1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
1 sociale, — mariant l’utile à l’agréable selon les rites d’une esthétique ou d’une autre, plus ils perdent leur pouvoir de sig
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 danois. Quatre anciens bellettriens célèbrent les rites du Sapin vert. À ce moment apparaît Charles Du Bos, en kimono de soie
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
3 anois. Quatre anciens Belletriens21 célèbrent les rites du Sapin Vert. Ô glossolalies amoureuses, ô sirènes mal défendues, pa
4 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
4 s les assurances humaines contre Dieu, tous les «  rites  » et toutes les « formules », en même temps que la critique de ces ri
5  formules », en même temps que la critique de ces rites et de ces formules, toutes les idolâtries, que ce soit la croyance an
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
6 expliquer. Tout cela repose sur un vieux fonds de rites de protection très compliqués dont ils n’arriveraient pas à concevoir
6 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
7 expliquer. Tout cela repose sur un vieux fonds de rites de protection très compliqués dont ils n’arriveraient pas à concevoir
7 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
8 s institutions gardèrent longtemps les éléments : rites de l’achat, du rapt, de la quête et de l’exorcisme. Mais de nos jours
9 on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte du mariage, de l’intégrer d
8 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
10 ares » que les peuplades polynésiennes avec leurs rites et leurs sorciers. Si la faim religieuse s’éveille dans ces masses, e
9 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
11 e expressément à la religion en général, avec ses rites et ses croyances dont Alain respecte la forme et laïcise le contenu.
10 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
12 l’Église avait « compris » le paganisme dans ses rites .) Or si ce cadre disparaît, cette passion n’en subsiste pas moins. El
11 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
13 art, le peu que l’on connaît des croyances et des rites cathares suffit à établir sans plus de contestations possibles les or
14 une autre en 1907 : elle rattachait le Graal aux rites secrets du culte d’Adonis. Ce qui est certain, c’est qu’un symbole co
15 nt les uns aux autres le baiser de paix, selon le rite oriental, que les cathares paraissent avoir repris. — Enfin, M. Anitc
12 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
16 ées de leur forme sacrée. C’est à ces vestiges de rites que s’attaqua le romantisme. D’où la violente exaltation dès la fin d
17 revenons au stade du rapt, du viol, mais sans les rites qui accompagnaient ces actes chez les peuplades polynésiennes. Cette
13 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
18 féroces. Il faut élever l’amour à la hauteur d’un rite , la violence débordante de la passion l’exige. À moins que les émotio
14 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
19 s institutions gardèrent longtemps les éléments : rites de l’achat, du rapt, de la quête et de l’exorcisme. Mais de nos jours
20 on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte du mariage, de l’intégrer d
15 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
21 le mystère des origines : souvenirs, mythologies, rites magiques, races, contraintes sacrées. C’est là ce que j’appellerai un
16 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
22 l’Église avait « compris » le paganisme dans ses rites .) Or si ce cadre disparaît, cette passion n’en subsiste pas moins. El
17 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
23 ’Esprit consolateur : ce consolamentum devient le rite majeur de leur Église. Il se donnait, lors des cérémonies d’initiatio
24 que l’on connaît aujourd’hui des croyances et des rites cathares suffit à établir sans plus de contestations possibles les or
25 sa « piété » particulière, la joy d’amors, ses «  rites  » précis, la rhétorique des troubadours, sa morale de l’hommage et du
26 es furent tantôt des artifices cruels, tantôt des rites sacrés ou des gestes magiques, parfois aussi des disciplines profonde
27 une autre en 1907 : elle rattachait le Graal aux rites secrets du culte d’Adonis. Ce qui est certain, c’est qu’un symbole co
28 nt les uns aux autres le baiser de paix, selon le rite oriental, que les cathares paraissent avoir repris. — Enfin, M. Anitc
18 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
29 ées de leur forme sacrée. C’est à ces vestiges de rites que s’attaqua le romantisme. D’où la violente exaltation dès la fin d
30 revenons au stade du rapt, du viol, mais sans les rites qui accompagnaient ces actes chez les peuplades polynésiennes. Cette
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
31 féroces. Il faut élever l’amour à la hauteur d’un rite , la violence débordante de la passion l’exige. À moins que les émotio
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
32 s institutions gardèrent longtemps les éléments : rites de l’achat, du rapt, de la quête et de l’exorcisme. Mais de nos jours
33 on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte du mariage, de l’intégrer d
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
34 l’Église avait « compris » le paganisme dans ses rites .) Or si ce cadre disparaît, cette passion n’en subsiste pas moins. El
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
35 ’Esprit consolateur : ce consolamentum devient le rite majeur de leur Église. Il se donnait, lors des cérémonies d’initiatio
36 que l’on connaît aujourd’hui des croyances et des rites cathares suffit à établir sans plus de contestations possibles les or
37 sa « piété » particulière, la joy d’amors, ses «  rites  » précis, la rhétorique des troubadours, sa morale de l’hommage et du
38 es furent tantôt des artifices cruels, tantôt des rites sacrés ou des gestes magiques, parfois aussi des disciplines profonde
39 une autre en 1907 : elle rattachait le Graal aux rites secrets du culte d’Adonis. Ce qui est certain, c’est qu’un symbole co
40 nt les uns aux autres le baiser de paix, selon le rite oriental, que les cathares paraissent avoir repris. — Enfin, M. Anitc
23 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
41 ées de leur forme sacrée. C’est à ces vestiges de rites que s’attaqua le romantisme. D’où la violente exaltation, dès la fin
42 revenons au stade du rapt, du viol, mais sans les rites qui accompagnaient ces actes chez les peuplades polynésiennes. Cette
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
43 féroces. Il faut élever l’amour à la hauteur d’un rite , la violence débordante de la passion l’exige. À moins que les émotio
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
44 s institutions gardèrent longtemps les éléments : rites de l’achat, du rapt, de la quête et de l’exorcisme. Mais de nos jours
45 on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte du mariage, de l’intégrer d
26 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
46 munauté nouvelle, il faut créer des signes et des rites  : voyez les régimes totalitaires, communistes ou fascistes, avec leur
27 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
47 le mystère des origines : souvenirs, mythologies, rites magiques, culte ancestral ou religion d’État. C’est là ce que j’appel
28 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
48 le mystère des origines : souvenirs, mythologies, rites magiques, culte ancestral ou religion d’État. C’est là ce que j’appel
29 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
49 e, tandis que l’Église protestante épiscopale (de rite anglican) est surtout citadine et « fashionable ». Voilà qui explique
30 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
50 gs, conférences. La monarchie était fondée sur le rite , les formules consacrées, la cérémonie plastique. La dictature est le
31 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
51 nes, disciplines morales ou mystiques, prières ou rites , sont les moyens qu’a trouvé l’homme pour capter ses puissances obscu
32 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
52 gs, conférences. La monarchie était fondée sur le rite , les formules consacrées, la cérémonie plastique. La dictature est le
33 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
53 nes, disciplines morales ou mystiques, prières ou rites , sont les moyens qu’a trouvés l’homme pour capter ses puissances obsc
34 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
54 gs, conférences. La monarchie était fondée sur le rite , les formules consacrées, la cérémonie plastique. La dictature est le
35 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
55 nes, disciplines morales ou mystiques, prières ou rites , sont les moyens qu’a trouvé l’homme pour capter ses puissances obscu
36 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
56 ate la Terreur, balayant les symboles sacrés, les rites sociaux et les cérémonies dont l’élite a perdu le sens, pour instaure
57 ent vraie : il détruit les figures convenues, les rites constants de l’illusion, dont le conteur connaissait les pouvoirs. Il
58 jeu, la rentrée dans la vie sérieuse. Idem : les rites d’entrée et de sortie relatifs à un espace ou à un temps sacré. 4. V
37 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
59 s’il veut devenir Américain, doit se soumettre au rite suivant : il lui faut tout d’abord quitter le pays — un petit voyage
38 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
60 puissance terrestre (les épées) ; des sacrements, rites et prêtres des religions établies (les coupes) ; des biens qu’on peut
39 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
61 ouper les ponts, de brûler ses pénates, et autres rites attestant devant les mânes des ancêtres un choix farouche, irrévocabl
40 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
62 ouper les ponts, de brûler les pénates, et autres rites attestant devant les mânes des ancêtres un choix farouche, irrévocabl
41 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
63 ne étude comparée des liturgies et des principaux rites occidentaux, dépouillés de leur patine, reconstitués, discrètement ar
64 , plus proches aussi les uns des autres par leurs rites , coutumes et décors, comment les chrétiens d’Amérique conçoivent-ils
42 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
65 luthérien, s’est introduit dans les cadres et les rites anciens, jugés utilisables. Or, nous voyons ce processus ecclésiastiq
43 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
66 ouper les ponts, de brûler ses pénates, et autres rites attestant devant les mânes des ancêtres un choix farouche, irrévocabl
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
67 ’expliquer. Tout cela repose sur un vieux fond de rites de protection très compliqués dont ils n’arriveraient pas à concevoir
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
68 ares » que les peuplades polynésiennes avec leurs rites et leurs sorciers. Si la faim religieuse s’éveille dans ces masses, e
69 lémentaire — sans dogmatique ni transcendance, ni rites précieux et séculaires — émeut les masses germaniques et les rassembl
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
70 aux jeux connus tirent d’ailleurs leur origine de rites sacrés. C. G. Jung montre que l’inconscient collectif communique avec
71 t et en beaucoup d’époques, dans les rêves et les rites , — à quoi j’ajoute les figures des jeux.   La fonction ludique. — El
72 s l’éveil à la fonction onirique dans le sommeil. Rites , symboles constants, figures des jeux, rhétorique, fêtes et liturgies
73 s qui amènent ses contenus à la conscience. « Les rites préviennent le désordre comme les digues » (sagesse chinoise). Ce qui
74 i s’opérer l’assimilation de proche en proche des rites religieux, symboles des rêves, figures et règles des jeux, langages e
75 ser les inspirations inconscientes et affectives ( rite , liturgie), puis de régler les relations sociales conscientes (lois,
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
76 ouper les ponts, de brûler ses pénates, et autres rites attestant devant les mânes des ancêtres un choix farouche, irrévocabl
48 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
77 s’il veut devenir Américain, doit se soumettre au rite suivant : il lui faut tout d’abord quitter le pays — un petit voyage
49 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
78 ne étude comparée des liturgies et des principaux rites occidentaux, dépouillés de leur patine, reconstitués, discrètement ar
50 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
79 classiques. Les continents, les peuples et leurs rites , les éléments, la quête et la conquête, les énumérations lyriques, et
51 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
80 s chaque forme et chaque geste sont dictés par le rite et revêtus de son autorité. Pourtant ce qui a suivi m’a troublé davan
81 uisqu’il n’existe pas de culte public, ni même de rites communautaires ; à part les processions et fêtes périodiques ; enfin,
82 mestiques des temples, utiles par leur savoir des rites de la naissance et de la mort, mais fort inférieurs aux brahmines. Co
83 des Vedas, surtout par les écoles de Maîtres. Les rites sont familiaux, ou même individuels. Dans ce pays où les rues grouill
52 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
84 le salut de l’homme non point de l’observance des rites collectifs, mais de la conversion personnelle. La question du sens d
85 on des conventions sacrées. Ils imitent moins des rites millénaires que des révolutions d’hier ou d’avant-hier. Entre le conf
86 disques et pellicules les chants, les danses, les rites , les voix et les visages de l’innombrable humanité. Nous avons médité
53 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
87 dans nos villes et dans nos campagnes, avec leurs rites et leurs idoles et leurs fidèles, Zeus, Aphrodite et Diane, les mystè
54 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
88 garanties par une science périmée, tout comme les rites des « primitifs » continuent des gestes sacrés dont le secret semble
55 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
89 jeu » selon les règles. Ainsi l’humanité dans ses rites religieux « joue » l’ordre naturel pour qu’il se perpétue. Les notion
90 i-même. Suivons ce procès. Lorsque l’ensemble des rites , des croyances codifiées, des instruments d’une civilisation naissant
56 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
91 sa « pitié » particulière, la joy d’amors, ses «  rites  » précis, la rhétorique des troubadours, sa morale de l’hommage et du
92 es furent tantôt des artifices cruels, tantôt des rites sacrés ou des gestes magiques, parfois aussi des disciplines profonde
57 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
93 nce et la Réforme, l’initiation aux mystères, aux rites , au sacré social, tend à disparaître ; elle est remplacée par une ins
94 spirer au jeune disciple un respect religieux des rites qui sont censés gouverner le réel (par exemple : rendre la terre et l
95 ors erreur ou impiété : elle frappe de nullité le rite . En Europe, au contraire, il est courant que le maître écrive au bas
58 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
96 rois grandes castes tendaient à se reformer ; les rites , les traditions multipliées primaient sur tout essai d’innovation ou
59 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
97 rois grandes castes tendaient à se reformer ; les rites , les traditions multipliées primaient sur tout essai d’innovation ou
60 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
98 en Orient. La morale des Anciens est basée sur le rite , et dans le monde magique elle n’est que rite. Seule la croyance mode
99 le rite, et dans le monde magique elle n’est que rite . Seule la croyance moderne aux « lois de la science » et aux « nécess
100 ègne de la Loi à celui de la Foi, c’est-à-dire du Rite à l’Amour. « Tout est permis, mais tout n’édifie pas. » « Rien n’est
61 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
101 essentielle. Elle impose avec trop de rigueur des rites et des symboles trop pauvres et trop froids. Les sectes orientales se
102 t actifs, tels que statues, peintures, monuments, rites et rêves. Et il s’agit surtout de complexes dynamiques, de formes d’e
62 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
103 dans nos villes et dans nos campagnes, avec leurs rites et leurs idoles et leurs fidèles, Zeus, Aphrodite et Diane, les mystè
63 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
104 reur de l’histoire, disposait de tous les mythes, rites et comportements (sacrés)… Depuis l’“invention” de la foi au sens jud
64 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
105 s aient apporté leur foi, leurs symboles et leurs rites aux populations autochtones du Canada, du Michigan, du Mexique et du
65 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
106 garanties par une science périmée, tout comme les rites des primitifs continuent des gestes sacrés dont le secret semble perd
66 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
107 jeu » selon les règles. Ainsi l’humanité dans ses rites religieux « joue » l’ordre naturel pour qu’il se perpétue. Les notion
108 i-même. Suivons ce procès. Lorsque l’ensemble des rites , des croyances codifiées, des instruments d’une civilisation naissant
67 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
109 idence extraordinaire ou « hasard » prévu par les rites . Eliade conclut de l’examen d’un grand nombre d’exemples puisés dans
110 paradoxe de la consécration de l’espace et par le rite de construction, se voit transformée en un centre. De sorte que toute
111 ée par une abondance de symboles, de mythes et de rites traditionnels : il doit être accessible à tous ceux qui le désirent,
112 la géométrie, mais d’une science des mythes, des rites et des sites. C’est affaire de pendule autant que de compas, et de po
68 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
113 effet que les monarchies sacrées, fondées sur le rite catholique, ont été renversées dans toute l’Europe par un anticlérica
69 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
114 ure partie du continent : elle est marquée par le rite généralisé de l’incinération. (« Champs d’urnes ».) Puis la Grèce et
70 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
115 nnée sacrée14 et il est associé à la magie et aux rites de fertilité dans toute l’Europe… Le rapt d’Europe par Zeus, qui rapp
71 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
116 exigent guère de l’individu que l’observation des rites sacrés. Pour le reste, l’homme n’est pas responsable. Le karma, la ma
72 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
117 exigent guère de l’individu que l’observation des rites sacrés. Pour le reste, l’homme n’est pas responsable. Le karma, la ma
73 1960, Arts, articles (1952-1965). Remise en question par l’Afrique et l’Asie, la civilisation occidentale n’a pas encore de successeur (21 septembre 1960)
118 en Orient. La morale des Anciens est basée sur le rite , et dans le monde magique elle n’est que rite. Seule la croyance mode
119 le rite, et dans le monde magique elle n’est que rite . Seule la croyance moderne aux « lois de la science » et aux « nécess
120 ègne de la Loi à celui de la Foi, c’est-à-dire du Rite à l’Amour. « Tout est permis, mais tout n’édifie pas », « Rien n’est
74 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
121 exigent guère de l’individu que l’observation des rites sacrés. Pour le reste, l’homme n’est pas responsable. Le Karma, la ma
75 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
122 eils d’hygiène vagues ou aberrants. D’un côté, le rite et les sévices physiques, qui règlent tout ; de l’autre, les problème
76 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
123 ors erreur ou impiété : elle frappe de nullité le rite . En Europe au contraire, il est courant que le maître inscrive au bas
77 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
124 ntras — signes magiques et invariables —, par les rites quotidiens omniprésents, par le régime des castes et la condamnation
78 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
125 olynésie, aux mœurs si douces, observent tous des rites plus cruels l’un que l’autre, afin de sacraliser et de socialiser l’é
126 eils d’hygiène vagues ou aberrants. D’un côté, le rite et les sévices physiques, qui règlent tout ; de l’autre, les problème
79 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
127 ntras — signes magiques et invariables —, par les rites quotidiens omniprésents, par le régime des castes et la condamnation
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
128 ure partie du continent : elle est marquée par le rite généralisé de l’incinération (« Champs d’urnes »). Puis la Grèce et l
129 nnée sacrée23 et il est associé à la magie et aux rites de fertilité dans toute l’Europe… Le rapt d’Europe par Zeus, qui rapp
81 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
130 rmonisées par l’unité dominante de la race et des rites chrétiens, puisque la valeur de chaque force créée naît du concours d
82 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
131 t en Europe avec son système de colonisation, ses rites religieux, son commerce, ses armes de conquérant, ainsi que toutes le
83 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
132 du xxe siècle tend à éliminer les formes et les rites que nos ancêtres considéraient comme sacrés. Les chefs d’État démocra
84 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
133 a grande vitalité, la diversité, la profusion des rites qui caractérisaient le Moyen Âge, se sont prolongées quelque temps da
85 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
134 rtie de l’inconscient collectif, s’affranchit des rites sacrés, et tend à s’intégrer à la dialectique individuelle, par un pr
86 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
135 luthérien, s’est introduit dans les cadres et les rites anciens, jugés utilisables. Or, nous voyons ce processus ecclésiastiq
87 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
136 de la recherche ? Les lévites administrent les rites … En fait, et aux yeux d’un observateur non prévenu, jugeant seulem
137 quant aux fins de leur religion, administrent les rites et donnent leurs cours… Mais quel dieu servent-ils encore ? À quelle
88 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
138 quant aux fins de leur religion, administrent les rites , donnent leurs cours… Mais quel dieu servent-ils encore ? À quelle id
89 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
139 euvent pas copier notre industrie et garder leurs rites , manger leurs vaches et continuer à les tenir pour sacrées. Il y a pl
90 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
140 nnée au profit d’explications par la magie ou les rites religieux. D’une manière générale, et plus près de nous, les grandes
91 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
141 munistes. Zwinglien par sa méfiance à l’égard des rites et de toute religion spontanée, luthérien par sa doctrine de la grâce
142 ecque — il connaît et il redécouvre la valeur des rites et des symboles et il est tout le contraire d’un iconoclaste — mais q
92 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
143 munistes. Zwinglien par sa méfiance à l’égard des rites et de toute religion spontanée, luthérien par sa doctrine de la grâce
144 ecque — il connaît et il redécouvre la valeur des rites et des symboles et il est tout le contraire d’un iconoclaste — mais q
93 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
145 ou, par exemple, qui doit exécuter exactement les rites , ou pour un peintre officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’
94 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
146 ans ma définition, l’ensemble des méthodes et des rites , des codes et conventions de toute espèce qu’une société se donne pou
147 té vivaient dans la certitude éthique — règles et rites invariables, jamais mis en question. Les scientifiques, demain, vivro
95 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
148 fécondité ni de plaisir ; il admet simplement les rites judaïques (la circoncision notamment). La vie sexuelle n’y joue qu’un
96 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
149 e vocation personnelle, en contradiction avec les rites et coutumes irrationnelles ; enfin et surtout, l’idée que la diversit
97 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Éducation, civisme et culture
150 ou, par exemple, qui doit exécuter exactement les rites , ou pour un peintre officiel sous Staline. L’imitation, en Europe, n’
98 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui
151 quant aux fins de leur religion, administrent les rites , donnent leurs cours… Mais quel dieu servent-ils encore ? À quelle id
99 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
152 e salut de l’homme, non point de l’observance des rites collectifs, mais de la conversion personnelle. La question du sens de
153 on des conventions sacrées. Ils imitent moins des rites millénaires que des révolutions dans la mode d’hier ou d’avant-hier.
154 ors erreur ou impiété : elle frappe de nullité le rite . En Europe, au contraire, il est courant que le maître inscrive au ba
100 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
155 torité. « L’affaiblissement des traditions et des rites , qui caractérise la société industrielle en rapide mutation, ne fait