1
dhal, succède à des effusions haletantes ou à une
relation
cinématographique. Mais tout cela baigne dans le même lyrisme et s’ag
2
morphose ; c’est un temps nouveau, et l’espace en
relation
se modifie pour maintenir je ne sais quelle harmonie… C’est une réali
3
ie l’être sous toutes ses formes, traduit tout en
relations
et veut rendre toutes relations conscientes, c’est-à-dire, pour lui,
4
, traduit tout en relations et veut rendre toutes
relations
conscientes, c’est-à-dire, pour lui, calculables, chiffrables. Dans l
5
ie l’être sous toutes ses formes, traduit tout en
relations
et veut rendre toutes relations conscientes, c’est-à-dire, pour lui,
6
, traduit tout en relations et veut rendre toutes
relations
conscientes, c’est-à-dire, pour lui, calculables, chiffrables. Dans l
7
parlez traduit simplement une variation dans mes
relations
avec le monde. En quoi cette première question est assez indiscrète.
8
e à la suite de la procession funèbre, toutes ses
relations
avec son père se déroulèrent comme un panorama devant ses yeux. Au-de
9
invisibles. La vie, désormais sans au-delà, sans
relation
avec l’infini, se trouble et se complique ; le sentiment contredit à
10
re de recommandation (pour ceux qui croient aux «
relations
»). Cette vertu laïque et démodée, confectionnée par les idéologues d
11
Car la réalité est précisément ce qui nous met en
relation
personnelle et immédiate avec Dieu : et que la relation d’un être déc
12
on personnelle et immédiate avec Dieu : et que la
relation
d’un être déchu avec son Créateur ne puisse être que paradoxale, cela
13
n seulement la vie naturelle, mais l’ensemble des
relations
humaines, la foi est ce qui rend la vie impossible (par ses exigences
14
contraire la politique est l’art d’accommoder les
relations
dans le sens de la plus grande facilité de réalisation. La politique
15
aine est la recherche d’une harmonie statique des
relations
humaines, d’un visible « principe d’union » (terme de l’encyclique Qu
16
tat de l’âme et du corps où tout nous apparaît en
relations
concrètes.) 31 mai 1929 Personne n’a fabriqué autant de mots ab
17
écues avec l’Ange gardien, mais c’est toujours en
relations
pratiques avec le commerce quotidien. J’en traduis cette page Sur la
18
tat de l’âme et du corps où tout nous apparaît en
relations
concrètes.) 31 mai 1929 Personne n’a fabriqué autant de mots ab
19
écues avec l’Ange gardien, mais c’est toujours en
relations
pratiques avec le commerce quotidien. J’en traduis cette page Sur la
20
tre que personne ne peut mesurer. Mais dans cette
relation
, vous existez. J’aurai beau faire, ils me diront encore : « Vous esti
21
pport originel de l’homme à Dieu, d’où découle la
relation
réelle et humainement bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour du
22
us rendre actifs lorsqu’elle nous engage dans une
relation
concrète avec le prochain. Mais comment s’engager dans cette relation
23
ec le prochain. Mais comment s’engager dans cette
relation
? L’erreur des chrétiens, trop souvent, c’est qu’ils s’efforcent d’en
24
agements humains ; rapidement il se concrétise en
relations
de responsabilité. Et voilà bien le seul fondement d’une communauté v
25
vait pousser les auteurs primitifs à colorer leur
relation
, on voit mieux encore le préjugé moderne qui pousse M. Goguel à les d
26
ur déterminée de l’inconnue donne une réalité aux
relations
que nous venons de proposer, transforme l’équation sujet en vrai suje
27
exigence proximiste. Dans l’ordre personnel, les
relations
les plus « valables » sont celles qui exigent de l’homme la plus cons
28
es réalités prochaines que doivent s’ordonner les
relations
plus générales. Cette thèse simple constitue à mes yeux la règle d’or
29
t dans le risque ? Qu’importe la multiplicité des
relations
, si elle entraîne l’irresponsabilité des hommes reliés ? Qu’importe l
30
pport originel de l’homme à Dieu, d’où découle la
relation
concrète et humainement bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour d
31
Car la réalité est précisément ce qui nous met en
relation
personnelle et immédiate avec Dieu : et que la relation d’un être déc
32
on personnelle et immédiate avec Dieu : et que la
relation
d’un être déchu avec son Créateur ne puisse être que paradoxale, cela
33
n seulement la vie naturelle, mais l’ensemble des
relations
humaines, la foi est ce qui rend la vie impossible (par ses exigences
34
contraire la politique est l’art d’accommoder les
relations
dans le sens de la plus grande facilité de réalisation. La politique
35
aine est la recherche d’une harmonie statique des
relations
humaines, d’un visible « principe d’union » (terme de l’encyclique Qu
36
s leur situation particulière. L’établissement de
relations
concrètes d’homme à homme, de prochain à prochain. Ordre pauvre : sa
37
pport originel de l’homme à Dieu, d’où découle la
relation
concrète et humainement bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour d
38
Car la réalité est précisément ce qui nous met en
relation
personnelle et immédiate avec Dieu : et que la relation d’un être déc
39
on personnelle et immédiate avec Dieu : et que la
relation
d’un être déchu avec son Créateur ne puisse être que paradoxale, cela
40
n seulement la vie naturelle, mais l’ensemble des
relations
humaines, la foi est ce qui rend la vie impossible (par ses exigences
41
contraire la politique est l’art d’accommoder les
relations
dans le sens de la plus grande facilité de réalisation. La politique
42
s leur situation particulière. L’établissement de
relations
concrètes d’homme à homme, de prochain à prochain. Ordre pauvre : sa
43
rantisme, etc.). Pour illustrer quelques-unes des
relations
que je viens de désigner, il n’est pas superflu de recourir à ces « o
44
eur pittoresque, mais dans leur vie intime, leurs
relations
. On serait tenté de dire : dans leur personne. Je connais peu de livr
45
tradictoires, d’affirmations qui s’entretuent, la
relation
de l’homme et de la femme perd tout caractère rationnel — ce qui n’es
46
r mieux dire : avec une cruelle facilité — que la
relation
de l’homme et de la femme n’est guère mieux pensable dans les catégor
47
e style est la contagion. Je mets ce phénomène en
relation
avec la théorie de la métaphore qu’on trouvera p. 257. Théorie du typ
48
pas de voir l’homme seul ; il faut considérer sa
relation
avec le monde, dont il n’est qu’un membre, un reflet. So oben wie unt
49
us une forme à peine allégorique, la question des
relations
qu’entretiennent notre cité et la nation des clercs. C’est mettre en
50
g de suprastructure et en la privant par là de sa
relation
essentielle avec la constitution réelle de la vie », Henri de Man y v
51
renonce pas à la vraisemblance n’entre jamais en
relation
avec Dieu. L’audace religieuse, à plus forte raison l’audace chrétien
52
a forme, qui ne peut être interprétée que par ses
relations
organiques à d’autres formes. Et c’est encore l’office de l’imaginati
53
aître » ; en sorte qu’on pût faire l’économie des
relations
abstraites inventées par les psychologues, et dans lesquelles vit le
54
ne mesure commune. Seul l’homme déterminé par ses
relations
prochaines et actives peut se sentir à la mesure des temps nouveaux.
55
isir l’homme dans son actualité (dans son être de
relation
), et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la théologie, qui affi
56
sure de l’homme en tant qu’il se possède dans ses
relations
actives avec tous ses prochains. C’est à nous qu’il incombe aujourd’h
57
ns l’exercice de leurs tâches banales et de leurs
relations
sociales, qu’ils en découvrent et en dénoncent l’impossibilité fonciè
58
p. ii ). Un fait notable illustre par ailleurs la
relation
de ces deux phénomènes. Lorsque les chefs de la nouvelle bourgeoisie
59
ue nous cherchons ne peut donc être définie qu’en
relation
avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’attitude de pensée et
60
ne mesure commune. Seul l’homme déterminé par ses
relations
prochaines et actives peut se sentir à la mesure des temps nouveaux.
61
isir l’homme dans son actualité (dans son être de
relation
) et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la théologie, qui affir
62
sure de l’homme en tant qu’il se possède dans ses
relations
actives avec tous ses prochains. C’est à nous qu’il incombe aujourd’h
63
sse et subtilité. Maladresse dans l’action et les
relations
humaines quotidiennes, subtilité excessive dans la tractation de prob
64
rgeoise. Un fait notable illustre par ailleurs la
relation
de ces deux phénomènes. Lorsque les chefs de la nouvelle bourgeoisie
65
ue nous cherchons ne peut donc être définie qu’en
relation
avec la vérité dernière de l’homme ; elle est l’attitude de pensée et
66
ne mesure commune. Seul l’homme déterminé par ses
relations
prochaines et actives peut se sentir à la mesure des temps nouveaux.
67
isir l’homme dans son actualité (dans son être de
relation
) et la pensée dans ses effets. Elle agit dans la théologie, qui affir
68
sure de l’homme en tant qu’il se possède dans ses
relations
actives avec tous ses prochains. C’est à nous qu’il incombe aujourd’h
69
sse et subtilité. Maladresse dans l’action et les
relations
humaines quotidiennes, subtilité excessive dans la tractation de prob
70
simple — ni si pur ni si simple d’ailleurs, — la
relation
volontairement privée de « morale » d’un lamentable cas individuel ?
71
ie, où les types étaient fixes et stables, et les
relations
codifiées, tyranniques : il y avait encore intérêt à passer outre aux
72
définir, de façon suffisamment profonde, par les
relations
qu’elle établit entre le rêve et la vie réelle. » Or notre époque, pl
73
, peu ou point de gains depuis des années. Pas de
relations
. Leur niveau de culture, fort au-dessus de la moyenne, ne m’étonne gu
74
sera dit. Le marxisme part de statistiques et de
relations
numériques (salaires, plus-value, profits). Il s’estime donc scientif
75
ment et moralement, c’est ce qui règle le jeu des
relations
humaines et les opinions politiques). Le marxisme traite tout cela de
76
s le désir de s’instruire a des limites. Déjà les
relations
se stabilisent, les « courtes habitudes » épuisent leur vertu. C’est
77
coïncidence qu’il faut y voir, ni d’ailleurs une
relation
de cause à effet, mais la relation de deux effets, ou leur interactio
78
d’ailleurs une relation de cause à effet, mais la
relation
de deux effets, ou leur interaction, cependant que leur cause général
79
le m’a posé et reposé chaque jour le problème des
relations
possibles entre l’écrivain et le peuple, et aussi le « problème des g
80
su, est même ce qui garantit l’authenticité de la
relation
d’un entretien. Mais cela ne saurait satisfaire entièrement au dessei
81
s le devenir). Pour ma part, je ne conçois pas de
relation
concrète à la transcendance où manquerait le sentiment du divin, du s
82
me n’existe pas isolément, qu’il est un être « en
relation
», qu’il est lié à une société42. Mais encore, à l’instar du chrétien
83
e de poser ce problème dans le détail concret des
relations
humaines quelconques, il se peut que l’on refuse aussi le vrai sérieu
84
on, la permanente et vraie question est celle des
relations
nécessaires entre l’esprit individuel, et l’espèce, maîtresse du corp
85
e pensée. L’individu ne saurait s’accomplir qu’en
relation
avec l’espèce, mais l’espèce ne peut avancer que sur la trace des gra
86
l’extérieur. Voilà le sens qu’il va donner à ses
relations
avec le monde : le commerce de la société, l’action et le service d’a
87
se débattre et s’épuiser. Goethe sera l’homme en
relation
avec le monde, la société, et la nature ; mais de cette relation, de
88
e monde, la société, et la nature ; mais de cette
relation
, de cette tension, la résultante sera constamment dirigée vers lui-mê
89
e révolution. Ainsi notre révolte même assure nos
relations
avec le monde. La tension se produit de nouveau entre les pôles indiv
90
rencontres, une sorte de perpétuel journal de nos
relations
avec le monde, empruntant toutes les formes qu’on voudra, roman, essa
91
, peu ou point de gains depuis des années. Pas de
relations
. Un niveau de culture fort au-dessus de la moyenne. Ce ne sont pas de
92
sera dit. Le marxisme part de statistiques et de
relations
numériques (salaires, plus-value, profits). Il s’estime donc scientif
93
ment et moralement, c’est ce qui règle le jeu des
relations
humaines et les opinions politiques). Le marxisme traite tout cela de
94
elui qui écrit un journal intime, une prétendue «
relation
» de ses pensées et sentiments. C’est d’abord que cet auteur, s’il a
95
s le désir de s’instruire a des limites. Déjà les
relations
se stabilisent, les « courtes habitudes » épuisent leur vertu. C’est
96
iné dès le début, à mesure que l’on codifiait les
relations
des « élus » et des « gentils ». On sait à quel point cette codificat
97
nogamique serait la forme la plus rationnelle des
relations
entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classe e
98
générales à la psychologie la plus concrète de la
relation
des égaux. L’exercice de la fidélité envers une femme accoutume à con
99
nt à son sexe. L’amour sauvage dépersonnalise les
relations
humaines. Par contre, l’homme qui se domine, ce n’est pas faute de «
100
on Dieu, — qui est l’Éternel et le Saint— que des
relations
d’amour mortellement malheureux. « Dieu crée tout ex nihilo » et celu
101
je nommais le « problème des gens ». Problème des
relations
des hommes entre eux ; des relations de l’écrivain avec les hommes pa
102
Problème des relations des hommes entre eux ; des
relations
de l’écrivain avec les hommes parmi lesquels il vit ; enfin des relat
103
avec les hommes parmi lesquels il vit ; enfin des
relations
de l’auteur et de son public. Or vous n’ignorez pas que mon souci tou
104
-il désobligeant, m’amenait à reconnaître que ces
relations
ne sont pas bonnes, de nos jours. J’allais même jusqu’à dire, dans mo
105
iculier général. Seulement au lieu de décrire des
relations
amoureuses, il décrit des relations sociales, ou politiques, ou relig
106
e décrire des relations amoureuses, il décrit des
relations
sociales, ou politiques, ou religieuses : une affectivité plus vaste,
107
la réalité d’un temps nouveau : elle traduit les
relations
d’une personne avec les passions collectives. Demain peut-être, il n’
108
Hitler était le seul homme capable d’assurer des
relations
équilibrées (?) entre la France et l’Allemagne, et cela en instituant
109
Collège de sociologie, et en partant non plus des
relations
économiques, mais de ce qui est sacré dans la sociologie, que j’en su
110
eu. Certes, on ne peut pas passer directement des
relations
individuelles des amants au fait collectif de la guerre. Mais on peut
111
L’exemple des romantiques allemands illustre une
relation
profonde et constante dans l’homme : celle qui existe entre le recour
112
de noms de personnes et de lieux, de chiffres, de
relations
de gestes et de paroles, matériel avec l’aide duquel l’historien comp
113
a Réforme, — et déjà des dialogues esquissés, ces
relations
faites par des pèlerins montés seuls ou en troupe au Ranft… Quelque c
114
ermet de saisir d’un coup d’œil certains types de
relations
constantes, et de les dégager du fouillis des apparences quotidiennes
115
point comme œuvre littéraire, mais comme type des
relations
de l’homme et de la femme dans un groupe historique donné : l’élite s
116
rtain nombre de faits sociaux ou religieux, ou de
relations
affectives, que l’on tient cependant à conserver, ou qu’il est imposs
117
s mythe, désormais, cette permanence d’un type de
relations
et des réactions qu’il provoque. Le mythe de Tristan et Iseut, ce ne
118
e. C’est qu’il permet aussi de formuler certaines
relations
permanentes noyées sous les vulgarités minutieuses de nos psychologie
119
tois. (Donnoi, ou domnei en provençal, désigne la
relation
de vasselage instituée entre l’amant-chevalier et sa dame, ou domina.
120
a permis de surprendre à l’état naissant quelques
relations
fondamentales qui sous-tendent nos destinées. Pour autant que l’amour
121
ins sous forme de question — à poser une dernière
relation
qui se révélera peut-être, en fin de compte, la plus fondamentale de
122
ment localisée, ou telle conséquence imprévue des
relations
que nous venons de dégager. 1. Il est assez facile d’éliminer, par
123
vençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des
relations
d’un type analogue52. Au surplus, les origines hérétiques des lieux c
124
voie de découvertes considérables concernant les
relations
de la mystique soufiste et de la poésie occidentale, à une époque plu
125
r appartenu à l’ordre des Templiers, qui était en
relations
certaines avec un ordre musulman identique dans sa structure, dans pl
126
t est symbole religieux, et non pas traduction de
relations
humaines. Toutefois, le narcissisme inhérent à tout amour dit platoni
127
e l’instinct, il suffira de changer le sens de la
relation
constatée, et d’écrire que « l’instinct » en question résulte d’une p
128
urant par les mystiques n’est pas sans d’étroites
relations
avec leur doctrine de l’union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbro
129
traîne des modifications assez profondes dans les
relations
sentimentales et les coutumes. Le mariage redevient l’institution de
130
uxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans
relations
intimes avec le mythe au dernier stade de sa déchéance. Elle exprime
131
160. Héritage, dot, « situation » des conjoints,
relations
d’affaires, etc. 161. Scène d’un roman de Caldwell intitulé La Route
132
r la question de l’« instinct combatif » dans ses
relations
avec l’instinct sexuel163. Faute de quoi, je me bornerai à soulever u
133
de Lycurgue, et ses lois minutieuses réglant les
relations
des époux, n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldat
134
issisme, autoexaltation de l’amant, bien plus que
relation
avec l’aimée. Ce que désire Tristan, c’est la brûlure d’amour plus qu
135
narcissiste du Soi collectif. Il est vrai que sa
relation
avec autrui s’avoue rarement comme un amour : presque toujours, c’est
136
période. Et cela signifie sans équivoque que les
relations
individuelles des sexes ont cessé d’être le lieu par excellence où se
137
nogamique serait la forme la plus rationnelle des
relations
entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classes
138
générales à la psychologie la plus concrète de la
relation
des égaux. L’exercice de la fidélité envers une femme accoutume à con
139
nt à son sexe. L’amour sauvage dépersonnalise les
relations
humaines. Par contre, l’homme qui se domine, ce n’est pas faute de «
140
on Dieu — qui est l’Éternel et le Saint — que des
relations
d’amour mortellement malheureux. « Dieu crée tout ex nihilo » et celu
141
sais de Leo Ferrero : Désespoirs, je trouve cette
relation
d’un entretien qu’a eu l’auteur avec un jeune Chinois : « Le concept
142
eil, une révélation. (Beaucoup nous ont laissé la
relation
de leur visite : unanimes dans l’admiration devant cet « homme de Die
143
plus ou moins hérétique n’est pas sans d’intimes
relations
avec les doctrines mystiques de Suso et de Tauler, et par eux, de Maî
144
va lui donner un nouveau sens. Pour désigner les
relations
constituant la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, les doct
145
ui aussi, se trouve être à la fois autonome et en
relation
. Ainsi le mot avec son sens nouveau, et la réalité sociale de la pers
146
Mais il était inévitable et normal que ce type de
relations
influençât peu à peu toutes les autres relations humaines, et en part
147
relations influençât peu à peu toutes les autres
relations
humaines, et en particulier les relations politiques. Toute l’histoir
148
autres relations humaines, et en particulier les
relations
politiques. Toute l’histoire de l’Europe serait à refaire à partir de
149
ermet de saisir d’un coup d’œil certains types de
relations
constantes, et de les dégager du fouillis des apparences quotidiennes
150
point comme œuvre littéraire, mais comme type des
relations
de l’homme et de la femme dans un groupe historique donné : l’élite s
151
rtain nombre de faits sociaux ou religieux, ou de
relations
affectives, que l’on tient cependant à conserver, ou qu’il est imposs
152
s mythe, désormais, cette permanence d’un type de
relations
et des réactions qu’il provoque. Le mythe de Tristan et Iseut, ce ne
153
e. C’est qu’il permet aussi de formuler certaines
relations
permanentes noyées sous les vulgarités minutieuses de nos psychologie
154
tois. (Donnoi, ou domnei en provençal, désigne la
relation
de vasselage instituée entre l’amant-chevalier et sa Dame, ou domina)
155
a permis de surprendre à l’état naissant quelques
relations
fondamentales qui sous-tendent nos destinées. Pour autant que l’amour
156
ins sous forme de question — à poser une dernière
relation
qui se révélera peut-être, en fin de compte, la plus fondamentale de
157
ment localisée, ou telle conséquence imprévue des
relations
que nous venons de dégager. 2. Il est assez facile d’éliminer, par
158
vençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des
relations
d’un type analogue54. Au surplus, la tonalité hérétique des lieux com
159
diquais plus haut que par analogies la nature des
relations
possibles entre une mystique, une conception religieuse, ou simplemen
160
is sans doute plus psychologique. Je rappelais la
relation
de fait (lieux et dates remarquablement identiques) entre cathares et
161
mme un piège. J’éviterai à la fois d’indiquer des
relations
de cause à effet, et de formuler expressément des conclusions que l’o
162
var. Yudhâsaf). Innombrables sont les exemples de
relations
entre l’Orient et l’Occident médiéval. J’ai choisi ces deux cas, soli
163
ble par certaines de ses marques historiques : sa
relation
littéralement congénitale avec l’hérésie des cathares, et son opposit
164
mbole religieux, autant ou plus que traduction de
relations
humaines. Toutefois, le narcissisme inhérent à tout amour dit platoni
165
ouvrage d’ensemble, Hispano-Arabic Poetry and its
relations
with the old Provencal Troubadours, Baltimore, 1946. Voir aussi les o
166
e l’instinct, il suffira de changer le sens de la
relation
constatée, et d’écrire que « l’instinct » en question résulte d’une p
167
urant par les mystiques n’est pas sans d’étroites
relations
avec leur doctrine de l’union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbro
168
traîne des modifications assez profondes dans les
relations
sentimentales et les coutumes. Le mariage redevient l’institution de
169
uxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans
relations
avec le mythe au dernier stade de sa déchéance. Elle exprime à la per
170
178. Héritage, dot, « situation » des conjoints,
relations
d’affaires, etc. 179. Scène d’un roman de Caldwell intitulé la Route
171
r la question de l’« instinct combatif » dans ses
relations
avec l’instinct sexuel181. Faute de quoi, je me bornerai à soulever u
172
de Lycurgue, et ses lois minutieuses réglant les
relations
des époux, n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldat
173
issisme, autoexaltation de l’amant, bien plus que
relation
avec l’aimée. Ce que désire Tristan, c’est la brûlure d’amour plus qu
174
narcissiste du Soi collectif. Il est vrai que sa
relation
avec autrui s’avoue rarement comme un amour : presque toujours, c’est
175
période. Et cela signifie sans équivoque que les
relations
individuelles des sexes ont cessé d’être le lieu par excellence où se
176
nogamique serait la forme la plus rationnelle des
relations
entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classes
177
prochain comme toi-même » crée des structures de
relations
actives. L’impératif : « Sois amoureux ! » serait vide de sens ; ou s
178
générales à la psychologie la plus concrète de la
relation
des égaux. L’exercice de la fidélité envers une femme accoutume à con
179
nt à son sexe. L’amour sauvage dépersonnalise les
relations
humaines. Par contre, l’homme qui se domine, ce n’est pas faute de «
180
on Dieu — qui est l’Éternel et le Saint — que des
relations
d’amour mortellement malheureux. « Dieu crée tout ex nihilo » et celu
181
Les historiens ont déploré mon insistance sur les
relations
troublantes que j’observais entre cathares et troubadours : eux n’en
182
ermet de saisir d’un coup d’œil certains types de
relations
constantes, et de les dégager du fouillis des apparences quotidiennes
183
point comme œuvre littéraire, mais comme type des
relations
de l’homme et de la femme dans un groupe historique donné : l’élite s
184
rtain nombre de faits sociaux ou religieux, ou de
relations
affectives, que l’on tient cependant à conserver, ou qu’il est imposs
185
s mythe, désormais, cette permanence d’un type de
relations
et des réactions qu’il provoque. Le mythe de Tristan et Iseut, ce ne
186
e. C’est qu’il permet aussi de formuler certaines
relations
permanentes noyées sous les vulgarités minutieuses de nos psychologie
187
tois. (Donnoi, ou domnei en provençal, désigne la
relation
de vasselage institué entre l’amant-chevalier et sa Dame, ou domina.)
188
a permis de surprendre à l’état naissant quelques
relations
fondamentales qui sous-tendent nos destinées. Pour autant que l’amour
189
ins sous forme de question — à poser une dernière
relation
qui se révélera peut-être, en fin de compte, la plus fondamentale de
190
ment localisée, ou telle conséquence imprévue des
relations
que nous venons de dégager. 2. La raison dont je parle ici étant l
191
vençaux entretiennent avec le néo-manichéisme des
relations
d’un type analogue47. Au surplus, la tonalité hérétique des lieux com
192
diquais plus haut que par analogies la nature des
relations
possibles entre une mystique, une conception religieuse, ou simplemen
193
is sans doute plus psychologique. Je rappelais la
relation
de fait (lieux et dates remarquablement identiques) entre cathares et
194
mme un piège. J’éviterai à la fois d’indiquer des
relations
de cause à effet, et de formuler expressément des conclusions que l’o
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var. Yudhâsaf). Innombrables sont les exemples de
relations
entre l’Orient et l’Occident médiéval. J’ai choisi ces deux cas, soli
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ble par certaines de ses marques historiques : sa
relation
littéralement congénitale avec l’hérésie des cathares, et son opposit
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gieux ou féodal, autant ou plus que traduction de
relations
humaines. Toutefois, le narcissisme inhérent à tout amour dit platoni
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ouvrage d’ensemble, Hispano-Arabic Poetry and its
relations
with the old Provencal Troubadours, Baltimore, 1946. Voir aussi les o
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e l’instinct, il suffira de changer le sens de la
relation
constatée, et d’écrire que « l’instinct » en question résulte d’une p
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urant par les mystiques n’est pas sans d’étroites
relations
avec leur doctrine de l’union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbro
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traîne des modifications assez profondes dans les
relations
sentimentales et les coutumes. Le mariage redevient l’institution de
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uxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans
relations
avec le mythe au dernier stade de sa déchéance. Elle exprime à la per
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r la question de l’« instinct combatif » dans ses
relations
avec l’instinct sexuel168. Faute de quoi, je me bornerai à soulever u
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de Lycurgue, et ses lois minutieuses réglant les
relations
des époux, n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldat
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issisme, autoexaltation de l’amant, bien plus que
relation
avec l’aimée. Ce que désire Tristan, c’est la brûlure d’amour plus qu
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narcissiste du Soi collectif. Il est vrai que sa
relation
avec autrui s’avoue rarement comme un amour : presque toujours, c’est
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période. Et cela signifie sans équivoque que les
relations
individuelles des sexes ont cessé d’être le lieu par excellence où se
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nogamique serait la forme la plus rationnelle des
relations
entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classes
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prochain comme toi-même » crée des structures de
relations
actives. L’impératif : « Sois amoureux ! » serait vide de sens ; ou s
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générales à la psychologie la plus concrète de la
relation
des égaux. L’exercice de la fidélité envers une femme accoutume à con
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nt à son sexe. L’amour sauvage dépersonnalise les
relations
humaines. Par contre, l’homme qui se domine, ce n’est pas faute de «
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on Dieu — qui est l’Éternel et le Saint — que des
relations
d’amour mortellement malheureux. « Dieu crée tout ex nihilo » et celu
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sais de Léo Ferrero : Désespoirs, je trouve cette
relation
d’un entretien qu’a eu l’auteur avec un jeune Chinois : Le concept d
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stan »… 6.Freud et les surréalistes Sur les
relations
entre Freud et les surréalistes, voir dans Les Pas perdus d’André Bre
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istes, voir dans Les Pas perdus d’André Breton la
relation
de sa courte et décevante visite à Freud (Vienne, 1921), puis dans le
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ait s’imposer un rythme égal et sans lacunes, une
relation
automatique et monotone des petits faits, situant exactement l’appari
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s tabous de la tribu, mais en même temps privé de
relations
concrètes. Or la communauté des hommes se fonde d’abord sur des relat
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la communauté des hommes se fonde d’abord sur des
relations
charnelles et concrètes. C’est pourquoi l’individualisme qui les négl
219
udre enfin l’éternel problème que nous posent les
relations
de l’individu et de la collectivité. Il s’agit de voir que l’homme co
220
ais d’autre part, cette vocation unique le met en
relation
avec des frères et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’
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ices qu’eût entraînés un règlement plus juste des
relations
sociales et internationales, pour avoir refusé obstinément tout ce qu
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eulement sur le plan social, mais sur le plan des
relations
de peuple à peuple. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’ag
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ices qu’eût entraînés un règlement plus juste des
relations
sociales et internationales, pour avoir refusé obstinément tout ce qu
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eulement sur le plan social, mais sur le plan des
relations
de peuple à peuple. Tout ce que nous jugions impossible quand il s’ag
225
e raison se rapporte étroitement à mon sujet, aux
relations
entre l’Église et la Suisse, ou pour être concret : aux relations ent
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l’Église et la Suisse, ou pour être concret : aux
relations
entre nos Églises et nous, les Suisses. Le peuple suisse, en général,
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à rester démocrates et sans façon jusque dans nos
relations
avec le Tout-Puissant, qui est pourtant nommé Monarque, Seigneur et R
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va lui donner un nouveau sens. Pour désigner les
relations
constituant la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, les doct
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ui aussi, se trouve être à la fois autonome et en
relation
. Ainsi le mot avec son sens nouveau, et la réalité sociale de la pers
230
Mais il était inévitable et juste que ce type de
relations
influençât peu à peu toutes les autres relations humaines, et en part
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relations influençât peu à peu toutes les autres
relations
humaines, et en particulier les relations politiques. Toute l’histoir
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autres relations humaines, et en particulier les
relations
politiques. Toute l’histoire de l’Europe serait à refaire à partir de
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s tabous de la tribu, mais en même temps privé de
relations
concrètes. Or la communauté des hommes se fonde d’abord sur des relat
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la communauté des hommes se fonde d’abord sur des
relations
charnelles et concrètes. C’est pourquoi l’individualisme, qui les nég
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udre enfin l’éternel problème que nous posent les
relations
de l’individu et de la collectivité. Il s’agit de voir que l’homme co
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ais d’autre part, cette vocation unique le met en
relation
avec des frères, et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l
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va lui donner un nouveau sens. Pour désigner les
relations
constituant la Trinité, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, les doct
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ui aussi, se trouve être à la fois autonome et en
relation
. Ainsi le mot avec son sens nouveau, et la réalité sociale de la pers
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Mais il était inévitable et juste que ce type de
relations
influençât peu à peu toutes les autres relations humaines, et en part
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relations influençât peu à peu toutes les autres
relations
humaines, et en particulier les relations politiques. Toute l’histoir
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autres relations humaines, et en particulier les
relations
politiques. Toute l’histoire de l’Europe serait à refaire à partir de
242
rs, mais pourra-t-on restaurer le mariage, et les
relations
sociales des deux sexes, à partir d’un mensonge à la nature ? L’expér
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le, mais aussi, d’une certaine manière, celle des
relations
de l’Allemagne et de l’Europe, ou d’une masse quelconque et du Prince
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éritable repose sur le voisinage vécu, qui est la
relation
de prochain à prochain.17 Sans voisinage réel, vous n’êtes plus respo
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ire dans les États atteints de gigantisme, où les
relations
humaines, du fait des grandes distances, des masses et de l’anonymat,
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morale. Il estime en effet que la Règle d’or des
relations
humaines, dans tous les ordres, fut donnée par cette phrase de l’Évan
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e démocratique se résume dans une « technique des
relations
humaines » enseignant aux humains comment se faire des amis, gagner l
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rs, mais pourra-t-on restaurer le mariage, et les
relations
sociales des deux sexes, à partir d’un mensonge à la nature ? L’expér
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le, mais aussi, d’une certaine manière, celle des
relations
de l’Allemagne et de l’Europe, ou d’une masse quelconque et du Prince