1 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
1 Le sang ! Et tous les « Mirobolants » de la terre pâlissent derrière leur mâchoire brutale, sans qu’on puisse distinguer (ni eux)
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
2 quet, venir par une salle vide où pénètre le ciel pâli . Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus longs ra
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 ts feuillages exultaient de clarté devant le ciel pâli . Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et majestue
4 t point touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt con
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
5 quet, venir par une salle vide où pénètre le ciel pâli . Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus longs ra
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 ts feuillages exultaient de clarté devant le ciel pâli . Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et majestue
7 ent pas touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler et mit un doigt cont
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
8 remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli . Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
7 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
9 oyale, les enchantements et les tentations feront pâlir les rêves des conteurs. Ce sera, dans la féerie de l’eau des lumières
8 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
10 ns sont en train de prendre une revanche qui fait pâlir toutes nos petites pornographies romancées. Lawrence, Faulkner, aujou
9 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
11 teau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies . Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec tant d
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
12 n verre de petit vin, à regarder le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bureau d
13 teau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies . Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec tant d
11 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
14 prime tout, et avec une force de langage qui fait pâlir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ?
15 n s’est fait prisonnier d’un délire auprès duquel pâlissent toute sagesse, toute « vérité », et la vie même. Il est au-delà de no
12 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
16 t une figure quasi mythique, édifiante, et un peu pâlie . C’est avant tout un souvenir scolaire. Nous n’avons guère retenu de
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
17 prime tout, et avec une force de langage qui fait pâlir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ?
18 n s’est fait prisonnier d’un délire auprès duquel pâlissent toute sagesse, toute « vérité », et la vie même. Il est au-delà de no
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
19 prime tout, et avec une force de langage qui fait pâlir le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ?
20 n s’est fait prisonnier d’un délire auprès duquel pâlissent toute sagesse, toute « vérité », et la vie même. Il est au-delà de no
15 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
21 remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli . Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
16 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
22 remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli . Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
17 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
23 rait, en se regardant dans les yeux. Je me sentis pâlir violemment. Nous passons à table. Mon hôte bientôt s’inquiète : « — V
18 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
24 remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâli . Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
25 quet, venir par une salle vide où pénètre le ciel pâli . Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus longs ra
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
26 ts feuillages exultaient de clarté devant le ciel pâli . Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et majestue
27 ent pas touchées, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt con
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
28 n verre de petit vin, à regarder le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bureau d
29 teau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs pâlies . Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec tant d
22 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
30 . Elle est son véritable drame. Toutes les autres pâlissent devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des
23 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
31 rait, en se regardant dans les yeux. Je me sentis pâlir violemment. Nous passons à table. Mon hôte bientôt s’inquiète : « Vou
24 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
32 jusqu’ici, déployant des trésors d’astuce à faire pâlir tous ses triomphes musculaires, a toujours réussi à s’évader, pour qu
25 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
33 e, placée d’ailleurs en conclusion. Je rougis, je pâlis , j’écris aux rédacteurs une lettre dont voici le début : « Messieurs,
26 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
34 . Elle est son véritable drame. Toutes les autres pâlissent devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des
27 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
35 t bien suffire à l’intérêt de l’œuvre. Elles font pâlir presque toutes nos fictions. Elles nous forcent à croire qu’ici, enfi
28 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
36 caces que les oppositions idéologiques, figées et pâlies à l’arrière-plan. Aux yeux des peuples du monde entier, la carte des
29 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
37 ant sur la mer et les pièges qui l’environnaient, pâlit de son audace. Elle qui, naguère dans les prés, n’était occupée que d
30 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
38 ant sur la mer et les pièges qui l’environnaient, pâlit de son audace. Elle qui, naguère dans les prés, n’était occupée que d
31 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
39 aux pieds de Napoléon. Comme tous ces sentiments pâlissent vite, comme il nous est difficile déjà de les comprendre, comme elle
32 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
40 . Elle est son véritable drame. Toutes les autres pâlissent devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des
33 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
41 . Elle est son véritable drame. Toutes les autres pâlissent devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des