1
ou ennuyeux, que ce soit l’idée de la mort ou les
soucis
politiques, sociaux, etc., et il ne met de la gravité que dans les ch
2
e serait fait que de ces intermèdes ; pur de tout
souci
de vraisemblance extérieure ; qui ne serait qu’invention, qui invente
3
nce insouciante ? Qu’est-ce qui ressemble plus au
souci
quotidien des grandes personnes ? Mais l’enfance est ailleurs. Je rev
4
. Ce malaise inavouable, cette règle méchante, ce
souci
qui renaît chaque jour, je pense que tout cela tient trop de place da
5
nce insouciante ? Qu’est-ce qui ressemble plus au
souci
quotidien des grandes personnes ? Mais l’enfance est ailleurs. Je rev
6
. Ce malaise inavouable, cette règle méchante, ce
souci
qui renaît chaque jour, je pense que tout cela tient trop de place da
7
s appelle. Sur les tenants d’un ordre délabré, le
Souci
tend son aile mortifère, — la « Frau Sorge » de notre Goethe. De tout
8
de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos
soucis
, nos plaisirs personnels. Combien de temps encore, combien de semaine
9
t au contraire nous donner la vraie mesure de nos
soucis
, de nos misérables cafards, de nos craintes dérisoires et mesquines.
10
econnaît la Vie au travers de sa mort. Si, par un
souci
peut-être vain, en tous cas dangereux, de simplification formelle, no
11
s réalités artificielles qui énervent nos vies de
soucis
dégradants. J’ai fait lire ce livre à des gens de toutes conditions,
12
ment louer l’auteur de conserver à chaque page le
souci
des références à l’actuel. La description qu’il fait de l’homme moder
13
s ses forces psychologiques ou physiques, dans un
souci
de conservation et d’expansion. » Ce langage est clair. Seuls les «
14
Histoire fait trembler et qui se réfugie dans les
soucis
publics comme on va voir un film pour s’oublier dans un drame fictif,
15
ais. On lit cette littérature pour « échapper aux
soucis
quotidiens »12, pour éviter, en fait, de résoudre le drame. Et c’est
16
e est toujours originale quand elle est. Son seul
souci
est d’être, le plus fidèlement. C’est à partir d’elle seule qu’un art
17
aires : « Tenter d’arracher le lecteur aux petits
soucis
quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraîne toujours la vie
18
Chez Louis XIV comme chez Hitler, ce n’est pas un
souci
d’unité religieuse qui domine : la religion leur est simple prétexte
19
onnés au vrai but assigné à la vie de l’homme. Le
souci
des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on sert peut sembler tr
20
s qu’on voit aux pieuses gens chargées de trop de
soucis
généraux. Un homme qui se connaît entièrement dépendant de la grâce d
21
lle qui réussit. Vous avez tort de vous mettre en
souci
pour les humains tels que nous les voyons : ils se moquent bien de vo
22
s ses forces psychologiques ou physiques, dans un
souci
de conservation et d’expansion81. » Ce langage est clair. Seuls les «
23
latch.) 81. À quoi j’ajouterais pour ma part le
souci
du service. Cf. p. 188. 82. Et au groupe de L’Ordre nouveau , le se
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onnés au vrai but assigné à la vie de l’homme. Le
souci
des moyens et de leur convenance à l’idéal qu’on sert peut sembler tr
25
s qu’on voit aux pieuses gens chargées de trop de
soucis
généraux. Un homme qui se connaît entièrement dépendant de la grâce d
26
lle qui réussit. Vous avez tort de vous mettre en
souci
pour les humains tels que nous les voyons : ils se moquent bien de vo
27
ancunes, y priment nécessairement toute espèce de
souci
de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tou
28
aintenir dès lors un édit sans objet ? Ce délicat
souci
de légalité, si l’on ne peut aller jusqu’à dire qu’il honore Louis XI
29
ssion. C’est l’homme qui délègue à la majorité le
souci
de ses décisions. Et dans ce sens précis, il faut bien dire que les p
30
longtemps, l’astrologie et la théologie. Un grand
souci
paraît dans toute son œuvre : il veut être clair, et utile. Clair ne
31
e, de vos affaires ; — Ne me fourrez pas dans vos
soucis
. » La mauvaise humeur est sans doute la caractéristique générale des
32
de nos vies, abandonnées, il faut l’avouer, à des
soucis
d’un tout autre ordre27. L’esprit paraît d’autant plus spirituel, et
33
Cette phrase d’Alain montre très bien comment le
souci
d’honnêteté et de sérieux de la pensée universitaire aboutit nécessai
34
mes catholiques. Je comprends parfaitement à quel
souci
très légitime d’honnêteté, à quelle crainte très légitime de me voir
35
chie des valeurs : simplement, ils n’en ont aucun
souci
. Ils se font les agents de publicité des grandes maisons. Ils parlent
36
sèque. Personne peut-être n’a si jalousement pris
souci
de dire au bon moment ses vérités inactuelles. De là le rythme singul
37
ancunes, y priment nécessairement toute espèce de
souci
de la cité dans son ensemble, et de son destin créateur. Et quand tou
38
ualisme dogmatique nous faisait perdre l’émouvant
souci
. À cet égard, on peut bien dire que M. Monod revient de loin. Les Sol
39
ard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans
souci
de la règle commune, et la terreur domine cette anarchie, distribuant
40
Certes on peut dire que Robespierre eut aussi le
souci
d’une ligne générale à défendre contre droites et gauches, mais un Hé
41
ndant, le sens des mots devrait primer tout autre
souci
plus médiat. Comment ne voient-ils pas que si les mots n’ont plus de
42
elle nous rend ses esclaves. Elle poursuit, sans
souci
des fins dernières de l’homme, son œuvre de division réelle et d’orga
43
ard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans
souci
de la règle commune, et la terreur domine cette anarchie, distribuant
44
us « naturel » à l’intellectuel bourgeois que son
souci
d’impartialité méthodique, vertu de laboratoire, dont on fait à peu p
45
x auteurs, davantage que chez tous les autres, un
souci
de naturaliste. 64. Réponses aux cinquièmes objections. 65. Je fai
46
. C’est, je crois, parce que sa méthode trahit le
souci
d’aboutir au concret, lequel n’a jamais eu, aux yeux des clercs, un c
47
un certain confort général. Et voilà pourquoi les
soucis
d’un bourgeois type tendent à la futilité, bien qu’ils restent capabl
48
es pour le langage et l’expression en général. Le
souci
de savoir ce qu’on dit est un des moindres de l’époque. Il paraît mêm
49
Cette phrase d’Alain montre très bien comment le
souci
d’honnêteté et le sérieux de la pensée universitaire aboutissent norm
50
aires : « Tenter d’arracher le lecteur aux petits
soucis
quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraîne toujours la vie
51
elle nous rend ses esclaves. Elle poursuit, sans
souci
des fins dernières de l’homme, son œuvre de division réelle et d’orga
52
ard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans
souci
de la règle commune, et la terreur domine cette anarchie, distribuant
53
us « naturel » à l’intellectuel bourgeois que son
souci
d’impartialité méthodique, vertu de laboratoire, dont on fait à peu p
54
x auteurs, davantage que chez tous les autres, un
souci
de naturaliste. 66. Réponses aux cinquièmes objections. 67. Je fai
55
. C’est, je crois, parce que sa méthode trahit le
souci
d’aboutir au concret, lequel n’a jamais eu, aux yeux des clercs, un c
56
un certain confort général. Et voilà pourquoi les
soucis
d’un bourgeois type tendent à la futilité, bien qu’ils restent capabl
57
es pour le langage et l’expression en général. Le
souci
de savoir ce qu’on dit est un des moindres de l’époque. Il paraît mêm
58
Cette phrase d’Alain montre très bien comment le
souci
d’honnêteté et le sérieux de la pensée universitaire aboutissent norm
59
aires : « Tenter d’arracher le lecteur aux petits
soucis
quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraîne toujours la vie
60
ue lorsqu’il sent qu’il est en communion avec les
soucis
de la nation, sa vie réelle et sa nature profonde. Mais un tel redres
61
ettra de passer trois mois ou quatre sans trop de
soucis
matériels. La vie paraît assez peu chère. Mais bien trop chère encore
62
ire les journaux, est actuellement dominée par le
souci
des élections académiques et des retraites aux sexagénaires. N’est-ce
63
l quotidien de mes contacts avec les gens, ou des
soucis
de mon état. Je ne pensais pas en faire un livre. Et pourtant ce n’ét
64
s de construction, de reprise à pied d’œuvre ; un
souci
de l’action possible ou nécessaire, mais par les moyens propres de l’
65
questions ; mais que s’il garde en même temps le
souci
d’expliquer qui nous sommes à nos voisins, c’est peut-être que notre
66
dans les grandes lignes la vraie nature de leurs
soucis
, mieux qu’ils ne sauraient le dire, justement. Quelquefois, il suffit
67
demande à ces chrétiens « changés » s’ils ont un
souci
suffisant des suites sociales et politiques qu’implique en fait leur
68
et impérial qui anime l’Église de Rome. Le grand
souci
d’œcuménisme, que nous voyons gagner toutes les églises, est une prom
69
s quinze jours. Pour la raison très simple que le
souci
du lendemain provisoirement écarté, je serais tombé dans le journal i
70
ettra de passer trois mois ou quatre sans trop de
soucis
matériels. La vie paraît un peu moins chère dans ce pays-ci que dans
71
ire les journaux, est actuellement dominée par le
souci
des élections académiques et des retraites aux sexagénaires. Eh bien
72
ant. Il est encore un peuple au monde pour qui le
souci
de se montrer humain prime cette volonté de puissance et ce culte du
73
en vient à se demander si ce n’est pas surtout le
souci
de faire la leçon aux Français « de gauche » qui a poussé M. Rivaud à
74
-ce pas encore une tentation de la passion que ce
souci
des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
75
r et de son public. Or vous n’ignorez pas que mon
souci
tout helvétique de dire le vrai, fût-il désobligeant, m’amenait à rec
76
ts contradictoires, notés au jour le jour et sans
souci
de leur possible insignifiance5. Le mieux sera sans doute d’envisager
77
ut. Je ne dis pas cela, comme on le croirait, par
souci
d’impartialité. Un général qui étudie le terrain de sa bataille décis
78
, tout votre romantisme ! Mais vous avez d’autres
soucis
… Que vous dirai-je ? Je ne puis pas aimer ce qui vous blesse. Ai-je l
79
(Certes on peut dire que Robespierre eut aussi le
souci
d’une ligne générale à défendre contre droites et gauches, mais un Hé
80
is vous savez très bien que Zurich seule garde le
souci
de la vieille foi, celle des saints apôtres et de nos ancêtres ! Car
81
ssionnées. Ce jeune écrivain suisse, qui joint le
souci
de l’actualité et le goût des questions sociales à la lucidité sensib
82
de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos
soucis
, nos plaisirs personnels. Combien de temps encore, combien de semaine
83
es qui l’habitent. Ce n’est pas la somme de leurs
soucis
et de leurs plaisirs, mais le sens qu’ils découvrent à l’existence, à
84
nt, ce n’est pas toujours par ignorance, mais par
souci
de m’en tenir à l’essentiel. Les spécialistes me pardonneront-ils d’a
85
roman sans obstacles. On les multiplie donc, sans
souci
d’une invraisemblance que le désir de romantisme rend insensible. Ain
86
-ce pas encore une tentation de la passion que ce
souci
des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
87
roblèmes d’éducation furent dès le début le grand
souci
des réformés. Calvin fonde le Collège de Genève en pleine période de
88
premier, en lui montrant Nicolas en prière.) Quel
souci
vous amène en ce lieu, seigneur ? Diesbach. — Chargé d’une missio
89
roman sans obstacles. On les multiplie donc, sans
souci
d’une invraisemblance que le désir de romantisme rend insensible. Ain
90
lus, s’oppose ici à celle du gaspillage, comme le
souci
de préserver le passé à celui de faire table rase pour construire que
91
-ce pas encore une tentation de la passion que ce
souci
des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
92
nt, ce n’est pas toujours par ignorance, mais par
souci
de m’en tenir à l’essentiel. Les spécialistes me pardonneront-ils d’a
93
roman sans obstacles. On les multiplie donc, sans
souci
d’une invraisemblance que le désir de romantisme rend insensible. Ain
94
lus, s’oppose ici à celle du gaspillage, comme le
souci
de préserver le passé à celui de faire table rase pour construire que
95
-ce pas encore une tentation de la passion que ce
souci
des lendemains qui obsède aujourd’hui tant de fronts ? Notre vie ne s
96
royez, mais nous savons ! ») Ceci explique que le
souci
central de Gide ait été de débarrasser son christianisme de toutes le
97
t au contraire nous donner la vraie mesure de nos
soucis
, de nos misérables cafards, de nos craintes dérisoires et mesquines.
98
lointain et assez glorieux pour disqualifier nos
soucis
, tout serait à chaque instant libre et allègre, ouvert sur la seule g
99
re, d’amour des âmes. Si nous avons ce zèle et ce
souci
, l’atmosphère un peu renfermée de certaines de nos paroisses se dissi
100
role qui devrait libérer plus d’un pasteur de ses
soucis
, et résoudre en partie le problème du samedi soir… Encore faut-il que
101
s associations comme les autres. Avoir ensuite le
souci
de « désembourgeoiser » notre atmosphère, notre ton, nos manières de
102
politique est alourdie et comme paralysée par des
soucis
budgétaires de cet ordre, traduisant cette échelle de valeurs. Et je
103
es13. Il est temps que la Suisse comprenne que le
souci
de son économie ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues p
104
pos, en ces termes : “Ils sont tous nés d’un même
souci
de la personne et de son rôle dans la communauté ; et tous ils s’adre
105
la vie au grand air. Et tout se passe comme si le
souci
de l’hygiène, et celui de l’épargne dans tous les domaines, tuaient e
106
e unité d’intention : ils sont tous nés d’un même
souci
de la personne et de son rôle dans la communauté ; et tous, ils s’adr
107
roblèmes d’éducation furent dès le début le grand
souci
des réformés. Calvin fonde le Collège de Genève en pleine période de
108
ée, un public dont j’ignorais et le visage et les
soucis
, et devant lequel je m’étais engagé à disserter de la culture… Un sen
109
questions ; mais que s’il garde en même temps le
souci
d’expliquer qui nous sommes à nos voisins, c’est peut-être que notre
110
individus qui les composent, gardent le droit, le
souci
et le goût de se rattacher à plusieurs organismes supra-régionaux. Je
111
politique est alourdie et comme paralysée par des
soucis
budgétaires de cet ordre, traduisant cette échelle de valeurs. Et je
112
es43. Il est temps que la Suisse comprenne que le
souci
de son économie ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues p
113
roblèmes d’éducation furent dès le début le grand
souci
des réformés. Calvin fonde le Collège de Genève en pleine période de
114
flexion et non pas des phrases pathétiques. Et ce
souci
constant de l’humanité du citoyen, qu’il s’agisse des nationaux ou de
115
it que l’on calme en grattant du papier, sans nul
souci
des conséquences. Mais ceux qui écrivent pour mieux savoir endossent
116
à voir ce que nous sommes. Nous voici délivrés du
souci
monstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de not
117
nstrueux des fins dernières de notre destinée, du
souci
même de notre orgueil, qui nous accable inconsciemment. Quoi qu’il ar
118
lui-même ne nous appartient pas, non plus que le
souci
de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude
119
it que l’on calme en grattant du papier, sans nul
souci
des conséquences. Mais ceux qui écrivent pour mieux savoir endossent
120
’imagination. Car aussitôt nous voici délivrés du
souci
monstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de not
121
nstrueux des fins dernières de notre destinée, du
souci
même de notre orgueil, qui nous accable inconsciemment. Quoi qu’il ar
122
lui-même ne nous appartient pas, non plus que le
souci
de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude
123
it que l’on calme en grattant du papier, sans nul
souci
des conséquences. Mais ceux qui écrivent pour mieux savoir endossent
124
’imagination. Car aussitôt nous voici délivrés du
souci
monstrueux des fins dernières de notre destinée, du souci même de not
125
nstrueux des fins dernières de notre destinée, du
souci
même de notre orgueil, qui nous accable inconsciemment. Quoi qu’il ar
126
lui-même ne nous appartient pas, non plus que le
souci
de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude
127
ochain. L’individu qui cherche la gloire n’a plus
souci
ni même conscience du voisin qu’il pourrait aider (c’est le prochain)
128
j’en relis quelques pages, je suis frappé par le
souci
qu’y montre Gide d’une écriture durable et d’une œuvre d’avenir. Il n
129
t elle qui risque de vieillir en premier lieu. Ce
souci
, cette arrière-pensée, sont étrangers à la littérature américaine, tr
130
de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos
soucis
, nos plaisirs personnels… Combien de temps encore, combien de semaine
131
fique, qui se distingue du langage courant par le
souci
de contrôler ses conventions. Mais ce n’est pas là le seul mode d’exp
132
nséquence. Mais si je parle en paraboles, je n’ai
souci
que d’une certaine orientation. C’est à partir du terme, encore une f
133
istoire fait trembler, et qui se réfugie dans les
soucis
publics comme on va voir un film pour s’oublier dans un drame fictif,
134
royez, mais nous savons ! ») Ceci explique que le
souci
central de Gide ait été de débarrasser son christianisme de toutes le
135
, le besoin d’en conter. L’imaginaire, délivré du
souci
d’une vraisemblance insignifiante ou statistique, retrouvera l’usage
136
ièrement frappant dans les pays protestants où le
souci
de rattacher tout travail de culture à une théologie stricte a entièr
137
out à l’autre de l’année. Une bonne partie de ses
soucis
, de ses inventions, de ses dépenses, vont à neutraliser les sautes d’
138
iscrètes, me racontaient leur vie sans le moindre
souci
de se faire bien ou mal juger, m’appelaient par mon prénom au bout de