1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 etc.). Supposons que j’éprouve un désir d’action vive , un élan vers certain but précis. Ou bien j’aurais juste le temps de
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 un admirable parti littéraire de son tempérament vif , insolent et ombrageux. « J’appartiens à la grande race des torrents.
3 a plus belle, — ce qui tressaille et m’atteint au vif , c’est tout de même un désespoir en quoi je ne vais pas m’empêcher de
4 duisant :) Croyez, Monsieur, à mon estime la plus vive . Mais décidément nous sommes débordés, voyez vous-même, pas moyen de
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
5 os circonstances confèrent une actualité toujours vive . D’ailleurs, sachons le reconnaître, il y a moins de malice que de pa
6 ent les fenêtres, dans une chambre peinte en bleu vif et ornée de surprenants batiks, il s’est livré pendant quelques année
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
7 ts. J’avoue prendre à cette étude un intérêt bien vif . Et cela fournit un merveilleux sujet de conversation, au café. Dans
5 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
8 re de pur esprit ? » C’est un premier filet d’eau vive qui perce le sol aride : mais Stéphane n’entend pas encore gronder le
6 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
9 vient troubler, aucune voix haute, aucune couleur vive . Les journaux qu’ils lisent annoncent chaque jour quelque catastrophe
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
10 voyance intéressée : mais celles-là sont les plus vives . Enfin, je tiens à reconnaître qu’ici je ne cherche point l’équité. P
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
11 primaire, parce qu’elle n’excite pas de réaction vive de la part des écoliers. Enfin, je n’aime pas qu’on traite le gosse c
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
12 a machine scolaire, elle, dévore des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crân
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
13 airvoyance intéressée : mais celle-là est la plus vive . Enfin, je tiens à reconnaître qu’ici je ne cherche point l’équité. P
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
14 primaire, parce qu’elle n’excite pas de réaction vive de la part des écoliers. Enfin, je n’aime pas qu’on traite le gosse c
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
15 a machine scolaire, elle, dévore des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’opération, tous les crân
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
16 dues, horizontales, soutenues par un long souffle vif . J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées par
17 me on chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne
18 là tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la présence de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
19 ’est une atmosphère des hauteurs, que l’air y est vif . Il faut être créé pour cette atmosphère, sinon l’on risque beaucoup
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
20 reçoit de sa famille. À la suite d’une discussion vive avec des étudiants chrétiens au sujet d’un de leurs camarades, Eiichi
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
21 ment, et, dans leur tumulte intérieur, les forces vives de l’être ont déchiré leur enveloppe, les âmes se sont ouvertes à tou
17 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
22 ouffrance, pour qu’une idée devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivions, jusqu’au point que chacun de nos
18 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
23 à choisir ses complices. Sans entrer donc dans le vif du débat — à savoir si Martin, « objecteur de conscience », a donné p
19 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
24 e, il s’imagine que réalité spirituelle sera plus vive , son âme plus fortement engagée dans le tragique essentiel. Calcul fa
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 dues, horizontales, soutenues par un long souffle vif . J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées par
26 me on chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne
27 là tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la présence de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
28 il s’imagine que sa réalité spirituelle sera plus vive , son âme plus fortement engagée dans le tragique essentiel. Calcul fa
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
29 dues, horizontales, soutenues par un long souffle vif . J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées par
30 me on chante du Verdi —, elles ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne
31 là tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la présence de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
32 monument. Je me pardonnerai ces remarques un peu vives si elles attirent l’attention de nos éducateurs sur une disgrâce que
24 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
33 is auquel notre époque vient de redonner une très vive nouveauté. Il est bien remarquable, en effet, de constater, en parcou
25 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
34 précieuses, il jette l’esprit du lecteur dans le vif d’un sujet, et loin d’exploiter l’avantage de cette surprise, place a
26 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
35 ution. Ce n’est pas encore s’attaquer aux racines vives du désordre. La seule rupture véritable, efficace, est celle que nous
27 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
36 el à toute existence ontologique. J’avoue la plus vive méfiance à l’égard de ce terme qui me paraît dangereusement lié à cer
28 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
37 lées du dogme, mais encore les critiques les plus vives des hérésies qui se sont introduites dans la piété de nos églises au
29 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
38 tique de gauche. Cette mystique est d’autant plus vive qu’elle se développe — provisoirement — à l’abri de toutes sanctions
30 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
39 ue de la gauche. Cette mystique est d’autant plus vive qu’elle se développe — provisoirement — à l’abri de toutes sanctions
31 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
40 du poète philosophe et du théologien projette une vive lumière sur le secret dernier du message d’un romancier : Dostoïevski
32 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
41 auche contre la droite, sans que jamais un centre vif ne soit rendu, par ces éclairs croisés, visible. C’est pourquoi sa pe
33 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
42 es roses, son grand front d’humaniste et ses yeux vifs de Méditerranéen lui composent un visage classique, que d’aucuns n’hé
34 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
43 néral Kellermann entraîne ses troupes au cri de «  Vive la Nation ! », les sans-culottes comprennent : « Vive la Révolution !
44 la Nation ! », les sans-culottes comprennent : «  Vive la Révolution ! » Ils ont raison. Pour nous, la vraie nation français
45 ique, destructeur à gauche et à droite des forces vives du pays. À l’heure présente, une chose est claire : le Front populair
35 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
46 llermann à Valmy entraîne ses troupes au cri de «  Vive la Nation ! » nation et peuple se confondaient alors dans la mystique
36 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). À propos du 14 juillet (juillet-août 1935)
47 ique, destructeur à gauche et à droite des forces vives du pays. À l’heure présente, une chose est claire : le Front populair
37 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
48 signé dès le début à cet état. Le plaisir le plus vif que réserve ce genre d’écrit, c’est de nous laisser lire dans le jeu
38 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
49 nie. Il faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composi
39 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
50 mme solide et fin, passionné et précis, au parler vif et sachant écouter, rompu aux abstractions et sachant voir, toujours
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
51 udain plus pesante que les forces qui sont encore vives dans l’ordre social par exemple, les chances et la nécessité d’une ré
41 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
52 reste au service d’une fin qui comporte une unité vive , la raison remplit son office qui est l’office mineur et nécessaire d
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
53 an voit un obscurcissement, je vois le gage d’une vive actualité ou efficacité du langage des clercs, identique à celui des
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
54 ce qui était le sous-entendu indiscuté, la règle vive du langage vivant, devient une espèce de truc, dont une minorité souv
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
55  national » cela ne rend plus du tout le son du «  Vive la Nation ! » de Valmy… C’est pourquoi le Français moyen traduit nati
45 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
56 remiers pas d’un géant aveuglé par une lueur trop vive , qui titube et se rejette vers l’ombre. Elle peut sembler pour l’heur
57 souffrance pour qu’une idée devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivions, jusqu’au point que chacun de nos
46 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
58 udain plus pesante que les forces qui sont encore vives dans l’ordre social par exemple, les chances et la nécessité d’une ré
47 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
59 reste au service d’une fin qui comporte une unité vive , la raison remplit son office qui est l’office mineur et nécessaire d
48 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
60 an voit un obscurcissement, je vois le gage d’une vive actualité ou efficacité du langage des clercs, identique à celui des
49 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
61 ce qui était le sous-entendu indiscuté, la règle vive du langage vivant, devient une espèce de truc, dont une minorité souv
50 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
62  national » cela ne rend plus du tout le son du «  Vive la Nation ! » de Valmy… C’est pourquoi le Français moyen traduit nati
51 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
63 remiers pas d’un géant aveuglé par une lueur trop vive , qui titube et se rejette vers l’ombre. Elle peut sembler pour l’heur
64 souffrance pour qu’une idée devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivions, jusqu’au point que chacun de nos
52 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
65 ure, il ne reste qu’une solution : que l’écrivain vive de sa plume. Or, c’est cela qui devient impraticable ; ou si praticab
53 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
66 crois au contraire qu’elles affectent les sources vives de notre civilisation. C’est pourquoi le problème apparemment seconda
54 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
67 mme ils s’appliquent à comprendre, comme ils sont vifs et peu timides, camarades, malicieux et indulgents — leurs bons rires
55 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
68 à l’époque présente, et en France, beaucoup plus vive et juste que celle des masses ou des politiciens. (Je ne dis pas qu’e
56 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
69 eue rosée piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’horizon.
70 de l’ouvrage. Enfin, je commence à comprendre au vif l’urgence, pour l’écrivain, de retrouver une commune mesure de langag
57 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
71 ligent de nous dire s’ils les ont essayées sur le vif , dans le détail de la vie quotidienne. Ils nous donnent très rarement
72 us dans un luxueux fauteuil de cuir rouge ou bleu vif et qui change de tête plusieurs fois pendant le trajet, de coups de m
58 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
73 Morbacka les origines biographiques, les sources vives de ce jaillissement d’inventions. Morbacka, c’est comme une anthologi
59 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
74 us dans un luxueux fauteuil de cuir rouge ou bleu vif , et qui change de tête plusieurs fois pendant le trajet, de coups de
60 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
75 ligent de nous dire s’ils les ont essayées sur le vif , dans le détail de la vie quotidienne. Ils nous donnent très rarement
76 us dans un luxueux fauteuil de cuir rouge ou bleu vif , et qui change de tête plusieurs fois pendant le trajet, de coups de
61 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
77 s encore, je pense encore : il faut encore que je vive , car il faut encore que je pense. Sum, ergo cogito… » (Nietzsche, Le
78 mme ils s’appliquent à comprendre, comme ils sont vifs et peu timides, camarades, malicieux et indulgents — leurs bons rires
79 bleu rosé piqué de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché. Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’horizon.
80 de l’ouvrage. Enfin, je commence à comprendre au vif l’urgence, pour l’écrivain, de retrouver une commune mesure de langag
62 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
81 an voit un obscurcissement, je vois le gage d’une vive actualité, ou efficacité, du langage des clercs, identique à celui de
63 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
82 , il a retrouvé soudain le cri de la Révolution : Vive la Nation ! Or ce cri qui lui donne la victoire le condamne. Je simpl
64 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
83 cque lui en sut très mauvais gré et lui en fit de vifs reproches à ses derniers moments. Mon oncle en fut affligé, et pour m
65 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
84 Il est intéressant de souligner l’opposition très vive des auteurs de ce Manifeste à l’égard du Parti national Breton et de
66 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
85 ni partir), il en vient à me parler non sans une vive nostalgie de l’œuvre de rapprochement franco-allemand qu’il avait ent
86 nie. Il faut au contraire poser à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composi
67 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
87 t n’avoir jamais connu de « vrai croyant » qui ne vive « selon la peur ». Serait-ce qu’il n’a jamais rencontré que des homme
68 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
88 « crise du mariage ». Elle appelait une réaction vive . Le succès du Roman de Tristan fut donc d’ordonner la passion dans un
89 ouloir, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la «  vive flamme d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne
69 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
90 on nie que l’hérésie cathare en ait été la source vive  ? Otto Rahn n’hésite point à écrire : « La plupart des troubadours ét
91 ette époque, l’expression du désir charnel est si vive et parfois si brutale qu’il est vraiment impossible de se tromper sur
92 ne Dame unique !) Où est alors cette expression «  vive et brutale » d’un désir évidemment charnel ? Dans la crudité de certa
70 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
93 ouffrances. Plus la lumière et l’amour divin sont vifs , plus l’âme se voit souillée et misérable en sorte qu’« elle se figur
94 ation et réjection, dans le temps même de la plus vive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la mêm
95 non son apaisement heureux. Plus leur passion est vive et plus elle les détache des choses créées, et plus facilement ils pa
71 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
96 Pétrarque demande comment il se peut faire qu’il vive encore, quoique séparé de sa dame : Mais Amour me répond : ne te sou
97 la ne m’empêchera point de confesser un goût très vif pour le style de ce roman — seul comparable à l’Astrée sous ce rappor
98 ave ! » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amour (II, 1). 127. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en u
72 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
99 ion contre la « science exacte ». C’est au cri de Vive la Nation ! que les sans-culottes repoussèrent l’armée « classique »
100 ances armées signifie l’anéantissement des forces vives de l’ennemi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des mères qui
101 la mort, avec démonstrations quotidiennes sur le vif . D’autre part, on pourrait la comparer un premier Plan de quatre ans
73 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
102 en plus rares si nous laissons tarir les sources vives de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation, ce n’
74 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
103 oldats. —  Il a raison ! C’est lui qui a raison ! Vive Nicolas ! C’est le meilleur qui s’en va ! (Nuit sur la scène de gauc
104 reprend sa marche. Deuxième station. Lumière plus vive .) Le chœur. Solitaire, où vont tes pas ? Au désert, ton orgueil s’
75 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
105 « crise du mariage ». Elle appelait une réaction vive . Le succès du Roman de Tristan fut donc d’ordonner la passion dans un
106 ouloir, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la «  vive flamme d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne
76 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
107 ette époque, l’expression du désir charnel est si vive et parfois si brutale qu’il est vraiment impossible de se tromper sur
108 ne Dame unique !) Où est alors cette expression «  vive et brutale » d’un désir évidemment charnel ? Dans la crudité de certa
109 l’école surréaliste). Les polémiques parfois fort vives provoquées par ma thèse, plus ou moins bien comprise70, les découvert
110 s, mais leur confrontation jette une lumière très vive sur la nature exacte comme sur l’évolution et les complexités de l’hé
77 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
111 ouffrances. Plus la lumière et l’amour divin sont vifs , plus l’âme se voit souillée et misérable en sorte qu’« elle se figur
112 ation et réjection, dans le temps même de la plus vive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la mêm
113 non son apaisement heureux. Plus leur passion est vive et plus elle les détache des choses créées, et plus facilement ils pa
78 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
114 Pétrarque demande comment il se peut faire qu’il vive encore, quoique séparé de sa dame : Mais Amour me répond : ne te sou
115 la ne m’empêchera point de confesser un goût très vif pour le style de ce roman — seul comparable à l’Astrée sous ce rappor
116 ave ! » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amour (II, 1). 145. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en u
79 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
117 ion contre la « science exacte ». C’est au cri de Vive la Nation ! que les sans-culottes repoussèrent l’armée « classique »
118 ances armées signifie l’anéantissement des forces vives de l’ennemi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des mères qui
119 la mort, avec démonstrations quotidiennes sur le vif . b) Cette collectivisation des moyens destructifs, mécanisés, eut po
80 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
120 « crise du mariage ». Elle appelait une réaction vive . Le succès du Roman de Tristan fut donc d’ordonner la passion dans un
121 ouloir, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la «  vive flamme d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne
81 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
122 ette époque, l’expression du désir charnel est si vive et parfois si brutale qu’il est vraiment impossible de se tromper sur
123 ne Dame unique !) Où est alors cette expression «  vive et brutale » d’un désir évidemment charnel ? Dans la crudité de certa
124 l’école surréaliste.) Les polémiques parfois fort vives provoquées par ma thèse, plus ou moins bien comprise62, les découvert
125 s, mais leur confrontation jette une lumière très vive sur la nature comme sur l’évolution et les complexités de l’hérésie.
82 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
126 ouffrances. Plus la lumière et l’amour divin sont vifs , plus l’âme se voit souillée et misérable en sorte qu’ « elle se figu
127 ation et réjection, dans le temps même de la plus vive ardeur de son amour. Il y aurait à citer cent pages où revient la mêm
128 non son apaisement heureux. Plus leur passion est vive et plus elle les détache des choses créées, et plus facilement ils pa
83 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
129 Pétrarque demande comment il se peut faire qu’il vive encore, quoique séparé de sa dame : Mais Amour me répond : ne te sou
130 la ne m’empêchera point de confesser un goût très vif pour le style de ce roman — seul comparable à l’Astrée sous ce rappor
131 ave ! » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amour (II, 1). 134. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en u
84 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
132 ion contre la « science exacte ». C’est au cri de Vive la Nation ! que les sans-culottes repoussèrent l’armée « classique »
133 ances armées signifie l’anéantissement des forces vives de l’ennemi : des ouvriers embrigadés dans les usines, des mères qui
134 la mort, avec démonstrations quotidiennes sur le vif . b) Cette collectivisation des moyens destructifs, mécanisés, eut po
85 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
135 t persécutées par l’Église. L’une fut même brûlée vive en 1236, et plusieurs furent soumises à l’ordalie. L’époque où appara
86 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
136 enant qu’il y a dans notre peuple assez de forces vives qui demandent à nous aider. Nous savons que notre initiative répond à
87 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
137 en plus rares si nous laissons tarir les sources vives de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation, ce n’
88 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
138 en plus rares si nous laissons tarir les sources vives de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation, ce n’
89 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
139 oque sa fièvre : ce serait vivre ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’était fatal. Voilà, je suis un obsédé. »
90 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
140 oque sa fièvre : ce serait vivre ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’était fatal. Voilà, je suis un obsédé. »
91 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
141 oque sa fièvre : ce serait vivre ! (Faut-il qu’on vive peu.) Plus tard on dit : « C’était fatal. Voilà, je suis un obsédé. »
92 1943, Articles divers (1941-1946). Rhétorique américaine (juin-juillet 1943)
142 et qui vous jette de but en blanc dans l’humanité vive du sujet, saisi par son côté sensationnel. L’article ensuite ne se dé
93 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
143 l’héroïsme populaire. Ce peuple en noir au regard vif s’est révélé face au danger. Il manquait d’armes, il lutte avec sa di
94 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
144 is une occasion privilégiée de confronter dans le vif d’une existence les aventures spirituelles décrites dans les pages qu
95 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
145 qui rattachaient la Suisse allemande aux sources vives de sa culture et de sa langue. Ce qu’on ne pardonnait pas à Hitler et
96 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
146 ant que la Bombe vienne volatiliser leurs centres vifs en une seconde, négligeant les armées purement décoratives ? Vous me
97 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
147 s restons impuissants à penser notre mort dans le vif , ce phénomène doit normalement être aperçu comme négligeable ; et s’y
148 t s’attendaient à l’éclat d’une lueur encore plus vive . Par degré le Grand Jour éclatait, toujours plus vaste et blanc dans
98 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
149 voulu savoir de cette futile grillade de cochons vifs , organisée par les services publicitaires de la Marine. Qu’on se rapp
99 1946, Articles divers (1941-1946). Réponse à l’enquête « Les travaux des écrivains » (24 août 1946)
150 ersonne , qui, publié il y a douze ans, obtint un vif succès en Hollande, où il joua un certain rôle dans la naissance du p
100 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
151 rainte de mourir à cette vie temporelle, les eaux vives fuiront ses lèvres ; car il faudrait, pour y être immergé, accepter d