1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 s bien le mal qu’ils ont fait et qu’au fond, leur refus d’agir sur l’époque, c’est une manière d’agir contre elle. 2. « La c
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 son âme telle qu’elle est » (Rivière), ou encore refus de choisir, volonté de tout conserver en soi ? Ou bien une attitude e
3 aire que dans celui de l’action. En littérature : refus de construire, de composer ; impuissance à inventer. Car inventer, c’
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
4 (Froid aux genoux, odeur de vieille fumée, et ce refus au sommeil qui meurtrit jusqu’à l’âme.) Convulsions d’oriflammes sur
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
5 nous (dangereuse tant que vous voudrez). Mais ce refus n’est pas seulement comme vous pensez, d’une ingratitude salutaire, c
6 e vous pensez, d’une ingratitude salutaire, c’est refus de limiter le mal. Je vous vois envahi par des démons que vous préten
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
7 nc la douleur ; ici, c’est l’absence d’amour, par refus de souffrir. Mais chez un être raffiné, la peur d’étreindre aboutit à
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
8 d’un Du Bos, n’est-elle pas précisément dans son refus de sacrifier jamais l’éthique à l’esthétique, et dans ce sens chez ta
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
9 s des hommes lié à la conscience de leur vanité…, refus surtout. » Refus des « conditions » de la vie sociale, au profit d’un
10 à la conscience de leur vanité…, refus surtout. » Refus des « conditions » de la vie sociale, au profit d’une volonté de puis
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
11 iente de réduire l’homme à sa seule virtu. Donc : refus ou ignorance des catégories de la grâce et du péché ; un certain ascé
9 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
12 comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de refus , de tentations, d’oublis feints et de brusques retours. Il faut tout
10 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
13 profonde de l’esprit dont procèdent à la fois le refus de la magie et le goût passionné de l’effort immédiat. Qu’un fait de
14 même qui constitue l’Occident spirituel. C’est le refus de la magie qui fonde notre éthique, et ce dilemme est peut-être le p
15 on silence intérieur. Période de repliement et de refus , si douloureuse que le signe en devient visible sur ses traits. Je ne
16 ble »12. L’on découvre ici la source de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’agit de faire état des causes premières, des f
11 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
17 er et leurs leçons. Ne nous y trompons pas : leur refus de penser par eux-mêmes en fonction des nécessités concrètes de l’heu
12 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
18 la philosophie régnante est caractérisée par son refus d’aborder les questions dites vulgaires, qui conduiraient à des concl
13 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
19 nations physiques et morales. Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait admettre que les deux termes
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
20 t clair que toute impartialité serait hypocrisie, refus . Qu’on trouve donc ici une prise de parti.   Nous sommes une générati
21 révolution, ce n’est plus un état d’esprit, ni un refus des tâches d’homme. Henri Lefebvre l’a montré, je n’ajouterai rien à
22 . Je vois clairement que leurs buts provoquent le refus , pour les mêmes raisons, aggravées23. Ils jouent sur une révolte des
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
23 n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peu
16 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
24 dans l’actualisation, il peut tourner alors en un refus chronique. Et c’est en quoi le monde latin, monde de la spontanéité,
25 par l’acte ; le sentiment à la mélancolie, par le refus de l’acte. Il en résulte que la sensualité germanique est plus consci
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
26 une vue de l’esprit. Qui dit confort d’abord dit refus de tout style. Cette maison qui offre les commodités du plus luxueux
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
27 dans l’actualisation, il peut tourner alors en un refus chronique. Et c’est en quoi le monde latin, monde de la spontanéité,
28 par l’acte ; le sentiment à la mélancolie, par le refus de l’acte. Il en résulte que la sensualité germanique est plus consci
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
29 une vue de l’esprit. Qui dit confort d’abord dit refus de tout style. Cette maison qui offre les commodités du plus luxueux
20 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
30 d’aller jusqu’aux dernières conséquences de leur refus du transcendant. Le communisme seul a poussé jusqu’aux réalisations e
21 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
31 ouver dans cette sentence la justification de son refus de vivre. Mais il existe une sagesse qui semble bien n’être pas affec
32 s négations, cette éthique et cette actualité, ce refus de toutes les synthèses et ce principe de synthèse qu’il contient. Ac
33 notre durée n’est sans doute que notre perpétuel refus de l’éternité. Dieu dit oui : l’homme comprend non, se découvrant sou
22 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
34 Contre ce désordre notre attitude est celle d’un refus total. Mais rompre avec ces apparences, ce n’est pas encore faire rév
23 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
35 ut dire. C’est une des leçons de la guerre. Notre refus est instinctif devant un avenir, un espoir, une action dont les buts
24 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
36 istingue du monde n’est pas autre que cet élan de refus ou de tendresse. En vérité, point de séparation réelle, jamais de vid
37 conscient ne serait-elle pas, elle aussi, dans ce refus de croire à la réalité tout invisible de « l’homme nouveau » — réalit
25 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
38 en banal jusqu’au péché contre l’esprit, jusqu’au refus d’être sauvé, il y a toujours une révolte de l’homme contre sa condit
26 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
39 il fallait en parler ici : elle marque le pôle du refus , dans notre « politique du pessimisme actif ». Je voudrais décrire ma
40 alité de ces deux équipes tient d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauch
41 et à une gauche également condamnées. Par ce seul refus , elles opèrent déjà ce que le vocabulaire de l’Ordre nouveau nomme un
42 d’abord ce qui les unit en principe : 1. Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerre
43 les unit en principe : 1. Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres, de chômage,
44 e manifeste jusque dans le domaine de la pensée ; refus du nationalisme mystique, considéré comme une captation, au profit de
45 e la finance, du sentiment patriotique originel ; refus de la culture bourgeoise et de la distinction commode qu’elle suppose
46 ens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes gro
27 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
47 d’autre existence et pas d’autre pouvoir que mon refus d’exister devant Dieu et d’exercer le pouvoir que je suis. Elle n’est
48 Seul, Kierkegaard sait nous la désigner, dans le refus de cette « catégorie du solitaire », de l’homme qui vit de la Parole
28 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
49 échec de Bourget qui peut expliquer à lui seul un refus aussi opportun de la part de nos romanciers. La vérité, c’est que la
29 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
50 té sera donc une communauté d’idéal autant que de refus . Risquons ici un parallèle qui n’est peut-être pas simplement une ima
30 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
51 confusion désirée revient en dernière analyse au refus pur et simple d’agir et de créer, j’entends, de se poser comme auteur
31 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
52 orance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus … À chacun de s’examiner et d’éprouver son courage « personnel ». Il y
32 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
53 nations physiques et morales. Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait admettre que les deux termes
33 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
54 ient été jusqu’aux dernières conséquences de leur refus du transcendant42. Le communisme seul a poussé jusqu’aux réalisations
34 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
55 n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peu
56 dre Marc, René Dupuis, Robert Aron. Ce concert de refus n’avait rien d’harmonieux. On pouvait cependant y distinguer deux thè
57 révolution, ce n’est plus un état d’esprit, ni un refus des tâches d’homme. La révolution est une nécessité au sens le plus b
58 dre Marc, René Dupuis, Robert Aron. Ce concert de refus n’avait rien d’harmonieux. On pouvait cependant y distinguer deux thè
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
59 esse consistant à savoir dépenser. Pauvre non par refus du monde, mais parce que le monde n’est jamais plus fort qu’une volon
36 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
60 iginalité de ces groupes réside d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauch
61 et à une gauche également condamnées. Par ce seul refus , ils opèrent déjà ce que le vocabulaire de L’Ordre nouveau nomme un
62 d’abord ce qui les unit en principe : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerre
63 les unit en principe : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres, de chômage,
64 e manifeste jusque dans le domaine de la pensée ; refus du nationalisme mystique, considéré comme une captation, au profit de
65 e la finance, du sentiment patriotique originel ; refus de la culture bourgeoise et de la distinction commode qu’elle suppose
66 ens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes gro
37 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
67 orance de cet ordre est bien plutôt une espèce de refus … À chacun de s’examiner et d’éprouver son courage « personnel ». Il y
38 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
68 nations physiques et morales. Doit-on conclure au refus de toute activité politique ? Ce serait admettre que les deux termes
39 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
69 ient été jusqu’aux dernières conséquences de leur refus du transcendant.35 Le communisme seul a poussé jusqu’aux réalisation
40 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
70 n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère d’une époque où tout ce qu’un homme peu
71 dre Marc, René Dupuis, Robert Aron. Ce concert de refus n’avait rien d’harmonieux. On pouvait cependant y distinguer deux thè
72 révolution, ce n’est plus un état d’esprit, ni un refus des tâches d’homme. La révolution est une nécessité au sens le plus b
41 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
73 e consistant à savoir se dépenser. Pauvre non par refus du monde, mais parce que le monde n’est jamais plus fort qu’une volon
42 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
74 iginalité de ces groupes réside d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauch
75 et à une gauche également condamnées. Par ce seul refus , ils opèrent déjà ce que le vocabulaire de l’Ordre nouveau nomme un «
76 d’abord ce qui les unit en principe : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerre
77 les unit en principe : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres, de chômage,
78 e manifeste jusque dans le domaine de la pensée ; refus du nationalisme mystique, considéré comme une captation, au profit de
79 e la finance, du sentiment patriotique originel ; refus de la culture bourgeoise et de la distinction commode qu’elle suppose
80 ens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude spirituelle des jeunes gro
43 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
81 arne à la puissance infinie le goût du néant — le refus de la vocation — qui caractérisera le monde bourgeois aux yeux de l’h
44 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
82 Il y aurait donc une différence profonde entre le refus de Pilate, chargé d’un pouvoir séculier, et le refus de l’intellectue
83 us de Pilate, chargé d’un pouvoir séculier, et le refus de l’intellectuel, dégagé par nature de toute responsabilité temporel
84 n fin de compte — à leurs yeux seuls — tous leurs refus de conclure37, c’est-à-dire de s’engager, où ils voient le sublime de
45 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
85 et tel autre. C’est tout au contraire exprimer un refus pur et simple de comparer. C’est affirmer une préférence inconditionn
46 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
86 t justement ce qu’il faut lui reprocher. C’est ce refus de prévoir jusqu’au bout les conséquences de son action, qui rend cet
87 se. Rien de plus frappant que cette communauté de refus à gauche et à droite, parmi les troupes. Il est temps de donner à ce
47 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
88 mporte une injustice, c’est trop clair, mais tout refus de juger comporte une illusion, et souvent une lâcheté. (En termes di
48 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
89 u monde est durée, et c’est la forme du péché, du refus de l’instant éternel12, — le temps, la succession et le désir. C’est
90 , nous retrouvons cette définition du temps comme refus de l’instant et de l’obéissance immédiate à la Parole. La ressemblanc
49 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
91 du dogme » n’est en fait qu’une stratification de refus , de défenses contre les hérésies. Cela produit des effets étranges. A
50 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
92 us qu’elle suppose : la sobriété, la solidité, le refus de l’ironie, la bonhomie sérieuse, l’absence de toute complaisance à
51 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
93 désespoir et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lignes droites dans l’univers, et
52 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
94 connaître sa vraie nature. Insuffisance de nos refus Si la culture nous pose un problème, c’est donc, et tout d’abord,
53 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
95 lement — en vertu d’un très sûr instinct — par un refus d’user de la mesure linguistique commune aux chancelleries et à l’Égl
54 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
96 érente : des génies qui n’incarnent rien que leur refus individuel, des génies destructeurs de toute communauté, affirmateurs
55 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
97 désespoir, et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lignes droites dans l’univers, et
56 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
98 er au détriment de la gravité de penser. D’où les refus que cette critique ne manque pas de prononcer dès qu’elle flaire dans
99 le synonyme d’une certaine lâcheté, d’un certain refus d’être humain, d’une certaine révolte inconsciente contre la conditio
100 l’homme, c’est l’impartialité du clerc, c’est son refus modeste et scientifique de former l’homme. La condition d’une telle v
101 la même erreur sur l’homme et sa mission, le même refus intéressé de faire la loi vivante, qui ont assuré pendant cent ans l’
102 Mais dans leur style, tout est prudence, tout est refus , et mes affirmations ou mes questions seraient, à les en croire, naïv
103 gieux ? Et leur épistémologie, le témoignage d’un refus de connaître, c’est-à-dire de souffrir et d’aimer ? Est-ce que toute
104 orte certaines adhésions, ou ne provoque certains refus dont les motifs seraient bien étrangers à la thèse que je soutiens. S
105 fusent pesamment le monde — pour le faire. Car ce refus nous tient debout et rassemblés. Et c’est là notre vocation d’hommes
106 permanente dans telle déficience morale, dans tel refus précis dont nous sommes responsables aujourd’hui ? L’implication éthi
107 t les ordres concrets ne rencontrent même plus de refus , mais seulement un geste de doute, une allusion à l’infinie complexit
108 elles sont constituées, précisément, par tous nos refus des extrêmes : vérités d’ordre statistique, donc irréelles par défini
57 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
109 tude finale. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meilleur moyen de les préciser — en affirmant directeme
110 e la culture tient, comme je l’ai démontré, à son refus d’agir et de se risquer dans les conflits qui existent, ou que la pen
111 ière, ou une passion vulgaire ; ou enfin comme un refus de donner ses raisons, une espèce de mensonge insolent. Et il est vra
112 comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de refus , de tentations, d’oublis feints, et de brusques retours. Il faut tout
113 jours marqué aussi clairement qu’il le fallait le refus que je veux opposer à la tentation titanique, à l’ambition prométhéen
114 e premier et irrattrapable de l’instant, c’est le refus de l’obéissance instantanée à l’Éternel. Nous avons lâché la rampe, e
58 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
115 rien de suffisant pour justifier ce mouvement de refus global. Mais nous sentons qu’elles entraînent en nous un état de divi
116 nce. Le salut n’est jamais dans le repli, dans le refus du conflit concret. L’invention de l’homme « intérieur » suppose et p
59 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
117 déjà la crise est ouverte. Insuffisance de nos refus Si la culture nous pose un problème, c’est donc, et tout d’abord,
60 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
118 lement — en vertu d’un très sûr instinct — par un refus d’user de la mesure linguistique commune aux chancelleries et à l’Égl
61 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
119 érente : des génies qui n’incarnent rien que leur refus individuel, des génies destructeurs de toute communauté, affirmateurs
62 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
120 désespoir, et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lignes droites dans l’univers, et
63 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
121 er au détriment de la gravité de penser. D’où les refus que cette critique ne manque pas de prononcer dès qu’elle flaire dans
122 le synonyme d’une certaine lâcheté, d’un certain refus d’être humain, voilà ce qu’il faut expliquer maintenant. L’apparei
123 l’homme, c’est l’impartialité du clerc, c’est son refus modeste et scientifique de former l’homme. J’ai dit la condition d’un
124 la même erreur sur l’homme et sa mission, le même refus intéressé de faire la loi vivante, qui ont assuré pendant cent ans l’
125 Mais dans leur style, tout est prudence, tout est refus , et mes affirmations ou mes questions seraient, à les en croire, naïv
126 gieux ? Et leur épistémologie, le témoignage d’un refus de connaître, c’est-à-dire de souffrir et d’aimer ? Est-ce que toute
127 orte certaines adhésions, ou ne provoque certains refus dont les motifs seraient bien étrangers à la thèse que je soutiens. S
128 fusent pesamment le monde — pour le faire. Car ce refus nous tient debout et rassemblés. Et c’est là notre vocation d’hommes
129 permanente dans telle déficience morale, dans tel refus précis dont nous sommes responsables aujourd’hui ? L’implication éthi
130 t les ordres concrets ne rencontrent même plus de refus , mais seulement un geste de doute, une allusion à l’infinie complexit
131 elles sont constituées, précisément, par tous nos refus des extrêmes : vérités d’ordre statistique, donc irréelles par défini
64 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
132 tude finale. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meilleur moyen de les préciser — en affirmant directeme
133 e la culture tient, comme je l’ai démontré, à son refus d’agir et de se risquer dans les conflits qui existent, ou que la pen
134 re, ou d’une passion vulgaire ; ou enfin comme un refus de donner ses raisons, une espèce de mensonge insolent. Et il est vra
135 comme les ruses de la volupté, à ce jeu serré de refus de tentations, d’oublis feints et de brusques retours. Il faut tout c
136 jours marqué aussi clairement qu’il le fallait le refus que je veux opposer à la tentation titanique, à l’ambition prométhéen
137 e premier et irrattrapable de l’instant, c’est le refus de l’obéissance instantanée à l’Éternel. Nous avons lâché la rampe, e
65 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
138 par suite économique, produite en Occident par le refus du concret et de l’acte, avec ce que tout acte comporte de risque dan
66 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
139 écision totale entre un oui et un non absolus, et refus de tout moyen terme ou médiation plus ou moins rationnelle entre les
140 la Diatribe voulait l’embarrasser69. Ensuite, ce refus total, ou mieux cette négligence tranquille de toute espèce de consid
67 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
141 fruit. Voilà le gouvernement despotique. » Le refus de la violence appelle la brutalité Confondre la violence et la br
68 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
142 écision totale entre un oui et un non absolus, et refus de tout moyen terme entre les règnes en guerre ouverte du Dieu de la
69 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
143 ont en commun, nous trouverions d’abord quelques refus (ceux que nous formulions dès les débuts de cette revue : ni communis
70 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
144 ce monde et s’attendent totalement au Royaume. Ce refus , cette attente active50 constituent la révolution la plus radicale qu
145 n monde qu’il condamne ! Car alors, où serait son refus  ? Et quelle preuve aurions-nous de sa transformation ? Une mauvaise h
71 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
146 ns une vraie sagesse, et de vraie sagesse dans le refus de toute sagesse qui calcule. Le riche ne vaut pas moins que le pauvr
72 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
147 t ce qui n’est pas foi, mais vue, tout ce qui est refus d’obéissance, et imagination d’un autre bien. Idole tout ce qui détou
148 s ? Une vocation est-elle donc « amissible » ? Le refus de l’homme serait-il donc capable de modifier un arrêt éternel, alors
73 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
149 écision totale entre un oui et un non absolus, et refus de tout moyen terme ou médiation plus ou moins rationnelle entre les
150 la Diatribe voulait l’embarrasser31. Ensuite, ce refus total, ou mieux, cette négligence tranquille de toute espèce de consi
74 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
151 ui est sa devise devait fatalement le conduire au refus d’une perspective de bonheur dans laquelle il ne pouvait voir le vrai
75 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
152 d’essayer de les résoudre, et fait converger des refus au lieu de composer des efforts. Programme de M. Daladier (selon le J
76 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
153 fuser le jeu du fort, et de le déconcerter par ce refus . Je lis dans un ouvrage anglais quelques phrases qui pourraient orien
77 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
154 vivre collectif84. Mais le fondement de ces trois refus était en vérité la doctrine de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divini
78 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
155 a passion, elle se distingue de la passion par un refus constant de subir ses rêves, par un besoin constant d’agir pour l’êtr
156 dis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus , une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité, d’em
157 age. Car cette fidélité se fonde justement sur le refus initial et juré de « cultiver » les illusions de la passion, de leur
158 la fidélité, de la personne, du mariage, — et du refus de la passion. Elle suppose l’acceptation du différent, et donc de l’
79 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
159 n passant sur mille — moi par exemple — oppose un refus de principe à ces bruyantes sollicitations. Le spectacle des pauvres
80 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
160 que de toute mentalité « totalitaire » ? C’est le refus de discuter. Et de là vient le terrorisme. La Terreur (jacobine, bolc
161 verraient s’effondrer la meilleure raison de leur refus de l’hitlérisme, tandis que les seconds verraient s’effondrer la seul
162 té totalitaire. Cette mentalité se définit par le refus de reconnaître les faits gênants (donc de discuter objectivement) et
81 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
163 bsurde que la passion, mais s’en distingue par un refus constant de subir ses rêves, par une constante prise sur le réel. Ell
82 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
164 out à fait comparables à celles des troubadours : refus de la consommation de l’amour, exaltation de l’amour chaste, par exem
83 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
165 ier. Et en effet, à la faveur de cet oubli, de ce refus , le moi perd peu à peu de sa réalité : d’où le sentiment si fréquent
84 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
166 « sérieuse », elle se constitue proprement par le refus d’admettre quoi que ce soit de ce genre. Elle se condamne à l’enregis
167 ment s’en réjouir ? Si l’on appelle catholique le refus conscient de renoncer à rien d’humain, sans distinction, je veux bien
85 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
168 Désormais, l’amour n’est plus fuite et perpétuel refus de l’acte. Il commence au-delà de la mort, mais il se retourne vers l
169 qui pourtant s’opposait au christianisme par son refus de l’Incarnation, précisément ! Je ne donnerai pour l’instant qu’un s
170 vers la Dame, sont ici rapportées expressément au refus de l’amour physique. Au surplus, nous verrons plus tard les poèmes de
86 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
171 eur doctrine de la « joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur condamnation absolue de toute
172 ’approche point encor de son affection ; Point de refus pour moi, point d’heures inégales ; Accablé de faveurs à mon repos fa
173 i est bel et bon. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le prix du don, c’est
174 sent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus , aux passions qui tendent à sa perte). En composant Tristan, Wagner a
87 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
175 qu’on pouvait faire des tragédies sans crime. Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir l’âge clas
88 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
176 ivre collectif184. Mais le fondement de ces trois refus était en vérité la doctrine de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divini
89 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
177 a passion, elle se distingue de la passion par un refus constant de subir ses rêves, par un besoin constant d’agir pour l’êtr
178 dis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus , une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité, d’em
179 age. Car cette fidélité se fonde justement sur le refus initial et juré de « cultiver » les illusions de la passion, de leur
180 la fidélité, de la personne, du mariage, — et du refus de la passion. Elle suppose l’acceptation du différent, et donc de l’
90 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
181 encore une fois, si l’on veut déduire d’un tel «  refus  » que l’Amour courtois était purement sensuel, la déduction vaudrait
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
182 Désormais, l’amour n’est plus fuite et perpétuel refus de l’acte. Il commence au-delà de la mort, mais il se retourne vers l
183 qui pourtant s’opposait au christianisme par son refus de l’Incarnation, précisément ! Je ne donnerai pour l’instant qu’un s
184 qui, de Marcion jusqu’à nos jours, traduit notre refus tout « naturel » d’admettre le scandale d’un Dieu-Homme. Les cathares
185 grande révolution psychique du xiie siècle ! Le refus de comprendre l’un par l’autre et par un même mouvement de l’esprit l
186 hérésie et l’amour courtois, n’équivaut-il pas au refus de les comprendre isolément ? ⁂ Voyons les présomptions en faveur de
187 vers la Dame, sont ici rapportées expressément au refus de l’amour physique. Au surplus, nous verrons plus tard les poèmes de
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
188 eur doctrine de la « joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur condamnation absolue de toute
189 ’approche point encor de son affection ; Point de refus pour moi, point d’heures inégales : Accablé de faveurs à mon repos fa
190 i est bel et bon. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le prix du don, c’est
191 sent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus , aux passions qui tendent à sa perte.) En composant Tristan, Wagner a
93 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
192 qu’on pouvait faire des tragédies sans crime. Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir l’âge clas
94 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
193 ivre collectif202. Mais le fondement de ces trois refus était en vérité la doctrine de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divini
95 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
194 a passion, elle se distingue de la passion par un refus constant de subir ses rêves, par un besoin constant d’agir pour l’êtr
195 dis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus , une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité, d’em
196 age. Car cette fidélité se fonde justement sur le refus initial et juré de « cultiver » les illusions de la passion, de leur
197 e la fidélité, de la personne, du mariage — et du refus de la passion. Elle suppose l’acceptation du différent, et donc de l’
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
198 Désormais, l’amour n’est plus fuite et perpétuel refus de l’acte. Il commence au-delà de la mort, mais il se retourne vers l
199 qui pourtant s’opposait au christianisme par son refus de l’Incarnation, précisément ! Je ne donnerai pour l’instant qu’un s
200 qui, de Marcion jusqu’à nos jours, traduit notre refus tout « naturel » d’admettre le scandale d’un Dieu-Homme. Les cathares
201 grande révolution psychique du xiie siècle ! Le refus de comprendre l’un par l’autre et par un même mouvement de l’esprit l
202 hérésie et l’amour courtois, n’équivaut-il pas au refus de les comprendre isolément ? ⁂ Voyons les présomptions en faveur de
203 vers la Dame, sont ici rapportées expressément au refus de l’amour physique. Au surplus, nous verrons plus tard les poèmes de
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
204 eur doctrine de la « joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur condamnation absolue de toute
205 ’approche point encor de son affection ; Point de refus pour moi, point d’heures inégales ; Accablé de faveurs à mon repos fa
206 i est bel et bon. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le prix du don, c’est
207 sent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus , aux passions qui tendent à sa perte.) En composant Tristan, Wagner a
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
208 qu’on pouvait faire des tragédies sans crime. Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir l’âge clas
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
209 ivre collectif188. Mais le fondement de ces trois refus était en vérité la doctrine de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divini
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
210 a passion, elle se distingue de la passion par un refus constant de subir ses rêves, par un besoin constant d’agir pour l’êtr
211 dis que la fidélité de Tristan était un perpétuel refus , une volonté d’exclure et de nier la création dans sa diversité, d’em
212 age. Car cette fidélité se fonde justement sur le refus initial et juré de « cultiver » les illusions de la passion, de leur
213 e la fidélité, de la personne, du mariage — et du refus de la passion. Elle suppose l’acceptation du différent, et donc de l’