1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 e quoi se glorifient ses tenants, ils y voient la suprême liberté. Le désir se précisait en moi de commettre enfin l’acte vraim
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
2 urasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême , aussi, est douloureuse : le sacrifice. Sans doute, cette « absurdité
3 de l’anarchie, exempt de passion, divertissement suprême de l’incertitude… » aa. « André Malraux : La Tentation de l’Occiden
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
4 la tentation de créer des dilemmes irréductibles, suprême et inconsciente ruse d’un inquiet qui veut le rester ? Ces deux solut
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
5 ar les civilisations spiritualistes comme le bien suprême dont seuls quelques élus peuvent se rendre dignes (les brahmanes par
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
6 son amour. Mais elle ne peut survivre à cet acte suprême , à cette grâce. Aussi notre bonheur humain n’est-il en aucune mesure
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
7 e, mais non du bon côté ; l’âme, que tourmente un suprême besoin d’épanchement, s’est déversée, mais elle a mal choisi son conf
7 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
8 us grande crise imaginable, c’est l’arrêt absolu, suprême  : le Jugement dernier. Le sens de l’actuelle crise apparaît ainsi man
8 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
9 a tout ensemble le « bon goût », la mesure, et la suprême astuce. Toutefois, le danger d’un écart, par ailleurs confortable, en
9 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
10 ront, disent d’un sobre et méditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroïsme : « Et allons ! »
10 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
11 quelques écrivains vont faire appel aux principes suprêmes (c’est-à-dire fondamentaux) de l’éthique, devant huit officiers corre
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
12 oints d’application », écrit Nizan. Voilà bien la suprême « évasion » de nos intellectuels, même marxistes. Abdication de la pe
13 il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la perso
14 parle de la foi chrétienne où je veux être, de ce suprême « choix » qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me sa
12 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
15 ut ce qu’on ne pouvait dire, — qui était, dans un suprême délice de libération, une prière pour que l’amour soit bien-aimé… Oh 
13 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
16 est le lieu des correspondances, qui est le degré suprême de la signification. (L’état de l’âme et du corps où tout nous appara
17 tesses commence de se spiritualiser. À la vitesse suprême , elle s’évanouit en lumière. C’est ainsi que dans le monde spirituel,
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
18 ut ce qu’on ne pouvait dire, — qui était, dans un suprême délice de libération, une prière pour que l’amour soit bien-aimé… Oh 
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 est le lieu des correspondances, qui est le degré suprême de la signification. (L’état de l’âme et du corps où tout nous appara
20 itesses commence à se spiritualiser. À la vitesse suprême , elle s’évanouit en lumière. C’est ainsi que dans le monde spirituel,
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
21 té… Les Trois États de Neuchâtel sont le tribunal suprême du pays. Il est composé de douze Juges partagés en trois divisions… L
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
22 ose absurde et magnifique, entre haut mal et bien suprême , qu’on nomme si légèrement l’amour.
18 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
23 tichrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, dans toute politique
19 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
24  », et non plus de l’État ou de l’Argent, son but suprême . Si nous avons insisté sur la partie critique de cet ouvrage, c’est q
20 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
25 cun de courir son risque propre. Ainsi, la valeur suprême de la personne, c’est, à la limite, l’héroïsme. Nous savons bien que
21 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
26 des greniers. Jamais K… ne parvient à l’instance suprême  ; jamais personne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la fin du cauchemar
27 ous fassions, ce Juge impitoyable, cette instance suprême qu’on n’atteint jamais, ces avocats qui parlent comme des prêtres, et
22 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
28 ux racines des mythes modernes, dont l’expression suprême s’appelle l’État. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamai
23 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
29 par le droit divin de la Parole qui le distingue. Suprême humilité du solitaire ! Il ne saurait se comparer qu’à la vocation qu
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
30 e chrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, dans toute politique
25 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
31 oints d’application », écrit Nizan. Voilà bien la suprême « évasion » de nos intellectuels, même marxistes. Abdication de la pe
32 il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la perso
33 parle de la foi chrétienne où je veux être, de ce suprême « choix » qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me sa
26 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
34 cun de courir son risque propre. Ainsi, la valeur suprême de la personne, c’est, à la limite, l’héroïsme. Nous savons bien que
27 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
35 e chrétien.) Mais c’est aussi pourquoi il y a une suprême imposture dans tout programme prétendu chrétien, dans toute politique
28 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
36 oints d’application », écrit Nizan. Voilà bien la suprême « évasion » de nos intellectuels, même marxistes. Abdication de la pe
37 il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la perso
38 parle de la foi chrétienne où je veux être, de ce suprême « choix » qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me sa
29 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
39 cun de courir son risque propre. Ainsi, la valeur suprême de la personne, c’est, à la limite, l’héroïsme. Nous savons bien que
30 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
40 s rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se « distinguer » des contingences, ils étaient au moins pur
31 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
41 sé l’action proprement culturelle de ce « conseil suprême  » de la révolution : « La nouvelle éducation devra éviter que les hom
32 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
42 répondent : celui qui voit Dieu, meurt. Car à la suprême vision correspond la suprême transformation. Reste l’autre question,
43 ieu, meurt. Car à la suprême vision correspond la suprême transformation. Reste l’autre question, celle de l’origine de la visi
33 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
44 ierkegaard renvoient dans leur ensemble à l’unité suprême , celle de la foi. Elles appartiennent à sa vision du monde, elles en
34 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
45 de nous représenter un « Jésus-homme », un « ami suprême  », présent parmi nous, ramené à nos proportions idéalisées. Ce double
35 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
46 s, cet acte de présence au monde est l’achèvement suprême , et non l’humiliation du spirituel. y. « René Guisan : un clerc »,
36 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
47 reprise (et non pas de corporation !), de Conseil suprême enfin, et la distinction entre autorité et pouvoir. Nous voulions sim
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
48 on au télos de la société, c’est-à-dire à son but suprême . Encore faut-il savoir, me dira-t-on, si ce télos lui-même est vrai.
49 ple hébreu, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefois, non tant à cause de sa pauvreté même, qu’à ca
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
50 un sommet. À l’apogée du Moyen Âge, il signale le suprême degré de tension créatrice d’une culture dont l’équilibre est déjà vi
39 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
51 igura tout ensemble le bon goût, la mesure, et la suprême astuce. Toutefois le danger d’un écart, par ailleurs confortable, ent
40 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
52 on au télos de la société, c’est-à-dire à son but suprême . Encore faut-il savoir, me dira-t-on, si ce télos lui-même est vrai.
53 ple hébreu, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefois, non tant à cause de sa pauvreté même qu’à cau
41 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
54 un sommet. À l’apogée du Moyen Âge, il signale le suprême degré de tension créatrice d’une culture dont l’équilibre est déjà vi
42 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
55 igura tout ensemble le bon goût, la mesure, et la suprême astuce. Toutefois le danger d’un écart, par ailleurs confortable, ent
43 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
56 ilité, qu’il croit trouver et regagner la dignité suprême de l’homme sans Dieu. Être libre, c’est vouloir l’éternité de son des
44 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
57 tentai de le contraindre, quoi qu’il arrive, aux suprêmes aveux. Il y avait la psychanalyse. Mais avant d’en venir à cette extr
45 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
58 re les membres de ce que nous appelons le conseil suprême , ne seront pas les chefs de l’État. Et c’est là ce qui permettra au r
59 e, le fait qu’en régime Ordre nouveau, le Conseil suprême sera absolument distinct de l’État, lui permettra de jouer le rôle de
60 olitique de l’État. Tout au contraire, le Conseil suprême sera orienté vers la création du régime personnaliste. Il devra donc
61 . De ce point de vue, on peut dire que le Conseil suprême sera la raison de l’État, qui ne possède par lui-même qu’une « raison
62 institutions révolutionnaires. Comment le Conseil suprême sera-t-il en mesure de porter ces jugements globaux sur le fonctionne
63 ais de montrer que les moyens d’action du Conseil suprême doivent être aussi souples, aussi directs et aussi variés que possibl
64 n quasi automatique d’un dogme rigide. Le Conseil suprême n’aura pas seulement pour mission de veiller à ce que la liberté « en
65 de principe de réclamer l’intervention du Conseil suprême en toute circonstance où il estimera que tels ou tels agissements von
66 e qu’un citoyen américain peut demander à la Cour suprême des États-Unis de statuer sur la constitutionnalité d’une loi ou d’un
67 ité essentiellement dynamique que sera le Conseil suprême de la fédération ON. Elles suffisent aussi — l’expérience nous l’a so
68 t actuel des choses : 1. On nous dit : ce Conseil suprême , autorité purement spirituelle (au sens le plus actif du mot, d’aille
69 ous fait aussi une objection inverse : le Conseil suprême deviendrait la suprême tyrannie, celle qui contraint les esprits et n
70 ction inverse : le Conseil suprême deviendrait la suprême tyrannie, celle qui contraint les esprits et non plus seulement les c
71 ur raison d’être spirituelle. L’action du Conseil suprême ne sera pas unificatrice — et, en cela, elle se distingue absolument
72 titue pour nous l’autorité spirituelle du Conseil suprême . Toutes les constructions sociales « Ordre nouveau » reposent en fin
73 tralisés. Or, l’existence concomitante du Conseil suprême et de l’État est la manifestation la plus pure et la plus dynamique d
74 C’est dire que la conception générale du Conseil suprême , telle que nous l’avons décrite dans ses grandes lignes, est intimeme
46 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
75 le mensonge, la haine, l’oppression, l’hypocrisie suprême nommée « raison d’État », et jusqu’à la guerre s’il le faut, sont des
47 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
76 fin.) — Deux classes d’esprits : ceux dont le but suprême est d’« avoir la paix à tout prix » (rationalistes), et ceux qui pens
48 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
77 ple hébreu, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefois, non tant à cause de sa pauvreté même, qu’à ca
49 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
78 ilité, qu’il croit trouver et regagner la dignité suprême de l’homme sans Dieu. Être libre, c’est vouloir l’éternité de son des
50 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
79 s rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se « distinguer » des contingences, ils étaient au moins pur
51 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
80 n’admet point le mariage, car il n’a pas pour fin suprême la vie, mais bien la mort libératrice des liens terrestres : comme l’
81 tendu est à peu près que la passion est l’épreuve suprême , que tout homme doit un jour la connaître, et que la vie ne saurait ê
52 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
82 lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la suprême valeur du « stade esthétique » de la vie ; puis la surmonte en exalta
83 la vie ; puis la surmonte en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade éthique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis
84 ude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage, suprême obstacle du « stade religieux », puisqu’il nous lie au temps, précisé
85 uver et d’accéder à une vie supérieure, la « joie suprême  » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui consume
86 ait l’angoisse d’être deux ; et son aboutissement suprême , c’était la chute dans l’illimité, au sein de la Nuit où s’effacent l
53 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
87 tisme confédéral de Nicolas, qui incommodaient au suprême degré ces hommes d’État enrichis par les pensions et le service étran
54 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
88 s recours. Voilà pourquoi cette religion est, au suprême degré, intolérante, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y
55 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
89 luxe fou : pour fondre ce bijou de platine d’une suprême élégance, la plus discrète, il a fallu brûler le mobilier, les souven
56 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
90 ains poètes, beaucoup plus tard, ont osé cet aveu suprême . Mais la foule dit : ce sont des fous. Et la passion que le romancier
91 s, de nos souffrances. Il s’élance vers l’instant suprême où la totale jouissance est de sombrer. ⁂ Les mots du Jour ne peuvent
92 r possible, au sein de l’obstacle absolu et d’une suprême exaltation qui se détruit par son accomplissement. 12.Une vieille
93 ue d’un amour de l’obstacle en soi. Et l’obstacle suprême , c’est la mort, qui se révèle au terme de l’aventure comme la vraie f
57 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
94  : « délire divin », transport de l’âme, folie et suprême raison. Et l’amant est auprès de l’être aimé « comme dans le ciel »,
95 el, dans sa souffrante multiplicité. Ainsi l’élan suprême du désir aboutit à ce qui est non-désir. La dialectique d’Éros introd
96 a fin de la vie, c’est la mort. Éros, notre Désir suprême , n’exalte nos désirs que pour les sacrifier. L’accomplissement de l’A
97 n radicale de toute espèce de religion. Il est le suprême scandale, non seulement pour notre raison qui n’admet point cette imp
98 des corps, tandis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême , est l’élancement de l’âme vers l’union lumineuse, au-delà de tout am
99 . Wechssler s’est vu traiter de « doctrinaire » —  suprême injure — et plusieurs ont insinué que la qualité d’Allemand de ce pro
100 rtent pas un seul aveu concernant la minesola 45, suprême initiation des « purs ». La fréquence même de cette question débattue
101 zali et Sohrawardi d’Alep, troubadours de l’Amour suprême , chantres courtois de l’Idée voilée, objet aimé mais en même temps sy
58 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
102 plainte de l’âme sur « l’abandon divin, tourment suprême  ». Sur « ce vide profond… cruelle disette des trois sortes de biens q
103 vant d’un état de sentiment, mènerait à une union suprême , au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il un
104 d’amour. L’amour considéré comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal). Sur quoi le psychologue matérialiste (cel
105 nte poésie, ne cherchera plus dans la mort que la suprême sensation. Et de même, l’amour de la Dame, dès qu’il cessera d’être u
59 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
106 e suspecter un « calvinisme » qui parle de l’Être suprême et paraît ignorer le Christ…) Tout cela ne m’empêchera point de confe
107 sur la passion. Sans doute, la passion de l’amour suprême ne trouve jamais son accomplissement ici-bas ! Comprends bien mon sen
108 ccomplissement » possible d’une « passion d’amour suprême  » à laquelle se refusait son corps. Mais les poètes ne sont plus les
109 , la transgression rêvée de toutes limites, et le suprême désir qui nie le monde. Ainsi revivent de tous côtés et se rassemblen
110 nysiaque. Il en jaillit perpétuellement, au point suprême de son élévation, des fantaisies extravagantes. Il y a une gaieté rom
111 ède enfin, ô toi seule qui remplis toute mon âme, suprême volupté d’amour ! L’homme qui a écrit cela (dans Tristan et Isolde)
112 ccidentelle, privée de sens mystique. Or la Minne suprême inspire à Brangaene l’erreur qui doit sauver l’Amour. Au philtre de m
113 e par où la vie s’écoule, elle fait le gage de la suprême guérison, celle que chantera Isolde agonisante sur le cadavre de Tris
60 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
114 mour », telle est, selon J. Huizinga l’aspiration suprême de la société médiévale dans l’ordre éthique. « C’est une nécessité s
115 ganiser les corps ennemis. Parfois — c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’adversaire d’une manière vraime
116 n véritable héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mort, à Fontenoy. ⁂ Mais voici la totale « profan
61 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
117 tendu est à peu près que la passion est l’épreuve suprême , que tout homme doit un jour la connaître, et que la vie ne saurait ê
62 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
118 lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la suprême valeur du « stade esthétique » de la vie ; puis la surmonte en exalta
119 la vie ; puis la surmonte en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade éthique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis
120 ude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage, suprême obstacle du « stade religieux », puisqu’il nous lie au temps, précisé
121 uver et d’accéder à une vie supérieure, la « joie suprême  » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui consume
122 ait l’angoisse d’être deux ; et son aboutissement suprême , c’était la chute dans l’illimité, au sein de la Nuit où s’effacent l
63 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
123 les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! S
64 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
124 oncilier les deux partis. C’est aujourd’hui notre suprême chance. De ce débat — songez-y tous ! — sortiront la paix ou la guerr
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
125 ains poètes, beaucoup plus tard, ont osé cet aveu suprême . Mais la foule dit : ce sont des fous. Et la passion que le romancier
126 s, de nos souffrances. Il s’élance vers l’instant suprême où la totale jouissance est de sombrer. ⁂ Les mots du Jour ne peuvent
127 r possible, au sein de l’obstacle absolu et d’une suprême exaltation qui se détruit par son accomplissement. 12.Une vieille
128 ue d’un amour de l’obstacle en soi. Et l’obstacle suprême , c’est la mort, qui se révèle au terme de l’aventure comme la vraie f
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
129  : « délire divin », transport de l’âme, folie et suprême raison. Et l’amant est auprès de l’être aimé « comme dans le ciel »,
130 el, dans sa souffrante multiplicité. Ainsi l’élan suprême du désir aboutit à ce qui est non-désir. La dialectique d’Éros introd
131 e par la mutiplicité immédiate. Éros, notre Désir suprême , n’exalte nos désirs que pour les sacrifier. L’accomplissement de l’A
132 n radicale de toute espèce de religion. Il est le suprême scandale, non seulement pour notre raison qui n’admet point cette imp
133 des corps, tandis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême , est l’élancement de l’âme vers l’union lumineuse, au-delà de tout am
134 . Wechssler s’est vu traiter de « doctrinaire » —  suprême injure — et plusieurs ont insinué que la qualité d’Allemand de ce pro
135 rt par amour de Dieu, consommation du détachement suprême de toute loi matérielle.) Le Consolamentum était administré par les é
136 ant la minesola (ou malisola, ou encore manisola) suprême initiation des « purs ». La fréquence même de cette question débattue
137 zali et Sohrawardi d’Alep, troubadours de l’Amour suprême , chantres courtois de l’Idée voilée, objet aimé mais en même temps sy
138 ne allégorie ». De toute manière, le but est le «  suprême grand bonheur… la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette « béati
139 à la sensualité purement physique, voilà le péché suprême , originel, dans une vision cathare du monde. Aimer de passion pure, m
140 épée entre les corps et les séparations) voilà la suprême vertu, et la vraie voie divinisante. Entre ces deux extrêmes illustré
141 eux « moi » cessant de souffrir l’amour : la Joie suprême . Ce que Wagner a repris à Gottfried, c’est tout ce que les Bretons n’
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
142 plainte de l’âme sur « l’abandon divin, tourment suprême  ». Sur « ce vide profond… cruelle disette des trois sortes de biens q
143 vant d’un état de sentiment, mènerait à une union suprême , au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il un
144 d’amour. L’amour considéré comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal). Sur quoi le psychologue matérialiste (cel
145 nte poésie, ne cherchera plus dans la mort que la suprême sensation. Et de même, l’amour de la Dame, dès qu’il cessera d’être u
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
146 e suspecter un « calvinisme » qui parle de l’Être suprême et paraît ignorer le Christ.) Tout cela ne m’empêchera point de confe
147 sur la passion. Sans doute, la passion de l’amour suprême ne trouve jamais son accomplissement ici-bas ! Comprends bien mon sen
148 ccomplissement » possible d’une « passion d’amour suprême  » à laquelle se refusait son corps. Mais les poètes ne sont plus les
149 , la transgression rêvée de toutes limites, et le suprême désir qui nie le monde. Ainsi revivent de tous côtés et se rassemblen
150 nysiaque. Il en jaillit perpétuellement, au point suprême de son élévation, des fantaisies extravagantes. Il y a une gaieté rom
151 ède enfin, ô toi seule qui remplis toute mon âme, suprême volupté d’amour ! » L’homme qui a écrit cela (dans Tristan et Isold
152 ccidentelle, privée de sens mystique. Or la Minne suprême inspire à Brangaine l’erreur qui doit sauver l’Amour. Au philtre de m
153 e par où la vie s’écoule, elle fait le gage de la suprême guérison, celle que chantera Isolde agonisante sur le cadavre de Tris
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
154 our », telle est, selon J. Huizinga, l’aspiration suprême de la société médiévale dans l’ordre éthique. « C’est une nécessité s
155 ganiser les corps ennemis. Parfois — c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’adversaire d’une manière vraime
156 n véritable héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mort, à Fontenoy. ⁂ Mais voici la totale « profan
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
157 ndu est à peu près : que la passion est l’épreuve suprême , que tout homme doit un jour connaître, et que la vie ne saurait être
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
158 lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la suprême valeur du « stade esthétique » de la vie ; puis la surmonte en exalta
159 la vie ; puis la surmonte en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade éthique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis
160 ude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage, suprême obstacle du « stade religieux », puisqu’il nous lie au temps, précisé
161 uver et d’accéder à une vie supérieure, la « joie suprême  » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui consume
162 ait l’angoisse d’être deux ; et son aboutissement suprême , c’était la chute dans l’illimité, au sein de la Nuit où s’effacent l
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
163 ains poètes, beaucoup plus tard, ont osé cet aveu suprême . Mais la foule dit : ce sont des fous. Et la passion que le romancier
164 s, de nos souffrances. Il s’élance vers l’instant suprême où la totale jouissance est de sombrer. ⁂ Les mots du Jour ne peuvent
165 r possible, au sein de l’obstacle absolu et d’une suprême exaltation qui se détruit par son accomplissement. 12.Une vieille
166 ue d’un amour de l’obstacle en soi. Et l’obstacle suprême , c’est la mort, qui se révèle au terme de l’aventure comme la vraie f
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
167  : « délire divin », transport de l’âme, folie et suprême raison. Et l’amant est auprès de l’être aimé « comme dans le ciel »,
168 el, dans sa souffrante multiplicité. Ainsi l’élan suprême du désir aboutit à ce qui est non-désir. La dialectique d’Éros introd
169 par la multiplicité immédiate. Éros, notre Désir suprême , n’exalte nos désirs que pour les sacrifier. L’accomplissement de l’A
170 n radicale de toute espèce de religion. Il est le suprême scandale, non seulement pour notre raison qui n’admet point cette imp
171 des corps, tandis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême , est l’élancement de l’âme vers l’union lumineuse, au-delà de tout am
172 . Wechssler s’est vu traiter de « doctrinaire » —  suprême injure — et plusieurs ont insinué que la qualité d’Allemand de ce pro
173 rt par amour de Dieu, consommation du détachement suprême de toute loi matérielle.) Le consolamentum était administré par les é
174 nt la minesola (ou malisola, ou encore manisola), suprême initiation des « purs ». La fréquence même de cette question débattue
175 iraz et Sohrawardi d’Alep, troubadours de l’Amour suprême , chantres courtois de l’Idée voilée, objet aimé mais en même temps sy
176 ne allégorie ». De toute manière, le but est le «  suprême grand bonheur… la joie de l’anéantissement du moi ». Et cette « béati
177 à la sensualité purement physique, voilà le péché suprême , originel, dans une vision cathare du monde. Aimer de passion pure, m
178 pée entre les corps et les séparations), voilà la suprême vertu, et la vraie voie divinisante. Entre ces deux extrêmes illustré
179 eux « moi » cessant de souffrir l’amour : la Joie suprême . Ce que Wagner a repris à Gottfried, c’est tout ce que les Bretons n’
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
180 plainte de l’âme sur « l’abandon divin, tourment suprême  ». Sur « ce vide profond… cruelle disette des trois sortes de biens q
181 vant d’un état de sentiment, mènerait à une union suprême , au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il uni
182 d’amour. L’amour considéré comme « connaissance » suprême (canoscenza en provençal). Sur quoi le psychologue matérialiste (cel
183 nte poésie, ne cherchera plus dans la mort que la suprême sensation. Et de même, l’amour de la Dame, dès qu’il cessera d’être u
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
184 e suspecter un « calvinisme » qui parle de l’Être suprême et paraît ignorer le Christ…) Tout cela ne m’empêchera point de confe
185 sur la passion. Sans doute, la passion de l’amour suprême ne trouve jamais son accomplissement ici-bas ! Comprends bien mon sen
186 ccomplissement » possible d’une « passion d’amour suprême  » à laquelle se refusait son corps. Mais les poètes ne sont plus les
187 , la transgression rêvée de toutes limites, et le suprême désir qui nie le monde. Ainsi revivent de tous côtés et se rassemblen
188 nysiaque. Il en jaillit perpétuellement, au point suprême de son élévation, des fantaisies extravagantes. Il y a une gaieté rom
189 ède enfin, ô toi seule qui remplis toute mon âme, suprême volupté d’amour ! » L’homme qui a écrit cela (dans Tristan et Isold
190 ccidentelle, privée de sens mystique. Or la Minne suprême inspire à Brangaine l’erreur qui doit sauver l’Amour. Au philtre de m
191 e par où la vie s’écoule, elle fait le gage de la suprême guérison, celle que chantera Isolde agonisante sur le cadavre de Tris
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
192 our », telle est, selon J. Huizinga, l’aspiration suprême de la société médiévale dans l’ordre éthique. « C’est une nécessité s
193 ganiser les corps ennemis. Parfois — c’était leur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’adversaire d’une manière vraime
194 n véritable héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mort, à Fontenoy. ⁂ Mais voici la totale « profan
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
195 ndu est à peu près : que la passion est l’épreuve suprême , que tout homme doit un jour la connaître, et que la vie ne saurait ê
78 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
196 lui qui d’abord exalte la passion, comme étant la suprême valeur du « stade esthétique » de la vie ; puis la surmonte en exalta
197 la vie ; puis la surmonte en exaltant le mariage, suprême valeur du « stade éthique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis
198 ude du temps ») ; puis condamne enfin ce mariage, suprême obstacle du « stade religieux », puisqu’il nous lie au temps, précisé
199 uver et d’accéder à une vie supérieure, la « joie suprême  » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui consume
200 tait l’angoisse d’être deux\ et son aboutissement suprême , c’était la chute dans l’illimité, au sein de la Nuit où s’effacent l
79 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
201 suisse respectueux des décisions de nos autorités suprêmes , j’ai donc le droit de condamner ouvertement des régimes étrangers qu
80 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
202 les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! S
81 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
203 suisse respectueux des décisions de nos autorités suprêmes , j’ai donc le droit de condamner ouvertement des régimes étrangers qu
82 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
204 les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! S
83 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
205 le mal se trouve la volupté… La volupté unique et suprême gît dans la certitude de faire le mal. Mais ici se sont déclenchés l
206 et la logique de Judas, la dernière tentation, la suprême utopie. 6. L’Accusateur Il n’est peut-être au monde qu’une seul
84 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
207 les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! S
85 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
208 C’est pourquoi l’aide de l’archange Michel, chef suprême des milices célestes, est la plus grande qui nous fut donnée dans le
86 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
209 le mal se trouve la volupté… La volupté unique et suprême gît dans la certitude de faire le mal. » Je crois plutôt, comme le di
210 et la logique de Judas, la dernière tentation, la suprême utopie. 9. Le Menteur Examinons maintenant d’un peu plus près,
87 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
211 les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! S
88 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
212 ent être définis en vérité que par rapport au but suprême d’une existence, en termes d’attitudes intérieures. La seconde chanc
89 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
213 C’est pourquoi l’aide de l’archange Michel, chef suprême des milices célestes, est la plus grande qui nous fut donnée dans le
90 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
214 le mal se trouve la volupté… La volupté unique et suprême gît dans la certitude de faire le mal. » Je crois plutôt, comme le di
215 et la logique de Judas, la dernière tentation, la suprême utopie. 9. Le menteur Examinons maintenant d’un peu plus près p
91 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
216 les morts. Voilà pourquoi elle est intolérante au suprême degré, et plus qu’intolérante : on ne peut même pas s’y convertir ! S
92 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
217 ent être définis en vérité que par rapport au but suprême d’une existence, en termes d’attitudes intérieures. La seconde chance
93 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
218 C’est pourquoi l’aide de l’archange Michel, chef suprême des milices célestes, est la plus grande qui nous fut donnée dans le
94 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
219 le mal se trouve la volupté… La volupté unique et suprême gît dans la certitude de faire le mal. » Mais ici se sont déclenchés
220 le mystère du suicide et la logique de Judas, la suprême utopie. k. « Les tours du diable V : Le tentateur », La Vie protest
95 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
221 ont, disent d’un sombre et méditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroïsme : « Et allons ! »
96 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
222 commensurable de l’acte. Ou encore, parce qu’à ce suprême degré d’accord avec soi-même, auquel nous porte notre vocation, corre
223 , auquel nous porte notre vocation, correspond le suprême désaccord avec notre vie dans le monde. Qu’est-ce alors que la foi ?
224 par le droit divin de la Parole qui le distingue. Suprême humilité du solitaire ! Il ne saurait se comparer qu’à la vocation qu
97 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
225 u des galetas. Jamais K. ne parvient à l’instance suprême  ; jamais personne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la dernière page, o
226 au ciel, et nous sommes sur la terre : l’instance suprême existe et délibère au-delà de toutes nos imaginations. Comment pourri
227 par un art où tout signifie que la signification suprême reste une énigme ! L’espèce de fureur méthodique et infiniment ralent
98 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
228 otale, qu’il croit trouver et regagner la dignité suprême de l’homme sans Dieu. La similitude étonnante du paradoxe luthérien e
99 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
229 les soutiennent. Voici d’abord l’opinion du chef suprême des forces américaines, le général Marshall. La bombe atomique, décla
100 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
230 qu’un fol errant. Comment a-t-il atteint le stade suprême , bien au-dessus des rois, des reines, des as, des chevaliers et des v
231 Car il est la coincidentia oppositorum. La forme suprême de cette union est Dieu, déployant constamment son essence dans les a