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uprême dans les litiges des princes superioris in
terris
non recognoscentes. Cependant les sanctions ecclésiastiques ne sont p
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souverain, rex qui non recognoscit superiorem in
terris
… Or, l’affirmation absolue de la souveraineté de l’État doit, poussée
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t eux aussi « souverains absolus », superiorem in
terris
non recognoscentes selon la formule du xive siècle. Ce spectacle, qu
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t eux aussi « souverains absolus », superiorem in
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non recognoscentes selon la formule du xive siècle. Ce spectacle, qu
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t eux aussi « souverains absolus », superiorem in
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non recognoscentes, selon la formule du xive siècle. Ce spectacle, q
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ut-puissants dans leurs frontières, superiorem in
terris
non recognoscentes, selon la formule mise au point par les légistes d
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fait qu’il se dit souverain absolu, superiorum in
terris
non recognescens (ne reconnaissant aucun supérieur sur ses terres) se
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’État devient comme l’était le roi le superior in
terris
, la suprema potestas, et il exerce le pouvoir au nom de l’idéologie n