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es eaux, comme immobiles, des nuages rouges et le
vert
dur des berges : un malaise montait dans l’air plus frais, avec l’ode
2
aux tiges divergentes, mais qu’un ruban rouge et
vert
lie par la grâce d’une volonté sans doute divine… a. « Avant-propos
3
r de pensée même, qui faisaient déjà du Perroquet
Vert
un petit chef-d’œuvre de poésie proprement romanesque, naissant des s
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d’une femme aussi femme que l’auteur du Perroquet
Vert
. Mais là-dessus, le roman repart dans une troisième action (l’amour d
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is si son début permet de croire que le Perroquet
Vert
ne restera pas une réussite isolée dans l’œuvre purement romanesque d
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une absence mais le signe de sa grâce Dans l’or
vert
évanouie au cœur éclatant du jour scintillera l’invisible gage d’un a
7
ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et
verte
… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
8
anciens bellettriens célèbrent les rites du Sapin
vert
. À ce moment apparaît Charles Du Bos, en kimono de soie « capstan ».
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esque transfiguré en symbole mystique sur le ciel
vert
du plus grand jour de l’Histoire. On a beaucoup remarqué la part impo
10
e, mais translucide, que dans le Conte du Serpent
Vert
, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux que la longue pa
11
à mon épaule, je brise des pailles sur une perle
verte
, l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques
12
ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et
verte
… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
13
nageur passe à travers les reflets jaunes, roses,
verts
, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de plu
14
égarée dans la forêt, de chasseur à la redingote
verte
, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtille et
15
fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe
verte
seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’at
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nciens Belletriens21 célèbrent les rites du Sapin
Vert
. Ô glossolalies amoureuses, ô sirènes mal défendues, parmi les entrep
17
à mon épaule, je brise des pailles sur une perle
verte
, l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques
18
ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et
verte
… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
19
nageur passe à travers les reflets jaunes, roses,
verts
, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de plu
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ecke. (Il y a Goethe, Schiller, Lessing reliés en
vert
bavarois, avec des médaillons en relief sur la couverture ; aussi Ang
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égarée dans la forêt, de chasseur à la redingote
verte
, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtilles e
22
fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe
verte
seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’at
23
its phares dont clignotent irrégulièrement le feu
vert
— cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
24
ar exemple une maison trop grande, un feu de bois
vert
qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les
25
faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un
vert
violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition est
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ar exemple une maison trop grande, un feu de bois
vert
qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les
27
rayonnent — ainsi le jaune est plus clair que le
vert
. Dante estime qu’il en va de même pour les qualités et substances, et
28
rayonnent — ainsi le jaune est plus clair que le
vert
. Dante estime qu’il en va de même pour les qualités et substances, et
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la duchesse chaque jour sa feuille de salade bien
verte
? » Si tout cela est fini, c’est à cause du fascisme ! Si vous aimez
30
esser un petit chien, donner sa feuille de salade
verte
au canari. Et nous ne sommes pas « communistes » pour si peu. Je cons
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herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de
vert
humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
32
es touches de vert humide au fond des vallons, de
vert
sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
33
aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile
vert
clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
34
bre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli
vert
bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
35
t obstinément, peut-être même haïssent la couleur
verte
, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
36
hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours
vertes
; on ne les mange pas). Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c
37
s oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le
vert
plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueu
38
eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou
vert
. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
39
de mon verre de vin blanc. Mai La mer est d’un
vert
bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper que
40
de lumière blanche qui met des ombres si légères,
vertes
et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres a
41
eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou
vert
. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
42
es du village, illuminées comme un décor blanc et
vert
. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tourn
43
ut de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau
verte
, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le médecin de
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de lumière blanche qui met des ombres si légères,
vertes
et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres a
45
eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou
vert
. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
46
s brunies, font luire là-bas une dernière prairie
verte
, étinceler un tas de sel, puis se perdent parmi les vapeurs des marai
47
le vide, remonte, retombe, et court sur la table
verte
. L’après-midi, la chaleur est trop forte. Je travaille dans la grande
48
herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de
vert
humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
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es touches de vert humide au fond des vallons, de
vert
sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
50
aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile
vert
clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
51
1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli
vert
bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
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t obstinément, peut-être même haïssent la couleur
verte
, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
53
hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours
vertes
; on ne les mange pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c
54
oi le lieu du monde le plus pur. Une transparence
vert
bleu sur des cailloux ronds où le pied enfonce, entre deux rochers et
55
s oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le
vert
plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueu
56
mules de notre renaissance : mettre les villes au
vert
, urbaniser tout le reste du pays… 5 juin 1935 …Et un beau jour
57
juillet 1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel
vert
d’un couchant de banlieue, le groupe scolaire de la mairie communiste
58
nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore
verts
, ici ; il y a de l’espace. Les masses de briques vernies striées de b
59
. Le torse véritablement énorme bombe une chemise
verte
à petits carreaux ornée d’un nœud papillon mauve. Son pied pèse toujo
60
es du village, illuminées comme un décor blanc et
vert
. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tourn
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faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un
vert
violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition est
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a maison de la rue Sébastien-Bottin. Une tonnelle
verte
invite aux conversations littéraires. Un fin gravier protège les pied
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eure en heure, à chaque fois que j’allume cet œil
vert
— pays perdus, souvenirs saccagés. S’il y avait une victoire enfin, c
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u globe. Et s’il faut des experts autour du tapis
vert
, qu’on appelle des psychiatres plutôt que des banquiers. L’argent ne
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de mais translucide, que dans le conte du Serpent
vert
, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux que la longue pa
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ar exemple une maison trop grande, un feu de bois
vert
qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les
67
oisent lentement entre les troncs des pins sur un
vert
d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, dev
68
cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres
vertes
, que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus co
69
argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants,
verts
, rouge, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce un
70
meubles brisés, papiers épars, une table au tapis
vert
était seule restée debout. Les deux peintres s’étant approchés y vire
71
dée de rouge — c’est le désir —, ornée de trèfles
verts
— la nature créatrice — et de disques jaunes sur lesquels sont brodée
72
de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un
vert
sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de m
73
its phares dont clignotent irrégulièrement le feu
vert
— cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
74
n. De nouveau des ifs non taillés sur un pré d’un
vert
sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
75
argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants,
verts
, rouges, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce e
76
its phares dont clignotent irrégulièrement le feu
vert
— cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
77
aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou
vert
olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques.
78
. De nouveau, des ifs non taillés sur un pré d’un
vert
sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
79
eure en heure, à chaque fois que j’allume cet œil
vert
— pays perdus, souvenirs saccagés. S’il y avait une victoire enfin, c
80
de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un
vert
sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de m
81
, de châteaux rouges ou violets, sur des pelouses
vert
pomme aux opulents ombrages. Toutes les chromos du monde avaient rais
82
oo. Au-dessus d’une forêt de tous les continents,
vert
électrique sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel livides. À
83
al jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle
verte
le pied cassé de mon petit fauteuil. Bonheur d’écrire et de me sentir
84
lle, en contrepoint avec deux télétypes, visières
vertes
aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniq
85
ettes fauves, grands miroirs ternis, bibliothèque
vert
sombre et vieillotte, une sorte de patine vénitienne, et les bateaux
86
représenter avec ses lunettes noires, sa visière
verte
, et le chalumeau à la main, mais je ne vois encore que du glamour 15.
87
its phares dont clignotent irrégulièrement le feu
vert
— cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
88
n. De nouveau des ifs non taillés sur un pré d’un
vert
sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
89
oisent lentement entre les troncs des pins sur un
vert
d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, dev
90
aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou
vert
olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques.
91
argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants,
verts
, rouges, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce e
92
cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres
vertes
, que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus co
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cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres
vertes
, que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus co
94
à mon épaule, je brise des pailles sur une perle
verte
, l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques
95
ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et
verte
… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
96
nageur passe à travers les reflets jaunes, roses,
verts
, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de plu
97
égarée dans la forêt, de chasseurs à la redingote
verte
, de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtilles e
98
fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe
verte
seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’at
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ut de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau
verte
, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le médecin de
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de lumière blanche qui met des ombres si légères,
vertes
et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres a
101
eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou
vert
. La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
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s brunies, font luire là-bas une dernière prairie
verte
, étinceler un tas de sel, puis se perdent parmi les vapeurs des marai
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de vin blanc. 1er mai 1934 La mer est d’un
vert
bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper que
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es du village, illuminées comme un décor blanc et
vert
. Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient et grondent, tourne
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le vide, remonte, retombe, et court sur la table
verte
. L’après-midi, la chaleur est trop forte. Je travaille dans la grande
106
herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de
vert
humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
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es touches de vert humide au fond des vallons, de
vert
sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
108
aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile
vert
clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
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1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli
vert
bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
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t obstinément, peut-être même haïssent la couleur
verte
, le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
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hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours
vertes
; on ne les mange pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c
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s oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le
vert
plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueu
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mules de notre renaissance : mettre les villes au
vert
, urbaniser tout le reste du pays… 5 juin 1935 …Et un beau jour
114
juillet 1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel
vert
d’un couchant de banlieue, le groupe scolaire de la mairie communiste
115
nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore
verts
, ici : il y a de l’espace. Les masses de briques vernies striées de b
116
. Le torse véritablement énorme bombe une chemise
verte
à petits carreaux ornée d’un nœud papillon mauve. Son pied pèse toujo
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faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un
vert
violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition est
118
eure en heure, à chaque fois que j’allume cet œil
vert
— pays perdus, souvenirs saccagés. S’il y avait une victoire enfin, c
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de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un
vert
sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de m
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, de châteaux rouges ou violets, sur des pelouses
vert
pomme aux opulents ombrages. Tous les chromos du monde avaient raison
121
oo. Au-dessus d’une forêt de tous les continents,
vert
électrique sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel livides. À
122
de terre noire, puis à travers des pâturages d’un
vert
violent, sous un ciel en partie voilé d’une mauve et grisâtre nuée, e
123
al jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle
verte
le pied cassé de mon petit fauteuil. Bonheur d’écrire et de me sentir
124
rte se rouvre d’elle-même devant un long corridor
vert
qui fait un coude à droite. Dix portes, toutes pareilles, et pas un n
125
lle, en contrepoint avec deux télétypes. Visières
vertes
aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniq
126
ettes fauves, grands miroirs ternis, bibliothèque
vert
sombre et vieillotte, une sorte de patine vénitienne, et les bateaux
127
représenter avec ses lunettes noires, sa visière
verte
, et le chalumeau à la main, mais je ne vois encore que du glamour95 .
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its phares dont clignotent irrégulièrement le feu
vert
— cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
129
n. De nouveau des ifs non taillés sur un pré d’un
vert
sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
130
oisent lentement entre les troncs des pins sur un
vert
d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, dev
131
aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou
vert
olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques.
132
argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants,
verts
, rouges, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce e
133
en partie encombré de meubles d’occasion, tables
vertes
, miroirs, appareils à Coca-Cola, fourneaux, fauteuils, vieux frigidai
134
al jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle
verte
le pied cassé de mon petit fauteuil. Bonheur d’écrire et de me sentir
135
lle, en contrepoint avec deux télétypes, visières
vertes
aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniq
136
cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres
vertes
», que demeurait Albert Einstein, l’inventeur de la bombe atomique. N
137
e sentier de la guerre. Les feux rouges, des yeux
verts
, un profil détourné au croisement de deux rues, c’est New York, dont
138
end un long bassin rectangulaire, empli d’une eau
verte
et profonde. Tout autour du bassin, et sur l’îlot qui en occupe le ce
139
ottement des pieds nus, des saris roses, violets,
vert
assourdi. Des yeux brillent dans les portes sombres. Çà et là, un hom
140
sonance au goût de révolte, de soufre et d’œillet
vert
. Cette chose que Denis de Rougemont a la diablerie de nommer “simplem
141
’un parti, voyage d’un homme d’État, triomphe des
Verts
ou des Bleus aux élections. Cette conception courante de l’action est
142
, sur des murs de plâtre jaune paille, airelle ou
vert
d’eau. Il est vrai que lorsqu’on se promène sur les quais, par une de
143
u d’une partie de « relance » jouée sur les tapis
verts
des chancelleries entre quelques professionnels. Si la volonté de viv
144
de la brume, repeint durant la nuit comme un banc
vert
auprès du lac précieux où trempent des parois à peine moins transluci
145
sons sages, un peu scolaires, et les gens en gris
vert
défilent, des visages s’immobilisent et plus rien n’est étrange ni be
146
il peut de s’en tirer. La plupart se peignent en
vert
, mais plusieurs en violet ou en rose. Quelques-uns restent rouges, et
147
adjectif « européen » en lettres d’or sur un fond
vert
, si cet homme s’avisait d’entrer et de nous demander à brûle-pourpoin
148
Peter Schlemihl. 67. Gottfried Keller : Henri le
vert
. 68. Nietzsche : Aurore. 69. Rainer Maria Rilke : Élégies de Duino. 7
149
Rougemont, une question de feux rouges et de feux
verts
, de contrat pour la commodité générale. Une morale personnaliste en q
150
ssons lentement dans la nuit des hauteurs, un feu
vert
, un feu rouge clignotant pour personne dans le crépuscule désertique,
151
s vraiment l’Europe ! Nous avons nos Bleus et nos
Verts
et nos jeux doctrinaux comme Byzance. Ce ne serait rien si les fédéra
152
s objections qui se multipliaient autour du tapis
vert
, j’ai noté sur un bout de papier la définition suivante : « L’Europée
153
, nous voyons aujourd’hui nos villes se mettre au
vert
, se vider pendant les week-ends. Nous voyons tout un peuple à peu prè
154
ardin où choit sans fin du haut des arbres sur le
vert
assombri des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de fleurs. À c
155
ardin où choit sans fin du haut des arbres sur le
vert
assombri des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de fleurs. À c
156
e de se le payer en allant vivre dans les régions
vertes
aménagées en France, Allemagne, Autriche, et surtout aux États-Unis,
157
ne intime. Rien de moins sec, d’ailleurs, de plus
vert
que sa prose. Mais laissons ces questions de goût. Ce qui m’importe i
158
? Aujourd’hui déjà, notre vie est balisée de feux
verts
, de feux rouges et de feux clignotants. Nous les respectons, parce qu
159
t que ce rouge soit contrasté et composé avec des
verts
, par exemple, dans l’unité globale d’une œuvre au sein de laquelle s’
160
t que ce rouge soit contrasté et composé avec des
verts
, par exemple, dans l’unité globale d’une œuvre au sein de laquelle s’
161
t que ce rouge soit contrasté et composé avec des
verts
, par exemple, dans l’unité globale d’une œuvre au sein de laquelle s’
162
ans doute dans mon souvenir visuel, ajoutés à des
verts
bien drus, des jaunes blonds et certains noirs assez féroces, à la Br
163
de la brume, repeint durant la nuit comme un banc
vert
auprès du lac précieux où trempent des parois à peine moins transluci
164
int un Christ vêtu de rouge marchant sur les eaux
vertes
et transparentes de la rade de Genève, vers une barque chargée d’apos
165
us contredisent, comme par exemple un feu de bois
vert
qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les