1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 elques nuits la vision étrange d’une salle où les spectateurs étendus en pyjamas sur des paillasses attendraient en vain le lever d
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 l voit autour de lui — et l’étonnement indigné du spectateur . Pour parler avec un peu de clairvoyance de ce dont nous avons vécu j
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 nzine industrielle. Mais quelle gravité parmi les spectateurs . Reliques ? Elles conservent du moins toute leur efficace. Voici le P
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
4 tre, et où je fais fonction moins d’acteur que de spectateur , de témoin. » (p. 31.) Mais un témoin si détaché de soi-même, n’est-c
5 il écrit ne l’engage tout entier. Qu’il n’est que spectateur de ses antagonismes. Dès lors, la morale qui, pourtant, seule l’intér
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 nzine industrielle. Mais quelle gravité parmi les spectateurs . Reliques ? Elles conservent du moins toute leur efficace. Voici le P
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 nzine industrielle. Mais quelle gravité parmi les spectateurs . Reliques ? Elles conservent du moins toute leur efficace. Voici le P
7 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
8 oute seule », que l’homme ne soit plus rien qu’un spectateur de son angoisse muée en rêve ? Qu’on prenne un ton tranchant lorsqu’o
8 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
9 qui l’ose. Et c’est par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le lecteur, qu’elle l’émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas,
9 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
10 qui l’ose. Et c’est par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le lecteur, qu’elle l’émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas,
10 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
11 e parle n’est pas un enquêteur, simple curieux ou spectateur . C’est bien plutôt un conseiller, un donneur d’aide morale et parfois
11 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
12  » et pensée « engagée », ou encore attitude du «  spectateur  » et attitude du « témoin ». Opposition qui, sur le plan théologique,
13 ndre au sérieux ses reflets dans la conscience du spectateur .) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme. Tout se passe
12 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
14 onopole des pyrites d’Espagne. ⁂ Réflexions d’un spectateur . — Duperie de la paix, de la paix à tout prix, fût-ce au prix de la g
13 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
15 éateur : l’opposition du témoin responsable et du spectateur détaché. Le point de vue du « clerc pur », celui d’Érasme, nous est s
14 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
16 manière la plus facile de jouer la comédie : sans spectateurs . Jouer la comédie devant des êtres réels est bien plus significatif.
17 e parle n’est pas un enquêteur, simple curieux ou spectateur . C’est bien plutôt un conseiller, un donneur d’aide morale et parfois
15 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
18  » et pensée « engagée », ou encore attitude du «  spectateur  » et attitude du « témoin ». Opposition qui, sur le plan théologique,
19 ndre au sérieux ses reflets dans la conscience du spectateur .) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme. Tout se passe
16 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
20 un théâtre en plein air, devant cinq ou six-mille spectateurs . La scène aura trente mètres de large, et trois étages, qu’il faut ne
17 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
21 ignant maigre et loqueteux. À gauche et à droite, spectateurs .) 1er juge. —  Ainsi selon le droit et la coutume de nos ancêtres,
18 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
22 la première pierre d’une arène destinée à 400 000 spectateurs . Il est clair que de telles proportions anéantissent matériellement t
19 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
23 lui. Ô abîme ! les Alpes étaient le spectacle, le spectateur était un crétin. Je me suis perdu dans cette effrayante antithèse : l
24 nt, et non pas seulement la sympathie distante du spectateur , touriste ou hôtelier, qui suit d’en bas, à la lunette, la caravane e
20 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
25 ne le dire, une épreuve dérisoire, bonne pour des spectateurs … Pourtant, si nous en triomphons, elle nous donnera la force de prépa
21 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
26 ne le dire, une épreuve dérisoire, bonne pour des spectateurs … Pourtant, si nous en triomphons, elle nous donnera la force de prépa
22 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
27 lui. O abîme ! les Alpes étaient le spectacle, le spectateur était un crétin ! Je me suis perdu dans cette effrayante antithèse :
23 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
28 du Capitole, devant des centaines de milliers de spectateurs . Après une prière dite par le chapelain du Sénat, le président jura,
24 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
29 re » et pensée « engagée », ou encore attitude du spectateur et attitude du témoin. Opposition qui, dans le plan théologique, ou m
30 ndre au sérieux ses reflets dans la conscience du spectateur .) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme. Tous se passe
25 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
31 . Les critiques, les échos de presse, et même les spectateurs , sont unanimes : Hollywood est à court d’inventions. Hollywood achète
32 ement d’une suite de catastrophes qui laissent le spectateur soulagé et heureux, parce que son inconscient a pu se déchaîner devan
26 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
33 légués dans une opposition sans portée politique, spectateurs irrités de la vie américaine, disciples réticents de nos écoles d’Eur
27 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
34 iquement, et après tout c’est le moins grave. Les spectateurs de l’accident m’ont dit : « C’était bizarre. Il n’y avait pas de rais
28 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le point de vue moral
35 nterdit à jamais. Nous sommes tous dans l’état du spectateur à l’approche du climax d’un bon film policier. Si l’on nous privait d
29 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le point de vue moral
36 nterdit à jamais. Nous sommes tous dans l’état du spectateur à l’approche du climax d’un bon film policier. Si l’on nous privait d
30 1946, Lettres sur la bombe atomique. Point de vue d’un général
37 ise au point. Alors le soldat ne sera plus que le spectateur effrayé d’une guerre menée par des robots. D’autre part, la victoire
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
38 nzine industrielle. Mais quelle gravité parmi les spectateurs . Reliques ? Elles conservent du moins toute leur efficace. Voici le P
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
39 milieux dits littéraires l’étaient autant que les spectateurs d’un match sont sportifs. Seul, le petit bureau où Jean Paulhan dirig
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
40 manière la plus facile de jouer la comédie : sans spectateurs . Jouer la comédie devant des êtres réels est bien plus significatif.
41 e parle n’est pas un enquêteur, simple curieux ou spectateur . C’est bien plutôt un conseiller, un donneur d’aide morale et parfois
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
42 légués dans une opposition sans portée politique, spectateurs irrités de la vie américaine, disciples réticents de nos écoles d’Eur
35 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
43 légués dans une opposition sans portée politique, spectateurs irrités de la vie américaine, disciples réticents de nos écoles d’Eur
36 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
44 . Les critiques, les échos de presse, et même les spectateurs , sont unanimes : Hollywood est à court d’inventions. Hollywood achète
45 ement d’une suite de catastrophes qui laissent le spectateur soulagé et heureux, parce que son inconscient a pu se déchaîner devan
46 du Capitole, devant des centaines de milliers de spectateurs . Après une prière dite par le chapelain du Sénat, le président jura,
37 1952, Arts, articles (1952-1965). Appel à ceux qui osent être différents (22 mai 1952)
47 d’auditeurs de radio, de lecteurs de journaux, de spectateurs de films ou de télévision. Mais jamais son langage d’artiste ou de pe
38 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
48 ctions de la réalité et de réveiller la haine des spectateurs pour les forces de la réaction, mais dans le but de faire l’apologie
39 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
49 français ont provoqué un grand intérêt parmi les spectateurs soviétiques… Vous voyez que les premiers succès sont incontestables.
40 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
50 e. Et peut-être apparaîtront-ils au lecteur ou au spectateur , ou encore au jugement d’époques lointaines, très différents de ce qu
41 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
51 lairée par des phares de camions. Des milliers de spectateurs hurlent le verdict de mort devant une forêt de micros. Autour de la c
52 e Cuba ne sont en cause. Mais bien les auditeurs, spectateurs et lecteurs qui tolèrent qu’on les traite ainsi, qui paient pour ces
42 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
53 out spécialement par l’effet de la musique que le spectateur de la Tragédie est envahi de ce sûr pressentiment d’une joie suprême,
43 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
54 out spécialement par l’effet de la musique que le spectateur de la Tragédie est envahi de ce sûr pressentiment d’une joie suprême,
44 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
55 s la mesure où ses ouvrages : provoquent chez les spectateurs , lecteurs ou auditeurs une impression de libération, rendent une véri
56 ns physiques. Que se passe-t-il alors, du côté du spectateur , du lecteur, de l’auditeur ? Il se passe que l’expression peut voiler
45 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
57 de chevrier, un groupe de Suisses, et les 25 000 spectateurs en sortent à coup sûr bouleversés. On verra dans une dizaine d’années
58 rt inégalement légitimes. Inquiétude du nanti, «  spectateur de l’Histoire » ; est-ce que ça va durer, est-ce qu’on va nous laisse
59 400 ans, ne sont en réalité que les hôtes et les spectateurs de l’Histoire. Considérant les autres peuples, ils se réjouissent de
60 ans plus tôt, accusait ses compatriotes d’être «  spectateurs de l’Histoire » ! S’il s’avère au contraire que la neutralité peut se
46 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
61 ctions de la réalité et de réveiller la haine des spectateurs pour les forces de la réaction, mais dans le but de faire l’apologie
47 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Fécondité des études régionales
62 yen aux affaires publiques en tant qu’acteur, non spectateur , n’étant possible et praticable en général que dans le cadre communal
48 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
63 pour une élite de joueurs. Mais dans la masse des spectateurs passifs, la partisanerie cloisonne et appauvrit. Elle existe partout
49 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
64 Or « nous sommes en train de devenir une race de spectateurs et non plus d’hommes d’action », comme l’a fort bien dit A. Clarke. J
50 1972, Penser avec les mains (1972). Préface 1972
65 a affirmé qu’une pièce réussie serait celle où le spectateur , au lieu d’applaudir, se précipiterait dans la rue pour y faire sur-l
51 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
66 ation et de communion, l’homme des villes devient spectateur , non plus acteur de la vie publique, habitué du cirque (aujourd’hui d
52 1975, Articles divers (1974-1977). Notre complexe de culpabilité (1975)
67 ort inégalement légitimes. Inquiétude du nanti, «  spectateur de l’Histoire » ; est-ce que ça va durer, est-ce qu’on va nous laisse
68 ents ans, ne sont en réalité que les hôtes et les spectateurs de l’Histoire. Considérant les autres peuples, ils se réjouissent de
69 ans plus tôt, accusait ses compatriotes d’être «  spectateurs de l’Histoire » ! S’il s’avère au contraire que la neutralité peut se
53 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
70 n. Bientôt, ils ne sont plus acteurs mais simples spectateurs du jeu, partisans « passionnés de politique », peut-être — mais comme
54 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
71 ances de succès dans un jeu dont nous serions les spectateurs . En fait, nous jouons notre destin, et le seul joueur sûr de perdre,
55 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
72 , à vrai dire, la possibilité pour n’importe quel spectateur de prendre la parole et d’être vu partout. La technique va sans doute
56 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
73 de la chose. Sur la terre, nous ne sommes pas des spectateurs , nous sommes des acteurs. J’ai une vision, disons chrétienne de la vi
57 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
74 nçaise par exemple — où les acteurs se mêlent aux spectateurs debout dans une halle sans décors.) Le théâtre se confondait ici avec
75 a politique devient spectacle, le citoyen devient spectateur , donc passif, et le ministre seul acteur plutôt qu’actif. Quant à l’i
58 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
76 e la toute-puissance, demain. Dans la cohorte des spectateurs inconditionnels de l’informatisation totale du monde de demain. Je va
59 1988, Inédits (extraits de cours). Communautés, communes
77 s qu’il n’y prend sa part ; il est là vraiment en spectateur , pour marquer les points, pour applaudir ou siffler, pour jouer le rô
60 1988, Inédits (extraits de cours). Région
78 aux affaires publiques en tant que joueur, et non spectateur , n’étant possible et praticable en général que dans le cadre communal
61 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
79 ons humaines de la cité au lieu de n’être que les spectateurs passifs de débats entre politiciens — un peu comme on est sportif par