1
Si je prends cet ascenseur et que je la croise en
route
dans l’ascenseur descendant… Il aurait fallu monter, mais l’idée de v
2
ard. — Les jeunes peintres. — Vous suivez la même
route
que nous ? À la bonne heure ! ». Et l’on repart bras dessus, bras des
3
tale. L’infaillible progrès aurait-il fait fausse
route
? Est-il temps encore de le détourner du désastre spirituel vers lequ
4
où, enfant de 12 ans, j’aperçus cette machine de
route
, jusqu’au jour présent, ma grande et constante ambition a été de cons
5
en marche. Et où le conduire ? Il y a beaucoup de
routes
, mais vous n’aimez pas le risque, vous préférez le sur-place. Ainsi l
6
en marche. Et où le conduire ? Il y a beaucoup de
routes
, mais vous n’aimez pas le risque, vous préférez le surplace. Ainsi l’
7
ns pas peur d’essayer vers la beauté de nouvelles
routes
. On nous connaît mal. Derrière le mur de notre maison on nous croyait
8
ersonne ne regardait, il se jeta par terre sur la
route
, criant à son corps : “Meurs !”, mais sans résultat ». C’est dans un
9
e « tasse de thé » au Palais C… Il fait fausse
route
, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symbolique
10
« tasse de thé » au palais C…5 Il fait fausse
route
, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symbolique
11
au corridor.) 30 juin 1929 Hier soir sur la
route
des collines, pendant une promenade d’après dîner avec mes hôtes, nou
12
mables. De l’inquiétude à la Légion d’honneur, la
route
n’est pas si pénible qu’on peut le croire : elle comporte moins de sa
13
rénovation : à condition qu’on ne l’oublie pas en
route
, et qu’on sache pousser à fond son enseignement préalable. L’exemple
14
rénovation : à condition qu’on ne l’oublie pas en
route
, et qu’on sache pousser bien à fond son enseignement préalable. L’exe
15
eurs de la Saison en enfer de Rimbaud : « Sur les
routes
, par les nuits d’hiver, sans gîte, sans habits, sans pain, une voix é
16
e, maintenant, si l’on a le droit de se mettre en
route
avant d’avoir posé ces trois questions, avant d’y avoir répondu ? Oh,
17
communistes. » V. Serge. 52. « Comment barrer la
route
au fascisme avec tant de camps de concentration derrière nous ? », éc
18
fin : « Retour à la passion ». Et maintenant nos
routes
se joignent. t. « Henri Petit, Un homme veut rester vivant, Éd. Mon
19
chemin qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une
route
nationale, où l’on puisse marcher en colonne, quatre par quatre ou tr
20
chemin qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une
route
nationale où l’on puisse marcher en colonne, quatre par quatre ou tro
21
rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la
route
noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’u
22
roche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de
route
. On imagine de vivre là, dans un style colonial-moyenâgeux. On pourra
23
bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la
route
asphaltée. Je roulais comme en rêve, le long des dunes qui me cachaie
24
les vieilles tuiles concassées pour recouvrir les
routes
et les allées de leurs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la
25
mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos la
route
nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus la
26
ge du car, les cheveux au vent, sur le bord de la
route
. Rien de plus sympathique que les conducteurs de car. Cela tient évid
27
aise réputation. Mais elle ne s’engage pas sur la
route
, elle s’arrête dans un pré voisin. Karl-Artur doute, tremble, et marc
28
mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos la
route
nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus la
29
ge du car, les cheveux au vent, sur le bord de la
route
. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur de car. Cela tient évid
30
lacable et mat enserre l’homme qui chemine sur la
route
incertaine, au milieu des menaces originelles. Par temps clair, les é
31
dain, dans le métro, de tutoyer mes compagnons de
route
. Était-ce envie de donner ou de recevoir ? Il me semble maintenant qu
32
’est plus qu’une bande de terre aride, portant la
route
, un mur qui fait digue, une haie de tamaris. À gauche, l’océan invisi
33
bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la
route
asphaltée. Je roulais comme en rêve, le long des dunes qui me cachaie
34
les vieilles tuiles concassées pour recouvrir les
routes
et les allées de leurs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la
35
mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos la
route
nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus la
36
age du car, les cheveux au vent sur le bord de la
route
. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur de car. Cela tient évid
37
ordre). Si l’on trouve le courage de se mettre en
route
, c’est bien souvent à cause d’une seule image qui vous revient, l’ima
38
pays. Pauvreté de tous ces villages ! Et sur les
routes
, quelles autos incroyables, vieux tas de ferrailles menés à de folles
39
rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la
route
noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’u
40
roche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de
route
. On imagine de vivre là, dans un style colonial-moyenâgeux. On pourra
41
rivière au bas du jardin — la maison donne sur la
route
en face de très grands prés, on peut pêcher. — Eau de puits dans la c
42
lacable et mat enserre l’homme qui chemine sur la
route
incertaine, au milieu des menaces originelles. Par temps clair, les é
43
dain, dans le métro, de tutoyer mes compagnons de
route
. Était-ce envie de donner ou de recevoir ? Il me semble maintenant qu
44
éra, une demi-douzaine de SS bottés me barrent la
route
, agitant des troncs sous mon nez : « Pour le WHW !4 » Mon « Non merci
45
l’amour et la guerre, ont été trouvés en cours de
route
. Mais les hypothèses historiques que j’y développe ne sont pas indisp
46
« purs » qui s’en allaient deux par deux sur les
routes
? Et si les cours où ils s’arrêtent pour chanter et offrir leur homma
47
cette aube qui doit le réunir à son « copain » de
route
, et donc d’épreuves dans le monde. (Ces deux « copains », est-ce l’es
48
ient répandus dans le Midi de la France : par les
routes
, sur les places, de village en château. Les poèmes de Jacopone da Tod
49
he : mais elle ne tarda guère à déboucher sur une
route
nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour v
50
c. 161. Scène d’un roman de Caldwell intitulé La
Route
au tabac. 162. On connaît la phrase d’un officier hitlérien : « Chaq
51
ut dire Que le lieu de l’amour N’est pas dans les
routes
battues Ni autour des habitations humaines. Il hante les déserts. Le
52
le des « frères mendiants » qui s’en vont sur les
routes
, au hasard, abandonnés au souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femm
53
s un obstacle sur ton chemin… Prends ceci pour la
route
, cher époux. (Elle lui tend un baluchon. Une lueur blanchit derrière
54
ge, les démons se dressent devant lui, barrant sa
route
.) Le chœur. Solitaire, où vont tes pas ? Le démon s’offre à les gu
55
illiages. Ils ont appris nos mélodies le long des
routes
. Chanter nous donne du courage, la nuit, dans la forêt horrible et no
56
« purs » qui s’en allaient deux par deux sur les
routes
? Et si l’on retrouve, enfin, dans certains de leurs vers, des expres
57
cette aube qui doit le réunir à son « copain » de
route
, et donc d’épreuves dans le monde. (Ces deux « copains », seraient-ce
58
ient répandus dans le Midi de la France : par les
routes
, sur les places, de village en château. Les poèmes de Jacopone da Tod
59
he : mais elle ne tarda guère à déboucher sur une
route
nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour v
60
c. 179. Scène d’un roman de Caldwell intitulé la
Route
au tabac. 180. On connaît la phrase d’un officier hitlérien : « Chaq
61
« purs » qui s’en allaient deux par deux sur les
routes
? Et si l’on retrouve, enfin, dans certains de leurs vers, des expres
62
cette aube qui doit le réunir à son « copain » de
route
, et donc d’épreuves dans le monde. (Ces deux « copains », seraient-ce
63
ient répandus dans le Midi de la France : par les
routes
, sur les places, de village en château. Les poèmes de Jacopone da Tod
64
he ; mais elle ne tarda guère à déboucher sur une
route
nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour v
65
e. 166. Scène d’un roman de Caldwell intitulé la
Route
au tabac. 167. On connaît la phrase d’un officier hitlérien : « Chaq
66
ut dire Que le lieu de l’amour N’est pas dans les
routes
battues Ni autour des habitations humaines. Il hante les déserts. Le
67
grès nous a mis des œillères. Et quand soudain la
route
normale se trouve barrée ou coupée par un précipice, nous voici piteu
68
millions de femmes et d’enfants en fuite sur les
routes
de France ? Nous n’avons plus qu’un seul espoir — quelle que soit l’i
69
grès nous a mis des œillères. Et quand soudain la
route
normale se trouve barrée ou coupée par un précipice, nous voici piteu
70
millions de femmes et d’enfants en fuite sur les
routes
de France ? Nous n’avons plus qu’un seul espoir — quelle que soit l’i
72
de l’american way of life, littéralement : de la
route
américaine de la vie. Ce qui est pour nous concept, forme arrêtée, de
73
ouvement indéfini. C’est pourquoi je prendrai les
routes
d’Amérique comme un symbole du rêve et de la volonté du Nouveau Monde
74
chesses matérielles ? Il restait à construire des
routes
. Depuis dix ans, les autostrades américaines allongent sans répit leu
75
oat. La vitesse rétrécit l’espace américain ; les
routes
de la vitesse lui créent enfin des cadres. Quand cette surface sera s
76
ux highways aboutiront enfin à l’Homme. d. « La
route
américaine », Gazette de Lausanne, Lausanne, n° 48, 18 février 1941,
77
bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la
route
. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’éle
78
lantes qui semblent ne pouvoir rouler que sur les
routes
écartées, d’une ferme au marché le plus proche. Nulle part au monde l
79
la plaine. Un peu avant la sortie du village, la
route
bifurque : l’une des routes prend à droite, vers la plaine, escortée
80
sortie du village, la route bifurque : l’une des
routes
prend à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons ; l’autr
81
Je m’étais arrêté à cet endroit, hésitant sur la
route
à prendre. Et soudain je vis à mes pieds, tracé à la craie sur le sol
82
lancs. Il faisait lourd et doux, le goudron de la
route
sentait plus fort que les champs de roses, et des nuages noirs traîna
83
t à travers les forêts ou les pâturages. Mais les
routes
sont minées. Les fleuves, les vallées et les gorges sont protégés par
84
bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la
route
. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’éle
85
lantes qui semblent ne pouvoir rouler que sur les
routes
écartées, d’une ferme au marché le plus proche. Nulle part au monde l
86
avant la sortie du village, la rue bifurque : une
route
prend à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons ; l’autr
87
lancs. Il faisait lourd et doux, le goudron de la
route
sentait plus fort que les champs de roses, et des nuages noirs traîna
88
usions les obstacles qui leur barraient encore la
route
. Ils souffraient tout d’abord d’une qualité et d’un défaut bien typiq
89
geur vêtu d’un macfarlane gris chevauchait sur la
route
qui va de N… à X… » (Fenimore Cooper, j’imagine). Ou bien c’était une
90
viduelle libérée de l’illusion, et poursuivant sa
route
sans craindre les dangers que court l’homme collectif ou purement ins
91
des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une
route
de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut,
92
des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une
route
de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut,
93
e me sens tenté d’écrire la suite du roman. La
route
américaine L’Européen parle parfois de sa conception de la vie. Au
94
de l’american way of life, littéralement : de la
route
américaine de la vie. Ce qui est pour nous concept, forme arrêtée, de
95
ouvement indéfini. C’est pourquoi je prendrai les
routes
d’Amérique comme un symbole du rêve et de la volonté du Nouveau Monde
96
chesses matérielles ? Il restait à construire des
routes
. Depuis dix ans, les autostrades américaines allongent sans répit leu
97
more. La vitesse rétrécit l’espace américain, les
routes
de la vitesse lui créent enfin des cadres. Quand la surface sera suff
98
bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la
route
. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’éle
99
lantes qui semblent ne pouvoir rouler que sur les
routes
écartées, d’une ferme au marché le plus proche. Nulle part au monde l
100
avant la sortie du village, la rue bifurque : une
route
prend à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons ; l’autr
101
lancs. Il faisait lourd et doux, le goudron de la
route
sentait plus fort que les champs de roses, et des nuages noirs traîna
102
appeler l’esprit à la rescousse pour « barrer la
route
au fascisme », je me dis à part moi : Les imprudents ! S’ils étaient
103
s, au sortir de l’une d’elles, vers midi, sur une
route
au-dessus de Zurich, cette auto militaire qui stoppe à côté de moi, c
104
Le 20 août, à sept heures du matin, je prenais la
route
de Lisbonne. 5. On se rappelle, en Suisse, que le 25 juillet, le gé
106
Quinta da Fonte (Portugal), 28 août 1940 La «
route
de Lisbonne » restera, aux yeux de l’historien futur, l’un des symbol
107
cations du monde que nous commençons d’entrevoir.
Route
de Lisbonne, route de l’émigration et des gros chèques, des agents pl
108
e nous commençons d’entrevoir. Route de Lisbonne,
route
de l’émigration et des gros chèques, des agents plus ou moins secrets
109
ines ondulées, quelques villages en bordure de la
route
avec leur église de bois blanc, mais peu de fermes isolées. J’ai voul
110
de pendre les récalcitrants, pour construire ces
routes
prodigieuses, au regard desquelles les fameuses « réalisations » du F
111
des lacs voisins de la ville. Tout au long de la
route
assez étroite, nos phares illuminèrent des files d’autos arrêtées au
112
es charognes en une nuit, et laissent au bord des
routes
de grands squelettes blanchis, seuls ornements des grises étendues. P
113
t puis nous avons ralenti pour prendre une petite
route
sinueuse où l’on croisait des chariots à deux roues, et les gens salu
114
des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une
route
de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut,
115
« tasse de thé »5 au palais c… Il fait fausse
route
, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symbolique
116
au corridor.) 30 juin 1929 Hier soir sur la
route
des collines, pendant une promenade d’après dîner avec mes hôtes, nou
117
, à quelques mètres de mon rez-de-chaussée d’HBM,
route
de Clamart, Issy-les-Moulineaux. Je ne vois rien d’autre que cette po
118
’est plus qu’une bande de terre aride, portant la
route
, un mur qui fait digue, une haie de tamaris. À gauche, l’océan invisi
119
bicyclette, sans lumière, distinguant à peine la
route
asphaltée. Je roulais comme en rêve, le long des dunes qui me cachaie
120
les vieilles tuiles concassées pour recouvrir les
routes
et les allées de leurs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la
121
mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos la
route
nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus la
122
age du car, les cheveux au vent sur le bord de la
route
. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur de car. Cela tient évid
123
lacable et mat enserre l’homme qui chemine sur la
route
incertaine, au milieu des menaces originelles. Par temps clair, les é
124
ordre). Si l’on trouve le courage de se mettre en
route
, c’est bien souvent à cause d’une seule image qui vous revient, l’ima
125
pays. Pauvreté de tous ces villages ! Et sur les
routes
, quelles autos incroyables, vieux tas de ferrailles menés à de folles
126
rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la
route
noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’u
127
roche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de
route
. On imagine de vivre là, dans un style colonial-moyenâgeux. On pourra
128
dain, dans le métro, de tutoyer mes compagnons de
route
. Était-ce envie de donner ou de recevoir ? Il me semble maintenant qu
129
rivière au bas du jardin — la maison donne sur la
route
en face de très grands prés, on peut pêcher. — Eau de puits dans la c
130
éra, une demi-douzaine de SS bottés me barrent la
route
, agitant des troncs sous mon nez : « Pour le WHW51 ! » Mon « Non merc
131
bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la
route
. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’éle
132
lantes qui semblent ne pouvoir rouler que sur les
routes
écartées, d’une ferme au marché le plus proche. Nulle part au monde l
133
avant la sortie du village, la rue bifurque : une
route
prend à droite vers la plaine, escortée de quelques maisons ; l’autre
134
lancs. Il faisait lourd et doux, le goudron de la
route
sentait plus fort que les champs de roses, et des nuages noirs traîna
135
appeler l’esprit à la rescousse pour « barrer la
route
au fascisme », je me dis à part moi : Les imprudents ! S’ils étaient
136
eons vers un café, à l’heure du déjeuner, sur une
route
presque campagnarde, entre deux murs, une voiture militaire ouverte r
137
Le 20 août, à sept heures du matin, je prenais la
route
de Lisbonne. 85. Organisation culturelle en relations étroites avec
139
, près d’Estoril (Portugal), 28 août 1940 La «
route
de Lisbonne » restera l’un des symboles les plus typiques de l’an de
140
cations du monde que nous commençons d’entrevoir.
Route
de Lisbonne, route de l’émigration et des gros chèques, des agents pl
141
e nous commençons d’entrevoir. Route de Lisbonne,
route
de l’émigration et des gros chèques, des agents plus ou moins secrets
142
t que les transports de troupes allemands sont en
route
.) 4. Mon avenir prochain. — J’arrive à New York sans trop savoir l’an
143
ines ondulées, quelques villages en bordure de la
route
avec leur église de bois blanc, mais peu de fermes isolées. J’ai voul
144
de pendre les récalcitrants, pour construire ces
routes
prodigieuses au regard desquelles les fameuses « réalisations » du Fü
145
des lacs voisins de la ville. Tout au long de la
route
assez étroite, nos phares illuminèrent des files d’autos arrêtées au
146
les charognes en une nuit et laissent au bord des
routes
ces grands squelettes blanchis, seuls ornements des grises étendues.
147
t puis nous avons ralenti pour prendre une petite
route
sinueuse où l’on croisait des chariots à deux roues, et les gens salu
148
des Appalaches. Pendant que nous roulons sur une
route
de campagne, au creux des haies, le ciel se couvre. « C’est là-haut,
149
rs la fin de la féodalité des États-nations. — La
route
est longue, bien longue encore ! dit-il soucieux en me reconduisant.
150
r je la rencontre dans un train venant du Sud, en
route
pour une maison de vacances d’écrivains, tout au Nord, près de Sarato
152
aussi) de son way of life, littéralement : de sa
route
de vie. Ce qui est pour le Latin concept, forme arrêtée, devient chez
153
voie et mouvement. C’est pourquoi je prendrai les
routes
d’Amérique comme un symbole du rêve et de la volonté du Nouveau Monde
154
chesses matérielles ? Il restait à construire des
routes
. Depuis quinze ans, les autostrades américaines allongent sans répit
155
ore. La vitesse rétrécit l’espace américain ; les
routes
de la vitesse lui créent enfin des cadres. Quand cette surface sera s
156
ûre et connue, où que j’arrive, je me perdrais en
route
.) Dans l’insignifiance d’une vie où l’argent et la guerre sont seuls
157
he au son, comme les grands appareils suivent une
route
en do dièse dans la nuit des hauteurs. ⁂ Que chacun donc découvre ses
158
s obstacles qu’elle trouve posés en travers de sa
route
vers l’Europe fédérée et vers la paix — à la destruction du Léviathan
159
ntre tous les experts de son époque, il se mit en
route
pour la joindre, et c’est ainsi qu’il trouva l’Amérique. Mais nous, q
160
ntre tous les experts de son équipe, il se mit en
route
pour la joindre. Mais nous, quel continent nouveau, tout imprévu, ris
161
ien, des grandes difficultés accumulées sur votre
route
vers l’unité. Elles sont connues. Ce qui l’est moins, c’est votre vol
162
d’automne, avec le souffle du grand vent, sur la
route
et la terre des hommes, prêts à rendre nos comptes « d’hommes nouveau
163
ien, des grandes difficultés accumulées sur votre
route
vers l’unité. Elles sont connues. Ce qui l’est moins, c’est votre vol
164
icains qui avaient construit pendant la guerre la
route
birmane, il vient de rendre, en quelques mois d’essais cent-mille ton
165
des tracteurs américains qui avaient construit la
Route
birmane, il vient de rendre, en quelques mois d’essais, cent-mille to
166
ffeurs de camion, couvrant chaque nuit toutes les
routes
de l’Angleterre, qui fait notre âge mécanique. » Et ce sont aussi les
167
atherine, périclitent. Mais les arbres bordant la
route
de Gex à Genève me parlent chaque matin de son amour des lieux. Il fi
168
une fille doit disparaître. Sur sa perte passe ma
route
vers un grand but. » Et nous voyons Hamlet, comme Kierkegaard, se noi
169
mation de la Suisse. Soulignons le fait que cette
route
, construite au seul endroit où l’on puisse traverser les Alpes en une
170
nte, et qui permettait des échanges fructueux. La
route
du Gothard était donc vitale pour le commerce des Waldstätten. Mais a
171
us vous avons déjà donné, l’on pourrait paver une
route
allant de Paris à Bâle », le maréchal répliqua : « Avec le sang que n
172
it et jour, prêtes à faire sauter le tunnel et la
route
, prêtes à opposer à tout envahisseur la certitude de pouvoir tenir pe
173
es installations d’éclairage et de téléphone, les
routes
bétonnées, les wagons en aluminium, les distributeurs automatiques et
174
l’avion ; et du rêve de partir au hasard sur les
routes
qu’est née l’auto. Voir l’autobiographie de Henry Ford. On sait que c
175
lais donner 150 pages ; j’en fis 400. En cours de
route
, en effet, je me mis à rechercher l’origine de l’amour-passion et je
176
era l’Amérique. Le second, découvrant la nouvelle
route
des Indes par le cap de Bonne-Espérance, s’étonnera de rencontrer à C
177
tom sans un jour de délai. 57. Paul Morand, La
Route
des Indes, p. 68. u. « Sur Suez et ses environs historiques (Le poin
178
? Tout dépend de ce que nous trouverons sur notre
route
: on dira que nous étions partis à cause de cela ! Nos descendants se
179
usieurs voyages (« bougé »). Et si l’âme reste en
route
? — Réfléchir sur la destruction de la catégorie espace en tant qu’im
180
atherine, périclitent. Mais les arbres bordant la
route
de Gex à Genève me parlent chaque matin de son amour des lieux. Il fi