1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 ou ennuyeux, que ce soit l’idée de la mort ou les soucis politiques, sociaux, etc., et il ne met de la gravité que dans les ch
2 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
2 e serait fait que de ces intermèdes ; pur de tout souci de vraisemblance extérieure ; qui ne serait qu’invention, qui invente
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
3 nce insouciante ? Qu’est-ce qui ressemble plus au souci quotidien des grandes personnes ? Mais l’enfance est ailleurs. Je rev
4 . Ce malaise inavouable, cette règle méchante, ce souci qui renaît chaque jour, je pense que tout cela tient trop de place da
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
5 nce insouciante ? Qu’est-ce qui ressemble plus au souci quotidien des grandes personnes ? Mais l’enfance est ailleurs. Je rev
6 . Ce malaise inavouable, cette règle méchante, ce souci qui renaît chaque jour, je pense que tout cela tient trop de place da
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
7 s appelle. Sur les tenants d’un ordre délabré, le Souci tend son aile mortifère, — la « Frau Sorge » de notre Goethe. De tout
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
8 de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos soucis , nos plaisirs personnels. Combien de temps encore, combien de semaine
9 t au contraire nous donner la vraie mesure de nos soucis , de nos misérables cafards, de nos craintes dérisoires et mesquines.
7 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
10 econnaît la Vie au travers de sa mort. Si, par un souci peut-être vain, en tous cas dangereux, de simplification formelle, no
8 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
11 s réalités artificielles qui énervent nos vies de soucis dégradants. J’ai fait lire ce livre à des gens de toutes conditions,
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
12 ment louer l’auteur de conserver à chaque page le souci des références à l’actuel. La description qu’il fait de l’homme moder
10 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
13 s ses forces psychologiques ou physiques, dans un souci de conservation et d’expansion. » Ce langage est clair. Seuls les « 
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
14 Histoire fait trembler et qui se réfugie dans les soucis publics comme on va voir un film pour s’oublier dans un drame fictif,
12 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
15 ais. On lit cette littérature pour « échapper aux soucis quotidiens »12, pour éviter, en fait, de résoudre le drame. Et c’est
16 e est toujours originale quand elle est. Son seul souci est d’être, le plus fidèlement. C’est à partir d’elle seule qu’un art
17 aires : « Tenter d’arracher le lecteur aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraîne toujours la vie
13 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
18 Chez Louis XIV comme chez Hitler, ce n’est pas un souci d’unité religieuse qui domine : la religion leur est simple prétexte 
14 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
19 onnés au vrai but assigné à la vie de l’homme. Le souci des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on sert peut sembler tr
15 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
20 s qu’on voit aux pieuses gens chargées de trop de soucis généraux. Un homme qui se connaît entièrement dépendant de la grâce d
21 lle qui réussit. Vous avez tort de vous mettre en souci pour les humains tels que nous les voyons : ils se moquent bien de vo
16 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
22 s ses forces psychologiques ou physiques, dans un souci de conservation et d’expansion81. » Ce langage est clair. Seuls les «
23 latch.) 81. À quoi j’ajouterais pour ma part le souci du service. Cf. p. 188. 82. Et au groupe de L’Ordre nouveau , le se
17 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
24 onnés au vrai but assigné à la vie de l’homme. Le souci des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on sert peut sembler tr
18 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
25 s qu’on voit aux pieuses gens chargées de trop de soucis généraux. Un homme qui se connaît entièrement dépendant de la grâce d
26 lle qui réussit. Vous avez tort de vous mettre en souci pour les humains tels que nous les voyons : ils se moquent bien de vo
19 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
27 ancunes, y priment nécessairement toute espèce de souci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tou
20 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
28 aintenir dès lors un édit sans objet ? Ce délicat souci de légalité, si l’on ne peut aller jusqu’à dire qu’il honore Louis XI
21 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
29 ssion. C’est l’homme qui délègue à la majorité le souci de ses décisions. Et dans ce sens précis, il faut bien dire que les p
22 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
30 longtemps, l’astrologie et la théologie. Un grand souci paraît dans toute son œuvre : il veut être clair, et utile. Clair ne
23 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
31 e, de vos affaires ; — Ne me fourrez pas dans vos soucis . » La mauvaise humeur est sans doute la caractéristique générale des
24 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
32 de nos vies, abandonnées, il faut l’avouer, à des soucis d’un tout autre ordre27. L’esprit paraît d’autant plus spirituel, et
33 Cette phrase d’Alain montre très bien comment le souci d’honnêteté et de sérieux de la pensée universitaire aboutit nécessai
25 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
34 mes catholiques. Je comprends parfaitement à quel souci très légitime d’honnêteté, à quelle crainte très légitime de me voir
26 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
35 chie des valeurs : simplement, ils n’en ont aucun souci . Ils se font les agents de publicité des grandes maisons. Ils parlent
27 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
36 sèque. Personne peut-être n’a si jalousement pris souci de dire au bon moment ses vérités inactuelles. De là le rythme singul
28 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
37 ancunes, y priment nécessairement toute espèce de souci de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tou
29 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
38 ualisme dogmatique nous faisait perdre l’émouvant souci . À cet égard, on peut bien dire que M. Monod revient de loin. Les Sol
30 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
39 ard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans souci de la règle commune, et la terreur domine cette anarchie, distribuant
31 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
40 Certes on peut dire que Robespierre eut aussi le souci d’une ligne générale à défendre contre droites et gauches, mais un Hé
32 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
41 ndant, le sens des mots devrait primer tout autre souci plus médiat. Comment ne voient-ils pas que si les mots n’ont plus de
33 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
42 elle nous rend ses esclaves. Elle poursuit, sans souci des fins dernières de l’homme, son œuvre de division réelle et d’orga
34 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
43 ard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans souci de la règle commune, et la terreur domine cette anarchie, distribuant
35 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
44 us « naturel » à l’intellectuel bourgeois que son souci d’impartialité méthodique, vertu de laboratoire, dont on fait à peu p
45 x auteurs, davantage que chez tous les autres, un souci de naturaliste. 64. Réponses aux cinquièmes objections. 65. Je fai
46 . C’est, je crois, parce que sa méthode trahit le souci d’aboutir au concret, lequel n’a jamais eu, aux yeux des clercs, un c
47 un certain confort général. Et voilà pourquoi les soucis d’un bourgeois type tendent à la futilité, bien qu’ils restent capabl
36 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
48 es pour le langage et l’expression en général. Le souci de savoir ce qu’on dit est un des moindres de l’époque. Il paraît mêm
49 Cette phrase d’Alain montre très bien comment le souci d’honnêteté et le sérieux de la pensée universitaire aboutissent norm
50 aires : « Tenter d’arracher le lecteur aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraîne toujours la vie
37 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
51 elle nous rend ses esclaves. Elle poursuit, sans souci des fins dernières de l’homme, son œuvre de division réelle et d’orga
38 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
52 ard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans souci de la règle commune, et la terreur domine cette anarchie, distribuant
39 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
53 us « naturel » à l’intellectuel bourgeois que son souci d’impartialité méthodique, vertu de laboratoire, dont on fait à peu p
54 x auteurs, davantage que chez tous les autres, un souci de naturaliste. 66. Réponses aux cinquièmes objections. 67. Je fai
55 . C’est, je crois, parce que sa méthode trahit le souci d’aboutir au concret, lequel n’a jamais eu, aux yeux des clercs, un c
56 un certain confort général. Et voilà pourquoi les soucis d’un bourgeois type tendent à la futilité, bien qu’ils restent capabl
40 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
57 es pour le langage et l’expression en général. Le souci de savoir ce qu’on dit est un des moindres de l’époque. Il paraît mêm
58 Cette phrase d’Alain montre très bien comment le souci d’honnêteté et le sérieux de la pensée universitaire aboutissent norm
59 aires : « Tenter d’arracher le lecteur aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraîne toujours la vie
41 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
60 ue lorsqu’il sent qu’il est en communion avec les soucis de la nation, sa vie réelle et sa nature profonde. Mais un tel redres
42 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
61 ettra de passer trois mois ou quatre sans trop de soucis matériels. La vie paraît assez peu chère. Mais bien trop chère encore
62 ire les journaux, est actuellement dominée par le souci des élections académiques et des retraites aux sexagénaires. N’est-ce
43 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
63 l quotidien de mes contacts avec les gens, ou des soucis de mon état. Je ne pensais pas en faire un livre. Et pourtant ce n’ét
44 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
64 s de construction, de reprise à pied d’œuvre ; un souci de l’action possible ou nécessaire, mais par les moyens propres de l’
45 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
65 questions ; mais que s’il garde en même temps le souci d’expliquer qui nous sommes à nos voisins, c’est peut-être que notre
46 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
66 dans les grandes lignes la vraie nature de leurs soucis , mieux qu’ils ne sauraient le dire, justement. Quelquefois, il suffit
47 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
67 demande à ces chrétiens « changés » s’ils ont un souci suffisant des suites sociales et politiques qu’implique en fait leur
68 et impérial qui anime l’Église de Rome. Le grand souci d’œcuménisme, que nous voyons gagner toutes les églises, est une prom
48 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
69 s quinze jours. Pour la raison très simple que le souci du lendemain provisoirement écarté, je serais tombé dans le journal i
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
70 ettra de passer trois mois ou quatre sans trop de soucis matériels. La vie paraît un peu moins chère dans ce pays-ci que dans
71 ire les journaux, est actuellement dominée par le souci des élections académiques et des retraites aux sexagénaires. Eh bien 
72 ant. Il est encore un peuple au monde pour qui le souci de se montrer humain prime cette volonté de puissance et ce culte du
50 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
73 en vient à se demander si ce n’est pas surtout le souci de faire la leçon aux Français « de gauche » qui a poussé M. Rivaud à
51 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
74 -ce pas encore une tentation de la passion que ce souci des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
52 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
75 r et de son public. Or vous n’ignorez pas que mon souci tout helvétique de dire le vrai, fût-il désobligeant, m’amenait à rec
53 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
76 ts contradictoires, notés au jour le jour et sans souci de leur possible insignifiance5. Le mieux sera sans doute d’envisager
77 ut. Je ne dis pas cela, comme on le croirait, par souci d’impartialité. Un général qui étudie le terrain de sa bataille décis
78 , tout votre romantisme ! Mais vous avez d’autres soucis … Que vous dirai-je ? Je ne puis pas aimer ce qui vous blesse. Ai-je l
54 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
79 (Certes on peut dire que Robespierre eut aussi le souci d’une ligne générale à défendre contre droites et gauches, mais un Hé
55 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
80 is vous savez très bien que Zurich seule garde le souci de la vieille foi, celle des saints apôtres et de nos ancêtres ! Car
56 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
81 ssionnées. Ce jeune écrivain suisse, qui joint le souci de l’actualité et le goût des questions sociales à la lucidité sensib
57 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
82 de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos soucis , nos plaisirs personnels. Combien de temps encore, combien de semaine
58 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
83 es qui l’habitent. Ce n’est pas la somme de leurs soucis et de leurs plaisirs, mais le sens qu’ils découvrent à l’existence, à
59 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
84 nt, ce n’est pas toujours par ignorance, mais par souci de m’en tenir à l’essentiel. Les spécialistes me pardonneront-ils d’a
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
85 roman sans obstacles. On les multiplie donc, sans souci d’une invraisemblance que le désir de romantisme rend insensible. Ain
61 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
86 -ce pas encore une tentation de la passion que ce souci des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
62 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
87 roblèmes d’éducation furent dès le début le grand souci des réformés. Calvin fonde le Collège de Genève en pleine période de
63 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
88 premier, en lui montrant Nicolas en prière.) Quel souci vous amène en ce lieu, seigneur ? Diesbach. —  Chargé d’une missio
64 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
89 roman sans obstacles. On les multiplie donc, sans souci d’une invraisemblance que le désir de romantisme rend insensible. Ain
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
90 lus, s’oppose ici à celle du gaspillage, comme le souci de préserver le passé à celui de faire table rase pour construire que
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
91 -ce pas encore une tentation de la passion que ce souci des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
67 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
92 nt, ce n’est pas toujours par ignorance, mais par souci de m’en tenir à l’essentiel. Les spécialistes me pardonneront-ils d’a
68 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
93 roman sans obstacles. On les multiplie donc, sans souci d’une invraisemblance que le désir de romantisme rend insensible. Ain
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
94 lus, s’oppose ici à celle du gaspillage, comme le souci de préserver le passé à celui de faire table rase pour construire que
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
95 -ce pas encore une tentation de la passion que ce souci des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
71 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
96 royez, mais nous savons ! ») Ceci explique que le souci central de Gide ait été de débarrasser son christianisme de toutes le
72 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
97 t au contraire nous donner la vraie mesure de nos soucis , de nos misérables cafards, de nos craintes dérisoires et mesquines.
73 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
98 lointain et assez glorieux pour disqualifier nos soucis , tout serait à chaque instant libre et allègre, ouvert sur la seule g
74 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
99 re, d’amour des âmes. Si nous avons ce zèle et ce souci , l’atmosphère un peu renfermée de certaines de nos paroisses se dissi
100 role qui devrait libérer plus d’un pasteur de ses soucis , et résoudre en partie le problème du samedi soir… Encore faut-il que
101 s associations comme les autres. Avoir ensuite le souci de « désembourgeoiser » notre atmosphère, notre ton, nos manières de
75 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
102 politique est alourdie et comme paralysée par des soucis budgétaires de cet ordre, traduisant cette échelle de valeurs. Et je
103 es13. Il est temps que la Suisse comprenne que le souci de son économie ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues p
104 pos, en ces termes : “Ils sont tous nés d’un même souci de la personne et de son rôle dans la communauté ; et tous ils s’adre
76 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
105 la vie au grand air. Et tout se passe comme si le souci de l’hygiène, et celui de l’épargne dans tous les domaines, tuaient e
77 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
106 e unité d’intention : ils sont tous nés d’un même souci de la personne et de son rôle dans la communauté ; et tous, ils s’adr
78 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
107 roblèmes d’éducation furent dès le début le grand souci des réformés. Calvin fonde le Collège de Genève en pleine période de
79 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
108 ée, un public dont j’ignorais et le visage et les soucis , et devant lequel je m’étais engagé à disserter de la culture… Un sen
80 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
109 questions ; mais que s’il garde en même temps le souci d’expliquer qui nous sommes à nos voisins, c’est peut-être que notre
81 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
110 individus qui les composent, gardent le droit, le souci et le goût de se rattacher à plusieurs organismes supra-régionaux. Je
82 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
111 politique est alourdie et comme paralysée par des soucis budgétaires de cet ordre, traduisant cette échelle de valeurs. Et je
112 es43. Il est temps que la Suisse comprenne que le souci de son économie ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues p
83 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
113 roblèmes d’éducation furent dès le début le grand souci des réformés. Calvin fonde le Collège de Genève en pleine période de
84 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
114 flexion et non pas des phrases pathétiques. Et ce souci constant de l’humanité du citoyen, qu’il s’agisse des nationaux ou de
85 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
115 it que l’on calme en grattant du papier, sans nul souci des conséquences. Mais ceux qui écrivent pour mieux savoir endossent
86 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
116 à voir ce que nous sommes. Nous voici délivrés du souci monstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de not
117 nstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de notre orgueil, qui nous accable inconsciemment. Quoi qu’il ar
118 lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude
87 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
119 it que l’on calme en grattant du papier, sans nul souci des conséquences. Mais ceux qui écrivent pour mieux savoir endossent
88 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
120 ’imagination. Car aussitôt nous voici délivrés du souci monstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de not
121 nstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de notre orgueil, qui nous accable inconsciemment. Quoi qu’il ar
122 lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude
89 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
123 it que l’on calme en grattant du papier, sans nul souci des conséquences. Mais ceux qui écrivent pour mieux savoir endossent
90 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
124 ’imagination. Car aussitôt nous voici délivrés du souci monstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de not
125 nstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de notre orgueil, qui nous accable inconsciemment. Quoi qu’il ar
126 lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude
91 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
127 ochain. L’individu qui cherche la gloire n’a plus souci ni même conscience du voisin qu’il pourrait aider (c’est le prochain)
92 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
128 j’en relis quelques pages, je suis frappé par le souci qu’y montre Gide d’une écriture durable et d’une œuvre d’avenir. Il n
129 t elle qui risque de vieillir en premier lieu. Ce souci , cette arrière-pensée, sont étrangers à la littérature américaine, tr
93 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
130 de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos soucis , nos plaisirs personnels… Combien de temps encore, combien de semaine
94 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
131 fique, qui se distingue du langage courant par le souci de contrôler ses conventions. Mais ce n’est pas là le seul mode d’exp
132 nséquence. Mais si je parle en paraboles, je n’ai souci que d’une certaine orientation. C’est à partir du terme, encore une f
95 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
133 istoire fait trembler, et qui se réfugie dans les soucis publics comme on va voir un film pour s’oublier dans un drame fictif,
96 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
134 royez, mais nous savons ! ») Ceci explique que le souci central de Gide ait été de débarrasser son christianisme de toutes le
97 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
135 , le besoin d’en conter. L’imaginaire, délivré du souci d’une vraisemblance insignifiante ou statistique, retrouvera l’usage
98 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
136 ièrement frappant dans les pays protestants où le souci de rattacher tout travail de culture à une théologie stricte a entièr
99 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
137 out à l’autre de l’année. Une bonne partie de ses soucis , de ses inventions, de ses dépenses, vont à neutraliser les sautes d’
100 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
138 iscrètes, me racontaient leur vie sans le moindre souci de se faire bien ou mal juger, m’appelaient par mon prénom au bout de