (Tout cela pour préparer quelque battue
prochaine
.) Visiblement, ils trouvent leur plaisir dans ces longs mutismes de g
14
estions personnelles, et ce besoin de réformer le
prochain
… Est-ce que ceux qui vivent sous ce toit sont tellement sûrs de leur
15
lise, et par là même l’universel, c’est-à-dire le
prochain
quel qu’il soit, être souvent bizarre et mystérieux qu’il faut compre
16
elle devinait mon sentiment ? Pourtant la semaine
prochaine
, l’épreuve recommencera. Odeur de l’eau qui dort, pénétrante, amicale
17
s général est d’élucider les causes lointaines ou
prochaines
de la crise sans précédent où s’engage l’humanité tout entière. ⁂ En
18
: « Quelle est votre attitude vis-à-vis de votre
prochain
? Lui laissez-vous ce qui lui revient, ou l’en privez-vous ? » ⁂ La c
19
n, devient responsable3 devant Dieu et devant son
prochain
, en tant que ce prochain lui apparaît précisément comme la question q
20
evant Dieu et devant son prochain, en tant que ce
prochain
lui apparaît précisément comme la question que Dieu lui adresse. À la
21
ndre plus frappant, nous comptons tirer, dans nos
prochains
numéros, les conclusions pratiques et les significations révolutionna
22
iche à l’ordre spirituel, c’est-à-dire au bien du
prochain
. Elle sera au contraire la revendication universelle de l’humain cont
23
doute. Mais qu’adviendra-t-il, le jour peut-être
prochain
où ces jeunes hommes s’apercevront que les régimes qu’ils servent, lo
24
suppose une remarquable absence d’imagination. Le
prochain
plan y pourvoira peut-être. Tout cela est en pleine métamorphose. Mai
25
hommes, ni pour quels hommes j’aurai pu être « le
prochain
» (Luc 10. 36/37), — le prochain de ces misérables qui vivent au mili
26
rai pu être « le prochain » (Luc 10. 36/37), — le
prochain
de ces misérables qui vivent au milieu des brigands, victimes et comp
27
— nous l’ont légué, c’est l’homme qui n’a pas de
prochain
et qui n’est le prochain de personne. Ou encore, comme le dit Keyserl
28
t l’homme qui n’a pas de prochain et qui n’est le
prochain
de personne. Ou encore, comme le dit Keyserling, c’est l’homme pour l
29
e le dit Keyserling, c’est l’homme pour lequel le
prochain
est devenu tout simplement « le voisin inévitable », celui que défini
30
telle qu’on peut l’opposer à cet individu, et du
prochain
, tel que le définit l’Évangile ; d’autre part, certaines conséquences
31
assumer personnellement son risque et celui du «
prochain
» ? L’erreur fasciste est peut-être plus grave que les erreurs qu’ell
32
le vis-à-vis qui pose une question directe, — le
prochain
. Il a cessé d’être un des pôles de la personne. Le nous n’est rien qu
33
devenons deux personnes, et l’un pour l’autre le
prochain
. Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’individu, mais da
34
par une présence extérieure. Face à face avec le
prochain
que j’aime, je ne suis plus un isolé9, mais je reste un solitaire. C’
35
ans sa particularité, — qui refuse donc d’être le
prochain
de son frère. 10. ou tout autre « isme » qu’on voudra. f. « Grammai
36
éritablement humain, celui qui unit l’homme à son
prochain
. Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nou
37
in, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce
prochain
, l’Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’êt
38
ous avons reçu de Dieu cet ordre : tu aimeras ton
prochain
comme toi-même. Tous donc, nous avons reçu, chacun à notre place et d
39
sance à l’ordre de Dieu, qui s’appelle l’amour du
prochain
. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessus. Le monde s’est em
40
ement perverties. On nous a présenté cet amour du
prochain
comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard du voisin, u
41
ussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
prochain
. Lorsque les docteurs de la loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entr
42
d’entre eux se leva et lui dit : Mais qui est mon
prochain
? Ce docteur se disait sans doute : aimer son prochain, c’est bien va
43
ain ? Ce docteur se disait sans doute : aimer son
prochain
, c’est bien vague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répond
44
religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le
prochain
, c’est celui qui exerce, en actes, la miséricorde. Cet acte, en chacu
45
pital) et à la Publicité. L’homme n’eut plus de «
prochain
», mais seulement, comme le dit Keyserling, des « voisins inévitables
46
ans le conflit vital qui l’unit et l’oppose à son
prochain
. La personne, c’est l’homme en tant qu’il a une vocation particulière
47
de à l’autre (c’est la définition chrétienne du «
prochain
»), soit que tous deux, apportant des aptitudes différentes, les comp
48
substituer « l’amour de l’humanité » à l’amour du
prochain
commandé par le Christ : et c’est au nom de cet amour de l’humanité q
49
: ainsi l’amour de la patrie passe avant celui du
prochain
, l’amour du genre humain avant celui de la patrie.) Cet humanitarisme
50
lité. Une personne qui peut être définie comme le
prochain
de l’Évangile. La seconde objection concerne l’efficacité probable de
51
nt bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour du
prochain
. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins ter
52
ts (dont l’action sera peut-être décisive l’année
prochaine
) ; l’idée de la « mission personnaliste de la France », que les centr
53
que l’Évangile définit la notion fondamentale de
prochain
? Le prochain, c’est celui qui pratique la miséricorde ; ce n’est pas
54
e définit la notion fondamentale de prochain ? Le
prochain
, c’est celui qui pratique la miséricorde ; ce n’est pas le simple voi
55
le nous engage dans une relation concrète avec le
prochain
. Mais comment s’engager dans cette relation ? L’erreur des chrétiens,
56
, des hommes pour lesquels nous puissions être le
prochain
. Et quand ce livre n’aurait pas d’autre valeur, il a celle-là, qui co
57
mis trop haut. Soit que l’on gruge légalement son
prochain
, soit que l’on se découvre légalement grugé, il est bon de sentir qu’
58
dons avec une méfiance motivée, je le répète, les
prochaines
évolutions des « néos ». S’ils veulent entraîner la jeunesse, qu’ils
59
r de nouveauté pure, un poseur de questions, un «
prochain
» et non pas un problème à résoudre à distance ; en un mot, si l’homm
60
me, fait aussi qu’il n’est plus un isolé, mais un
prochain
. 6. La personne est une vocation Qu’on n’oublie pas que la scèn
61
’éducation. C’est à la sauvegarde de ces réalités
prochaines
que doivent s’ordonner les relations plus générales. Cette thèse simp
62
’on s’élève à des nombres plus grands, du pouvoir
prochain
de la personne ; il n’est rien s’il n’est pas l’extension naturelle d
63
té particulière telle qu’elle est incarnée par le
prochain
visible. Sociologues et humanitaires souffrent d’une sorte de daltoni
64
éritablement humain, celui qui unit l’homme à son
prochain
. Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nou
65
in, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce
prochain
, l’Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’êt
66
ous avons reçu de Dieu cet ordre : tu aimeras ton
prochain
comme toi-même. Tous donc, nous avons reçu, chacun à notre place et d
67
sance à l’ordre de Dieu, qui s’appelle l’amour du
prochain
. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessus. Le monde s’est em
68
ement perverties. On nous a présenté cet amour du
prochain
comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard du voisin, u
69
ussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
prochain
. Lorsque les docteurs de la loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entr
70
d’entre eux se leva et lui dit : mais qui est mon
prochain
? Ce docteur se disait sans doute : aimer son prochain, c’est bien va
71
ain ? Ce docteur se disait sans doute : aimer son
prochain
, c’est bien vague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répond
72
religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le
prochain
, c’est celui qui exerce, en actes, la miséricorde. Cet acte, en chacu
73
nt bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour du
prochain
. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche26. Pessimisme quant aux fins te
74
en l’acte de miséricorde par lequel je deviens le
prochain
de mon frère. C’est l’acte personnel qui fonde la seule communauté vi
75
re crûment l’idéal qu’il propose à ce but le plus
prochain
. Pour plus tard et par-dessus le marché, il promet la libération indi
76
rois notions : le travail, le service, l’amour du
prochain
. Le travail est pour le chrétien un pur exercice. Il n’a pas de valeu
77
lus sur le troisième exemple, celui de l’amour du
prochain
. Il est évident pour un chrétien que cet amour est inconcevable et im
78
pital) et à la Publicité. L’homme n’eut plus de «
prochain
», mais seulement, comme le dit Keyserling, des « voisins inévitables
79
ans le conflit vital qui l’unit et l’oppose à son
prochain
. La personne, c’est l’homme en tant qu’il a une vocation particulière
80
de à l’autre (c’est la définition chrétienne du «
prochain
»), soit que tous deux, apportant des aptitudes différentes, les comp
81
pour autant que la personne se met au service du
prochain
. Elle n’est pas une « valeur », mais un acte. Et cet acte n’a lieu qu
82
sement de relations concrètes d’homme à homme, de
prochain
à prochain. Ordre pauvre : sa seule richesse consistant à savoir dépe
83
elations concrètes d’homme à homme, de prochain à
prochain
. Ordre pauvre : sa seule richesse consistant à savoir dépenser. Pauvr
84
ndre plus frappant, nous comptons tirer, dans nos
prochains
numéros, les conclusions pratiques et les significations révolutionna
85
ts (dont l’action sera peut-être décisive l’année
prochaine
) ; l’idée de la « mission personnaliste de la France », qu’à notre su
86
que l’Évangile définit la notion fondamentale de
prochain
? Le prochain, c’est celui qui pratique la miséricorde ; ce n’est pas
87
e définit la notion fondamentale de prochain ? Le
prochain
, c’est celui qui pratique la miséricorde ; ce n’est pas le simple voi
88
té particulière telle qu’elle est incarnée par le
prochain
visible. Sociologues et humanitaires souffrent d’une sorte de daltoni
89
éritablement humain, celui qui unit l’homme à son
prochain
. Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nou
90
in, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce
prochain
, l’Évangile seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’êt
91
ous avons reçu de Dieu cet ordre : tu aimeras ton
prochain
comme toi-même. Tous donc, nous avons reçu, chacun à notre place et d
92
sance à l’ordre de Dieu, qui s’appelle l’amour du
prochain
. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessus. Le monde s’est em
93
ement perverties. On nous a présenté cet amour du
prochain
comme un sentiment bienveillant, une tolérance à l’égard du voisin, u
94
ussi ce que Jésus-Christ nous ordonne d’être : le
prochain
. Lorsque les docteurs de la loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’ent
95
d’entre eux se leva et lui dit : mais qui est mon
prochain
? Ce docteur se disait sans doute : aimer son prochain, c’est bien va
96
ain ? Ce docteur se disait sans doute : aimer son
prochain
, c’est bien vague, cela me paraît assez sentimental… Jésus lui répond
97
religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le
prochain
, c’est celui qui exerce, en actes, la miséricorde. Cet acte, en chacu
98
nt bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour du
prochain
. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme quant aux fins terr
99
en l’acte de miséricorde par lequel je deviens le
prochain
de mon frère. C’est l’acte personnel qui fonde la seule communauté vi
100
re crûment l’idéal qu’il propose à ce but le plus
prochain
. Pour plus tard et par-dessus le marché, il promet la libération indi
101
rois notions : le travail, le service, l’amour du
prochain
. Le travail est pour le chrétien un pur exercice. Il n’a pas de valeu
102
lus sur le troisième exemple, celui de l’amour du
prochain
. Il est évident pour un chrétien que cet amour est inconcevable et im
103
pital) et à la Publicité. L’homme n’eut plus de «
prochain
», mais seulement, comme le dit Keyserling, des « voisins inévitables
104
ans le conflit vital qui l’unit et l’oppose à son
prochain
. La personne, c’est l’homme en tant qu’il a une vocation particulière
105
de à l’autre (c’est la définition chrétienne du «
prochain
»), soit que tous deux, apportant des aptitudes différentes, les comp
106
pour autant que la personne se met au service du
prochain
. Elle n’est pas une « valeur », mais un acte. Et cet acte n’a lieu qu
107
sement de relations concrètes d’homme à homme, de
prochain
à prochain. Ordre pauvre : sa seule richesse consistant à savoir se d
108
elations concrètes d’homme à homme, de prochain à
prochain
. Ordre pauvre : sa seule richesse consistant à savoir se dépenser. Pa
109
ndre plus frappant, nous comptons tirer, dans nos
prochains
numéros, les conclusions pratiques et les significations révolutionna
110
us les invitons cordialement à participer à notre
prochaine
expérience de service civil : remplacer un manœuvre dans une usine pe
111
tir ! Le remords ! Le chrétien ne pense pas à son
prochain
, il est beaucoup trop occupé de soi-même ! Quelle que soit la justes
112
t épuisé sa vérité. Je la vois même promise à une
prochaine
renaissance. Mais il importe d’en marquer le danger, disons plus : le
113
ommes et du pays, qui permettra peut-être un jour
prochain
, de parler de nouveau de patrie. Il y a vraiment du nouveau dans cett
114
’établit jamais ni le contact vital ni l’amour du
prochain
. Le voisin, que la loi bien comprise nous ordonne d’aider dans sa pei
115
er dans sa peine, reste un voisin, ne devient pas
prochain
. Car le centre du monde reste « moi ». De moi à lui, je ne vois qu’un
116
ct par la haine, il n’aboutit jamais à saisir son
prochain
, à concrétiser sa pensée, à la soumettre à la critique souveraine et
117
l’amour. Il ne parvient à rendre responsables du
prochain
ni son amour, ni sa haine, ni sa peur, ni sa joie, ni ses derniers dé
118
total, Edschmid est plus fort. Attendrons-nous la
prochaine
guerre pour lire dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre de
119
point parce qu’il distingue un succès possible et
prochain
, mais parce qu’il a reçu un ordre, et que cet ordre vient de Dieu. «
120
et souteneurs qu’il a choisis pour voisins, pour
prochains
! Et son action apparemment désespérée s’étend mystérieusement sur ce
121
ion des devoirs de l’homme envers lui-même et son
prochain
. Mais d’abord il s’agit, pour les groupes personnalistes, de dénoncer
122
mment la négation de Dieu entraîne la négation du
prochain
, dans un esprit voué à la plus torturante logique. s. « Recherches
123
té. » L’homme moderne, dit Keyserling, n’a pas de
prochains
; il n’a que des voisins inévitables. Voilà Lawrence, l’homme sans pr
124
voisins inévitables. Voilà Lawrence, l’homme sans
prochain
. Car le prochain selon la définition évangélique, c’est justement cel
125
es. Voilà Lawrence, l’homme sans prochain. Car le
prochain
selon la définition évangélique, c’est justement celui qui « exige »
126
llectuels et ses suites politiques inévitables et
prochaines
; vu la panique nationaliste dont la culture du dernier siècle est re
127
n Blum tremble et désespère devant la perspective
prochaine
d’une prise de pouvoir légal, qui est le cauchemar de sa vie. Après a
128
nt populaire27, c’est l’éventualité de son succès
prochain
. De Blum qui ne sait pas ce qu’il faut faire, de Daladier qui croit l
129
qui peuple nos cités, l’homme sans visage et sans
prochain
, — sans vocation ! — s’imagine que l’acte viendra comme un sursaut de
130
us les invitons cordialement à participer à notre
prochaine
expérience de service civil : remplacer un manœuvre dans une usine pe
131
s cela jugeons, c’est-à-dire choisissons nos buts
prochains
au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà
132
commune. Seul l’homme déterminé par ses relations
prochaines
et actives peut se sentir à la mesure des temps nouveaux. Sinon il n’
133
t aujourd’hui plus clairement que jamais nos buts
prochains
, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions, c’est dans leu
134
possède dans ses relations actives avec tous ses
prochains
. C’est à nous qu’il incombe aujourd’hui d’opérer cette synthèse concr
135
l’erreur et du mensonge paraissent toujours plus
prochaines
que celles de la simple vérité. Mais il y va du succès même de la rév
136
ricanait quand Berdiaev prophétisait l’apparition
prochaine
, en URSS, d’une mentalité petite-bourgeoise. Mais Gide : « Je crains
137
s critiques rétrospectives. Tournés vers l’avenir
prochain
, nous dirons donc : si l’Allemagne a commis l’erreur du centralisme j
138
analyse du désordre, fascinés par les subversions
prochaines
, mais incapables de concevoir ou de créer les germes d’un ordre nouve
139
L’amour est le comble de l’esprit, et l’amour du
prochain
est un acte, c’est-à-dire une main tendue, non pas un sentiment drapé
140
cela jugeons , c’est-à-dire choisissons nos buts
prochains
au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà
141
commune. Seul l’homme déterminé par ses relations
prochaines
et actives peut se sentir à la mesure des temps nouveaux. Sinon, il n
142
t aujourd’hui plus clairement que jamais nos buts
prochains
, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions, c’est dans leu
143
possède dans ses relations actives avec tous ses
prochains
. C’est à nous qu’il incombe aujourd’hui d’opérer cette synthèse concr
144
hode de procrastination perpétuelle. On attend le
prochain
congrès… Je ne dirai pas de mal de nos outils. Mais je les voudrais
145
l’individu répond à la question que lui pose son
prochain
. Et à l’inverse, le but de la communauté est de permettre à tous les
146
assumer personnellement son risque vis-à-vis du «
prochain
» ? Pour nous « l’erreur fasciste » est peut-être plus grave que les
147
devenons deux personnes, et l’un pour l’autre le
prochain
. Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’individu, mais dan
148
térieure qui le questionne99. Face à face avec le
prochain
, responsable vis-à-vis de cette apparition concrète, et élémentaire d
149
vélé lorsqu’il nous a montré dans chaque homme le
Prochain
. Les contradictions du monde ne peuvent pas être supprimées, et toute
150
ferme dans sa particularité, qui refuse d’être le
prochain
de son frère. 100. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le.
151
analyse du désordre, fascinés par les subversions
prochaines
, mais incapables de concevoir ou de créer les germes d’un ordre nouve
152
L’amour est le comble de l’esprit, et l’amour du
prochain
est un acte, c’est-à-dire une main tendue, non pas un sentiment drapé
153
s cela jugeons, c’est-à-dire choisissons nos buts
prochains
au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà
154
commune. Seul l’homme déterminé par ses relations
prochaines
et actives peut se sentir à la mesure des temps nouveaux. Sinon, il n
155
t aujourd’hui plus clairement que jamais nos buts
prochains
, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions, c’est dans leu
156
possède dans ses relations actives avec tous ses
prochains
. C’est à nous qu’il incombe aujourd’hui d’opérer cette synthèse concr
157
hode de procrastination perpétuelle. On attend le
prochain
congrès… Je ne dirai pas de mal de nos outils. Mais je les voudrais u
158
l’individu répond à la question que lui pose son
prochain
. Et à l’inverse, le but de la communauté est de permettre à tous les
159
assumer personnellement son risque vis-à-vis du «
prochain
» ? Pour nous « l’erreur fasciste » est peut-être plus grave que les
160
devenons deux personnes, et l’un pour l’autre le
prochain
. Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’individu, mais dan
161
érieure qui le questionne102. Face à face avec le
prochain
, responsable vis-à-vis de cette apparition concrète et élémentaire de
162
vélé lorsqu’il nous a montré dans chaque homme le
Prochain
. Les contradictions du monde ne peuvent pas être supprimées, et toute
163
ferme dans sa particularité, qui refuse d’être le
prochain
de son frère. 103. « Et l’ange me dit : Prends le livre et avale-le.
164
, et de l’esprit, ne se poseraient plus durant le
prochain
demi-siècle. Parler de la primauté du spirituel et de l’humain, c’éta
165
-je, ici, d’humain, d’actif ? Ici où je suis sans
prochain
, à cette heure ou mes frères (?) les hommes sont plus éloignés que ja
166
ère Calixte devait faire notre lessive la semaine
prochaine
. Elle vient s’excuser : « Qui sait, Madame, j’aimerais d’aller à Alès
167
lation, « laborieuse » ou « réactionnaire ». À la
prochaine
enquête sur l’état politique de la France, je me promets de répondre
168
ocal et personnel de la question, sur le plan des
prochaines
élections municipales. Mais il y a bien d’autres aspects. Ces deux ho
169
ga, mais Rome commence à s’inquiéter pour le sort
prochain
de son corps expéditionnaire. (Diverses raisons morales et matérielle
170
’annonce d’une réaction violente, peut-être assez
prochaine
, contre le « misérabilisme », l’humanitarisme, le démocratisme électo
171
eurs ! C’est leur fait d’être pauvres en amour du
prochain
» ; et : « Toute création est communication. Celui qui connaît, celui
172
e la vérification in concreto à l’occasion de nos
prochains
écrits. Cette conclusion est la suivante : le lecteur en son particul
173
ur la mauvaise humeur de ceux qui n’ont plus de «
prochains
» ? 69. À Montmartre, il y a deux ou trois ans, j’assistais à une c
174
autres. Être laïque, c’est finalement « aimer son
prochain
» ! Je n’ai pas plutôt soufflé à l’oreille de ma femme : « C’est un s
175
non pas la Bible. Être chrétien, c’est aimer son
prochain
comme Jésus nous aime. Si tous les hommes étaient chrétiens, il n’y a
176
érente. Nous prenons rendez-vous pour un dimanche
prochain
, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lum
177
ir un minimum de précisions concernant l’heure du
prochain
départ et la destination des diverses voitures qui stationnent sur la
178
l’argent. Si vous prenez N. par exemple (la ville
prochaine
sur le continent) ils n’auraient pas idée de ça, au contraire, ils so
179
d on en est là. Quand on en est à ne plus voir le
prochain
, la situation n’est plus humaine, elle ne pose plus de questions util
180
ir un minimum de précisions concernant l’heure du
prochain
départ et la destination des diverses voitures qui stationnent, sur l
181
ortelles ! C’est qu’on ne sait plus y trouver son
prochain
, mais seulement des « voisins inévitables » (comme l’a si bien dit Ke
182
e notre neutralité, celle-ci sera balayée un jour
prochain
avec les vieux chiffons de papier qui sont censés la garantir. Quand
183
ement il se voit contraint de venir en aide à son
prochain
, mais encore rien ne peut le satisfaire de ce qu’il obtient, par cet
184
de charité et de sacrifice, pour le mieux-être du
prochain
, suffit à compléter, si je puis dire, l’action proprement religieuse.
185
ceux qui m’entourent, et qui sont aujourd’hui mes
prochains
. Ils me parlent de ce qui les intéresse, et je m’y intéresse avec eux
186
autres. Être laïque, c’est finalement « aimer son
prochain
» ! Je n’ai pas plus tôt soufflé à l’oreille de ma femme « C’est un s
187
non pas la Bible. Être chrétien, c’est aimer son
prochain
comme Jésus nous aime. Si tous les hommes étaient chrétiens, il n’y a
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érente. Nous prenons rendez-vous pour un dimanche
prochain
, au chef-lieu, après son culte. Je suis rentré à bicyclette, sans lum
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ir un minimum de précisions concernant l’heure du
prochain
départ et la destination des diverses voitures qui stationnent sur la
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, l’offre par une amie, d’une maison pour l’hiver
prochain
, dans le Gard. Autre lettre : une invitation à passer quinze jours da
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’argent. Si vous prenez N., par exemple (la ville
prochaine
sur le continent), ils n’auraient pas idée de ça, au contraire, ils s
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es misanthropes, ceux qui ne veulent pas avoir de
prochains
, ceux qui refusent de connaître par le risque, c’est-à-dire par la so
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-je, ici, d’humain, d’actif ? Ici où je suis sans
prochain
à cette heure où mes frères (?) les hommes sont plus éloignés que jam
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ère Calixte devait faire notre lessive la semaine
prochaine
. Elle vient s’excuser : — « Qui sait, Madame, j’aimerais d’aller à Al
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elon le mot de Keyserling, et non pas du tout des
prochains
. Car le prochain, dans sa définition évangélique, c’est justement cel
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serling, et non pas du tout des prochains. Car le
prochain
, dans sa définition évangélique, c’est justement celui qui exige de l
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: vienne l’Église universelle, — la révélation du
Prochain
. 17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier soir, le sujet de l’e
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e la vérification in concreto à l’occasion de mes
prochains
écrits. Cette conclusion est la suivante : le lecteur en son particul
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lation, « laborieuse » ou « réactionnaire ». À la
prochaine
enquête sur l’état politique de la France, je me promets de répondre
200
ocal et personnel de la question, sur le plan des
prochaines
élections municipales. Mais il y a bien d’autres aspects. Ces deux ho
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ù l’on rit comme cela. 28 juillet 1935 Le
Prochain
. — Dans la presse du métro, vers 7 heures du soir, j’avais réussi à o
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ouvenais de cette « révélation » : Tu aimeras ton
prochain
comme toi-même. Et j’ai compris que ce peut être la même chose : rega
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ment responsables devant leur foi et devant leurs
prochains
. Cette attitude « personnaliste » est la vraie tradition de l’Europe,
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tions de sa durée. Staline s’est assigné pour but
prochain
de refaire des cadres à sa nation. Car sans cadres, l’économie péricl
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’elle agit pour ce bien, elle crée devant elle le
prochain
. Et c’est alors par ce détour, à travers l’autre, que le moi rejoint
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le cours de l’Histoire. Préparation aux décisions
prochaines
. Je vois se former un abîme entre la jeunesse hitlérienne qui va sort
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vue de la lutte qui s’engagera sans doute l’hiver
prochain
, lutte pour l’âme allemande dans l’esprit et selon la volonté du Führ
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a négation de la vie ; l’immoralité de l’amour du
prochain
sans choix préalable ; l’internationalisme, etc. Toutefois l’orateur
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s critiques rétrospectives. Tournés vers l’avenir
prochain
, nous dirons donc : si l’Allemagne a commis l’erreur du centralisme j
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mieux servir le Seigneur dans la personne de son
prochain
. Il n’a renoncé à ses travaux de paysan que pour mieux travailler au
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cteur de conscience, celui qui veut « aider » son
prochain
, doit d’abord « prendre l’homme là où il est », et ensuite, il doit «
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e nous rend enfin responsables vis-à-vis de notre
prochain
, et c’est à quoi l’on peut reconnaître la légitimité d’une vocation.