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interrogation d’un impatient : « Qu’est-ce que le
soufisme
? » al-Hallaj répond : « Ne t’attaque pas à Nous, regarde notre doigt
2
e et de ses sources (néo-platonisme, manichéisme,
soufisme
). La mythification a trop bien réussi, soit que Béroul, Thomas, et le
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interrogation d’un impatient : « Qu’est-ce que le
soufisme
? », al-Hallaj répond : « Ne t’attaque pas à Nous, regarde notre doig
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une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le
soufisme
et la poésie courtoise des Arabes ; influence de Freud sur l’école su
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e et de ses sources (néo-platonisme, manichéisme,
soufisme
). La mythification a trop bien réussi, soit que Béroul, Thomas, et le
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interrogation d’un impatient : « Qu’est-ce que le
soufisme
? » Al-Hallaj répond : « Ne t’attaque pas à Nous, regarde notre doigt
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une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le
soufisme
et la poésie courtoise des Arabes ; influence de Freud sur l’école su
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e et de ses sources (néo-platonisme, manichéisme,
soufisme
). La mythification a trop bien réussi, soit que Béroul, Thomas, et le
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une forme lyrique déterminée. (Rapports entre le
soufisme
et la poésie courtoise des Arabes ; influence de Freud sur l’école su
10
61. Henry Corbin, L’Imagination créatrice dans le
soufisme
d’Ibn Arabi, 1958, p. 28 et 50. 62. Ibid., p. 131. 63. Henry Corbi
11
75. Henry Corbin, L’Imagination créatrice dans le
soufisme
d’Ibn Arabi, p. 88. 76. Ibn Arabi, in Henry Corbin, op. cit., p. 111
12
5. Henry Corbin : L’Imagination créatrice dans le
soufisme
d’Ibn Arabi, 1958, p. 28 et 50. 96. Ibid., p. 131. 97. Henry Corbi
13
bi, in H. Corbin, L’Imagination créatrice dans le
soufisme
d’Ibn’Arabi, p. III. 111. Id. ibid., p. 117. 112. Cf. supra, p. 12
14
erse antique, s’est opérée par l’hermétisme et le
soufisme
. Un certain « Kyot le Provençal » (cité par Wolfram comme sa source),