1 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
1 le chrétien existe en tant que le péché crée une tension entre lui et Dieu. Mais le péché ne devient réalité que pour le conve
2 relle : s’il ne retrouve pas de loi interne et de tension par le péché, il n’est plus qu’un être sans destinée, un « indiscret 
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
3 t rien de plus que leur propre rationalisme, sans tension ni grandeur : ils ne savent pas voir dans la sagesse faustienne qu’el
4 ccidental, dès qu’il atteint les régions de haute tension où la seule « orientation » qu’il adopte suffit à déterminer une suit
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 itesse préparerait l’ère des Illuminés… L’extrême tension de l’esprit peut aboutir à des matérialisations, cependant que l’extr
6 r à des matérialisations, cependant que l’extrême tension de la matière explose en subtilité. Double mouvement dont l’axe se no
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 itesse préparerait l’ère des Illuminés… L’extrême tension de l’esprit peut aboutir à des matérialisations, cependant que l’extr
8 r à des matérialisations, cependant que l’extrême tension de la matière explose en subtilité. Double mouvement dont l’axe se no
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
9 ntrastée de charme et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman victorien. Faut-il pense
6 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
10 hement qu’elle résulte, d’une déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « tem
7 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
11 hements qu’elle opère ? Ne jaillit-elle pas de la tension des contradictoires qu’elle saisit en une seule image, indiquant par
8 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
12 ne vue sobre et courageuse et cherche en elles la tension , le ressort nécessaires à l’acte créateur. Loin de tenter leur réduct
13 dialectique à deux termes simultanés, et dont la tension n’est pas orientée vers quelque troisième terme dans lequel elle s’an
9 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
14 e violence se dresse. Il lui reste à augmenter sa tension essentielle — et c’est cela la vraie période de transition —, jusqu’a
10 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
15 urités morales. (Ce n’est qu’à certains degrés de tension que la réalité de nos réalités quotidiennes peut être démasquée, épro
11 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
16 s reproduisent à tous les degrés le conflit et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dan
12 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
17 anent, donc un risque permanent, c’est-à-dire une tension permanente, qui mesure la valeur même de l’homme. Tension, risque, ch
18 permanente, qui mesure la valeur même de l’homme. Tension , risque, choix, acte, tels sont les éléments de toute liberté réelle
19 voulons, c’est rétablir sur le plan politique la tension nécessaire et créatrice entre la petite patrie décentralisatrice d’un
20 pouvoir politique. Ainsi se trouve sauvegardée la tension nécessaire, et assuré, en fonction cette fois d’une mesure humaine, l
21 s reproduisent à tous les degrés le conflit et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institutions sont : — dan
13 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
22 mais incertain de ses limites agrandies. Perte de tension , en chaque point du cercle. Il faudra bien la compenser par une rigid
14 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
23 dégradants pour l’une et l’autre partie, mais des tensions normales. Nous avons expliqué déjà, dans d’autres travaux, et nous y
24 omment nous entendons sauvegarder et orienter ces tensions créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension
25 sur le plan économique et sur le plan politique. ( Tension organique entre la corporation et le syndicat d’une part, le centre d
26 le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune et la région d’une part, et la fédération
27 tion de la personne est liée à l’apparition d’une tension . Car d’une part elle est déterminée par les conditions données, d’aut
28 e les rendre créatrices. Le type même d’une telle tension est celle qui s’établit entre deux hommes qui se rencontrent pour exé
15 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
29 force était réelle, et peu démonstrative. Car la tension d’un esprit créateur n’est pas, comme il arrive chez les inadaptés, u
30 ’est pas, comme il arrive chez les inadaptés, une tension entre l’individu et le milieu qui lui résiste. Elle est à l’intérieur
31 mpréhension résignée, mais dans un acte. C’est la tension qui s’institue entre la finesse, la pénétration de l’esprit d’une par
32 ularité, la raison d’être d’un homme, sinon cette tension qu’il incarne et qui est aussi le ressort de sa puissance d’imaginati
33 entre sa face et son profil, je veux dire par la tension que son visage rendait visible, ou mieux, imposait à la vue, comme l’
16 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
34 s de vide entre moi et le monde, non, rien que la tension d’un corps à corps amoureux ou meurtrier. Je n’existe que par cette t
35 amoureux ou meurtrier. Je n’existe que par cette tension . Elle est ma seule différence et je n’échappe point au règne naturel.
17 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
36 tional ». Il faudrait un régime qui sauvegarde la tension nécessaire et féconde entre la patrie et la nation. La révolution néc
18 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
37 lité où la personne retrouve l’un des pôles de sa tension . Peut-être est-il plus difficile d’être équitable envers le spiritual
19 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
38 ’une et l’autre partie, mais d’assurer le jeu des tensions normales. Le groupe de L’Ordre nouveau a exposé dans un ensemble de
39 comment il entendait sauvegarder et orienter ces tensions créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension
40 sur le plan économique et sur le plan politique. ( Tension organique entre la corporation ou le syndicat d’une part, le centre d
41 le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’une part, et la fédération
42 tion de la personne est liée à l’apparition d’une tension . Car d’une part elle est déterminée par les conditions données, d’aut
43 e les rendre créatrices. Le type même d’une telle tension est celle qui s’établit entre deux hommes qui se rencontrent pour exé
20 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
44 hement qu’elle résulte, d’une déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « tem
21 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
45 ’une et l’autre partie, mais d’assurer le jeu des tensions normales. Le groupe de L’Ordre nouveau a exposé dans un ensemble de
46 comment il entendait sauvegarder et orienter ces tensions créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension
47 sur le plan économique et sur le plan politique. ( Tension organique entre la corporation ou le syndicat d’une part, le centre d
48 le centre directeur du service civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’une part, et la fédération
49 tion de la personne est liée à l’apparition d’une tension . Car, d’une part, elle est déterminée par les conditions données, d’a
50 e les rendre créatrices. Le type même d’une telle tension est celle qui s’établit entre deux hommes qui se rencontrent pour exé
22 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
51 hement qu’elle résulte, d’une déficience de cette tension créatrice qui seule définit un « temps plein ». En sorte que le « tem
23 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
52 émanations, les représentations extérieures de la tension personnelle de chaque homme, de chaque membre d’une communauté. Toute
53 ’elle se manifeste comme telle, crée aussitôt une tension . D’une part, elle organise ses appuis matériels, d’autre part, elle s
24 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
54 alon fixe. C’est un principe dynamique, c’est une tension permanente et féconde. Nous voyons aussitôt que la « mesure » du mond
55 s charges, la mesure meurt, se mécanise, et toute tension disparaît. Il faut que la révolte des esclaves vienne recréer une ten
56 ut que la révolte des esclaves vienne recréer une tension par en bas22. La mesure d’une société personnaliste est au contraire
57 ous les hommes seraient devenus des personnes, la tension , loin de disparaître, atteindrait au contraire son maximum créateur.
25 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
58 détend les ressorts de l’imprévisible événement — tensions instituées entre des motifs tout contraires, dont la coïncidence défi
59 traires, dont la coïncidence définit la personne. Tensions qui d’autre part, bâtissent et soutiennent l’édifice du visage de l’h
60 action, en tant que mouvement, évènement, risque, tension . Un tel drame se passe fort bien d’appréciations sentimentales. Il es
26 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
61 ismes, on les empêche de mûrir et d’aboutir à une tension équilibrée et créatrice — comme ce fut le cas en Angleterre, en Allem
62 eût pu permettre l’établissement normal de cette tension , sans détriment, bien au contraire, pour la vie politique et économiq
27 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
63 nnent à sa vision du monde, elles en expriment la tension créatrice, — toute création naissant d’une tension établie par quelqu
64 ension créatrice, — toute création naissant d’une tension établie par quelque unité dominante entre la conception de l’unité d’
28 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
65 a jamais eu d’unité harmonieuse : il est toujours tension entre deux pôles, qui d’ailleurs se déplacent sans cesse et parfois a
66 angent de nom. On est tenté de résumer toutes ces tensions en une seule et unique opposition : mysticisme et action créatrice. C
29 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
67 t mutuellement par leur opposition, et créent des tensions fécondes. La civilisation et la culture naissent et vivent de tension
68 civilisation et la culture naissent et vivent de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit pas de mélan
30 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
69 qu’on les sépare et qu’on cesse de les mettre en tension . Il n’est d’action créatrice que soumise à la loi d’une pensée rigour
31 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
70 homme est dans son acte. Tout acte est Passage et tension , — passage de la mort à la vie, tension entre ce qui résiste et ce qu
71 assage et tension, — passage de la mort à la vie, tension entre ce qui résiste et ce qui crée, victoire de la Parole sur la cha
72 héroïque. Dans cette chair qui doit vieillir, la tension de la mort et de la vie a mis des marques victorieuses. Qu’est-ce que
32 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
73 s malentendus, l’on jugera mieux de la qualité de tension et de décision spirituelle que supposait un tel ouvrage. M. Thibaudet
74 e les poser sous la forme concrète d’une série de tensions qu’il s’agit d’orienter et de rendre fécondes : solutions nécessaires
75 e ; enfin, personne et individu. Cette dernière «  tension  », à laquelle se ramènent toutes les autres, est en train de devenir
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
76 n par l’acte. Instauration de la personne dans la tension entre l’objet et la volonté formatrice. Rédemption par l’effort créat
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
77 émanations, les représentations extérieures de la tension personnelle de chaque homme, de chaque membre d’une communauté. Toute
78 ’elle se manifeste comme telle, crée aussitôt une tension . D’une part elle organise ses appuis matériels, d’autre part elle s’é
35 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
79 ale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réalité et vérité assumées dans une seule volonté. Il res
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
80 ogée du Moyen Âge, il signale le suprême degré de tension créatrice d’une culture dont l’équilibre est déjà virtuellement menac
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
81 u et l’angoissé. Sa grandeur étant mesurée par la tension qui l’opposait à son époque. Telle est l’origine spirituelle, ou cult
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
82 ale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réalité et vérité assumées dans une seule volonté. Il res
39 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
83 urd’hui, parle de dialectique, il s’agit moins de tension et d’action que d’une évolution historique nécessaire, d’une successi
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
84 qu’on peut le décrire soit comme résultant d’une tension donnée, soit comme obéissant à l’appel d’une fin. Soit par ses causes
85 e de conservation, de permanence ? Loin de là. Sa tension concrète vise toujours la nouveauté, que les conservateurs nomment sc
86 la nature profonde de l’homme occidental, dont la tension particulière peut être définie ainsi : violence initiale et créatrice
87 bitudes et mécanismes inhumains ou trop humains ; tension qui se résout en acte, et tout acte, nous l’avons vu, est à contre-co
88 un acte. C’est faire simplement abstraction de la tension , de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu co
89 mais incertain de ses limites agrandies. Perte de tension , en chaque point du cercle. Il faudra bien la compenser par une rigid
90 Enfin, nous avons assumé, et concentré toutes ces tensions dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret
91 assumé, et concentré toutes ces tensions dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret par excellence,
92 en éléments désormais dépravés, car leur mise en tension ne les a pas laissés intacts. Ce relâchement n’est pas un apaisement,
41 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
93 on du Dr Minkowski. L’acte est l’éclatement d’une tension orientée ; il est donc aussi intention. Il n’est pas seulement agoniq
94 ordre nouveau, la personnalité accentue encore la tension . Le nouvel état du conflit est plus aigu que l’ancien. Au fur et à me
95 donc deux aspects, symbolisant les pôles de cette tension qui constitue le ressort de l’activité elle-même. D’un côté, il y aur
96 l’ennui, du vide, traduit un fléchissement de la tension . L’adoration de l’abstrait, c’est-à-dire de la formule, l’invention d
97 e la personnalité consécutif au relâchement de la tension et à la perte du sentiment du risque véritable. À côté de la réalité
98 imentalisme positiviste). Un troisième exemple de tension et d’acte nous est fourni par l’homme considéré du point de vue socia
99 e vivant, l’homme en acte est l’affirmation d’une tension permanente entre ces deux pôles de l’amour : l’attachement à la diver
100 s que des résistances. Entre les deux pôles de la tension , il n’y a ni identité, ni égalité, justement parce que l’un d’entre e
101 endance de l’acte. Étant orientée vers l’acte, la tension humaine ne saurait donc considérer toute médiation que comme une rési
102 cette nécessité ne reprend sa valeur que dans la tension active dirigée tout entière vers l’affirmation du personnalisme. Dans
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
103 e la Loi qui conduit au Messie, mais bien dans la tension entre la Foi, qui est risque, et la Doctrine, qui est institution. Ch
43 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
104 ogée du Moyen Âge, il signale le suprême degré de tension créatrice d’une culture dont l’équilibre est déjà virtuellement menac
44 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
105 u et l’angoissé. Sa grandeur étant mesurée par la tension qui l’opposait à son époque. Telle est l’origine spirituelle, ou cult
45 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
106 ale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réalité et vérité assumées dans une seule volonté. Il res
46 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
107 urd’hui, parle de dialectique, il s’agit moins de tension et d’action que d’une évolution historique nécessaire, d’une successi
47 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
108 lan vers. On peut le décrire comme résultat d’une tension , ou comme obéissant à l’appel d’une fin. Soit par ses causes, soit pa
109 e de conservation, de permanence ? Loin de là. Sa tension concrète vise toujours la nouveauté, que les conservateurs nomment sc
110 la nature profonde de l’homme occidental, dont la tension particulière peut être définie ainsi : violence initiale et créatrice
111 bitudes et mécanismes inhumains ou trop humains ; tension qui se résout en acte, et tout acte, nous l’avons vu, est à contre-co
112 un acte. C’est faire simplement abstraction de la tension , de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu co
113 mais incertain de ses limites agrandies. Perte de tension , en chaque point du cercle. Il faudra bien la compenser par une rigid
114 Enfin, nous avons assumé, et concentré toutes ces tensions dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret
115 assumé, et concentré toutes ces tensions dans la tension originelle et solitaire de la personne, acte concret par excellence,
116 en éléments désormais dépravés, car leur mise en tension ne les a pas laissés intacts. Ce relâchement n’est pas un apaisement,
48 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
117 re à la grande discussion millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Te
118 laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de d
49 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
119 ur la contradiction fondamentale qui constitue la tension la plus féconde de l’œuvre de Nietzsche, on n’a rien écrit de meilleu
50 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
120 ntre service civil et travail qualifié ou dans la tension entre communes autonomes et organes administratifs centralisés. Or, l
51 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
121 e, de cette discussion séculaire, de cette grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur : l
52 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
122 l’abri d’un faux équilibre, — d’un équilibre sans tension . Ici interviendra le second fait : l’équilibre social, pour rester sa
53 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
123 qu’on pourrait nommer l’ascèse personnaliste, la tension même qui constitue la personne et l’identifie, l’effort de l’homme po
54 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
124 omme, ce qu’il a proprement d’humain, c’est cette tension entre les autres et lui, et le problème est de trouver, tout en march
125 , et la nature ; mais de cette relation, de cette tension , la résultante sera constamment dirigée vers lui-même, je veux dire v
126 volte même assure nos relations avec le monde. La tension se produit de nouveau entre les pôles individu et société. Mais sa ré
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
127 l’abri d’un faux équilibre, — d’un équilibre sans tension . Ici interviendra le second fait : l’équilibre social, pour rester sa
56 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
128 rits exigeants se plaignent : il n’y aura plus de tension créatrice chez ces hommes grossièrement satisfaits. Qu’est-ce que cel
57 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
129 re à la grande discussion millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Te
130 laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de d
58 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
131 s obstacles institutionnels entraîne une chute de tension morale d’où résulte une immense confusion. L’adultère devient un suje
132 ques. Et l’aventure reprendra son départ dans une tension incalculablement plus forte que celle qui s’institua au xiie siècle.
59 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
133 des moyens prédestinés à l’exalter. Telle fut la tension permanente d’où jaillirent nos plus belles créations. Mais ce qui pro
134 serait vouloir supprimer l’un des pôles de notre tension créatrice. De fait, cela n’est pas possible. Le philistin qui « conda
60 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
135 t mutuellement par leur opposition, et créent des tensions fécondes. La civilisation et la culture naissent et vivent de tension
136 civilisation et la culture naissent et vivent de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit pas de mélan
61 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
137 foi. Mais dans cette atmosphère de saturation, la tension religieuse, l’idée transcendentale, l’élan vers le sublime, ne peuven
62 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
138 de la passion qu’elle prétendait guérir. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le récitent et le récite
139 contradiction de Don Juan et de Tristan, dans la tension insupportable de l’esprit qui vit cette contradiction parce qu’il sub
63 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
140 venture privée. Mais cela ne peut qu’augmenter la tension de l’ensemble, personnifié dans la Nation. L’État-nation dit aux Alle
141 — et c’est la nouvelle passion. Ainsi toutes les tensions supprimées à la base viennent s’accumuler au sommet. Or il est clair
64 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
142 s obstacles institutionnels entraîne une chute de tension morale d’où résulte une immense confusion. L’adultère devient un suje
143 ques. Et l’aventure reprendra son départ dans une tension incalculablement plus forte que celle qui s’institua au xiie siècle.
65 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
144 serait vouloir supprimer l’un des pôles de notre tension créatrice. De fait, cela n’est pas possible. Le philistin qui « conda
66 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
145 . Le paradoxe central d’une pièce sur Nicolas, sa tension créatrice, réside donc dans ce fait, qui rappelle notre devise conféd
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
146 foi. Mais dans cette atmosphère de saturation, la tension religieuse, l’idée transcendantale, l’élan vers le sublime, ne peuven
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
147 de la passion qu’elle prétendait guérir. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le récitent et le récite
148 contradiction de Don Juan et de Tristan, dans la tension insupportable de l’esprit qui vit cette contradiction parce qu’il sub
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
149 venture privée. Mais cela ne peut qu’augmenter la tension de l’ensemble, personnifié dans la Nation. De 1933 à 1939, l’État-nat
150 — et c’est la nouvelle passion. Ainsi toutes les tensions supprimées à la base viennent s’accumuler au sommet. Or il est clair
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
151 s obstacles institutionnels entraîne une chute de tension morale d’où résulte une immense confusion. L’adultère devient un suje
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
152 serait vouloir supprimer l’un des pôles de notre tension créatrice. De fait cela n’est pas possible. Le philistin qui « condam
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
153 foi. Mais dans cette atmosphère de saturation, la tension religieuse, l’idée transcendantale, l’élan vers le sublime, ne peuven
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
154 de la passion qu’elle prétendait guérir. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le récitent et le récite
155 contradiction de Don Juan et de Tristan, dans la tension insupportable de l’esprit qui vit cette contradiction parce qu’il sub
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
156 venture privée. Mais cela ne peut qu’augmenter la tension de l’ensemble, personnifié dans la Nation. De 1933 à 1939, l’État-nat
157 — et c’est la nouvelle passion. Ainsi toutes les tensions supprimées à la base viennent s’accumuler au sommet. Or il est clair
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
158 s obstacles institutionnels entraîne une chute de tension morale d’où résulte une immense confusion. L’adultère devient un suje
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
159 serait vouloir supprimer l’un des pôles de notre tension créatrice. De fait cela n’est pas possible. Le philistin qui « condam
77 1944, Les Personnes du drame. Introduction
160 r les résultats momentanés et mesurer le degré de tension du combat spirituel où l’homme devient personne, et « s’autorise » d’
161 unique d’une personne, c’est d’abord mesurer les tensions singulières au sein desquelles elle apparut ; c’est approfondir les d
162 her, les données « personnelles » dont la mise en tension a pu produire les formes qu’on y observe. Ce sont moins les idées qui
163 à la nature même du sujet que j’ai embrassé : la tension créatrice des personnes. Je n’offre au lecteur qu’un effort. Je lui d
78 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
164 t rien de plus que leur propre rationalisme, sans tension ni grandeur : ils ne savent pas voir dans la sagesse faustienne qu’el
165 ccidental, dès qu’il atteint les régions de haute tension où la seule « orientation » qu’il adopte suffit à déterminer une suit
79 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
166 diateur Toute grandeur naît d’un rapport, d’une tension entre plusieurs éléments mesurables. Il n’est pas de grandeur percept
167 s. Mais où chercher, chez Goethe, les éléments de tension et les mesures ? Où, sinon en lui-même, je veux dire entre ce qui lui
168 èrement conquis, cette lutte enfin où résident sa tension et sa grandeur propres, comment ne pas voir qu’elle est proprement al
80 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
169 rapports singuliers et intimes qui instituent la tension personnelle. Mais alors, comment l’homme qui se découvre multitude et
170 homme est dans son acte. Tout acte est passage et tension , — passage de la mort à la vie, tension entre ce qui résiste et ce qu
171 assage et tension, — passage de la mort à la vie, tension entre ce qui résiste et ce qui crée, victoire de la Parole sur la cha
172 héroïque. Dans cette chair qui peut vieillir, la tension de la mort et de la vie a mis des marques victorieuses. Qu’est-ce que
81 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
173 es deux noms ne désignent-ils pas les pôles de la tension spirituelle la plus vertigineuse qu’il soit donné de vivre à un Occid
82 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
174 re à la grande discussion millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Te
175 laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre, opposant Érasme à Luther, permet de d
176 es — conflit victorieux pour la foi — résident la tension proprement luthérienne et le sens de la vocation. La grandeur sans me
83 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
177 érarchie révélatrice de sa personne. Ce serait la tension instituée entre une exigence esthétique dont le principe est propreme
178 , et une éthique qui se voudrait « immoraliste ». Tension finalement résolue au bénéfice — énigmatique — de la morale, c’est-à-
84 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
179 ne n’a pas d’autre siège, elle est ce complexe de tensions , cette équation fondamentale de l’être. La première impression qu’on
180 n par l’acte. Instauration de la personne dans la tension entre l’objet et la volonté formatrice, rédemption par l’effort créat
85 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
181 miques, tantôt clichés dans leur moment d’extrême tension , tantôt largement résumés de leur naissance à leurs possibles conclus
182 paix spirituelle s’établira finalement quand les tensions entre les éléments seront équilibrées. Au centre de la carte, un larg
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
183 vibration ?) ⁂ Or ce dosage de monde et de moi en tension peu souvent relâchée, cette interaction perpétuelle du témoignage et
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
184 itesse préparerait l’ère des Illuminés… L’extrême tension de l’esprit peut aboutir à des matérialisations, cependant que l’extr
185 r à des matérialisations, cependant que l’extrême tension de la matière explose en subtilité. Double mouvement dont l’axe se no
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
186 omme, ce qu’il a proprement d’humain, c’est cette tension entre les autres et lui, et le problème est de trouver, tout en march
187 , et la nature ; mais de cette relation, de cette tension , la résultante sera constamment dirigée vers lui-même, je veux dire v
188 volte même assure nos relations avec le monde. La tension se produit de nouveau entre les pôles individu et société. Mais sa ré
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
189 l’abri d’un faux équilibre, — d’un équilibre sans tension . Ici interviendra le second principe : l’équilibre social, pour reste
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
190 rits exigeants se plaignent : il n’y aura plus de tension créatrice chez ces hommes grossièrement satisfaits. Qu’est-ce que cel
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
191 t mutuellement par leur opposition, et créent des tensions fécondes. La civilisation et la culture naissent et vivent de tension
192 civilisation et la culture naissent et vivent de tensions de ce genre. Prenez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit pas de mélan
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
193 volume, et voici que j’y retrouve l’angoisse, la tension , et l’émotion finale de la journée que nous venons de vivre, mais tou
93 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
194 , à la fois autonome et solidaire. Il vit dans la tension entre ces deux pôles : le particulier et le général ; entre ces deux
195 ochain — indissolubles. Cet homme qui vit dans la tension , le débat créateur, le dialogue permanent, c’est la personne. Voici d
196 nne, à la fois libre et engagé, et vivant dans la tension entre l’autonomie et la solidarité, correspond le régime fédéraliste.
197 existence acceptée, dans leur dialogue, dans leur tension féconde. ⁂ Lorsqu’on lit les anciens historiens suisses, j’entends ce
94 1947, Articles divers (1946-1948). La liberté dans l’amour [Réponse à une enquête] (novembre 1947)
198 ut rétablir une éthique, c’est-à-dire recréer des tensions entre la « nature » et un ordre, ou plus exactement : entre nos insti
95 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
199 soient discutés et, si possible, résolus, où les tensions fécondes puissent s’exercer enfin librement. Un monde où l’on puisse
96 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
200 manente, un certain équilibre humain résultant de tensions innombrables. Cela, on nous le laisse encore, et à vrai dire, c’est l
201 Mais il entend les assumer et consister dans leur tension , en équilibre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie, l
202 sur l’homme lui-même, créateur ou victime de ces tensions , l’effort principal de l’esprit. Européenne sera donc, typiquement, l
203 , comme dans les structures politiques, les mêmes tensions fondamentales, je les nommerai : fédéralistes. Ici, Mesdames et Messi
204 ationalisme à une espèce de court-circuit dans la tension normale qu’il s’agit de maintenir entre le particulier et le général.
205 d’équilibre ou de relâchement d’une seule et même tension fondamentale, d’une condition profondément et vitalement contradictoi
97 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
206 celles qui, comme le Reich d’Hitler, souffrent de tensions intérieures telles qu’on ne peut les résoudre, en cas de crise, que p
207 . Cette absence d’opposition réelle, ce manque de tension créatrice, ce défaut de toute force subversive capable d’incarner les
98 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
208 nne, à la fois libre et engagé, et vivant dans la tension entre l’autonomie et la solidarité, correspond le régime fédéraliste.
99 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
209 ersalisme, liberté et engagement, et vingt autres tensions dans tous les ordres, vingt autres couples combinés et permutés, sans
210 namisme incomparable, sont nés précisément de ces tensions , de ces dialogues, de cette infinie polémique. De là cette inquiétude
211 ’une à l’autre, mais au contraire de maintenir en tension , de composer en vivant équilibre. Ainsi sur le plan politique : auton
100 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
212 manente, un certain équilibre humain résultant de tensions innombrables. Cela on nous le laisse encore, et, à vrai dire, c’est l
213 Mais il entend les assumer et consister dans leur tension , en équilibre toujours menacé, en agonie perpétuelle. Cette agonie, l
214 sur l’homme lui-même, créateur ou victime de ces tensions , l’effort principal de l’esprit. Européenne sera donc, typiquement, l
215 , comme dans les structures politiques, les mêmes tensions fondamentales, je les nommerai : fédéralistes. Ici, mesdames et messi
216 ationalisme à une espèce de court-circuit dans la tension normale qu’il s’agit de maintenir entre le particulier et le général.
217 d’équilibre ou de relâchement d’une seule et même tension fondamentale, d’une condition profondément et vitalement contradictoi