1 rts de Verdun (B. Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1925, p. 380-382.

2 ra, Édition du Sagittaire, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1925, p. 775-776.

3 lin : Van Gogh (F. Rieder, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, août 1925, p. 1033.

4 bre : Le Tarramagnou (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1925, p. 1151-1152.

5 mense enquête manifeste son génie méthodique, son universelle et inépuisable curiosité. Mais, de même que la France interrogeant l’

6 ent (n° 9-10 des Cahiers du Mois) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1925, p. 1152-1154.

7 entative de solitude (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1925, p. 1156-1157.

8 r Verlag : Almanach 1925 (Berlin) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1925, p. 1162-1163.

9 e Weg (S. Fischer Verlag, Berlin) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1925, p. 1163. i. Orthographié

10 ès (Édition du Sagittaire, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1925, p. 1164.

11 en de la pensée française (Payot) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, octobre 1925, p. 1797-1798.

12 ielle : Gravitations (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1925, p. 1560.

13 ontemporaine” (Flammarion, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1925, p. 1567.

14 : La Cité secrète (Perrin, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1925, p. 1567-1568.

15 s7 : symptôme de fatigue. Mais tout cela : dégoût universel , désir de violences, gratuité des pensées et des actes, rêves éveillé

16 , de renier l’immense effort pour se libérer de l’ universelle hypocrisie accompli par des générations qui ne lèguent aux suivantes

17 a jeune littérature et la morale) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1926, p. 311-319.

18 Jouve : Paulina 1880 (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, avril 1926, p. 530-531.

19 e l’espace (Delachaux et Niestlé) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, avril 1926, p. 531.

20 ironique, poèmes (Spes, Lausanne) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1926, p. 661.

21 ivier : L’Athée (Payot, Lausanne) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1926, p. 661.

22 : Rappel à l’ordre (Stock, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1926, p. 661-662.

23 « René Crevel : Mon corps et moi », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1926, p. 662-663.

24 sier : Urbanisme (G. Crès, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1926, p. 797-798.

25 nous replacent dans l’intelligence de l’instinct universel et nous élèvent à une vie plus âpre et violemment contractée, par la

26 Fernandez : Messages (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juillet 1926, p. 124-125.

27 : Les Bestiaires (Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1926, p. 397-398.

28 a Croisière indécise (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1926, p. 810.

29  : L’Iroquois (Émile-Paul, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1926, p. 810-811.

30 on de l’Occident (Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1926, p. 811-812.

31 : Le Paysan de Paris (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, janvier 1927, p. 123-124.

32 ey : La Maladère (Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, février 1927, p. 265.

33 Pourtalès : Montclar (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, février 1927, p. 257. ae. Il manque sans

34 que j’eusse aimée… (Plon, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1927, p. 387-388.

35 surréalistes, et en même temps par cette solution universelle , la foi, il résume en lui cette inquiétude qui fait la grandeur et la

36 Notre inquiétude (Perrin, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, avril 1927, p. 563-564.

37 nard Lecache : Jacob (NRF, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1927, p. 689-690.

38 La Mort difficile (S. Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1927, p. 690.

39 rd : Capitale de la douleur (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1927, p. 693-694. ak. En romain dans

40 e dans les idées (Au Sans Pareil) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1927, p. 694.

41 œur des femmes (Simon Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juillet 1927, p. 114-115.

42  : Premières amours (Plon, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, août 1927, p. 244-245.

43 r Maria Rilke (Émile-Paul, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1927, p. 787-788.

44 (La Renaissance du Livre, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1927, p. 791.

45 Catherine-Paris (Grasset, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, janvier 1928, p. 121-122.

46 . Le succès immense de ses livres1, sa popularité universelle sont signes que l’époque a senti en lui son incarnation la plus parfa

47 teurs, mais composent en quelque manière, un code universel  ! » Réjouissons-nous… Mais, comment expliquer que des centaines de mi

48 t anges, — le voici devenu sourd à cette harmonie universelle , incapable d’en comprendre les correspondances divines et humaines, i

49 sa vie, son œuvre (S. Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1928, p. 768-769.

50 « Aragon : Traité du style (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, Genève, août 1928, p. 1034.

51 lution et les intellectuels (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, novembre 1928, p. 1410.

52 lraux : Les Conquérants (Grasset) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1928, p. 1547-1548.

53 II de Bavière ou Hamlet-Roi (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1928, p. 1549.

54 (Éditions “Le Rouge et le Noir”) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, décembre 1928, p. 1553.

55 l’existence d’une espèce de secrète et à peu près universelle conspiration pour insister sur la laideur. “C’est une frasque de goss

56 et Je suis un homme (Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, janvier 1929, p. 123-124.

57  Jules Supervielle : Saisir (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1929, p. 762-763.

58 ef des songes (Émile-Paul, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, août 1929, p. 248-249.

59 le Voyant (Au sans pareil, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, août 1929, p. 250-251. bb. Le féminin es

60 Benda : La Fin de l’Éternel (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, novembre 1929, p. 638-639.

61 mais on n’avait songé à leur donner une extension universelle et un caractère obligatoire. L’école exige donc que les meilleurs ral

62 s vos drogues : presse, ciné, faux-luxe, suffrage universel , instruction publique. Cela promet des grabuges inouïs. Il ne tient p

63 mais on n’avait songé à leur donner une extension universelle et un caractère obligatoire. L’école exige donc que les meilleurs ral

64 s vos drogues : presse, ciné, faux-luxe, suffrage universel , instruction publique. Cela promet des grabuges inouïs. Il ne tient p

65 s propriétés (O. Fourcade, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1930, p. 384.

66 es (À l’Atelier rouge, Neuchâtel) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1930, p. 385.

67 Breuil : Kate, roman (Kra, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, avril 1930, p. 520.

68 u (Les Cahiers du Sud, Marseille) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, septembre 1930, p. 399-400.

69 tions… bh. « Voyage en Hongrie I », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, Genève, octobre 1930, p. 405-419.

70 erre Jean Jouve (Fourcade, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, octobre 1930, p. 532-533.

71 port. bj. « Voyage en Hongrie II », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, novembre 1930, p. 577-590.

72 4e série (Roberto Corréa, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, novembre 1930, p. 656-658.

73 mmune grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions profondes de l’âme devant son destin m’autorise à cette

74 e pas un choix préalable à la tentation, un choix universel et abstrait, mais des choix qui s’imposent avec une violence égale à

75 t petit nuage, au regard du Règlement des comptes universels que sera notre jugement au dernier jour de tous les temps. Karl Barth

76 surplus peut entretenir ce fond de bienveillance universelle dont l’existence rassure les Suisses… L’ennui c’est qu’il n’y a pas d

77 ui c’est qu’il n’y a pas du tout de bienveillance universelle . Et que la Suisse est mal préparée, par sa probité même, à faire face

78 l’aventure désormais probable, face à la démesure universelle . Le regard intrépide et désillusionné du grand Burckhardt considérant

79 mière allégeance était l’Église, et par là même l’ universel , c’est-à-dire le prochain quel qu’il soit, être souvent bizarre et my

80 davantage reçu une révélation éthique, un étalon universel fournissant la mesure exacte du bien et du mal en toute chose. La rév

81 les conséquences fatales d’une erreur à peu près universelle . ⁂ Le terme de « travailleur » est devenu dans le monde moderne à peu

82 s une mystique de classe : elle est devenue quasi universelle . Que le « travailleur » soit considéré comme une matière inerte, une

83 lle est la cause profonde du déclin d’un prestige universel . Et voici notre tâche : en face de mouvements qui tirent toute leur p

84 ation. Au nom de la personne, seul fondement de l’ universel , nous dénoncerons les tyrannies racistes et collectivistes. Au nom de

85 prochain. Elle sera au contraire la revendication universelle de l’humain contre tout ce que l’homme invente pour se mettre à l’abr

86 usqu’au romancier le plus moderne, la littérature universelle semble n’avoir voulu mettre en figures nos désirs et nos ambitions qu

87 l, tel que l’ont créé les théoriciens du suffrage universel , tout le monde croit aujourd’hui que c’est quelque chose de très simp

88 epuis Marx, phénomène beaucoup plus concret, plus universel et mieux défini que la lutte des classes. ⁂ Quelles sont donc les ins

89 de leurs frontières, on peut dire qu’elles seront universelles , mais particulières. Alors seulement, au lieu de s’entrechoquer, elle

90 nion avec le Christ, fonde véritablement l’Église universelle . L’Église est universelle parce qu’elle s’enracine dans l’acte qui co

91 véritablement l’Église universelle. L’Église est universelle parce qu’elle s’enracine dans l’acte qui confère à tout homme son êtr

92 veut prendre position et pénétrer dans la bagarre universelle . Je vois bien le désordre et la contradiction. L’argent règne sur not

93 le règne de la masse. On s’indigne du nivellement universel , à quoi doit aboutir le communisme. On raille le caporalisme des jeun

94 logique du désespoir, considéré comme une maladie universelle ne doit pas nous tromper sur le dessein du livre. Nul romantisme dans

95 . L’auteur entend : relativement à la possibilité universelle du désespoir. Un rapprochement avec Kierkegaard me paraît s’imposer i

96 e nouveau. Cette mesure concrète, cette référence universelle , ce principe de grandeur que nous proposons tous ici, c’est l’homme c

97 sera composée de 400 députés (?) élus au suffrage universel intégral (femmes comprises) pour une durée de 6 ans. Le vote sera obl

98 défense et à l’affirmation de la personne, module universel de toutes les institutions. Cette politique s’oppose au gigantisme am

99 veut prendre position et pénétrer dans la bagarre universelle . Je vois bien le désordre et la contradiction. L’argent règne sur not

100 le règne de la masse. On s’indigne du nivellement universel , à quoi doit aboutir le communisme. On raille le caporalisme des jeun

101 les conséquences fatales d’une erreur à peu près universelle . ⁂ Le terme de « travailleur » est devenu dans le monde moderne à peu

102 s une mystique de classe : elle est devenue quasi universelle . Que le « travailleur » soit considéré comme une matière inerte, une

103 défense et à l’affirmation de la personne, module universel de toutes les institutions. Cette politique s’oppose au gigantisme to

104 veut prendre position et pénétrer dans la bagarre universelle . Je vois bien le désordre et la contradiction. L’argent règne sur not

105 le règne de la masse. On s’indigne du nivellement universel , à quoi doit aboutir le communisme. On raille le caporalisme des jeun

106 les conséquences fatales d’une erreur à peu près universelle . ⁂ Le terme de « travailleur » est devenu dans le monde moderne à peu

107 s une mystique de classe : elle est devenue quasi universelle . Que le « travailleur » soit considéré comme une matière inerte, une

108 ue savent que la nation n’est une expression de l’ universel qu’en raison de l’impuissance humaine à atteindre pleinement et d’emb

109 ance humaine à atteindre pleinement et d’emblée l’ universel . Aussi se garderont-ils d’eux-mêmes de donner à ce que nous disons ic

110 iniment vivante : car la personne est un principe universel , et quand bien même tous les hommes seraient devenus des personnes, l

111 Si cette fin se confond réellement avec la mesure universelle — la personne —, la méthode ne saurait être que l’exercice des vocati

112 l’humble bon sens de M. Monod, tantôt la science universelle du même auteur. Cette espèce de cacophonie, vous le savez, est assez

113 qu’il ne faut pas trop s’étonner de son triomphe universel . Professeurs, députés ou commissaires, ils croient tous tant qu’ils s

114 d’État pour une exposition promise à la publicité universelle , trouve naturel de proposer que « l’esprit », dans cette entreprise,

115 ise, de la recherche scientifique et de la raison universelle , donnera à notre Exposition son sens et sa portée. Je répugne à rend

116 vent démodé qui ne pourra plus cacher longtemps l’ universel complot des « hommes de main ». VIII. Où peut agir l’esprit ? C

117 France : on oppose dix-neuf siècles de tradition universelle — dont quinze nous sont communs d’ailleurs avec l’Église romaine — à

118 ue savent que la nation n’est une expression de l’ universel qu’en raison de l’impuissance humaine à atteindre pleinement et d’emb

119 ance humaine à atteindre pleinement et d’emblée l’ universel . Aussi se garderont-ils d’eux-mêmes de donner à ce que nous disons ic

120 soires : les passages sur le travail « obligation universelle  », sur le rôle de l’État — en quoi Mounier voit le « garant » du stat

121 lissement dans cent ans ou mille ans d’un paradis universel . C’est au nom de ces fins dernières, et de la conscience aiguë qu’ils

122 it seul maintenir. Mais pour attester la présence universelle de ce dessein, il fallait des symboles visibles et dont le sens fût r

123 s différentes, mais ils ont répondu à une attente universelle religieuse, l’attente d’une nouvelle mesure, d’une nouvelle image du

124 cret intime d’une vie, c’est aussi le chemin de l’ universel . S’il veut rester vivant, c’est dans un amitié nouvelle. S’il écrit q

125 gine, c’est rompre aussi sa communion avec la fin universelle . Alors l’homme se complaît dans une fin qu’il fait sienne, c’est-à-di

126 e avec puissance, Claudel répond à la proposition universelle . Qu’on parle alors de procédé, si l’on y tient, mais il faut en compr

127 e ; et l’Église, en tant que directrice du devoir universel , fait sienne cette exigence. Ainsi il n’est plus seulement dit : “Cel

128 mains !33 » 23. Toute mesure vraie doit être «  universelle  » dans le temps de sa vérité et les limites du monde qu’elle embrasse

129 ut doit s’ordonner. Je ne sais si dans l’histoire universelle , on trouverait une mesure commune qui apparaisse à première vue plus

130 lissement dans cent ans ou mille ans d’un paradis universel . C’est au nom de ces fins dernières, et de la conscience aiguë qu’ils

131 it des usagers de la culture, la mesure prétendue universelle . Or cette mesure étant en fait celle qui a réglé d’abord l’action, et