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Le sang ! Et tous les « Mirobolants » de la terre
pâlissent
derrière leur mâchoire brutale, sans qu’on puisse distinguer (ni eux)
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quet, venir par une salle vide où pénètre le ciel
pâli
. Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus longs ra
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ts feuillages exultaient de clarté devant le ciel
pâli
. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et majestue
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t point touchées, lorsque au point du jour je vis
pâlir
la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt con
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quet, venir par une salle vide où pénètre le ciel
pâli
. Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus longs ra
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ts feuillages exultaient de clarté devant le ciel
pâli
. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et majestue
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ent pas touchées, lorsque au point du jour je vis
pâlir
la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler et mit un doigt cont
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remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain
pâli
. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
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oyale, les enchantements et les tentations feront
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les rêves des conteurs. Ce sera, dans la féerie de l’eau des lumières
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ns sont en train de prendre une revanche qui fait
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toutes nos petites pornographies romancées. Lawrence, Faulkner, aujou
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teau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs
pâlies
. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec tant d
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n verre de petit vin, à regarder le carré de ciel
pâlir
et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bureau d
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teau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs
pâlies
. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec tant d
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prime tout, et avec une force de langage qui fait
pâlir
le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ?
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n s’est fait prisonnier d’un délire auprès duquel
pâlissent
toute sagesse, toute « vérité », et la vie même. Il est au-delà de no
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t une figure quasi mythique, édifiante, et un peu
pâlie
. C’est avant tout un souvenir scolaire. Nous n’avons guère retenu de
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prime tout, et avec une force de langage qui fait
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le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ?
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n s’est fait prisonnier d’un délire auprès duquel
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toute sagesse, toute « vérité », et la vie même. Il est au-delà de no
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prime tout, et avec une force de langage qui fait
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le romantisme tout entier ! Qui nous rendra ce dur « patois du cœur ?
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n s’est fait prisonnier d’un délire auprès duquel
pâlissent
toute sagesse, toute « vérité », et la vie même. Il est au-delà de no
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remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain
pâli
. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
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remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain
pâli
. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
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rait, en se regardant dans les yeux. Je me sentis
pâlir
violemment. Nous passons à table. Mon hôte bientôt s’inquiète : « — V
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remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain
pâli
. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre,
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quet, venir par une salle vide où pénètre le ciel
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. Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus longs ra
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ts feuillages exultaient de clarté devant le ciel
pâli
. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et majestue
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ent pas touchées, lorsque au point du jour je vis
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la jeune femme. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt con
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n verre de petit vin, à regarder le carré de ciel
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et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bureau d
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teau, et un vieil arbre généalogique aux couleurs
pâlies
. Cet ordre gai, cette propreté rigoureuse qui règnent ici avec tant d
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. Elle est son véritable drame. Toutes les autres
pâlissent
devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des
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rait, en se regardant dans les yeux. Je me sentis
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violemment. Nous passons à table. Mon hôte bientôt s’inquiète : « Vou
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jusqu’ici, déployant des trésors d’astuce à faire
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tous ses triomphes musculaires, a toujours réussi à s’évader, pour qu
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e, placée d’ailleurs en conclusion. Je rougis, je
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, j’écris aux rédacteurs une lettre dont voici le début : « Messieurs,
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. Elle est son véritable drame. Toutes les autres
pâlissent
devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des
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t bien suffire à l’intérêt de l’œuvre. Elles font
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presque toutes nos fictions. Elles nous forcent à croire qu’ici, enfi
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caces que les oppositions idéologiques, figées et
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à l’arrière-plan. Aux yeux des peuples du monde entier, la carte des
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ant sur la mer et les pièges qui l’environnaient,
pâlit
de son audace. Elle qui, naguère dans les prés, n’était occupée que d
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ant sur la mer et les pièges qui l’environnaient,
pâlit
de son audace. Elle qui, naguère dans les prés, n’était occupée que d
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aux pieds de Napoléon. Comme tous ces sentiments
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vite, comme il nous est difficile déjà de les comprendre, comme elle
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. Elle est son véritable drame. Toutes les autres
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devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des
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. Elle est son véritable drame. Toutes les autres
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devant elle, sont secondaires ou illusoires, ou dans le meilleur des