1
egard dans la course d’équipe. Le cœur connaît la
présence
muette et sûre. Toutes ces choses ne se font pas en vain. Le chef se
2
te sur notre énergie physique. Partout rôdent des
présences
animales. Tandis que sur la plaine s’élève le long beuglement des tau
3
ces tableaux de violence et de passion, c’est la
présence
d’un tempérament. À l’inverse de tant d’autres qui s’analysent sans f
4
e. Mais j’avoue que m’a parfois un peu gêné cette
présence
de la mort qu’il fait sentir partout aux lieux mêmes où naquit la rel
5
déjà il se préparait à vous rendre attentive à ma
présence
… Mais, alors, je ne sais quel démon du malheur me paralysa. Je venais
6
se retournent brusquement et vous renversent. Des
présences
tellement intenses que tout se fond catastrophiquement dans l’infini
7
donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
présence
de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou bien n’ai-je su voir autre
8
et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité.
Présence
, présence réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je ne
9
t je n’éprouve qu’une étrange sécurité. Présence,
présence
réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je ne la reverr
10
un troisième qui est moins visible, mais dont la
présence
constante donne au livre toute sa gravité. Maurice Baring exprime ce
11
st que chez Kassner comme chez Kierkegaard, cette
présence
s’accommode d’une ironie qui chez d’autres serait plutôt le fait du d
12
X. 9.) a. « Penser avec les mains (fragments) »,
Présence
, Lausanne et Genève, n° 1, janvier 1932, p. 37-41.
13
œuvre marquée du signe de la maturité, que cette
présence
rayonnante dont on devine chaque phrase sous-tendue. Mais rien ne la
14
s imparfaitement. Je ne t’envoie qu’une lettre. «
Présence
» et « réalisation », ces deux thèmes de ton enquête sur l’Humanisme,
15
le courage de le voir et de l’assumer. Un acte de
présence
à la misère du siècle, une présence enfin qui soit un acte : car pour
16
r. Un acte de présence à la misère du siècle, une
présence
enfin qui soit un acte : car pour nous désormais la Révolution vit, s
17
sommes peut-être seuls à connaître la force et la
présence
. Nous connaissons la vérité. Qu’elle soit tombée du ciel ou qu’elle é
18
e d’un ordre humain total. b. « Cause commune »,
Présence
, Lausanne et Genève, n° 2, avril-juin 1932, p. 12-15. Précédé de la n
19
ctuelle aux deux sens de ce mot, qui sont acte et
présence
. Et certes notre activité serait injustifiable si nous tentions de l
20
Belgique (plusieurs journaux), en Suisse (Éveil,
Présence
), en Espagne, en Hollande, en Irlande et dans les pays latins de l’Am
21
attitude de tous ces groupes un véritable acte de
présence
à la misère du siècle, assez nouveau parmi les intellectuels, et si v
22
donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
présence
de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou bien n’ai-je su voir autre
23
et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité.
Présence
, présence réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je
24
t je n’éprouve qu’une étrange sécurité. Présence,
présence
réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je ne la reve
25
ace cloisonné de murailles respectables, plein de
présences
et d’absences — la chambre principale où une lampe arrose la pesante
26
tale : je retrouve en eux mon enfance entourée de
présences
obscures, mon enfance, cette foi anxieuse en je ne sais quelle libert
27
« bonheur » rien de plus que l’un des noms de sa
présence
. Mais un jour la lumière est morte autour de nous, elle est morte à l
28
llie, tempêtes sur les pentes, — beau temps de la
présence
. Car tu sais pour quel « bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu
29
donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
présence
de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou bien n’ai-je su voir autre
30
et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité.
Présence
, présence réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je
31
t je n’éprouve qu’une étrange sécurité. Présence,
présence
réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je ne la reve
32
ace cloisonné de murailles respectables, plein de
présences
et d’absences, — la chambre principale où une lampe arrose la pesante
33
tale : je retrouve en eux mon enfance entourée de
présences
obscures, mon enfance, cette foi anxieuse en je ne sais quelle libert
34
ie tant de passé, et garder tant de morts dans la
présence
, elle ne cessera pas d’engendrer. Elle a maîtrise d’avenir. Nostal
35
fait comme avant.) Ce soir, elle est encore d’une
présence
envoûtante. Le soleil s’est caché derrière le Trou de Bourgogne. La g
36
ion de la mort. c. « Paysage de tête : poème »,
Présence
, Lausanne et Genève, n° 1, 1933, p. 53.
37
toujours été à ses yeux : le fait d’un défaut de
présence
au monde, d’une impuissance à saisir les choses. Là réside la cause d
38
mais bien d’un ordre, reçu hic et nunc, et d’une
présence
, qui juge tout. x. « Petites notes sur les vérités éternelles », Re
39
ns un individu transformé, orienté, animé par une
présence
extérieure. Face à face avec le prochain que j’aime, je ne suis plus
40
s l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
présence
et un engagement immédiat. Acte, présence et engagement, ces trois mo
41
te, une présence et un engagement immédiat. Acte,
présence
et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce
42
age. d. « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu »,
Présence
, Lausanne et Genève, n° 3, 1933-1934, p. 57-59. e. Voir le compte re
43
un bourgeois. Il peut attendre : son attente est
présence
, et porte en soi sa justification. À ceux qui croient aux fatalités d
44
des motifs tels que le désespoir, l’espérance, la
présence
ou la fidélité. Certes, l’exemple de la phénoménologie a ouvert la vo
45
. Gabriel Marcel de nous donner l’exemple d’une «
présence
» et d’une « fidélité » vraiment chrétienne. « Philosopher, c’est app
46
par une fidélité que l’auteur définit comme « une
présence
activement perpétuée ». Et tout cela tend à créer dans l’âme une disp
47
ion, et non pas dans le pain et le vin, il y a la
présence
réelle du Seigneur mort pour nous, impies ? Peut-être le fidèle d’auj
48
ier — et une grande vedette de music-hall dont la
présence
discrète n’étonna personne. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie,
49
ent gênante, un rappel presque insupportable à la
présence
dans ce temps de l’éternel. Car il ne suffit pas d’applaudir à ses th
50
sujétion totale est seule active. Elle est aussi
présence
au monde. Dans ce temps de la masse, où nous vivons, le « solitaire d
51
en faite, mais qui est un peu mieux que cela, une
présence
, une plainte juste, une voix d’homme. L’auteur entre dans les confide
52
s. Les catholiques patriotes savaient bien que la
présence
à la cour d’un Sully ou d’un Duplessis-Mornay, représentants d’une Ég
53
n objet en vrai objet. 2. Le concret, c’est la
présence
de l’homme Comment choisir cette valeur précise de l’inconnue ? Ex
54
nt le seul contenu paraît au seul instant de leur
présence
mutuelle. Il ne suit pas de là que cet instant, qui les réunit, les c
55
s l’objet ne peut, par lui-même, provoquer aucune
présence
. C’est là le rôle du sujet, et sa nature. La manière d’être du sujet
56
devient joie de combattre. C’est le moment de la
présence
de l’homme au monde et à soi-même conjointement. Et c’est ainsi que l
57
naît d’une décision de l’homme provocateur de la
présence
. 3. La présence de l’homme est un acte La joie de l’homme, ou s
58
n de l’homme provocateur de la présence. 3. La
présence
de l’homme est un acte La joie de l’homme, ou sa douleur, tels son
59
l’homme entièrement humain, tout serait histoire,
présence
, illustration et non explication, incarnation et non concept. Mais la
60
aux conditions de son apparition, j’entends à la
présence
et à l’engagement : la personne n’est jamais seule, elle est essentie
61
onsiste sa propre personne. Ma personne, c’est ma
présence
au monde et à moi-même conjointement ; aux vrais objets, aux vrais hu
62
ersement définis par les philosophes de l’école :
présence
, événement, concret, acte, personne. À tel point que la vraie définit
63
permettent d’en prendre une mesure humaine. Toute
présence
est un éclair d’éternité qui rompt le temps pour initier un temps nou
64
nt visibles. Le temps nouveau qu’initie l’acte de
présence
, c’est le temps de la création qui naît de l’acte, c’est le rythme im
65
ouvelle qualité du concret. Mais ce mystère de la
présence
, si l’on peut en décrire les effets, demeure mystère en tant que pure
66
enant, et qui nous meut. Nous avons établi que la
présence
est le fait de l’homme sujet à l’instant qu’il rencontre son objet. L
67
entière : c’est le terme d’incarnation. Si toute
présence
est l’événement de l’éternel dans le temps, par le moyen de l’homme,
68
collectivisme, elle prend pour mesure de tout la
présence
effective de l’homme. À l’évolutionnisme objectif elle oppose son exi
69
s l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
présence
et un engagement immédiat. Acte, présence et engagement, ces trois mo
70
te, une présence et un engagement immédiat. Acte,
présence
et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce
71
me dans l’attitude de tous ces groupes un acte de
présence
à la misère du siècle, assez nouveau parmi les intellectuels, et si v
72
s l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
présence
et un engagement immédiat. Acte, présence et engagement, ces trois mo
73
te, une présence et un engagement immédiat. Acte,
présence
et engagement, ces trois mots définissent la personne, mais aussi ce
74
me dans l’attitude de tous ces groupes un acte de
présence
à la misère du siècle, assez nouveau parmi les intellectuels, et si v
75
is comme un bien perdu. g. « Contre Nietzsche »,
Présence
, Lausanne et Genève, n° 3, avril-mai 1935, p. 1-4.
76
, le saut du temps de la prophétie au temps de la
présence
. Ou encore : c’est Dieu seul qui peut faire passer l’homme d’un temps
77
en n’ait pas la vocation d’agir, de faire acte de
présence
à la misère du siècle, de protester contre elle, et d’annoncer sa foi
78
La loyauté dira encore : Je me sens injuste en sa
présence
, et je ne puis, en la jugeant, que lui faire tort. Mais alors il ne s
79
our de Nietzsche : petite note sur l’injustice »,
Présence
, Lausanne et Genève, n° 9, novembre 1935, p. 30-31.
80
d. Vraiment, le souvenir d’une influence et d’une
présence
aussi directes et essentielles doit nous interdire désormais de consi
81
abaissement de la pensée aux choses, cet acte de
présence
au monde est l’achèvement suprême, et non l’humiliation du spirituel.
82
ait ni passé ni futur, mais le Jour éternel de la
présence
à Dieu et à soi-même régnerait sur le monde et l’unité du genre humai
83
ésirer et décrire ; une rupture et une vision. La
présence
de l’absolu dans la sobriété parfaite et insensible de l’instant, c’e
84
(l’Amour du Monde), approche de la fin du monde (
Présence
de la Mort, Les Signes parmi nous), mythe de l’or (Farinet), mythe du
85
existe à sa façon. Je vois que son pouvoir est sa
présence
active au monde (« Toute résistance, dit-il, nous oblige à être prése
86
ment, cette saisie des choses et des êtres, cette
présence
au monde et à soi-même, — l’originalité de l’homme « radical ». Ramuz
87
ein pouvait seul maintenir. Mais pour attester la
présence
universelle de ce dessein, il fallait des symboles visibles et dont l
88
as l’Empire populaire. Le signe irréfutable de la
présence
d’un grand dessein, c’est l’incarnation d’une mesure commune à tous l
89
iritualisme et duperie bourgeoise ; pour l’autre,
présence
effective de la pensée et de la foi à nos misères, activité concrète
90
ue en nous l’état de co-naissance qui répond à la
présence
sensible des choses mêmes. » Le nom, qui désigne la chose, appelle un
91
n beau drame d’amour le souvenir et davantage, la
présence
d’un être vrai, qui apporte à toute l’œuvre une émouvante précision.
92
ème, ni la solution d’un problème, mais il est la
présence
réelle qu’on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui obéit. C’
93
au faîte de leur pouvoir, même au comble de leur
présence
, quand elles font leur plein dans nos vies, elles laissent toujours u
94
t. L’esprit n’est vrai que lorsqu’il manifeste sa
présence
, et dans le mot manifester il y a main. L’esprit n’est vrai que dans
95
étrangères, cette vocation sera symbolisée par la
présence
de l’Arche de l’Alliance, aussi nommée arche du témoignage : alliance
96
iritualisme et duperie bourgeoise ; pour l’autre,
présence
effective de la pensée et de la foi à nos misères, activité concrète
97
ein pouvait seul maintenir. Mais pour attester la
présence
universelle de ce dessein, il fallait des symboles visibles et dont l
98
religion de la Nation. Le signe irréfutable de la
présence
d’un grand dessein, c’est l’incarnation d’une mesure commune à tous l
99
n appel presque insupportable à l’actualité, à la
présence
. Il ne suffit pas d’applaudir à ses thèses pour apaiser ce regard qui
100
sauvages que rêvent les faibles, mais un acte de
présence
, d’information profonde du réel à l’image d’une vision commune, un ac
101
atteste l’existence d’un conflit, c’est-à-dire la
présence
du réel. Il rend à ma pensée sa gravité, son poids, sa raison d’être.
102
ière, c’est à cela même qu’on peut reconnaître sa
présence
. Nous appellerons dès lors incarnation un acte qui ne sera réductible
103
age dans leur lecture éprouve de tout son être la
présence
d’une réalité éthique immédiate à chaque progrès du discours et qu’il
104
ns un individu transformé, orienté, animé par une
présence
extérieure qui le questionne99. Face à face avec le prochain, respons
105
ème, ni la solution d’un problème, mais il est la
présence
réelle qu’on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui obéit. C’
106
au faîte de leur pouvoir, même au comble de leur
présence
, quand elles font leur plein dans nos vies, elles laissent toujours u
107
t. L’esprit n’est vrai que lorsqu’il manifeste sa
présence
, et dans le mot manifester il y a main. L’esprit n’est vrai que dans
108
étrangères, cette vocation sera symbolisée par la
présence
de l’Arche de l’Alliance, aussi nommée arche du témoignage : alliance
109
iritualisme et duperie bourgeoise ; pour l’autre,
présence
effective de la pensée et de la foi à nos misères, activité concrète
110
ein pouvait seul maintenir. Mais pour attester la
présence
universelle de ce dessein, il fallait des symboles visibles et dont l
111
religion de la Nation. Le signe irréfutable de la
présence
d’un grand dessein, c’est l’incarnation d’une mesure commune à tous l
112
n appel presque insupportable à l’actualité, à la
présence
. Il ne suffit pas d’applaudir à ses thèses pour apaiser ce regard qui
113
sauvages que rêvent les faibles, mais un acte de
présence
, d’information profonde du réel à l’image d’une vision commune, un ac
114
atteste l’existence d’un conflit, c’est-à-dire la
présence
du réel. Il rend à ma pensée sa gravité, son poids, sa raison d’être.
115
ière, c’est à cela même qu’on peut reconnaître sa
présence
. Nous appellerons dès lors incarnation un acte qui ne sera réductible
116
age dans leur lecture éprouve de tout son être la
présence
d’une réalité éthique immédiate à chaque progrès du discours et qu’il
117
ns un individu transformé, orienté, animé par une
présence
extérieure qui le questionne102. Face à face avec le prochain, respon
118
—, et rien ne pouvait nous faire soupçonner cette
présence
à côté. Hier matin, la mère Calixte arrive tout agitée : « Madame se
119
r perdu son ombre… Il était même si vivant, et sa
présence
si gênante, que je tentai de le contraindre, quoi qu’il arrive, aux s
120
mêler le monde où il revient, et qui l’accable de
présences
bizarres, ou douces, mais aussi quelques fois, hostiles. (Et cela peu
121
—, et rien ne pouvait nous faire soupçonner cette
présence
, à côté. Hier matin, la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se m
122
’absurdité que provoquait en moi, précisément, la
présence
physique d’un homme, confrontée avec les idées que j’avais en tête. I
123
oit des dimensions nouvelles : mystère, fatalité,
présence
d’une tradition. À vrai dire, on ne croit guère à ce pouvoir mortel d
124
ypothétique, au nom d’une théorie ardue, mais une
présence
immédiatement active et totalement salutaire, au nom d’une Personne v
125
convertit au communisme ne se rattache pas à une
Présence
actuelle. Il fait un pari dont l’objet n’est pas accessible aujourd’h
126
que soit l’espérance du marxiste — et non pas une
présence
exigeante et totalement animatrice. C’est ici la raison profonde des
127
pas derrière lui de modèle accompli, ni en lui de
Présence
souveraine, il se sent libre d’appliquer les moyens qu’il juge adéqua
128
J’accepte cet augure à double sens, certifiant la
présence
d’un destin. Voici l’île : une plage basse, quelques pins, deux ou tr
129
t que ce désert est habité par des hommes dont la
présence
m’est plus concrète qu’ailleurs. Ou par une analogie moins profonde :
130
d’absurdité que provoquait en moi précisément, la
présence
physique d’un homme, confrontée avec les idées que j’avais en tête. I
131
à faire pour ces gens-là, ni eux pour nous. Leur
présence
, leur proximité matérielle n’exige pas de nous des actes ou des échan
132
—, et rien ne pouvait nous faire soupçonner cette
présence
, à côté. Hier matin, la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se m
133
silence a été tué, absence qui se confond avec la
présence
d’un bruit universel ; c’est une lassitude douloureuse et bousculée a
134
de la Croix connaît que l’âme atteint un état de
présence
parfaite à l’objet aimant de l’amour, et c’est ce qu’il nomme le mari
135
mblée par la réponse, la nostalgie comblée par la
présence
cessent d’appeler un bonheur sensible, cessent de souffrir, acceptent
136
intitulé Problèmes de la sexualité (collection «
Présences
»). « Un chrétien peut et doit accepter Éros, en tant qu’Éros, et jus
137
a première fois quelque chose de tragique dans la
présence
du régime, quelque chose qui me révèle sans doute l’un de ses aspects
138
anqué le service7, ce soir. J’ai fait attester ma
présence
et j’ai lu avec enthousiasme le VB 8. J’ai payé aujourd’hui ma cotisa
139
. Non pas l’avenir, mais l’éternel Présent, ou la
présence
de l’Éternel, voilà ce que disent les lèvres du prophète. Et cet homm
140
ert), tel est le mécanisme régulier qui trahit la
présence
d’une passion inavouable. Dans un monde comme le nôtre, où si peu d’h
141
ière de « journal ». La NRF continue d’étendre sa
présence
autour de Denis de Rougemont. o. « Du mythe de Tristan et Iseut à l
142
me de toute expérience mystique : c’est la « pure
présence
ineffable », la « contemplation sans objet ». Je pense donc qu’il est
143
n’arrivent pas à retrouver dans leur au-delà une
Présence
qui pardonne, qui guérisse, et qui leur rende alors la force d’accept
144
mais non de l’autre tel qu’il est ; et non de la
présence
de l’autre, mais bien plutôt de son absence ! La séparation des amant
145
s circonstances sociales qui menacent les amants (
présence
de Marc, méfiance des barons, jugement de Dieu, etc.), Tristan bondit
146
au-delà. La nostalgie, le souvenir, et non pas la
présence
, nous émeuvent. La présence est inexprimable, elle ne possède aucune
147
uvenir, et non pas la présence, nous émeuvent. La
présence
est inexprimable, elle ne possède aucune durée sensible, elle ne peut
148
des éléments religieux dont nous avions décelé la
présence
dans le mythe nous amène donc à constater une contradiction flagrante
149
uves intellectuelles en matière de foi : la seule
présence
d’une image visible des choses saintes suffisait à en démontrer la vé
150
’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
présence
que tous les saints implorent et qui serait « l’espérance des bienheu
151
retiennent l’attention dans le réel, imposent la
présence
du « jour », contredisent fatalement le sens profond de l’action. Tan
152
de la Croix connaît que l’âme atteint un état de
présence
parfaite à l’objet aimant de l’amour, et c’est ce qu’il nomme le mari
153
mblée par la réponse, la nostalgie comblée par la
présence
cessent d’appeler un bonheur sensible, cessent de souffrir, acceptent
154
intitulé Problèmes de la sexualité (collection «
Présences
») : « Un chrétien peut et doit accepter Éros, en tant qu’Éros, et ju
155
mais non de l’autre tel qu’il est ; et non de la
présence
de l’autre, mais bien plutôt de son absence ! La séparation des aman
156
s circonstances sociales qui menacent les amants (
présence
de Marc, méfiance des barons, jugement de Dieu, etc.), Tristan bondit
157
au-delà. La nostalgie, le souvenir, et non pas la
présence
, nous émeuvent. La présence est inexprimable, elle ne possède aucune
158
uvenir, et non pas la présence, nous émeuvent. La
présence
est inexprimable, elle ne possède aucune durée sensible, elle ne peut
159
des éléments religieux dont nous avions décelé la
présence
dans le mythe nous amène donc à constater une contradiction flagrante
160
uves intellectuelles en matière de foi : la seule
présence
d’une image visible des choses saintes suffisait à en démontrer la vé
161
goisse ». Il va plus loin dans la libération : la
présence
physique de l’objet aimé lui deviendra bientôt indifférente : J’ai un
162
nce que le corps féminin manifestait par sa seule
présence
des pouvoirs surnaturels, les mêmes que ceux que Ton prêtait au Graal
163
’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
présence
que tous les saints implorent et qui serait « l’espérance des bienheu
164
retiennent l’attention dans le réel, imposent la
présence
du « jour », contredisent fatalement le sens profond de l’action. Tan
165
de la Croix connaît que l’âme atteint un état de
présence
parfaite à l’objet aimant de l’amour, et c’est ce qu’il nomme le mari
166
mblée par la réponse, la nostalgie comblée par la
présence
cessent d’appeler un bonheur sensible, cessent de souffrir, acceptent
167
intitulé Problèmes de la sexualité (collection «
Présences
») : « Un chrétien peut et doit accepter Éros en tant qu’Éros, et jus
168
e à sensibiliser l’attention de mes lecteurs à la
présence
du mythe ; par suite, à les mettre en mesure de détecter ses radiatio
169
mais non de l’autre tel qu’il est ; et non de la
présence
de l’autre, mais bien plutôt de son absence ! La séparation des amant
170
s circonstances sociales qui menacent les amants (
présence
de Marc, méfiance des barons, jugement de Dieu, etc.), Tristan bondit
171
au-delà. La nostalgie, le souvenir, et non pas la
présence
, nous émeuvent. La présence est inexprimable, elle ne possède aucune
172
uvenir, et non pas la présence, nous émeuvent. La
présence
est inexprimable, elle ne possède aucune durée sensible, elle ne peut
173
des éléments religieux dont nous avions décelé la
présence
dans le mythe nous amène donc à constater une contradiction flagrante
174
uves intellectuelles en matière de foi : la seule
présence
d’une image visible des choses saintes suffisait à en démontrer la vé
175
goisse ». Il va plus loin dans la libération : la
présence
physique de l’objet aimé lui deviendra bientôt indifférente : J’ai u
176
nce que le corps féminin manifestait par sa seule
présence
des pouvoirs surnaturels, les mêmes que ceux que l’on prêtait au Graa
177
’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
présence
que tous les saints implorent et qui serait « l’espérance des bienheu
178
retiennent l’attention dans le réel, imposent la
présence
du « jour », contredisent fatalement le sens profond de l’action. Tan
179
de la Croix connaît que l’âme atteint un état de
présence
parfaite à l’objet aimant de l’amour, et c’est ce qu’il nomme le mari
180
mblée par la réponse, la nostalgie comblée par la
présence
cessent d’appeler un bonheur sensible, cessent de souffrir, acceptent
181
intitulé Problèmes de la sexualité (collection «
Présences
») : « Un chrétien peut et doit accepter, Éros en tant qu’Éros, et ju
182
que je ne vois de salut pour l’esprit que dans la
présence
effective de la pensée et de la foi à toutes les misères de ce monde.
183
que je ne vois de salut pour l’esprit que dans la
présence
effective de la pensée et de la foi à toutes les misères de ce monde.
184
Mais certains pensent pour l’avoir éprouvé en sa
présence
par une espèce de frisson d’horreur sacrée, qu’il est le siège d’une
185
la mentalité des totalitaires, c’est-à-dire : la
présence
active et personnelle du démon dans nos passions ; dans notre besoin
186
porte en soi. Et donc de ne pas se soucier de la
présence
active du démon. Et donc enfin de lui laisser le champ libre pour nou
187
spire une sorte d’effroi furtif, révélateur d’une
présence
perverse au sein même de l’insignifiance. L’exactitude impitoyable de
188
e intensité des sensations parfois simultanées de
présence
et d’absence infinie, créent chez tout être passionné l’illusion d’un
189
l’absence de l’être aimé qu’il n’a de joie par sa
présence
… Dans ce dédale de nos enfers privés, quel talisman pourrions-nous em
190
Mais certains pensent pour l’avoir éprouvé en sa
présence
par une espèce de frisson d’horreur sacrée, qu’il était le siège d’un
191
la mentalité des totalitaires, c’est-à-dire : la
présence
active et personnelle du démon dans nos passions ; dans notre besoin
192
porte en soi. Et donc de ne pas se soucier de la
présence
active du démon. Et donc enfin de lui laisser le champ libre pour nou
193
giés ont pleuré en passant devant elle ! Sa seule
présence
était le gage d’une aisance de pensée et de vie qu’ils venaient de pe
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spire une sorte d’effroi furtif, révélateur d’une
présence
perverse au sein même de l’insignifiance. L’exactitude impitoyable de
195
l’Éternité. Le temps sans fin, voilà l’Enfer. La
présence
parfaite, voilà l’Éternité. 44. Le diable auteur « Point d’œuv
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e intensité des sensations parfois simultanées de
présence
et d’absence infinie, créent chez tout être passionné l’illusion d’un
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l’absence de l’être aimé qu’il n’a de joie par sa
présence
. Dans ce dédale de nos enfers privés, quel talisman pourrions-nous em
198
Mais certains pensent pour l’avoir éprouvé en sa
présence
par une espèce de frisson d’horreur sacrée, qu’il était le siège d’un
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la mentalité des totalitaires, c’est-à-dire : la
présence
active et personnelle du démon dans nos passions ; dans notre besoin
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porte en soi. Et donc de ne pas se soucier de la
présence
active du démon. Et donc enfin de lui laisser le champ libre pour nou
201
giés ont pleuré en passant devant elle ! Sa seule
présence
était le gage d’une aisance de pensée et de vie qu’ils venaient de pe
202
spire une sorte d’effroi furtif, révélateur d’une
présence
perverse au sein même de l’insignifiance. L’exactitude impitoyable de
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l’Éternité. Le temps sans fin, voilà l’Enfer. La
présence
parfaite, voilà l’Éternité. 44. Le diable auteur « Point d’œuvr
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e intensité des sensations parfois simultanées de
présence
et d’absence infinie, créent chez tout être passionné l’illusion d’un
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l’absence de l’être aimé qu’il n’a de joie par sa
présence
. Dans ce dédale de nos enfers privés, quel talisman pourrions-nous em
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ême décrit par allusions ou par symboles, mais sa
présence
souveraine est annoncée par certain frémissement de l’assemblée des m