1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 es eaux, comme immobiles, des nuages rouges et le vert dur des berges : un malaise montait dans l’air plus frais, avec l’ode
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
2 aux tiges divergentes, mais qu’un ruban rouge et vert lie par la grâce d’une volonté sans doute divine… a. « Avant-propos
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
3 r de pensée même, qui faisaient déjà du Perroquet Vert un petit chef-d’œuvre de poésie proprement romanesque, naissant des s
4 d’une femme aussi femme que l’auteur du Perroquet Vert . Mais là-dessus, le roman repart dans une troisième action (l’amour d
5 is si son début permet de croire que le Perroquet Vert ne restera pas une réussite isolée dans l’œuvre purement romanesque d
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
6 une absence mais le signe de sa grâce Dans l’or vert évanouie au cœur éclatant du jour scintillera l’invisible gage d’un a
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
7 ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte … Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
8 anciens bellettriens célèbrent les rites du Sapin vert . À ce moment apparaît Charles Du Bos, en kimono de soie « capstan ».
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
9 esque transfiguré en symbole mystique sur le ciel vert du plus grand jour de l’Histoire. On a beaucoup remarqué la part impo
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
10 e, mais translucide, que dans le Conte du Serpent Vert , trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux que la longue pa
9 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
11 à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte , l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
12 ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte … Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 nageur passe à travers les reflets jaunes, roses, verts , des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de plu
14 égarée dans la forêt, de chasseur à la redingote verte , de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtille et
15 fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’at
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
16 nciens Belletriens21 célèbrent les rites du Sapin Vert . Ô glossolalies amoureuses, ô sirènes mal défendues, parmi les entrep
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
17 à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte , l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
18 ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte … Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 nageur passe à travers les reflets jaunes, roses, verts , des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de plu
20 ecke. (Il y a Goethe, Schiller, Lessing reliés en vert bavarois, avec des médaillons en relief sur la couverture ; aussi Ang
21 égarée dans la forêt, de chasseur à la redingote verte , de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtilles e
22 fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’at
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
23 its phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
17 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
24 ar exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les
18 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
25 faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition est
19 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
26 ar exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les
20 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
27 rayonnent — ainsi le jaune est plus clair que le vert . Dante estime qu’il en va de même pour les qualités et substances, et
21 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
28 rayonnent — ainsi le jaune est plus clair que le vert . Dante estime qu’il en va de même pour les qualités et substances, et
22 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
29 la duchesse chaque jour sa feuille de salade bien verte  ? » Si tout cela est fini, c’est à cause du fascisme ! Si vous aimez
30 esser un petit chien, donner sa feuille de salade verte au canari. Et nous ne sommes pas « communistes » pour si peu. Je cons
23 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
31 herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de vert humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
32 es touches de vert humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
33 aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
34 bre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
35 t obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte , le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
36 hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours vertes  ; on ne les mange pas). Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c
24 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
37 s oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueu
25 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
38 eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert . La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
39 de mon verre de vin blanc.   Mai La mer est d’un vert bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper que
26 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
40 de lumière blanche qui met des ombres si légères, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres a
41 eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert . La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
27 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
42 es du village, illuminées comme un décor blanc et vert . Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tourn
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
43 ut de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau verte , un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le médecin de
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
44 de lumière blanche qui met des ombres si légères, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres a
45 eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert . La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
46 s brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte , étinceler un tas de sel, puis se perdent parmi les vapeurs des marai
47 le vide, remonte, retombe, et court sur la table verte . L’après-midi, la chaleur est trop forte. Je travaille dans la grande
30 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
48 herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de vert humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
49 es touches de vert humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
50 aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
51 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
52 t obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte , le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
53 hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours vertes  ; on ne les mange pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c
54 oi le lieu du monde le plus pur. Une transparence vert bleu sur des cailloux ronds où le pied enfonce, entre deux rochers et
55 s oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueu
56 mules de notre renaissance : mettre les villes au vert , urbaniser tout le reste du pays… 5 juin 1935 …Et un beau jour
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
57 juillet 1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel vert d’un couchant de banlieue, le groupe scolaire de la mairie communiste
58 nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts , ici ; il y a de l’espace. Les masses de briques vernies striées de b
59 . Le torse véritablement énorme bombe une chemise verte à petits carreaux ornée d’un nœud papillon mauve. Son pied pèse toujo
32 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
60 es du village, illuminées comme un décor blanc et vert . Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tourn
33 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
61 faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition est
34 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
62 a maison de la rue Sébastien-Bottin. Une tonnelle verte invite aux conversations littéraires. Un fin gravier protège les pied
35 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
63 eure en heure, à chaque fois que j’allume cet œil vert — pays perdus, souvenirs saccagés. S’il y avait une victoire enfin, c
36 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
64 u globe. Et s’il faut des experts autour du tapis vert , qu’on appelle des psychiatres plutôt que des banquiers. L’argent ne
37 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
65 de mais translucide, que dans le conte du Serpent vert , trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux que la longue pa
38 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
66 ar exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les
39 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
67 oisent lentement entre les troncs des pins sur un vert d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, dev
40 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
68 cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres vertes , que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus co
41 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
69 argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants, verts , rouge, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce un
42 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
70 meubles brisés, papiers épars, une table au tapis vert était seule restée debout. Les deux peintres s’étant approchés y vire
71 dée de rouge — c’est le désir —, ornée de trèfles verts — la nature créatrice — et de disques jaunes sur lesquels sont brodée
43 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
72 de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de m
44 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
73 its phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
45 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
74 n. De nouveau des ifs non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
46 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
75 argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants, verts , rouges, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce e
47 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
76 its phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
77 aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques.
78 . De nouveau, des ifs non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
48 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
79 eure en heure, à chaque fois que j’allume cet œil vert — pays perdus, souvenirs saccagés. S’il y avait une victoire enfin, c
49 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
80 de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de m
50 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
81 , de châteaux rouges ou violets, sur des pelouses vert pomme aux opulents ombrages. Toutes les chromos du monde avaient rais
82 oo. Au-dessus d’une forêt de tous les continents, vert électrique sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel livides. À
51 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
83 al jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle verte le pied cassé de mon petit fauteuil. Bonheur d’écrire et de me sentir
84 lle, en contrepoint avec deux télétypes, visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniq
52 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
85 ettes fauves, grands miroirs ternis, bibliothèque vert sombre et vieillotte, une sorte de patine vénitienne, et les bateaux
86 représenter avec ses lunettes noires, sa visière verte , et le chalumeau à la main, mais je ne vois encore que du glamour 15.
87 its phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
53 1946, Journal des deux mondes. Virginie
88 n. De nouveau des ifs non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
54 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
89 oisent lentement entre les troncs des pins sur un vert d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, dev
90 aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques.
91 argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants, verts , rouges, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce e
55 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
92 cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres vertes , que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus co
56 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
93 cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres vertes , que vivent et pensent quelques-uns des esprits qui auront le plus co
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
94 à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte , l’orchestre russe emmêle des arabesques de danseurs et déjà quelques
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
95 ollines basses, de l’autre côté de l’eau jaune et verte … Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu my
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
96 nageur passe à travers les reflets jaunes, roses, verts , des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de plu
97 égarée dans la forêt, de chasseurs à la redingote verte , de jeunes filles qui jouent du violon dans les champs de myrtilles e
98 fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’at
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
99 ut de suite la mer est forte. Un éclair sur l’eau verte , un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le médecin de
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
100 de lumière blanche qui met des ombres si légères, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres a
101 eintes en tons clairs et simples, blanc, jaune ou vert . La couleur des volets s’harmonise avec chaque façade d’une manière s
102 s brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte , étinceler un tas de sel, puis se perdent parmi les vapeurs des marai
103 de vin blanc. 1er mai 1934 La mer est d’un vert bleu crayeux, très froide encore. On ne peut guère que se tremper que
104 es du village, illuminées comme un décor blanc et vert . Des chiens surgissent des coins d’ombre, aboient et grondent, tourne
105 le vide, remonte, retombe, et court sur la table verte . L’après-midi, la chaleur est trop forte. Je travaille dans la grande
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
106 herbes, pierres, oliviers, et quelques touches de vert humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes d
107 es touches de vert humide au fond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châta
108 aussi, blanchie, presque sans fenêtres. Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques marches et un bal
109 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé du tapis. J’ai dre
110 t obstinément, peut-être même haïssent la couleur verte , le soleil, la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatism
111 hiver apparaissent déjà, plus petites et toujours vertes  ; on ne les mange pas.) Simard nous a indiqué une ferme, de l’autre c
112 s oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses, la colline plus riche d’ombres et de lueu
113 mules de notre renaissance : mettre les villes au vert , urbaniser tout le reste du pays… 5 juin 1935 …Et un beau jour
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
114 juillet 1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel vert d’un couchant de banlieue, le groupe scolaire de la mairie communiste
115 nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts , ici : il y a de l’espace. Les masses de briques vernies striées de b
116 . Le torse véritablement énorme bombe une chemise verte à petits carreaux ornée d’un nœud papillon mauve. Son pied pèse toujo
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
117 faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition est
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
118 eure en heure, à chaque fois que j’allume cet œil vert — pays perdus, souvenirs saccagés. S’il y avait une victoire enfin, c
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
119 de ces falaises orangées, frangées de forêts d’un vert sombre de luxueuse tapisserie… La rivière s’élargit et se peuple de m
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
120 , de châteaux rouges ou violets, sur des pelouses vert pomme aux opulents ombrages. Tous les chromos du monde avaient raison
121 oo. Au-dessus d’une forêt de tous les continents, vert électrique sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel livides. À
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
122 de terre noire, puis à travers des pâturages d’un vert violent, sous un ciel en partie voilé d’une mauve et grisâtre nuée, e
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
123 al jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle verte le pied cassé de mon petit fauteuil. Bonheur d’écrire et de me sentir
124 rte se rouvre d’elle-même devant un long corridor vert qui fait un coude à droite. Dix portes, toutes pareilles, et pas un n
125 lle, en contrepoint avec deux télétypes. Visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniq
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
126 ettes fauves, grands miroirs ternis, bibliothèque vert sombre et vieillotte, une sorte de patine vénitienne, et les bateaux
127 représenter avec ses lunettes noires, sa visière verte , et le chalumeau à la main, mais je ne vois encore que du glamour95 .
128 its phares dont clignotent irrégulièrement le feu vert — cinq secondes de révolution — et le feu rouge — six ou sept seconde
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
129 n. De nouveau des ifs non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs. Du lierre partout. Çà et là, des statues de fa
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
130 oisent lentement entre les troncs des pins sur un vert d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, dev
131 aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques.
132 argée de cadeaux enveloppés de papiers brillants, verts , rouges, argent et mordorés. Pourquoi ces échanges éperdus ? Est-ce e
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
133 en partie encombré de meubles d’occasion, tables vertes , miroirs, appareils à Coca-Cola, fourneaux, fauteuils, vieux frigidai
74 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
134 al jointe. Raccommodé avec un ligament de ficelle verte le pied cassé de mon petit fauteuil. Bonheur d’écrire et de me sentir
135 lle, en contrepoint avec deux télétypes, visières vertes aux fronts sous les lampes dures, manches retroussées, fatigue, paniq
75 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
136 cette ambiance d’innocence, de sports et d’ombres vertes  », que demeurait Albert Einstein, l’inventeur de la bombe atomique. N
76 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
137 e sentier de la guerre. Les feux rouges, des yeux verts , un profil détourné au croisement de deux rues, c’est New York, dont
77 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
138 end un long bassin rectangulaire, empli d’une eau verte et profonde. Tout autour du bassin, et sur l’îlot qui en occupe le ce
139 ottement des pieds nus, des saris roses, violets, vert assourdi. Des yeux brillent dans les portes sombres. Çà et là, un hom
78 1954, Preuves, articles (1951–1968). Il n’y a pas de « musique moderne » (juillet 1954)
140 sonance au goût de révolte, de soufre et d’œillet vert . Cette chose que Denis de Rougemont a la diablerie de nommer “simplem
79 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
141 ’un parti, voyage d’un homme d’État, triomphe des Verts ou des Bleus aux élections. Cette conception courante de l’action est
80 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
142 , sur des murs de plâtre jaune paille, airelle ou vert d’eau. Il est vrai que lorsqu’on se promène sur les quais, par une de
81 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). François Fontaine, La nation frein (juin-juillet 1956)
143 u d’une partie de « relance » jouée sur les tapis verts des chancelleries entre quelques professionnels. Si la volonté de viv
82 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
144 de la brume, repeint durant la nuit comme un banc vert auprès du lac précieux où trempent des parois à peine moins transluci
145 sons sages, un peu scolaires, et les gens en gris vert défilent, des visages s’immobilisent et plus rien n’est étrange ni be
83 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
146 il peut de s’en tirer. La plupart se peignent en vert , mais plusieurs en violet ou en rose. Quelques-uns restent rouges, et
84 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe s’inscrit dans les faits [Introduction] (novembre 1956)
147 adjectif « européen » en lettres d’or sur un fond vert , si cet homme s’avisait d’entrer et de nous demander à brûle-pourpoin
85 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
148 Peter Schlemihl. 67. Gottfried Keller : Henri le vert . 68. Nietzsche : Aurore. 69. Rainer Maria Rilke : Élégies de Duino. 7
86 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
149 Rougemont, une question de feux rouges et de feux verts , de contrat pour la commodité générale. Une morale personnaliste en q
87 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
150 ssons lentement dans la nuit des hauteurs, un feu vert , un feu rouge clignotant pour personne dans le crépuscule désertique,
88 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
151 s vraiment l’Europe ! Nous avons nos Bleus et nos Verts et nos jeux doctrinaux comme Byzance. Ce ne serait rien si les fédéra
89 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
152 s objections qui se multipliaient autour du tapis vert , j’ai noté sur un bout de papier la définition suivante : « L’Europée
90 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
153 , nous voyons aujourd’hui nos villes se mettre au vert , se vider pendant les week-ends. Nous voyons tout un peuple à peu prè
91 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
154 ardin où choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de fleurs. À c
92 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
155 ardin où choit sans fin du haut des arbres sur le vert assombri des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de fleurs. À c
93 1962, Articles divers (1957-1962). Dans vingt ans une Europe neuve (novembre 1962)
156 e de se le payer en allant vivre dans les régions vertes aménagées en France, Allemagne, Autriche, et surtout aux États-Unis,
94 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
157 ne intime. Rien de moins sec, d’ailleurs, de plus vert que sa prose. Mais laissons ces questions de goût. Ce qui m’importe i
95 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
158 ? Aujourd’hui déjà, notre vie est balisée de feux verts , de feux rouges et de feux clignotants. Nous les respectons, parce qu
96 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
159 t que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts , par exemple, dans l’unité globale d’une œuvre au sein de laquelle s’
97 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
160 t que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts , par exemple, dans l’unité globale d’une œuvre au sein de laquelle s’
98 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
161 t que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts , par exemple, dans l’unité globale d’une œuvre au sein de laquelle s’
99 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
162 ans doute dans mon souvenir visuel, ajoutés à des verts bien drus, des jaunes blonds et certains noirs assez féroces, à la Br
100 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
163 de la brume, repeint durant la nuit comme un banc vert auprès du lac précieux où trempent des parois à peine moins transluci
164 int un Christ vêtu de rouge marchant sur les eaux vertes et transparentes de la rade de Genève, vers une barque chargée d’apos
165 us contredisent, comme par exemple un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime les