1 Le sport comme un apprentissage de la vie : tout servira plus tard : Ô garçons, il y a un brin du myrte civique tressé dans v

2 t retenir, c’est la méthode, car je crois qu’elle sert mieux la démocratie que l’Église romaine, quoi qu’en pense M. de Mont

3 tête avec le génie de la mort. Mais alors, à quoi sert d’exalter, d’une si émouvante sorte, les soldats déjà légendaires de

4 e son manifeste de proses — Poisson soluble — qui servent d’illustration à sa défense de la poésie pure. Les beautés que j’y vo

5 mpêcher d’accuser Breton de préméditation… À quoi sert , dès lors, tout cet appareil psychologique si scolaire ? À donner le

6 st opposé à l’esprit occidental, tout ce qui peut servir d’antidote à sa fièvre et à sa logique. » On confond Japon et Arabie,

7 homme que Dieu a mis à part par grâce pour qu’il serve . Mais très vite on étend l’appellation de saint à ceux qui par leur é

8 r, pour l’heure, c’est la seule façon efficace de servir . ⁂ On se complaît à répéter que nous vivons dans le chaos des idées e

9 conscience de nos limites naturelles, tout ce qui servirait de frein à notre glissade vers des folies. ⁂ Recréer une conscience i

10 e puisse faire découvrir quelques richesses et ne serve parfois de contrôle efficace. Mais les bénéfices sont maigres en rega

11 Aragon, je me révolte qu’elle puisse en aucun cas servir d’argument à un homme. » Voilà qui nous fait oublier certaines morale

12 el et plus cinglant. Au lieu de vin doux, on nous sert des cocktails (un Musset triple-sec). Au lieu du cynisme verbeux 1830

13 ter combien l’épuration rigoriste de sa technique sert une vision aigüe de la vie. La série de gravures sur bois colorées qu

14 lle histoire ». (Et vous verriez à quoi cela peut servir , une citation.) Mais non, cher ami, voici qu’une envie me prend de vo

15 ible de ce côté. Mais du nôtre ? « Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon », dit l’Écriture. ⁂ Je ne pense pas qu’une attitude

16 sur le cœur. D’ailleurs, ce petit écrit ne peut servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un reproche auquel je compte ne

17 cette idée. Je tenais cette clef et n’osais m’en servir craignant peut-être des découvertes qui eussent ruiné trop de certitu

18 s sur le cœur. D’ailleurs, ce petit écrit ne peut servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un reproche auquel je compte ne

19 cette idée. Je tenais cette clef et n’osais m’en servir craignant peut-être des découvertes qui eussent ruiné trop de certitu

20 de la grande bourgeoisie pour une gamine qui lui sert de modèle dans son atelier. Autour de cet incident, assez émouvant, o

21 torique, y compris la Religion, thème catholique. Servir leur paraît ridicule. Soit, mais il faudrait donner une œuvre. Il fau

22 ces mots séparés par des suites de points ne lui servaient qu’à noter des mètres, il apparaît que la traduction de tels fragment

23 itablement homme, c’est avoir accès au divin. Que sert de parler d’humanisme « chrétien » ? L’humanisme est de l’homme, le c

24 le château d’If et N.-D. de la Garde : « J’étais servi — s’écrie-t-il. — Les premiers emblèmes venus à ma rencontre étaient

25 cipes définis — je ne dis pas de cadres — qui lui servent de thèmes dans ses variations, d’appui dans ses tâtonnements, de réac

26 qu’elle n’est plus du tout exemplaire et ne peut servir ni le catholicisme (le milieu protestant étant nul), ni la foi chréti

27 ue française , chez Fourcade et aux Éditions « Je sers  ». h. « Kierkegaard », Foi et Vie, Paris, n° 27, mai 1931, p. 351-35

28 car son œuvre écrite n’est encore qu’un moyen de servir et d’agir. C’est un homme sans partage et sans failles. Quelques arti

29 Il s’attache à cette expression un « ennui » qui sert à beaucoup de prétexte pour n’y point réfléchir. Mais à tout prendre,

30 31, p. 623-632. Une note précise : « Éditions “Je sers ”, 1931. »

31 ur nul parti, ne saurait, pour les mêmes raisons, servir d’objet à notre jugement. Bien plutôt c’est lui qui nous juge. Il y a

32 cter la bonne foi, ni même la bonne volonté, vous serviront avec une assurance tempérée de douceur cette phrase type qui résume à

33 amne cette brutalité dans tous les cas où elle ne sert pas à assurer sa sécurité. Encore ne l’utilise-t-il pas lui-même dans

34 aine rhétorique de l’indignation dont les figures servent en France indifféremment à des fins électorales, journalistiques ou p

35 re, la page sur « les bruits de mon village » qui servira de modèle aux écoliers futurs. Mais lorsqu’il stigmatise les méfaits

36 croyances, en faveur des hommes concrets ? À quoi sert cette philosophie ? Que fait-elle pour les hommes ? Que fait-elle con

37 es célébrités respectables et séniles dont le nom sert encore de recommandation (pour ceux qui croient aux « relations »). C

38 c’est la foi. Agissez donc, mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie optimiste ainsi renvoyées

39 ausser sans examen. Mais une exacte traduction ne servirait au fond qu’à déplacer le prétexte d’un malentendu plus tenace. Lorsqu

40 anche, l’habileté paraît fausse, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La brutalité du moins est loyal

41 sultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons bon, félicitons l’

42  ceux de W. qui ne boivent que du lait ». Et nous servent du thé bouillant où nagent des morceaux de glace. À ces détails près,

43 s qui donc, parmi nos penseurs, mériterait d’être servi en sauce Marthaler ? Mais ne parlons pas de mangeaille : c’est tout d

44 ausser sans examen. Mais une exacte traduction ne servirait au fond qu’à déplacer le prétexte d’un malentendu plus tenace. Lorsqu

45 anche, l’habileté paraît fausse, parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La brutalité du moins est loyal

46  ceux de W. qui ne boivent que du lait ». Et nous servent du thé bouillant où nagent des morceaux de glace. À ces détails près,

47 eur arrivée, ni sur ma conduite : la vision n’a «  servi  » exactement à rien. (Était-ce là sa condition de possibilité ?) Mais

48 sultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons bon, félicitons l’

49 re précisément où elle réside. Le détail suivant… servira peut-être à débrouiller ce chaos. Passons le détail, qui tient deux

50 en dehors des limites de la communauté qu’elle a servie pendant cinq siècles. Dans l’ascendance directe de mon père, je trouv

51 français sous le titre de Avant l’Aube (Éd. « Je sers  »). d. « Protestants », Esprit, Paris, n° 6, mars 1933, p. 1034-1037

52 éducation et d’entraide sociale a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’idée chrétienne5, le

53 voir qualifier de « chrétienne » une « idée » qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu fais bien, m

54 de respirer, et qu’alors, reniant sa fin, elle ne sert plus que d’aliment à un dogmatisme populaire farouche, et se définit

55 onaliste », c’est une de ces méprises qui peuvent servir à déterminer le niveau d’une certaine presse. Si l’on ne voit dans l’

56 eunes hommes s’apercevront que les régimes qu’ils servent , loin d’avoir créé un ordre nouveau, ont bien plutôt consolidé les pi

57 Pierre Maury et Alexandre Lavanchy (Éditions “Je sers ”) », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 585, 30 décembre 1933, p. 4

58 qu’il faut pour entraîner l’adolescence avide de servir une grande cause et de se sacrifier pour le bonheur collectif. Chanso

59 uerre de Sécession, mais il n’en parla pas »), et servi par un garçon triste qui perd le vol-au-vent, inexplicablement. Tâche

60 et de leur rendre un culte de latrie. Tous, nous servons ces dieux, tous, nous leur obéissons, et certains d’entre nous sont p

61 doute n’avons-nous pas toujours conscience de les servir . Vous me direz peut-être que, pour votre compte, la classe ou la race

62 partout, il est dans tout, il est tout et tous le servent . ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je vo

63 angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à servir . C’est l’état le plus dégradant qui soit. On vit alors, chez les meil

64 arce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu servir la vocation de sa race. La meilleure preuve, d’ailleurs, de l’origine

65 historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au

66 s d’après Calvin, par Max Dominicé (Éditions « Je sers  ») », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 597, 24 mars 1934, p. 4.

67 i qu’on hésite à le suivre, — et que peut-être il sert mal sa pensée. Car cette définition ne vaut, précisément, que pour la

68 suédois par Anne-Marie des Courtis. Éditions « Je sers  », Paris. c. « Sara Alelia », Journal de Genève, Genève, n° 140, 25

69 ois par A. Nicolet et F. B. Janson (Éditions « Je sers  »). d. « Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard », Les Nou

70 at de faillir à sa vocation. Ces réflexions nous serviront , pour aujourd’hui, d’introduction à deux essais de philosophes chréti

71 les revendications en promettant la lune, ne peut servir qu’à masquer sur le terrain pratique l’échec d’une révolution qui ne

72 Je la vois caractérisée par deux traits qui nous serviront de critères : d’une part, elle est seule humaine, au sens évangélique

73 uvement d’Oxford, est un des faits spirituels qui serviront à fixer la signification de notre époque. Son influence, limitée d’ab

74 la note, il s’agit d’Avant l’aube (Éditions « Je sers  ») dont Rougemont donne une recension dans Foi et Vie en septembre 19

75 mplice. Nous avons vu déjà que le roman bourgeois servait à toutes fins capitalistes. Nous risquons de voir, avant peu, cette m

76 a plus aucun but, au-devant de souffrances qui ne servent à rien. Ce sont des hommes très simples et qui s’expriment difficilem

77 uédois par Anne-Marie des Courtis. (Éditions « Je sers  ».) g. « Au sujet d’un roman : Sara Alelia », Les Nouvelles littérai

78  ; il est certain que cela n’est pas pratique, ne sert à rien et détourne d’agir au moins autant que de penser. Entre ces de

79 elle des hommes, mais on voit bien aussi qu’elles servent à distraire l’homme de son sort personnel. Dans ce sens, toutes les p

80 des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on sert peut sembler très naïf au politicien de métier : c’est qu’il ne prend

81 et de leur rendre un culte de latrie. Tous, nous servons ces dieux, tous, nous leur obéissons, et certains d’entre nous sont p

82 doute n’avons-nous pas toujours conscience de les servir . Vous me direz peut-être que, pour votre compte, la classe ou la race

83 partout, il est dans tout, il est tout et tous le servent . ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je vou

84 angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à servir . C’est l’état le plus dégradant. On vit alors, chez les meilleurs de

85 arce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu servir la seule vocation de sa race. La meilleure preuve, d’ailleurs, de l’o

86 historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au

87 ation de l’importance décisive du fait économique servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se croyai

88 Je la vois caractérisée par deux traits qui nous serviront de critères : d’une part, elle est seule humaine, au sens évangélique

89 c’est la foi. Agissez donc, mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie optimiste ainsi renvoyées

90 st là le premier temps de son action rénovatrice. Servir Dieu, c’est combattre Mammon, ce n’est pas déplorer ses excès et touc

91 éducation et d’entraide sociale a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’idée chrétienne35, l

92 voir qualifier de « chrétienne » une « idée » qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu fais bien, m

93 emps cru que le « point de vue mystique » pouvait servir à la vie dans le monde, même sans la foi. Nous avons cru que le chris

94 orme55 sait que le premier commandement, c’est de servir Dieu seul, et non pas Dieu et la Patrie, Hitler et Dieu, la race et D

95 d que le péché majeur est celui qui consiste à se servir de Dieu en le servant. L’opposition du christianisme et du fascisme,

96 les passions. La politique que vous définissez ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de toute not

97 ons « excitantes ». Toute la politique qu’on leur sert , de Doumergue à Cachin, est romantisme. C’est parce que nous sommes o

98 encore : le plus grand est celui qui s’abaisse à servir les plus humbles dans leur abaissement. C’est cela qu’on perd de vue

99 théoriciens… « Nous avons les locomotives, à quoi sert Stephenson ? » « Nous avons l’URSS, à quoi sert Marx ? »… Le peupl

100 i sert Stephenson ? » « Nous avons l’URSS, à quoi sert Marx ? »… Le peuple souverain On devrait dire : le peuple tyran

101 les revendications en promettant la lune, ne peut servir qu’à masquer sur le terrain pratique l’échec d’une révolution qui ne

102 ren Kierkegaard de Carl Koch, Paris, Édition « Je sers  », 1934, p. 7-13.

103  ; il est certain que cela n’est pas pratique, ne sert à rien et détourne d’agir au moins autant que de penser. Entre ces de

104 elle des hommes, mais on voit bien aussi qu’elles servent à distraire l’homme de son sort personnel. Dans ce sens, toutes les p

105 des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on sert peut sembler très naïf au politicien de métier : c’est qu’il ne prend

106 et de leur rendre un culte de latrie. Tous, nous servons ces dieux, tous, nous leur obéissons, et certains d’entre nous sont p

107 doute n’avons-nous pas toujours conscience de les servir . Vous me direz peut-être que, pour votre compte, la classe ou la race

108 partout, il est dans tout, il est tout et tous le servent . ⁂ Destin du siècle, destin des ismes, dévorants et inhumains. Je vou

109 angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à servir . C’est l’état le plus dégradant. On vit alors, chez les meilleurs de

110 arce qu’il n’avait pas de vocation, qu’il a voulu servir la seule vocation de sa race. La meilleure preuve, d’ailleurs, de l’o

111 historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes et d’arguments au service de nos passions, au

112 ation de l’importance décisive du fait économique servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se croyai

113 Je la vois caractérisée par deux traits qui nous serviront de critères : d’une part, elle est seule humaine, au sens évangélique

114 c’est la foi. Agissez donc, mais votre action ne sert de rien. L’hérésie pessimiste et l’hérésie optimiste ainsi renvoyées

115 st là le premier temps de son action rénovatrice. Servir Dieu, c’est combattre Mammon, ce n’est pas déplorer ses excès et touc

116 éducation et d’entraide sociale a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’idée chrétienne28, l

117 voir qualifier de « chrétienne » une « idée » qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu fais bien, m

118 emps cru que le « point de vue mystique » pouvait servir à la vie dans le monde, même sans la foi. Nous avons cru que le chris

119 orme48 sait que le premier commandement, c’est de servir Dieu seul, et non pas Dieu et la Patrie, Hitler et Dieu, la race et D

120 d que le péché majeur est celui qui consiste à se servir de Dieu en le servant. L’opposition du christianisme et du fascisme,

121 les passions. La politique que vous définissez ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend agir à l’encontre de toute not

122 ons « excitantes ». Toute la politique qu’on leur sert , de Doumergue à Cachin, est romantisme. C’est parce que nous sommes o

123 encore : le plus grand est celui qui s’abaisse à servir les plus humbles dans leur abaissement. C’est cela qu’on perd de vue

124 théoriciens… « Nous avons les locomotives, à quoi sert Stephenson ? » « Nous avons l’URSS, à quoi sert Marx ? »… Le peupl

125 i sert Stephenson ? » « Nous avons l’URSS, à quoi sert Marx ? »… Le peuple souverain On devrait, dire : le peuple tyra

126 confuse des idéologies que les partis prétendent servir . Tradition républicaine conservatrice, « doctrine » radicale, idée so

127 avec souplesse la technique aux buts qu’elle doit servir . 6. On nous dira : tout cela est bien beau, bien cohérent, — trop coh

128 els », certes, dans ce sens que nous voulons nous servir aussi de notre intelligence pour travailler à mettre en marche un ord

129 ez-vous cette foi, êtes-vous vraiment chrétiens ? Servez -vous Dieu, ou bien vous servez-vous de Dieu ? Question terriblement g

130 aiment chrétiens ? Servez-vous Dieu, ou bien vous servez -vous de Dieu ? Question terriblement gênante, insupportable. La vocat

131 r Karl Barth, traduit par P. Maury (Éditions « Je sers  »). – Dostoïevski ou les confins de l’homme, par Édouard Thurneysen,

132 d Thurneysen, traduit par P. Maury (Éditions « Je sers  »). i. « Kierkegaard, Dostoïevski, Barth », Les Nouvelles littéraire

133 ommanderont aussi à leur Dieu, tout en croyant le servir . » Formule qui n’est pas valable pour le seul pape de Rome et pour le

134 u’elle contredisait l’hypothèse marxiste. Croyant servir leur science, ils commandent à la science…, etc. Mais, afin que nul n

135 par d’autres formes. Le principe dialectique qui sert de guide dans le monde physionomique est celui des correspondances, e

136 git encore que d’égoïsme bien compris. L’homme se sert en servant son voisin, il n’échappe point à la loi, et la loi n’établ

137 rce qu’on ne le craint plus ? Et dès lors, à quoi servirait de méditer sur la manière dont ce chrétien pourrait ou devrait exerce

138 er. Introduction de A.-M. Schmidt. (Éditions « Je sers  », Paris.) j. « Trois traités de Jean Calvin », Les Nouvelles littér

139 aduit de l’allemand par S. Stelling-Michaud (« Je sers  ») », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 264, septembre 1935, p. 

140 réalités qui se payent. Donc, on nous dresse à ne servir à rien. Entendez : à ne rien servir. Le royaume de l’esprit — notre U

141 s dresse à ne servir à rien. Entendez : à ne rien servir . Le royaume de l’esprit — notre Université — n’est pas de ce monde. C

142 tion du rendement ou de la perte. Le clerc qui ne sert à rien, c’est flatteur et c’est distingué, mais il faut encore le nou

143 la construction d’un Palais de l’Esprit destiné à servir de club à tous ceux qui voudront discuter en public les questions sui

144 à s’établir sur de tout autres bases ? c) à quoi servent les clercs ? quel doit être leur rôle dans la cité ? à qui s’adressen

145 poignant de cette vanité finale n’empêche pas de servir quand il faut. C’est ce que j’appelle du pessimisme actif. Et c’est l

146 ndre… » Mais encore faut-il entreprendre. D’abord servir , sachant que c’est inutile ; ensuite persévérer, malgré les résultats

147 mettre en condition de faire son œuvre, et de ne servir qu’à bon escient. À quoi Montherlant répondrait qu’il n’écrit pas pou

148 f, on peut reprocher à Montherlant de parler de «  servir  » sans préciser l’objet du verbe (ou le régime !) et de qualifier d’i

149 e sa vie : la leçon toute goethéenne du clerc qui sert sans rien trahir de la primauté de l’esprit. Peut-être que le seul ch

150 le succès pouvait réjouir le monde entier, il ne sert de rien au héros ; car le héros n’a connu son succès que lorsque tout

151 mêmes n’en montrent lorsqu’elles se vantent de ne servir à rien ? Mais s’il est vrai que l’on abuse de ce terme pour couvrir l

152 ice, a déjà, en fait, abdiqué. Le pouvoir qui lui sert encore de paravent cédera à la première poussée venue de l’extérieur.

153 confuse des idéologies que les partis prétendent servir . Trahison républicaine conservatrice, « doctrine » radicale, idée soc

154 avec souplesse la technique aux buts qu’elle doit servir . Celui qui a compris cela, a compris l’Ordre nouveau. 6. On nous dira

155 els », certes, dans ce sens que nous voulons nous servir aussi de notre intelligence pour travailler à mettre en marche un ord

156 rime, discipline sociale et brutalité, volonté de servir et trahison des clercs, etc., tout cela au nom d’une conception de l’

157 ne œuvre rigoureuse ou novatrice, et qui pourrait servir de norme ou de repère, a tout au plus triplé, et c’est sans doute enc

158 te fin commune, cet idéal commun que nous devions servir ensemble dans la fraternité que crée l’œuvre unanime, nous les cherch

159 profond calembour. « Il est permis à chacun de se servir de tel son qu’il lui plaît pour exprimer ses idées, pourvu qu’il en a

160 ste, doit récuser la principale40, peut néanmoins servir à préciser ce qui oppose la langue d’un poète aux divers jargons de s

161 acilité plus ou moindre grande qu’il éprouve à se servir des instruments dont il a la propriété ». Et son corps lui est comme

162 anté de l’amour de Max Brod, Paris, Éditions « Je sers  », 1936, p. 9-12.

163 mots, en vue de leur emploi le plus précis ? Que sert de parler à des sourds ? Et ne sont-ils pas sourds, ces hommes qui ne

164 it » pour ne citer que les plus courants.) À quoi sert encore de parler, quand on ne sait plus très bien ce que parler veut