1
pour retomber tout à la fois dans l’époque de la
Réformation
et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église des premiers siècle
2
une même espérance. Ainsi encore, au temps de la
Réformation
, l’Institution chrétienne de Jean Calvin. Mais dans l’époque moderne
3
formes, et dans le cas présent, pour une nouvelle
Réformation
communautaire. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : fonder à nouveau
4
t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la
Réformation
. L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
5
pour retomber tout à la fois dans l’époque de la
Réformation
et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église primitive a repris
6
une même espérance. Ainsi encore, au temps de la
Réformation
, l’Institution chrétienne de Jean Calvin. Mais dans l’époque moderne,
7
pour retomber tout à la fois dans l’époque de la
Réformation
et dans le sujet précis qui nous occupe. L’Église primitive a repris
8
t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la
Réformation
. L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
9
t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la
Réformation
. L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
10
re allait les y contraindre, de l’intérieur : la
Réformation
. Les historiens modernes accusent parfois Zwingli d’avoir brisé l’ess
11
pétuelle des « gardiens du cœur de l’Europe ». La
Réformation
termine la période d’émancipation héroïque de la Suisse, mais elle in
12
vue politique et social, la période qui sépare la
Réformation
de la Révolution française est un temps de systole, de repliement, de
13
nguistique et supra-racial. Comme aux temps de la
Réformation
, de l’absolutisme monarchique, puis de la Révolution jacobine, la Sui
14
dération sur le gouvernement de Pologne et sur sa
réformation
projetée en 1772. Son premier souci, qui dominera tout l’essai, est d
15
bine. C’est aux liens supranationaux noués par la
Réformation
qu’il attribue l’origine véritable de la Communauté des peuples europ
16
s, il expose sa thèse à grands traits : C’est la
Réformation
, en grande partie, qui attira d’abord les puissances nordiques, le Da
17
les uns pour les autres, commencèrent, grâce à la
Réformation
, à avoir un point de contact et à se rapprocher les uns des autres, m
18
in à sujet furent complètement transformés par la
Réformation
, de même des États entiers se trouvèrent également, les uns à l’égard
19
d’une rivalité impitoyable de nation à nation. La
Réformation
abattit ces cloisons. Un intérêt plus vif, plus immédiat que l’intérê
20
intitulé Europa und die Revolution, il attaque la
Réformation
, qu’il qualifie de « second péché originel », et il la compare aux au
21
elon l’usage courant, ce désastre porte le nom de
Réformation
. Dès ce moment, à travers les xvie , xviie et xviiie siècles, jusqu
22
iales au sens actuel. Ainsi, jusque bien après la
Réformation
, le Notre Père, l’Ave Maria et le Credo constituent la seule doctrine
23
ires de la Renaissance et les têtes chaudes de la
Réformation
puisèrent leurs inspirations modernes dans les vieux textes hébreux e
24
ngées quelque temps dans les Églises issues de la
Réformation
, puis là aussi se sont bientôt figées, ou n’ont plus varié que dans l
25
eront pas les derniers. Défendre l’héritage de la
Réformation
, ce n’est pas répéter ce que disaient ses auteurs, mais continuer à r
26
et de renouvellement que les Églises issues de la
Réformation
… Se pourrait-il qu’elle ait bientôt plus de réformateurs vivants et d
27
t aussi le plus raisonnable parmi les chefs de la
Réformation
. L’année même où pour divertir Zwingli et ses savants collègues il le
28
uissamment contribué.50 Bien dira-t-on, mais la
Réformation
n’a-t-elle pas divisé, sans espoir, la chrétienté, Nord réformé, Sud