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s soleils et aussi les grimaces de douleur de ses
tableaux
. Il faut louer Paul Colin de n’avoir rien caché des médiocrités de ce
2
ête des Cahiers du Mois donne un fort intéressant
tableau
des multiples réactions de l’Europe placée devant le dilemme Orient-O
3
, Tolstoï, Hauptmann et Maeterlinck. On trouve au
tableau
des auteurs édités depuis lors les grands noms de la littérature euro
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t son sang-froid. Et si l’on a pu reprocher à ses
tableaux
de l’Europe qu’il vient de parcourir quelque superficialité, du moins
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ssus de la mer », il y a toujours dans un coin du
tableau
des ruades, des chevaux qui partent tout droit, la tête dressée, des
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ases, ce qui s’élève en fin de compte de tous ces
tableaux
de violence et de passion, c’est la présence d’un tempérament. À l’in
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sacrilège, comme une barre droite au travers d’un
tableau
. Nos yeux ont regardé longtemps — où va l’âme durant ces minutes ? —
8
sé des plus voluptueuses intelligences — tous les
tableaux
dans le noir des musées ! — et si tu veux soudain le son grave de l’i
9
rien comprendre. ⁂ Qu’on imagine un personnage de
tableau
se mettre à décrire ce qu’il voit autour de lui — et l’étonnement ind
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e l’histoire ait enregistrés. Après avoir fait un
tableau
de la France de l’édit, victorieuse dans la guerre de Trente Ans, l’o
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dragonnades. M. Esmonin s’abstient d’en faire un
tableau
qu’il suppose présent à l’esprit de ses auditeurs. Il termine en cita
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mateurs de découvertes, de snobs, de marchands de
tableaux
, de critiques d’avant-garde, ce monde où tous les extrémismes sont pr
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étrangère. Un jour en effet l’on apprend que tel
tableau
de jeune est « coté » chez un gros marchand. Aussitôt, les feuilles l
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Ce qui d’abord vous prend et vous retient dans un
tableau
de Bouvier, c’est toujours une sorte de dissonance, un défaut par où
15
re une feuille religieuse. Il déniche à Paris des
tableaux
mystérieux qu’il relègue dans son atelier, pêle-mêle avec les siens.
16
ntaisie ; et qu’Alice Perrenoud combine de petits
tableaux
en papiers découpés, avec une ingéniosité délicieusement féminine, un
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corrompu et infect et adonné à mal » (Calvin). Le
tableau
n’est pas beau, mais on y sent une « patte » qui révèle encore dans l
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. Et dans mon ivresse, ses paroles peignaient des
tableaux
mouvants où je me voyais figurer comme une sorte de « personnage aux
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qu’elle n’est pas utile, elle est nuisible ». « …
Tableaux
, symphonies, ou autres œuvres destinées à charmer les loisirs de pers
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grande échelle. M. de Pourtalès a su rehausser le
tableau
avec beaucoup d’adresse et de charme : Wagner et Nietzsche lui fourni
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débaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15
tableaux
, un prologue et une conclusion. Le carton des armures sonne sourdemen
22
à faire ». D’ailleurs, il ne veut pas poétiser le
tableau
, car, pour lui, « être poétique, c’est avoir besoin d’illusions ». Je
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zsche et les hauteurs 23, et qui, posé en face du
tableau
franco-anglais, fournit un contraste de haut goût. Là, les montagnes
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dre intéressant à lui-même en poussant au noir le
tableau
, ou au contraire en s’excitant sur ses belles actions. Il les note, s
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nt fragmentaires, ils se composent d’une série de
tableaux
parallèles. Les parties n’en sont plus dérivées les unes des autres,
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ivants. Saint-Saturnin enfin, vaste et pathétique
tableau
d’un domaine et d’une famille dont la mystique se révèle au cours d’u
27
e, tout y tient ensemble fortement, comme dans le
tableau
d’un grand peintre ». Ah ! la grandeur de ce peuple ramuzien, qui se
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débaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15
tableaux
, un prologue et une conclusion. Le carton des armures sonne sourdemen
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débaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15
tableaux
, un prologue et une conclusion. Le carton des armures sonne sourdemen
30
’horizon des collines, sont le cadre qui donne au
tableau
sa signification privilégiée. Ici le cœur et l’âme ont leur théâtre p
31
s’était fixé, le voici devant son seigneur. « Ton
tableau
? » — « Qu’on m’apporte un rouleau, des pinceaux ». On fait cela, on
32
u’il nous importe de savoir. Si j’ai simplifié le
tableau
, c’est que je veux maintenant dégager le choix, la décision que chacu
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u’il nous importe de savoir. Si j’ai simplifié le
tableau
, c’est que je veux maintenant dégager le choix, la décision que chacu
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s’était fixé, le voici devant son seigneur. « Ton
tableau
? » — « Qu’on m’apporte un rouleau, des pinceaux. » On fait cela, on
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u’il nous importe de savoir. Si j’ai simplifié le
tableau
, c’est que je veux maintenant dégager le choix, la décision que chacu
36
s’était fixé, le voici devant son seigneur. « Ton
tableau
? » — « Qu’on m’apporte un rouleau, des pinceaux. » On fait cela, on
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embrassées d’un seul regard. Les formes naissent,
tableaux
, poèmes, symphonies, danses, jardins, temples, statues, — visages ! D
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roisse et que je diminue. » Voilà le vrai sens du
tableau
, et peu importe que les personnages soient vêtus comme jamais aucun j
39
s moyenâgeux circulant dans les perspectives d’un
tableau
de maître italien. La somme de saint Thomas sous le bras, mon chrétie
40
nt de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un
tableau
. Il ne s’agit pas de mélanger toutes les couleurs pour aboutir à l’ha
41
ulle autre chose ; tous les mots qu’on écrit, les
tableaux
qu’on peint, les statues qu’on taille dans la pierre ou qu’on coule e
42
n’est parfaite, aucun livre n’est parfait, aucun
tableau
n’est parfait ; et tout travail d’abord est dur, tout travail diffici
43
l’a fort bien montré M. André Siegfried dans son
Tableau
des partis en France. 54. Qui pourra nous expliquer en quoi la « nat
44
’élite bourgeoise avancée qui se complaît dans le
tableau
d’une décadence dont elle vit encore, adressons ce rappel élémentaire
45
ad aeternum à rester des questions insolubles. Le
tableau
resterait incomplet si je ne mentionnais l’extraordinaire susceptibil
46
’élite bourgeoise avancée qui se complaît dans le
tableau
d’une décadence dont elle vit encore, adressons ce rappel élémentaire
47
ad aeternum à rester des questions insolubles. Le
tableau
resterait incomplet si je ne mentionnais l’extraordinaire susceptibil
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ymbolique. L’on est censé conclure de ce brillant
tableau
des vices de l’aristocratie européenne qu’une telle classe est la vra
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laisser charmer — ceci pour moi lecteur — par le
tableau
de sa déchéance. aa. « Robert Briffaut, Europe, trad. de l’anglais
50
quatre mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le
tableau
noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyants, presque tou
51
t difficile, M. Denis de Rougemont sait tracer un
tableau
très vivant et très nuancé de la province française, ainsi qu’en témo
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quatre mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le
tableau
noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyants, presque tou
53
ion. Et l’on n’a pas voulu donner de ce régime un
tableau
objectif et complet ; mais voici quelques prises sur sa vie quotidien
54
nt de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un
tableau
. Il ne s’agit pas de mélanger toutes les couleurs pour aboutir à l’ha
55
Ceci me rappelle le mot de Vernet, à propos d’un
tableau
qu’il vendait assez cher : « Il m’a demandé une heure de travail, et
56
assion exaltée. Le principe d’explication de ce
tableau
est assez simple. Le platonisme, au temps de Platon et durant les siè
57
assion exaltée. Le principe d’explication de ce
tableau
est assez simple. Le platonisme, au temps de Platon et durant les siè
58
Ceci me rappelle le mot de Vernet, à propos d’un
tableau
qu’il vendait assez cher : « Il m’a demandé une heure de travail, et
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contrastes, et je n’ai pas toujours su nuancer le
tableau
. Un chapitre ajouté au livre VI, et d’innombrables corrections de dét
60
ssion exaltée. Le principe d’explication de ce
tableau
est assez simple. Le platonisme, au temps de Platon et durant les siè
61
téressant d’étudier analytiquement la genèse d’un
tableau
de ce genre. Du point de vue critique, cependant, on pourrait toujour
62
signifie et qui ajoute un trait remarquable à mon
tableau
du xiie siècle, dans la mesure où cela « n’explique » rien, mais man
63
te de l’écriture, et toutes ces aquarelles et ces
tableaux
de genre où s’amuse et s’attarde la maîtrise, on peut prévoir que la
64
ler sa guirlande à mes images, comme la devise du
tableau
, tandis que je songe à la vie de Nicolas Manuel Deutsch. C’est un aut
65
n’a jamais rien perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces
tableaux
, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect d
66
nait à son monogramme, enguirlandé au coin de ses
tableaux
; ce sera l’arme réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libert
67
miser des médiocrités décolorées. L’harmonie d’un
tableau
naît de l’opposition des tons : c’est une harmonie fédérale. 16. Ra
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te de l’écriture, et toutes ces aquarelles et ces
tableaux
de genre où s’amuse et s’attarde la maîtrise, on peut prévoir que la
69
e, tout y tient ensemble fortement, comme dans le
tableau
d’un grand peintre. » Il a fallu beaucoup de temps pour que Ramuz con
70
ulle autre chose ; tous les mots qu’on écrit, les
tableaux
qu’on peint, les statues qu’on taille dans la pierre ou qu’on coule e
71
n’est parfaite, aucun livre n’est parfait, aucun
tableau
n’est parfait ; et tout travail d’abord est dur, tout travail diffici
72
nts aussi divers que les lois de composition d’un
tableau
, et sa limitation par le cadre ; les lois de l’harmonie et du contrep
73
de rideau ; l’ouverture d’un opéra ; le cadre du
tableau
, etc. Des procédés identiques annoncent la terminaison du jeu, la ren
74
fini, ainsi qu’on en pourra juger par l’examen du
tableau
suivant. En effet, chacune des lames du tarot (arcanes majeurs) s’ide
75
chefs. Quant aux trois autres libertés, voici le
tableau
: la liberté de parole se voit partout mise en échec par des censures
76
’y retrouver : à peine y serait-il parvenu que le
tableau
changerait en quelques jours. D’où la gabegie littéralement indescrip
77
nfin nous ne devons pas hésiter à compléter notre
tableau
en indiquant au moins ceci : que le fédéralisme implique dans l’ordre
78
espoir mais avec une pathétique sincérité.) ⁂ Le
tableau
que nous venons d’esquisser est ambitieux. Il veut l’être, parce qu’i
79
péché par stylisation. Ajouter des nuances à mon
tableau
n’arrangerait pas grand-chose à cet égard. Ce qui échappe par définit
81
me nom, dans le nord de l’État de New York. c. «
Tableaux
américains », La Revue de Paris, Paris, n° 12, décembre 1946, p. 51-6
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ler sa guirlande à mes images, comme la devise du
tableau
, tandis que je songe à la vie de Nicolas Manuel Deutsch. C’est un aut
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n’a jamais rien perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces
tableaux
, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect d
84
nait à son monogramme, enguirlandé au coin de ses
tableaux
; ce sera l’arme réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libert
85
eux et doté au départ de toute leur collection de
tableaux
, puis remis à l’État en 1940, mais ils en gardent la charge partielle
86
savait, ou même à l’encontre parfois, mais si le
tableau
se compliquait alors, ce n’était qu’aux dépens de sa signification. N
87
times.) Et si l’on me dit que ce journal offre un
tableau
fragmentaire et brisé, souvent contradictoire dans le détail, je répo
88
chefs. Quant aux trois autres libertés, voici le
tableau
: la liberté de parole se voit partout mise en échec par des censures
89
chefs. Quant aux trois autres libertés, voici le
tableau
: la liberté de parole se voit partout mise en échec par des censures
90
ui en fournit le sujet, l’échange s’atteste en un
tableau
où l’on peut voir soit l’affrontement équilibré d’une action et d’une
91
débaran. On joue Rose de Tannenbourg, drame en 15
tableaux
, un prologue et une conclusion. Le carton des armures sonne sourdemen
92
éiade de petits foyers se met à scintiller sur le
tableau
de bord d’une génération qui démarre. En juin 1932, je publie dans la
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quatre mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le
tableau
noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyants, presque tou
94
ion. Et l’on n’a pas voulu donner de ce régime un
tableau
objectif et complet ; mais voici quelques prises sur sa vie quotidien
95
nt de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un
tableau
. Il ne s’agit pas de mélanger toutes les couleurs pour aboutir à l’ha
96
ler sa guirlande à mes images, comme la devise du
tableau
, tandis que je songe à la vie de Nicolas Manuel Deutsch. C’est un aut
97
n’a jamais rien perçu. ⁂ Mais je m’attarde à ces
tableaux
, et Manuel n’est pas un « artiste » au sens moderne et bien suspect d
98
nait à son monogramme, enguirlandé au coin de ses
tableaux
; arme réelle du guerrier suisse, signe des vieilles libertés ; et ma
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eux et doté au départ de toute leur collection de
tableaux
, puis remis à l’État en 1940, mais ils en gardent la charge partielle
100
savait, ou même à l’encontre parfois, mais si le
tableau
se compliquait alors, ce n’était qu’aux dépens de sa signification. N
101
’ai eu trente-trois idées, j’ai fait trente-trois
tableaux
. Je ne veux pas me copier, comme tous les autres. Vous comprenez, êtr
102
ême chose ? Pas du tout, ils ne font même pas des
tableaux
, ils font des chèques. Il se lève, va chercher quelque chose dans la
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rangés dans la boîte-en-valise : reproduction de
tableaux
, verres, ready-mades, croquis et idées qui composent l’œuvre complète
104
, avez-vous jamais essayé de regarder ainsi votre
tableau
? — Moi ? Non. Pourquoi ? Je suis l’auteur. Pour en revenir à l’infra
105
times.) Et si l’on me dit que ce journal offre un
tableau
fragmentaire et brisé, souvent contradictoire dans le détail, je répo
106
ent en parlant de leur couple comme s’il était un
tableau
. Le peintre. Bien ! Dois-je en déduire qu’il existe une morale du ca
107
son esthétique et son existence. Elle est dans le
tableau
, elle ne peut en sortir, elle ne peut pas se déplier de ce riche accr
108
r risque. Vous existez dans votre rapport avec le
tableau
que vous faites. C’est là votre morale de peintre, et c’est aussi le
109
dirai plus. L’amateur d’art, en présence de votre
tableau
, bien loin de le juger selon quelque canon, doit commencer par découv
110
ts singuliers qui manifestent la loi intime de ce
tableau
. Il doit commencer, dis-je, par se soumettre à l’existence propre du
111
dis-je, par se soumettre à l’existence propre du
tableau
, afin de la laisser agir en lui, qui est la laisser entrer avec lui-m
112
vient en vertu d’une réalité qui n’est ni dans le
tableau
ni dans mon œil, ni même précisément dans leur rencontre. Je dirai «
113
l1. Je ne prétends donc pas un instant peindre un
tableau
complet de l’Amérique. La table des matières non traitées dans le vol
114
’y retrouver : à peine y serait-il parvenu que le
tableau
changerait en quelques jours. D’où la gabegie littéralement indescrip
115
péché par stylisation. Ajouter des nuances à mon
tableau
n’arrangerait pas grand-chose à cet égard. Ce qui échappe par définit
116
u moins brève échéance. À grands traits, voici le
tableau
: Nous avons aujourd’hui une Europe divisée et cloisonnée dans l’anar
117
’horizon des collines, sont le cadre qui donne au
tableau
sa signification privilégiée. Ici le cœur et l’âme ont leur théâtre p
118
Il faudrait se garder tout d’abord de composer un
tableau
cohérent. Ménager à chaque pas la liberté du choix, c’est-à-dire prév
119
’horizon des collines, sont le cadre qui donne au
tableau
sa signification privilégiée. Ici le cœur et l’âme ont leur théâtre p
120
es yeux de cet abîme d’angoisse, et calculons. Le
tableau
change en un clin d’œil. À l’ouest du rideau de fer, nous sommes 300
121
uvé ses plus hautes expressions que dans quelques
tableaux
classiques ou paysages impressionnistes, dans quelques brefs poèmes,
122
ourant, à jeter parfois un regard distrait sur un
tableau
quand on passe à la salle à manger ou à se consacrer à d’autres activ
123
p. 56-69. Introduit par la note suivante : « Ces
tableaux
de l’Inde que Denis de Rougemont rapporte d’un récent voyage forment
124
nt sentimentale ou illusoire. Consultons alors le
tableau
des niveaux de vie matérielle établi par les Nations unies. Nous y li
125
1. Quant à l’avenir, il serait représenté par les
tableaux
de genre militaire du réalisme socialiste, qui ne se distinguent de l
126
Europe, dont l’essentiel est dans les âmes. » Ses
tableaux
de l’Allemagne, dès 1923, dessinent en creux ce qui sera le lit de l’
127
és, je veux dire aux larges subventions. Voici le
tableau
: La Communauté européenne de défense n’est pas ratifiée. La Communau
128
angues d’Europe, du roman (dérivé de Tristan), du
tableau
de chevalet ou de l’opéra, du concerto, de la symphonie ou de la faça
129
son discours introductif, qui nous a présenté le
tableau
cohérent de mesures institutionnelles capables d’assurer la renaissan
130
her les socialistes des bourgeois. On le voit, le
tableau
des partis en Suisse ne présente rien de très typique, rien qui ne se
131
l’histoire de la liberté humaine. Et certes, le
tableau
que nous venons d’esquisser des institutions et coutumes politiques d
132
ne tenterons pas, dans ce chapitre, de donner un
tableau
complet de l’économie suisse, ni d’analyser ses problèmes actuels : c
133
rapidement, comme le montre un coup d’œil sur le
tableau
suivant : Sur 1000 francs de revenu national Employés et sala
134
son discours introductif, qui nous a présenté le
tableau
cohérent des mesures institutionnelles capables d’assurer la renaissa
135
nes. Le Centre en tant que tel ne produit donc ni
tableaux
, ni poèmes, ni statues, ni théories scientifiques, ni doctrines philo