1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
1 miracle. Il nous laisse à notre émotion devant le spectacle d’une œuvre qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur génie. Vinc
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
2 cembre 1925)m L’Irlande contemporaine offre un spectacle bien passionnant : celui de la renaissance d’une littérature national
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
3 s », une intelligence qui se dégoûte, tel est le spectacle que nous dévoile cyniquement René Crevel. Il en est peu de plus effra
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
4 s parcs, la nature annexée à la ville. « C’est un spectacle organisé par l’Architecture avec les ressources de la plastique qui e
5 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
5 eule leçon à attendre des musulmans, c’est que le spectacle de leur décadence nous enseigne comment éviter la nôtre. » La place m
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
6 ouveraine désinvolture. Elle est tonique comme le spectacle des athlètes. Et c’est elle avant tout que j’admire dans ces Bestiair
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
7 ter le pas, mais seulement de retenir sa place au spectacle qu’ils offrent et de les considérer avec sympathie. Il est bien facil
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
8 « Bas-toi là, bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis belle et diserte qui tombe au ruissea
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
9 Frommel. Nous assistons, chez Pierre Loti, à ce spectacle étrange d’une vie toute pleine de nobles penchants et d’affections él
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
10 le monde propose à l’imagination de bien étranges spectacles  ; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon,
11 elles ! Quelle figuration pour une satire à grand spectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec
12 . Vit-on jamais plus courtoise dérision du génie. Spectacle en vérité terriblement intéressant ! Le xxe siècle européen offre ic
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 ine, — elle seule domine l’amour. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouve
14 our. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et c’est par là qu’ils
15 , comment accueillir avec un cœur viril et bon le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’A
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
16 le monde propose à l’imagination de bien étranges spectacles  ; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon,
17 elles ! Quelle figuration pour une satire à grand spectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec
18 . Vit-on jamais plus courtoise dérision du génie. Spectacle en vérité terriblement intéressant ! Le xxe siècle européen offre ic
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 ine, — elle seule domine l’amour. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouve
20 our. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et c’est par là qu’ils
21 , comment accueillir avec un cœur viril et bon le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’A
14 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
22 rosée des doctrines étatistes, la France offre le spectacle de sa gérontocratie bavarde, de ses petites niaiseries parlementaires
15 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
23 stoire. « Ainsi donc, il ne nous reste — émouvant spectacle pour ceux qui n’ont pas le vertige — qu’à rapporter constamment ces d
16 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
24 ume nous offre un jeu serré et subtil, et dont le spectacle n’est pas vain. M. Schmidt ne s’en laisse point imposer par la « réus
17 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
25 che, pâture des bourgeois snobs. Nous avons vu ce spectacle indécent : le cadavre a mangé ses mouches. Certes, il faut commencer
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
26 e doute de sa mission. L’Espagne est morte, et le spectacle de la vie politique en Amérique du Sud fait mesurer la déchéance d’un
19 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
27 s garde de borner notre vision aux proportions du spectacle qu’ils offrent, à ce ballet si mal réglé que dansent les droites et l
20 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
28 s garde de borner notre vision aux proportions du spectacle qu’ils offrent, à ce ballet si mal réglé que dansent les droites et l
21 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
29 de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le spectacle de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première tâ
22 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
30 cela. On peut toutefois ne pas les croire, et le spectacle d’un pareil tragique ne perdra rien de sa grandeur lucide à gagner un
23 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
31 sion ? Selon que l’homme qui regarde participe au spectacle , ou non, son regard saisira des aspects différents. Supposons qu’il c
32 le regard qui se risque à déchiffrer le fascinant spectacle de cette œuvre mordue par le temps et modelée par la lumière, ce n’es
24 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
33 fit bâtir de nouvelles villes, qui leur donna le spectacle d’un si prodigieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans crime… e
25 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
34 la vertu, quarte colonne de la médecine, un grand spectacle  ! » (Liber Paragranum). r. « Paracelse, par Frédéric Gundolf, tradui
26 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
35 ements nécessaires, puissent offrir aux foules le spectacle vivant de leurs travaux. En liaison étroite avec l’enseignement qui,
36 é puissante de notre culture. Peut-on imaginer un spectacle plus propre à éveiller l’imagination, à attirer la curiosité, à susci
37 es jeunes gens en mal de bohème prolétarienne. Le spectacle de la culture européenne, depuis la guerre, nous enseigne deux grande
27 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
38 tifascistes n’oserait pas même imaginer. C’est un spectacle vraiment consternant que celui de ces hommes de bonne volonté sans vo
28 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
39 ément si l’auteur ne cherchait à l’imposer par le spectacle de ses propres luttes — où nous ne reconnaissons pas forcément les nô
29 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
40 me de gauche est renforcé dans sa croyance par le spectacle des sympathies plus ou moins affichées par la droite — qui se trompe
30 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
41 le de Pierre Gardère sur Anacharsis Cloots et les spectacles jacobins, qu’on a pu lire dans notre numéro d’avril 1936.) L’analogie
31 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
42 ultures, de ce que je nomme la commune mesure, le spectacle des deux plus grandes révolutions du xxe siècle suffirait à l’atténu
32 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
43 vité de penser à cette oscillation chiffrée, à ce spectacle abstrait, à cette considération détachée et méticuleuse d’un index in
44 s à la lutte ? C’est une pauvre protection que le spectacle des fatalités dont nous avons encombré le passé. Le monde n’ira pas s
33 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
45 fois par la tradition même de l’Occident, par le spectacle actuel de ses déviations, enfin par le sens même de l’inquiétude méta
46 croirait qu’il l’est à les entendre, si certains spectacles de masses ne nous rendaient un peu plus que méfiants à l’endroit d’un
34 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
47 ultures, de ce que je nomme la commune mesure, le spectacle des deux plus grandes révolutions du xxe siècle suffirait à l’atténu
35 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
48 vité de penser à cette oscillation chiffrée, à ce spectacle abstrait, à cette considération détachée et méticuleuse d’un index in
49 s à la lutte ? C’est une pauvre protection que le spectacle des fatalités dont nous avons encombré le passé. Le monde n’ira pas s
36 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
50 fois par la tradition même de l’Occident, par le spectacle actuel de ses déviations, enfin par le sens même de l’inquiétude méta
51 croirait qu’il l’est à les entendre, si certains spectacles de masses ne nous rendaient un peu plus que méfiants à l’endroit d’un
37 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
52 illustré des vices les plus connus, revue à grand spectacle où Jaurès, Mussolini, Lénine, d’Annunzio et Nietzsche viennent faire
38 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
53 et les passions absentes de son existence. Et le spectacle mélodramatique offert par la cour impériale sert de substitut à toute
39 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
54 se, et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur
40 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
55 encore, des âmes. Plénitude de la poésie ! Et le spectacle le plus émouvant que nous donne cette œuvre admirable, c’est celui du
41 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
56 aux tâches plus urgentes : donner du pain et des spectacles à la foule. Mais Paul était apôtre et non pas dictateur. C’est pourqu
57 fi par l’exigence totalitaire, comme le prouve le spectacle de l’Allemagne. L’État nouveau veut qu’on l’adore, sinon déjà dans de
42 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
58 le. Les « leçons » que nous tirons aujourd’hui du spectacle des gens, de l’examen de leurs coutumes, ou de celui de leurs raisons
59 aient à cette terre ingrate ! Tout absorbé par ce spectacle — je ne sais pas comment expliquer l’intérêt presque indéfini que je
43 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
60 se démentant lui-même. Inutile de rappeler que le spectacle de pays tels que la Suisse, la Hollande et l’Amérique du Nord y suffi
61 se, et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur
44 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
62 me semble-t-il, qu’éprouver une sorte d’effroi au spectacle d’un ordre social, spirituel et matériel, aussi fanatiquement lié et
45 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
63 lesse de leur caractère, nous délivrent du triste spectacle que nous avons sous les yeux. » Car la noblesse qu’il nous suppose, p
46 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
64 de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le spectacle de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première t
47 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
65 romantique entretenue par leurs lectures, par les spectacles , et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu
48 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
66 us de principe à ces bruyantes sollicitations. Le spectacle des pauvres gens assaillis par ces bandes insolentes, et donnant leur
67 e. Il s’agit de répondre à cette question : « Les spectacles ou leur influence dans l’éducation publique peuvent-ils être livrés à
68 cessaire dans les conditions actuelles ». Car les spectacles populaires sont un moyen de dressage civique. Il s’agit de faire de t
49 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
69 périeur et entraîne avec lui un des composants du spectacle , soit la foule, soit le chœur. Il est l’axe autour duquel tourne cett
70 ends bien, les chœurs seront l’acteur numéro 1 du spectacle . Exactement. Et j’ai composé ma musique en tenant compte de cette par
50 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
71 e mirent joyeusement à l’ouvrage pour réaliser le spectacle . Ce magnifique effort d’art et de patriotisme devait trouver son cour
51 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
72 t des légendes sacrées, « objet de contemplation, spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au-delà des f
73 ; et pas l’amour heureux, comblé ou satisfait (ce spectacle ne peut rien engendrer), l’amour perpétuellement insatisfait au contr
74 t aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mystérieux. ») Dans le Château de l’Âme habitent d’autres personnages
52 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
75 partisanes ? Serait-ce la fin du romantisme ? Le spectacle de nos mœurs n’autorise pas cette conclusion. Car la crise actuelle d
53 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
76 tés sous forme de lecture, mais surtout donnés en spectacle . Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dramatique et le
77 sang non occidental, ou peut-être l’habitude des spectacles de l’Inquisition avaient déchaîné les instincts démoniaques ». Artill
54 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
78 romantique entretenue par leurs lectures, par les spectacles , et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu
55 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
79 lt, dont on a pu supposer que le nom signifiait «  spectacle mystérieux, objet de contemplation », fée irlandaise, cavale aux crin
56 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
80 e et pour durer longuement. » Il me semble que le spectacle de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
57 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
81 es dans le canton qui devait prendre la charge du spectacle . Et voici, quelque peu schématisée, la solution où je suis parvenu. P
82 Le travail de préparation et de répétition de ce spectacle est d’ailleurs venu justifier le calcul que je viens d’esquisser. Cin
83 l n’eût été possible d’imaginer et de réaliser un spectacle de cette envergure, et de le rendre populaire. Ce sont les conditions
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
84 t des légendes sacrées, « objet de contemplation, spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au-delà des f
85 ; et pas l’amour heureux, comblé ou satisfait (ce spectacle ne peut rien engendrer), l’amour perpétuellement insatisfait au contr
86 t aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres personnages
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
87 partisanes ? Serait-ce la fin du romantisme ? Le spectacle de nos mœurs n’autorise pas cette conclusion. Car la crise actuelle d
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
88 tés sous forme de lecture, mais surtout donnés en spectacle . Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dramatique et le
89 sang non-occidental, ou peut-être l’habitude des spectacles de l’Inquisition avaient déchaîné les instincts démoniaques ». Artill
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
90 romantique entretenue par leurs lectures, par les spectacles et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu p
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
91 t des légendes sacrées, « objet de contemplation, spectacle mystérieux », c’était l’invitation à désirer ce qui est au-delà des f
92 ; et pas l’amour heureux, comblé ou satisfait (ce spectacle ne peut rien engendrer), l’amour perpétuellement insatisfait au contr
93 t aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mystérieux ».) Dans le Château de l’Âme habitent d’autres personnages
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
94 partisanes ? Serait-ce la fin du romantisme ? Le spectacle de nos mœurs n’autorise pas cette conclusion. Car la crise actuelle d
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
95 tés sous forme de lecture, mais surtout donnés en spectacle . Ce jeu peut revêtir deux formes : la représentation dramatique et le
96 sang non occidental, ou peut-être l’habitude des spectacles de l’Inquisition avaient déchaîné les instincts démoniaques ». Artill
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
97 romantique entretenue par leurs lectures, par les spectacles , et par mille allusions quotidiennes, dont le sous-entendu est à peu
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
98 lt, dont on a pu supposer que le nom signifiait «  spectacle mystérieux, objet de contemplation », fée irlandaise, cavale aux crin
67 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
99 hasard devant lui. Ô abîme ! les Alpes étaient le spectacle , le spectateur était un crétin. Je me suis perdu dans cette effrayant
68 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
100 ette déclaration de Spitteler : « N’est-ce pas un spectacle grotesque que celui d’une feuille de chou qui, sûre de son inviolabil
69 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
101 e et pour durer longuement. » Il me semble que le spectacle de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
70 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
102 hasard devant lui. O abîme ! les Alpes étaient le spectacle , le spectateur était un crétin ! Je me suis perdu dans cette effrayan
71 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
103 ette déclaration de Spitteler : « N’est-ce pas un spectacle grotesque que celui d’une feuille de chou qui, sûre de son inviolabil
72 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
104 e et pour durer longuement. » Il me semble que le spectacle de l’Europe contemporaine donne raison au réformateur. Et je ne crois
73 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
105 et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un spectacle émouvant qui n’effraye pas, mais au contraire atteste une force paisi
74 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
106 t graissant son fusil après le tir du dimanche, —  spectacle que vous ne verrez nulle part ailleurs dans le monde. Cette habitude
75 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
107 sées adventices. Il semble que nous assistions au spectacle grandiose de la croissance d’un chêne géant. Tout ici est organe, tou
76 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
108 rmi les blancs remous et les brisants, forment un spectacle vraiment plutonien ». Il y a près de trois quarts de siècle que Melvi
77 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
109 de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le spectacle de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première tâ
78 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
110 l’architecture de leurs sanctuaires, enfin par le spectacle de leurs cultes. Séparations et réunions Les États-Unis ont été
79 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
111 iquer le dilemme que pose à un esprit européen le spectacle des églises américaines. Ou bien l’église va dans le siècle, l’organi
80 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
112 oncerts, des récitals de poèmes, et assisté à des spectacles lyriques, dramatiques et cinématographiques remarquables. Tous les jo
81 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
113 et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un spectacle émouvant qui n’effraye pas, mais au contraire atteste une force paisi
82 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
114 Quelle force au monde pourrait donc obscurcir ce spectacle et le souvenir de cette musique ivre d’intelligence ? Et pourtant, c’
83 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
115 n ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en rectangles égaux, et l’absorba sans
84 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
116 uanier Rousseau à s’y méprendre. Port de Santos : spectacle fascinant des longues chenilles mécaniques transbahutant des sacs de
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
117 le monde propose à l’imagination de bien étranges spectacles  ; pourquoi veut-il qu’on les ignore ou qu’on le feigne ? D’un balcon,
118 elles ! Quelle figuration pour une satire à grand spectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec
119 . Vit-on jamais plus courtoise dérision du génie. Spectacle en vérité terriblement intéressant ! Le xxe siècle européen offre ic
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
120 ine, — elle seule domine l’amour. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouve
121 our. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et c’est par là qu’ils
122 , comment accueillir avec un cœur viril et bon le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon comme celui d’A
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
123 le. Les « leçons » que nous tirons aujourd’hui du spectacle des gens, de l’examen de leurs coutumes, ou de celui de leurs raisons
124 aient à cette terre ingrate ! Tout absorbé par ce spectacle — je ne sais pas comment expliquer l’intérêt presque indéfini que je
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
125 se démentant lui-même. Inutile de rappeler que le spectacle de pays tels que la Suisse, la Hollande et l’Amérique du Nord y suffi
126 se, et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et presque « atterrant ». La petite chienne est couchée, sur
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
127 us de principe à ces bruyantes sollicitations. Le spectacle des pauvres gens assaillis par ces bandes insolentes, et donnant leur
128 yse. Il s’agit de répondre à cette question : Les spectacles ou leur influence dans l’éducation publique peuvent-ils être livrés à
129 cessaire dans les conditions actuelles ». Car les spectacles populaires sont un moyen de dressage civique. Il s’agit de faire de t
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
130 iques ». N’est-il pas significatif que ces grands spectacles de masses autour d’une Présence sacrée se multiplient dans ces derniè
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
131 de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le spectacle de l’intelligentsia française. Précisons donc encore : la première tâ
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
132 Quelle force au monde pourrait donc obscurcir ce spectacle et le souvenir de cette musique ivre d’intelligence ? Et pourtant, c’
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
133 n ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en rectangles égaux, et l’absorba sans
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
134 e petits singes à derrière bleu. Port de Santos : spectacle fascinant des longues chenilles mécaniques transbahutant des sacs de
95 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
135 e l’étranger qui s’égare dans ce lieu réservé, le spectacle le plus inquiétant du Nouveau Monde : car nous sommes habitués à voir
96 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
136 n ai vu un qui mangeait un sandwich et c’était un spectacle fascinant. Il l’avait découpé en rectangles égaux, et l’absorba sans
97 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
137 l’architecture de leurs sanctuaires, enfin par le spectacle de leurs cultes.   Les États-Unis ont été fondés par des groupes succ
138 iquer le dilemme que pose à un esprit européen le spectacle des églises américaines. Ou bien l’église va dans le siècle, l’organi
98 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
139 e l’étranger qui s’égare dans ce lieu réservé, le spectacle le plus inquiétant du Nouveau Monde : car nous sommes habitués à voir
99 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
140 et qui voit grand sans se forcer. Voici enfin un spectacle émouvant qui n’effraie pas, mais au contraire atteste une force paisi
100 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
141 des usines, l’alimentation, la circulation et les spectacles dans une agglomération vaste et dense.) « L’ennui naquit un jour de l