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miracle. Il nous laisse à notre émotion devant le
spectacle
d’une œuvre qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur génie. Vinc
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cembre 1925)m L’Irlande contemporaine offre un
spectacle
bien passionnant : celui de la renaissance d’une littérature national
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s », une intelligence qui se dégoûte, tel est le
spectacle
que nous dévoile cyniquement René Crevel. Il en est peu de plus effra
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s parcs, la nature annexée à la ville. « C’est un
spectacle
organisé par l’Architecture avec les ressources de la plastique qui e
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eule leçon à attendre des musulmans, c’est que le
spectacle
de leur décadence nous enseigne comment éviter la nôtre. » La place m
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ouveraine désinvolture. Elle est tonique comme le
spectacle
des athlètes. Et c’est elle avant tout que j’admire dans ces Bestiair
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ter le pas, mais seulement de retenir sa place au
spectacle
qu’ils offrent et de les considérer avec sympathie. Il est bien facil
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« Bas-toi là, bas-toi là ! »… Est-il plus atroce
spectacle
que celui d’une maîtresse jadis belle et diserte qui tombe au ruissea
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Frommel. Nous assistons, chez Pierre Loti, à ce
spectacle
étrange d’une vie toute pleine de nobles penchants et d’affections él
10
le monde propose à l’imagination de bien étranges
spectacles
; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon,
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elles ! Quelle figuration pour une satire à grand
spectacle
de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec
12
. Vit-on jamais plus courtoise dérision du génie.
Spectacle
en vérité terriblement intéressant ! Le xxe siècle européen offre ic
13
ine, — elle seule domine l’amour. Les plus grands
spectacles
naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouve
14
our. Les plus grands spectacles naturels sont des
spectacles
de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et c’est par là qu’ils
15
, comment accueillir avec un cœur viril et bon le
spectacle
de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’A
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le monde propose à l’imagination de bien étranges
spectacles
; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon,
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elles ! Quelle figuration pour une satire à grand
spectacle
de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec
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. Vit-on jamais plus courtoise dérision du génie.
Spectacle
en vérité terriblement intéressant ! Le xxe siècle européen offre ic
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ine, — elle seule domine l’amour. Les plus grands
spectacles
naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouve
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our. Les plus grands spectacles naturels sont des
spectacles
de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et c’est par là qu’ils
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, comment accueillir avec un cœur viril et bon le
spectacle
de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’A
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rosée des doctrines étatistes, la France offre le
spectacle
de sa gérontocratie bavarde, de ses petites niaiseries parlementaires
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stoire. « Ainsi donc, il ne nous reste — émouvant
spectacle
pour ceux qui n’ont pas le vertige — qu’à rapporter constamment ces d
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ume nous offre un jeu serré et subtil, et dont le
spectacle
n’est pas vain. M. Schmidt ne s’en laisse point imposer par la « réus
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che, pâture des bourgeois snobs. Nous avons vu ce
spectacle
indécent : le cadavre a mangé ses mouches. Certes, il faut commencer
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e doute de sa mission. L’Espagne est morte, et le
spectacle
de la vie politique en Amérique du Sud fait mesurer la déchéance d’un
27
s garde de borner notre vision aux proportions du
spectacle
qu’ils offrent, à ce ballet si mal réglé que dansent les droites et l
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s garde de borner notre vision aux proportions du
spectacle
qu’ils offrent, à ce ballet si mal réglé que dansent les droites et l
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de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le
spectacle
de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première tâ
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cela. On peut toutefois ne pas les croire, et le
spectacle
d’un pareil tragique ne perdra rien de sa grandeur lucide à gagner un
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sion ? Selon que l’homme qui regarde participe au
spectacle
, ou non, son regard saisira des aspects différents. Supposons qu’il c
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le regard qui se risque à déchiffrer le fascinant
spectacle
de cette œuvre mordue par le temps et modelée par la lumière, ce n’es
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fit bâtir de nouvelles villes, qui leur donna le
spectacle
d’un si prodigieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans crime… e
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la vertu, quarte colonne de la médecine, un grand
spectacle
! » (Liber Paragranum). r. « Paracelse, par Frédéric Gundolf, tradui
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ements nécessaires, puissent offrir aux foules le
spectacle
vivant de leurs travaux. En liaison étroite avec l’enseignement qui,
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é puissante de notre culture. Peut-on imaginer un
spectacle
plus propre à éveiller l’imagination, à attirer la curiosité, à susci
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es jeunes gens en mal de bohème prolétarienne. Le
spectacle
de la culture européenne, depuis la guerre, nous enseigne deux grande
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tifascistes n’oserait pas même imaginer. C’est un
spectacle
vraiment consternant que celui de ces hommes de bonne volonté sans vo
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ément si l’auteur ne cherchait à l’imposer par le
spectacle
de ses propres luttes — où nous ne reconnaissons pas forcément les nô
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me de gauche est renforcé dans sa croyance par le
spectacle
des sympathies plus ou moins affichées par la droite — qui se trompe
41
le de Pierre Gardère sur Anacharsis Cloots et les
spectacles
jacobins, qu’on a pu lire dans notre numéro d’avril 1936.) L’analogie
42
ultures, de ce que je nomme la commune mesure, le
spectacle
des deux plus grandes révolutions du xxe siècle suffirait à l’atténu
43
vité de penser à cette oscillation chiffrée, à ce
spectacle
abstrait, à cette considération détachée et méticuleuse d’un index in
44
s à la lutte ? C’est une pauvre protection que le
spectacle
des fatalités dont nous avons encombré le passé. Le monde n’ira pas s
45
fois par la tradition même de l’Occident, par le
spectacle
actuel de ses déviations, enfin par le sens même de l’inquiétude méta
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croirait qu’il l’est à les entendre, si certains
spectacles
de masses ne nous rendaient un peu plus que méfiants à l’endroit d’un
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ultures, de ce que je nomme la commune mesure, le
spectacle
des deux plus grandes révolutions du xxe siècle suffirait à l’atténu
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vité de penser à cette oscillation chiffrée, à ce
spectacle
abstrait, à cette considération détachée et méticuleuse d’un index in
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s à la lutte ? C’est une pauvre protection que le
spectacle
des fatalités dont nous avons encombré le passé. Le monde n’ira pas s
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fois par la tradition même de l’Occident, par le
spectacle
actuel de ses déviations, enfin par le sens même de l’inquiétude méta
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croirait qu’il l’est à les entendre, si certains
spectacles
de masses ne nous rendaient un peu plus que méfiants à l’endroit d’un
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illustré des vices les plus connus, revue à grand
spectacle
où Jaurès, Mussolini, Lénine, d’Annunzio et Nietzsche viennent faire
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et les passions absentes de son existence. Et le
spectacle
mélodramatique offert par la cour impériale sert de substitut à toute
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se, et voilà que je découvre au-dessous de moi un
spectacle
étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur
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encore, des âmes. Plénitude de la poésie ! Et le
spectacle
le plus émouvant que nous donne cette œuvre admirable, c’est celui du
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aux tâches plus urgentes : donner du pain et des
spectacles
à la foule. Mais Paul était apôtre et non pas dictateur. C’est pourqu
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fi par l’exigence totalitaire, comme le prouve le
spectacle
de l’Allemagne. L’État nouveau veut qu’on l’adore, sinon déjà dans de
58
le. Les « leçons » que nous tirons aujourd’hui du
spectacle
des gens, de l’examen de leurs coutumes, ou de celui de leurs raisons
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aient à cette terre ingrate ! Tout absorbé par ce
spectacle
— je ne sais pas comment expliquer l’intérêt presque indéfini que je
60
se démentant lui-même. Inutile de rappeler que le
spectacle
de pays tels que la Suisse, la Hollande et l’Amérique du Nord y suffi
61
se, et voilà que je découvre au-dessous de moi un
spectacle
étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur
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me semble-t-il, qu’éprouver une sorte d’effroi au
spectacle
d’un ordre social, spirituel et matériel, aussi fanatiquement lié et
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lesse de leur caractère, nous délivrent du triste
spectacle
que nous avons sous les yeux. » Car la noblesse qu’il nous suppose, p
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de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le
spectacle
de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première t
65
romantique entretenue par leurs lectures, par les
spectacles
, et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu
66
us de principe à ces bruyantes sollicitations. Le
spectacle
des pauvres gens assaillis par ces bandes insolentes, et donnant leur
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e. Il s’agit de répondre à cette question : « Les
spectacles
ou leur influence dans l’éducation publique peuvent-ils être livrés à
68
cessaire dans les conditions actuelles ». Car les
spectacles
populaires sont un moyen de dressage civique. Il s’agit de faire de t
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périeur et entraîne avec lui un des composants du
spectacle
, soit la foule, soit le chœur. Il est l’axe autour duquel tourne cett
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ends bien, les chœurs seront l’acteur numéro 1 du
spectacle
. Exactement. Et j’ai composé ma musique en tenant compte de cette par
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e mirent joyeusement à l’ouvrage pour réaliser le
spectacle
. Ce magnifique effort d’art et de patriotisme devait trouver son cour
72
t des légendes sacrées, « objet de contemplation,
spectacle
mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au-delà des f
73
; et pas l’amour heureux, comblé ou satisfait (ce
spectacle
ne peut rien engendrer), l’amour perpétuellement insatisfait au contr
74
t aussi une magicienne, « objet de contemplation,
spectacle
mystérieux. ») Dans le Château de l’Âme habitent d’autres personnages
75
partisanes ? Serait-ce la fin du romantisme ? Le
spectacle
de nos mœurs n’autorise pas cette conclusion. Car la crise actuelle d
76
tés sous forme de lecture, mais surtout donnés en
spectacle
. Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dramatique et le
77
sang non occidental, ou peut-être l’habitude des
spectacles
de l’Inquisition avaient déchaîné les instincts démoniaques ». Artill
78
romantique entretenue par leurs lectures, par les
spectacles
, et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu
79
lt, dont on a pu supposer que le nom signifiait «
spectacle
mystérieux, objet de contemplation », fée irlandaise, cavale aux crin
80
e et pour durer longuement. » Il me semble que le
spectacle
de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
81
es dans le canton qui devait prendre la charge du
spectacle
. Et voici, quelque peu schématisée, la solution où je suis parvenu. P
82
Le travail de préparation et de répétition de ce
spectacle
est d’ailleurs venu justifier le calcul que je viens d’esquisser. Cin
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l n’eût été possible d’imaginer et de réaliser un
spectacle
de cette envergure, et de le rendre populaire. Ce sont les conditions
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t des légendes sacrées, « objet de contemplation,
spectacle
mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au-delà des f
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; et pas l’amour heureux, comblé ou satisfait (ce
spectacle
ne peut rien engendrer), l’amour perpétuellement insatisfait au contr
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t aussi une magicienne, « objet de contemplation,
spectacle
mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres personnages
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partisanes ? Serait-ce la fin du romantisme ? Le
spectacle
de nos mœurs n’autorise pas cette conclusion. Car la crise actuelle d
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tés sous forme de lecture, mais surtout donnés en
spectacle
. Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dramatique et le
89
sang non-occidental, ou peut-être l’habitude des
spectacles
de l’Inquisition avaient déchaîné les instincts démoniaques ». Artill
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romantique entretenue par leurs lectures, par les
spectacles
et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu p
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t des légendes sacrées, « objet de contemplation,
spectacle
mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au-delà des f
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; et pas l’amour heureux, comblé ou satisfait (ce
spectacle
ne peut rien engendrer), l’amour perpétuellement insatisfait au contr
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t aussi une magicienne, « objet de contemplation,
spectacle
mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres personnages
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partisanes ? Serait-ce la fin du romantisme ? Le
spectacle
de nos mœurs n’autorise pas cette conclusion. Car la crise actuelle d
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tés sous forme de lecture, mais surtout donnés en
spectacle
. Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dramatique et le
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sang non occidental, ou peut-être l’habitude des
spectacles
de l’Inquisition avaient déchaîné les instincts démoniaques ». Artill
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romantique entretenue par leurs lectures, par les
spectacles
, et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu
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lt, dont on a pu supposer que le nom signifiait «
spectacle
mystérieux, objet de contemplation », fée irlandaise, cavale aux crin
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hasard devant lui. Ô abîme ! les Alpes étaient le
spectacle
, le spectateur était un crétin. Je me suis perdu dans cette effrayant
100
ette déclaration de Spitteler : « N’est-ce pas un
spectacle
grotesque que celui d’une feuille de chou qui, sûre de son inviolabil
101
e et pour durer longuement. » Il me semble que le
spectacle
de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
102
hasard devant lui. O abîme ! les Alpes étaient le
spectacle
, le spectateur était un crétin ! Je me suis perdu dans cette effrayan
103
ette déclaration de Spitteler : « N’est-ce pas un
spectacle
grotesque que celui d’une feuille de chou qui, sûre de son inviolabil
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e et pour durer longuement. » Il me semble que le
spectacle
de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
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et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un
spectacle
émouvant qui n’effraye pas, mais au contraire atteste une force paisi
106
t graissant son fusil après le tir du dimanche, —
spectacle
que vous ne verrez nulle part ailleurs dans le monde. Cette habitude
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sées adventices. Il semble que nous assistions au
spectacle
grandiose de la croissance d’un chêne géant. Tout ici est organe, tou
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rmi les blancs remous et les brisants, forment un
spectacle
vraiment plutonien ». Il y a près de trois quarts de siècle que Melvi
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de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le
spectacle
de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première tâ
110
l’architecture de leurs sanctuaires, enfin par le
spectacle
de leurs cultes. Séparations et réunions Les États-Unis ont été
111
iquer le dilemme que pose à un esprit européen le
spectacle
des églises américaines. Ou bien l’église va dans le siècle, l’organi
112
oncerts, des récitals de poèmes, et assisté à des
spectacles
lyriques, dramatiques et cinématographiques remarquables. Tous les jo
113
et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un
spectacle
émouvant qui n’effraye pas, mais au contraire atteste une force paisi
114
Quelle force au monde pourrait donc obscurcir ce
spectacle
et le souvenir de cette musique ivre d’intelligence ? Et pourtant, c’
115
n ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un
spectacle
fascinant. Il l’avait découpé en rectangles égaux, et l’absorba sans
116
uanier Rousseau à s’y méprendre. Port de Santos :
spectacle
fascinant des longues chenilles mécaniques transbahutant des sacs de
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le monde propose à l’imagination de bien étranges
spectacles
; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon,
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elles ! Quelle figuration pour une satire à grand
spectacle
de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec
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. Vit-on jamais plus courtoise dérision du génie.
Spectacle
en vérité terriblement intéressant ! Le xxe siècle européen offre ic
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ine, — elle seule domine l’amour. Les plus grands
spectacles
naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouve
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our. Les plus grands spectacles naturels sont des
spectacles
de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et c’est par là qu’ils
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, comment accueillir avec un cœur viril et bon le
spectacle
de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’A
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le. Les « leçons » que nous tirons aujourd’hui du
spectacle
des gens, de l’examen de leurs coutumes, ou de celui de leurs raisons
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aient à cette terre ingrate ! Tout absorbé par ce
spectacle
— je ne sais pas comment expliquer l’intérêt presque indéfini que je
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se démentant lui-même. Inutile de rappeler que le
spectacle
de pays tels que la Suisse, la Hollande et l’Amérique du Nord y suffi
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se, et voilà que je découvre au-dessous de moi un
spectacle
étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur
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us de principe à ces bruyantes sollicitations. Le
spectacle
des pauvres gens assaillis par ces bandes insolentes, et donnant leur
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yse. Il s’agit de répondre à cette question : Les
spectacles
ou leur influence dans l’éducation publique peuvent-ils être livrés à
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cessaire dans les conditions actuelles ». Car les
spectacles
populaires sont un moyen de dressage civique. Il s’agit de faire de t
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iques ». N’est-il pas significatif que ces grands
spectacles
de masses autour d’une Présence sacrée se multiplient dans ces derniè
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de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le
spectacle
de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première tâ
132
Quelle force au monde pourrait donc obscurcir ce
spectacle
et le souvenir de cette musique ivre d’intelligence ? Et pourtant, c’
133
n ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un
spectacle
fascinant. Il l’avait découpé en rectangles égaux, et l’absorba sans
134
e petits singes à derrière bleu. Port de Santos :
spectacle
fascinant des longues chenilles mécaniques transbahutant des sacs de
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e l’étranger qui s’égare dans ce lieu réservé, le
spectacle
le plus inquiétant du Nouveau Monde : car nous sommes habitués à voir
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n ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un
spectacle
fascinant. Il l’avait découpé en rectangles égaux, et l’absorba sans
137
l’architecture de leurs sanctuaires, enfin par le
spectacle
de leurs cultes. Les États-Unis ont été fondés par des groupes succ
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iquer le dilemme que pose à un esprit européen le
spectacle
des églises américaines. Ou bien l’église va dans le siècle, l’organi
139
e l’étranger qui s’égare dans ce lieu réservé, le
spectacle
le plus inquiétant du Nouveau Monde : car nous sommes habitués à voir
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et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un
spectacle
émouvant qui n’effraie pas, mais au contraire atteste une force paisi
141
des usines, l’alimentation, la circulation et les
spectacles
dans une agglomération vaste et dense.) « L’ennui naquit un jour de l