1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
1 uprême dans les litiges des princes superioris in terris non recognoscentes. Cependant les sanctions ecclésiastiques ne sont p
2 souverain, rex qui non recognoscit superiorem in terris … Or, l’affirmation absolue de la souveraineté de l’État doit, poussée
2 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
3 t eux aussi « souverains absolus », superiorem in terris non recognoscentes selon la formule du xive siècle. Ce spectacle, qu
3 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
4 t eux aussi « souverains absolus », superiorem in terris non recognoscentes selon la formule du xive siècle. Ce spectacle, qu
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
5 t eux aussi « souverains absolus », superiorem in terris non recognoscentes, selon la formule du xive siècle. Ce spectacle, q
5 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
6 ut-puissants dans leurs frontières, superiorem in terris non recognoscentes, selon la formule mise au point par les légistes d
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
7 fait qu’il se dit souverain absolu, superiorum in terris non recognescens (ne reconnaissant aucun supérieur sur ses terres) se
7 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
8 ’État devient comme l’était le roi le superior in terris , la suprema potestas, et il exerce le pouvoir au nom de l’idéologie n