1 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
1 pour retomber tout à la fois dans l’époque de la Réformation et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église des premiers siècle
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
2 une même espérance. Ainsi encore, au temps de la Réformation , l’Institution chrétienne de Jean Calvin. Mais dans l’époque moderne
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
3 formes, et dans le cas présent, pour une nouvelle Réformation communautaire. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : fonder à nouveau
4 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
4 t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la Réformation . L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
5 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
5 pour retomber tout à la fois dans l’époque de la Réformation et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église primitive a repris
6 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
6 une même espérance. Ainsi encore, au temps de la Réformation , l’Institution chrétienne de Jean Calvin. Mais dans l’époque moderne,
7 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
7 pour retomber tout à la fois dans l’époque de la Réformation et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église primitive a repris
8 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
8 t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la Réformation . L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
9 t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la Réformation . L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
10 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
10 re allait les y contraindre, de l’intérieur : la  Réformation . Les historiens modernes accusent parfois Zwingli d’avoir brisé l’ess
11 pétuelle des « gardiens du cœur de l’Europe ». La Réformation termine la période d’émancipation héroïque de la Suisse, mais elle in
12 vue politique et social, la période qui sépare la Réformation de la Révolution française est un temps de systole, de repliement, de
13 nguistique et supra-racial. Comme aux temps de la Réformation , de l’absolutisme monarchique, puis de la Révolution jacobine, la Sui
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
14 dération sur le gouvernement de Pologne et sur sa réformation projetée en 1772. Son premier souci, qui dominera tout l’essai, est d
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
15 bine. C’est aux liens supranationaux noués par la Réformation qu’il attribue l’origine véritable de la Communauté des peuples europ
16 s, il expose sa thèse à grands traits : C’est la Réformation , en grande partie, qui attira d’abord les puissances nordiques, le Da
17 les uns pour les autres, commencèrent, grâce à la Réformation , à avoir un point de contact et à se rapprocher les uns des autres, m
18 in à sujet furent complètement transformés par la Réformation , de même des États entiers se trouvèrent également, les uns à l’égard
19 d’une rivalité impitoyable de nation à nation. La Réformation abattit ces cloisons. Un intérêt plus vif, plus immédiat que l’intérê
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
20 intitulé Europa und die Revolution, il attaque la Réformation , qu’il qualifie de « second péché originel », et il la compare aux au
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
21 elon l’usage courant, ce désastre porte le nom de Réformation . Dès ce moment, à travers les xvie , xviie et xviiie siècles, jusqu
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
22 iales au sens actuel. Ainsi, jusque bien après la Réformation , le Notre Père, l’Ave Maria et le Credo constituent la seule doctrine
23 ires de la Renaissance et les têtes chaudes de la Réformation puisèrent leurs inspirations modernes dans les vieux textes hébreux e
16 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
24 ngées quelque temps dans les Églises issues de la Réformation , puis là aussi se sont bientôt figées, ou n’ont plus varié que dans l
17 1965, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Que signifie pour vous la formule célèbre ‟Ecclesia reformata semper reformanda” ? » (29 octobre 1965)
25 eront pas les derniers. Défendre l’héritage de la Réformation , ce n’est pas répéter ce que disaient ses auteurs, mais continuer à r
26 et de renouvellement que les Églises issues de la Réformation … Se pourrait-il qu’elle ait bientôt plus de réformateurs vivants et d
18 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
27 t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la Réformation . L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
19 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
28 uissamment contribué.50 Bien dira-t-on, mais la Réformation n’a-t-elle pas divisé, sans espoir, la chrétienté, Nord réformé, Sud