1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
1 urdir sur un ballon ou bien l’on poursuit hors du village une discussion toujours trop courte. Et les repas réunissent tout le
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
2 ine à d’excellents garçons. Revenons au civil. Au village , quand on vous parle avec respect et trémolo d’un môssieu très instru
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
3 ce épanouie quoique énergique d’un de ces coqs de village qu’on vient de jucher sur la flèche de l’édifice administratif. Et c’
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
4 ce épanouie quoique énergique d’un de ces coqs de village qu’on vient de jucher sur la flèche de l’édifice administratif. Et c’
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 taxi, « nous deux le fantôme » comme on disait au village où je suis né, qui n’est pas ma patrie. Ce soir-là, le fantôme ayant
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
6 liers d’exemplaires, tels que banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
7 végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
7 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
8 ceau de bravoure, la page sur « les bruits de mon village  » qui servira de modèle aux écoliers futurs. Mais lorsqu’il stigmatis
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
9 ers d’exemplaires, tels que : banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
10 végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
11 rtons en break à deux chevaux, pour l’un des onze villages du burgraviat. Par des chemins à peine tracés au ras de la plaine sab
12 partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plu
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 ers d’exemplaires, tels que : banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
14 végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
15 rtons en break à deux chevaux, pour l’un des onze villages du burgraviat. Par des chemins à peine tracés au ras de la plaine sab
16 partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plu
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
17 ue cela prouve ? Quand l’avalanche balaye tout un village sauf deux maisons, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que c
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
18 s’arrêter, passer une nuit, se réveiller dans ce village où je suis né ; mesurer mon âge et le Temps. Mais la vie, mais ce tra
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
19 ins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du village viennent donner la sérénade. Et nous montons à ce balcon sur l’eau, a
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
20 maire, dont j’ai parlé ailleurse ; l’idée que mon village ne ressemble à aucun autre ; une connaissance intime de la neige ; le
16 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
21 vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un village de la Suisse allemande, un jeune pasteur, Karl Barth. Autour de lui,
17 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
22 par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon village . « Je vous dépose ici ? Où voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devan
23 struire un des trucs-là juste en face l’église du village , vous voyez d’ici ! Et toutes les combines que ça amène, ah ! mais al
18 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
24 he cosmique, comme une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en
19 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
25 uption d’une forme d’imagination nouvelle dans un village ou une contrée, plus rarement chez un individu, qui constitue le vrai
20 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
26 et s’installer, comme se sont installés dans ces villages malsains et mal soignés la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hér
27 r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux nid d’aigle, une pier
28 as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou
29 u Midi sont construits en général sur la place du village . En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes
30 que les communistes sont les plus intelligents du village . Ce sont eux, et eux seuls, qui proposent des réformes pratiques, qui
31 iculture ; mettre en commun les terres d’un petit village  ; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven
21 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
32 . Il me tardait de voir une fois les habitants du village réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinai
33 ptais me rendre à la première conférence. Mais le village d’A… est à huit kilomètres et la tempête m’avait empêché d’y aller à
34 ique, en effet, comme d’ailleurs tout le monde au village , à part la petite minorité de mauvaises têtes qui suit les prêches la
35 quelque chose de joliment absurde. Les paysans du village ne sont pas même tous capables de lire le journal, et j’ai remarqué q
36 dispersion ridicule des parcelles tout autour du village  : l’homme qui travaille ces bouts de champ, grands comme ma chambre,
37 Mais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le village comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six Sociétés de caractère util
38 uis un an, et c’était la ressource principale des villages . Le chef-lieu est en train de devenir la proie des politiciens de Par
39 r un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre village  ? 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller fair
40 ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village . Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
41 oupes, à bicyclette ou en charrettes, de tous les villages voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeun
42 L’autre est « républicain et antifasciste ». 2. Village à l’autre extrémité de l’île. 3. Combien d’ailleurs savent que ce mo
22 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
43 que sous Richelieu. Depuis lors, semble-t-il, les villages se dépeuplent, les traditions se perdent et les champs tombent en fri
44 9 novembre Premiers contacts avec les gens. — Le village se termine au bout de notre jardin. Passée la porte, on enfile une pe
45 las, commencer par l’épicière, quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
46 ne parviens pas à partager avec les hommes de ce village ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple fait que je ne
47 et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte de varech séché vient d
23 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
48 désignée. La première qu’il croisera en allant au village , si elle n’est pas mariée, deviendra sa compagne. Il sort. Il s’en fa
49 contre cette fois-ci, la plus pauvre orpheline du village  ; elle est défigurée par une énorme tache de vin. Faudra-t-il accepte
24 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
50 onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du village , de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle
51 embre 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le village se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet
52 las, commencer par l’épicière, quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
25 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
53 ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village . Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
26 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
54 ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village , illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
55 ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du village . De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
56 l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le village apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques
27 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
57 l’île dans sa longueur. Nous traversons de longs villages blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauvres, des landes où
58 uis endormi un moment. Nous approchons du dernier village . L’île devient très étroite. Par endroits, ce n’est plus qu’une bande
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
59 onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du village , de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle
60 que sous Richelieu. Depuis lors, semble-t-il, les villages se dépeuplent, les traditions se perdent et les champs tombent en fri
61 re 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le village se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet
62 las, commencer par l’épicière, quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
63 n sournoise d’une épicière. Ennui de traverser le village , quand on se sent observé derrière les fenêtres. Ô liberté des villes
64 tes les trois, en dix minutes, à une plage. Notre village est en effet situé sur une pointe avancée de l’île, et la quatrième d
65 rasser du regard une bonne partie de l’île, notre village , les marais et deux ou trois clochers lointains, noirs et blancs. La
66 es aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le village vu des dunes tantôt ressemble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d
67 ne parviens pas à partager avec les hommes de ce village ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple fait que je ne
68 . Il me tardait de voir une fois les habitants du village réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinai
69 ptais me rendre à la première conférence. Mais le village d’A. est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêché d’y aller à bic
70 ique, en effet, comme d’ailleurs tout le monde au village , à part la petite minorité de mauvaises têtes qui suit les prêches la
71 quelque chose de joliment absurde. Les paysans du village ne sont pas même tous capables de lire le journal, et j’ai remarqué q
72 , ou « hustubuse » comme l’appellent les vieux du village . Il faisait nuit noire, et un de ces mauvais froids humides. Rien de
73 dispersion ridicule des parcelles tout autour du village  : l’homme qui travaille ces bouts de champ grands comme ma chambre do
74 Mais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le village comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six sociétés de caractère util
75 uis un an, et c’était la ressource principale des villages . Le chef-lieu est en train de devenir la proie des politiciens de Par
76 r un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre village  ? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — E
77 ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village . Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
78 oupes, à bicyclette ou en charrettes, de tous les villages voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeun
79 et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de Venise. Une ode
80 L’autre est « républicain et antifasciste ». 2. Village à l’autre extrémité de l’île. 3. Combien d’ailleurs savent que ce mo
81 la mère Renaud s’occupe à faire la statistique du village  : 45 personnes sont âgées de 80 à 90 ans, sur une population de 450 â
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
82 et s’installer, comme se sont installés dans ces villages malsains et mal soignés, la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hé
83 par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon village . « Je vous dépose ici ? Où voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devan
84 un de ces trucs-là juste en face [de] l’église du village , vous voyez d’ici ! Et toutes les combines que ça amène, ah ! mais al
85 latrice des rythmes du pays. Pauvreté de tous ces villages  ! Et sur les routes, quelles autos incroyables, vieux tas de ferraill
86 r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux nid d’aigle, une pier
87 as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou
88 u Midi sont construits en général sur la place du village . En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes
89 que les communistes sont les plus intelligents du village . Ce sont eux et eux seuls qui proposent des réformes pratiques, qui d
90 ombée de la nuit, pour la descente quotidienne au village . Emmitouflés et silencieux, nous devons ressembler à cette « chouette
91 4 mars 1935 Deux jours au soleil, à Cassis. Le village vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point de touristes dans les
92 iculture ; mettre en commun les terres d’un petit village  ; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven
93 ctuel des choses. Tant de régions abandonnées, de villages vides, de champs en friche et de propriétaires ruinés ; et surtout ce
30 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
94 ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village , illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
95 ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du village . De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
96 l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le village apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques
31 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
97 bres, nous les passions en commun, à l’auberge du village … Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’école ; et tout délivr
32 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
98 rent-ils ? Par la terreur. Ils arrivaient dans un village , par petits groupes montés sur des camions mettaient le feu à la bour
33 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
99 ibres, nous les passions en commun à l’auberge du village … Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’école ; et tout délivr
100 riorité morale des non aryens). La seule fille du village qui trahisse son honneur : c’est qu’elle est née d’une mère russe. (T
101 tête figure l’Allemagne nouvelle. Grâce à lui, le village sera sauvé, les Russes proprement massacrés. Dans une scène pathétiqu
102 un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin délivré de la racaille asiatique, les jeunes gens se réunissent
103 he cosmique, comme une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en
34 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
104 de la France : par les routes, sur les places, de village en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de Dieu », les
35 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
105 e d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le village que les fourrageurs lui ont assigné pour y dormir cette nuit-là. Or l
36 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
106 fois par semaine il s’en va communier dans un des villages voisins, et c’est là toute sa nourriture. Car n’est-il pas écrit, com
37 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
107 pitaine dans les guerres, bon juge ensuite en nos villages , et te voici avec tes dix enfants, seul maître sur ta terre, et le me
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
108 a bonne heure ! On n’attendait plus que vous ! Le village est plein comme une arche. Nos beaux seigneurs et les paysans, veau,
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
109 de la France : par les routes, sur les places, de village en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de Dieu », les
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
110 e d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le village que les fourrageurs lui ont assigné pour y dormir cette nuit-là. Or l
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
111 de la France : par les routes, sur les places, de village en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de Dieu », les
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
112 e d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le village que les fourrageurs lui ont assigné pour y dormir cette nuit-là. Or l
43 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
113 , dans la plupart des villes, et dans beaucoup de villages . Même si de nombreuses familles d’ouvriers en font encore partie, c’e
44 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
114 e se font les diverses dénominations dans un même village . Mais ces traits extérieurs s’expliquent lorsqu’on découvre la réalit
45 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
115 41)e Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
116 e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du village , la route bifurque : l’une des routes prend à droite, vers la plaine,
117 dies : martine je suis aux champs Paix du village , silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étai
118 secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce village aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
46 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
119 ’expérience que la vie paisible des villes ou des villages ne leur aurait pas donné en dix ans. Ces 3 mois sont un puissant toni
120 ontacts avec les affaires militaires. Dans chaque village , dans chaque club de tir, on voit des « cercles d’amis » pour officie
121 ense qu’il y a de défilés et de montagnes. Chaque village de la Suisse est devenu un fort, ses entrées fermées par des barricad
122 risées pourrait seulement se faire en évitant les villages et en passant à travers les forêts ou les pâturages. Mais les routes
47 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
123 le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de village . Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
48 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
124 le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de village . Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
49 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
125 le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de village . Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
50 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
126 re 1940 Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
127 e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du village , la rue bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée
128 dies : Martine Je suis Aux champs Paix du village , silence des rues vides ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais
129 secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce village aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
51 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
130 le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de village . Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
52 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
131 penteur. On l’a convoqué au château qui domine un village de montagne, pour lui confier, probablement, des travaux relevant de
132 ndre Monsieur le comte. Tout le roman se passe au village , et se borne à décrire minutieusement les vaines tentatives de K. pou
133 t de Dieu qui dirige les destinées humaines (le «  village  »), la vertu des hasards et des délibérations mystérieuses qui planen
134 larant que K. n’a pas réellement droit de cité au village , mais qu’on l’autorise tout de même à y vivre et à y travailler, par
53 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
135 uption d’une forme d’imagination nouvelle dans un village ou une contrée, plus rarement chez un individu, qui constitue le vrai
54 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
136 l depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les villages et les villes portent encore des noms de Sagamores ou de tribus fameu
137 capitalistes et centralisateurs. Point d’usine au village , mais quatre églises : l’anglicane, la presbytérienne, la catholique,
55 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
138 dway, les grandes plaines couvertes d’usines, les villages aux maisons de bois blanc sur des pelouses bien peignées, le drapeau
56 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
139 lle planétaire. La flèche servait à la guerre des villages  ; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
57 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
140 ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de village tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
58 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
141 ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de village tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
59 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
142 lle planétaire. La flèche servait à la guerre des villages  ; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
60 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
143 traditionnelles et de lui faire subir la loi d’un village qui n’est pas le sien. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans l
61 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
144 isse était la commune. Aujourd’hui, le plus petit village compte deux ou trois églises différentes, et les paroisses sont deven
62 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
145 s, des capitaux et des avions. Ils ont libéré nos villages . Libérons-nous à leur contact, à leur exemple, de l’esprit villageois
63 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
146 arqué qu’on me refusait du beurre à l’épicerie du village de Lake George10, et que j’en paraissais fort ennuyé, nos voisins vin
64 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
147 la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du village . Une heure creuse à l’armée, quel beau vide, ou quelle plénitude du l
148 e 1938… Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
149 e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du village , la rue bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée
150 ondies :   martine je suis aux champs   Paix du village , silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étai
151 secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce village aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
65 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
152 des approches du Midi ? Pourtant, voici quelques villages occupés par des formations de la légion tchèque désarmée. Et soudain,
153 in accepte de nous arrêter pour une heure dans un village . Nous dînons sur la place, à des tables rapidement dressées. Toute la
66 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
154 l’Amérique. Forêts et plaines ondulées, quelques villages en bordure de la route avec leur église de bois blanc, mais peu de fe
67 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
155 mmune de Saint-Gothard (j’ignorais qu’il y eût un village de ce nom-là) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires
68 1946, Journal des deux mondes. Virginie
156 és où galopaient des troupeaux de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais
69 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
157 l depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les villages et les villes portent encore des noms de Sagamores ou de tribus fameu
158 capitalistes et centralisateurs. Point d’usine au village , mais quatre églises : l’anglicane, la presbytérienne, la catholique,
159 arqué qu’on me refusait du beurre à l’épicerie du village , et que j’en paraissais fort ennuyé, nos voisins vinrent un soir nous
160 nt répercutée, venant du fond de la baie, près du village . Puis les cloches se sont mises à sonner, et le petit couvent de l’au
70 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
161 ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de village tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
71 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
162 ue cela prouve ? Quand l’avalanche balaye tout un village sauf deux maisons, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que c
72 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
163 our, à Hiroshima. Hier, j’ai ramené le journal du village , et je l’ai lu presque en entier tout en marchant, malgré les petites
73 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
164 chat noir est devenu à moitié blanc. Un cowboy du village de Brigham accuse l’Atome d’avoir fait grisonner sa barbe. » — « Bost
74 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
165 lle planétaire. La flèche servait à la guerre des villages  ; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
75 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
166 our, à Hiroshima. Hier, j’ai ramené le journal du village , et je l’ai lu presque en entier tout en marchant, malgré les petites
76 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
167 chat noir est devenu à moitié blanc. Un cowboy du village de Brigham accuse l’atome d’avoir fait grisonner sa barbe. » — « Bost
77 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
168 lle planétaire. La flèche servait à la guerre des villages  ; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
169 rtons en break à deux chevaux, pour l’un des onze villages du burgraviat. Par des chemins à peine tracés au ras de la plaine sab
170 partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un village que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plu
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
171 ers d’exemplaires, tels que : banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
172 végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
173 l’île dans sa longueur. Nous traversons de longs villages blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauvres, des landes où
174 uis endormi un moment. Nous approchons du dernier village . L’île devient très étroite. Par endroits, ce n’est plus qu’une bande
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
175 onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du village , de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle
176 que sous Richelieu. Depuis lors, semble-t-il, les villages se dépeuplent, les traditions se perdent et les champs tombent en fri
177 re 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le village se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet
178 las, commencer par l’épicière, quand on aborde le village où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
179 n sournoise d’une épicière. Ennui de traverser le village , quand on se sent observé derrière les fenêtres. Ô liberté des villes
180 tes les trois, en dix minutes, à une plage. Notre village est en effet situé sur une pointe avancée de l’île, et la quatrième d
181 rasser du regard une bonne partie de l’île, notre village , les marais et deux ou trois clochers lointains, noirs et blancs. La
182 es aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le village vu des dunes tantôt ressemble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d
183 ne parviens pas à partager avec les hommes de ce village ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple fait que je ne
184 . Il me tardait de voir une fois les habitants du village réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinai
185 ptais me rendre à la première conférence. Mais le village d’A… est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêché d’y aller à bic
186 ique, en effet, comme d’ailleurs tout le monde au village , à part la petite minorité de mauvaises têtes qui suit les prêches la
187 quelque chose de joliment absurde. Les paysans du village ne sont pas même tous capables de lire le journal, et j’ai remarqué q
188 , ou « hustubuse » comme l’appellent les vieux du village . Il faisait nuit noire, et un de ces mauvais froids humides. Rien de
189 dispersion ridicule des parcelles tout autour du village  : l’homme qui travaille ces bouts de champ grands comme ma chambre do
190 ais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le village comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six sociétés de caractère util
191 uis un an, et c’était la ressource principale des villages . Le chef-lieu est en train de devenir la proie des politiciens de Par
192 r un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre village  ? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — E
193 ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village . Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
194 oupes, à bicyclette ou en charrettes, de tous les villages voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeun
195 et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de Venise. Une ode
196 ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du village , illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
197 ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du village . De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
198 l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le village apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques
199 L’autre est « républicain et antifasciste ». 27. Village à l’autre extrémité de l’île. 28. Combien d’ailleurs savent que ce m
200 la mère Renaud s’occupe à faire la statistique du village  : 45 personnes sont âgées de 80 à 90 ans, sur une population de 450 â
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
201 et s’installer, comme se sont installés dans ces villages malsains et mal soignés, la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hé
202 par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon village . « Je vous dépose ici ? Où voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devan
203 e un de ces trucs-là juste en face de l’église du village , vous voyez d’ici ! Et toutes les combines que ça amène, ah ! mais al
204 latrice des rythmes du pays. Pauvreté de tous ces villages  ! Et sur les routes, quelles autos incroyables, vieux tas de ferraill
205 r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N… et de V… où il habite. V…, c’est un vieux nid d’aigle, une pier
206 as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N… parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou
207 u Midi sont construits en général sur la place du village . En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes
208 que les communistes sont les plus intelligents du village . Ce sont eux et eux seuls qui proposent des réformes pratiques, qui d
209 ombée de la nuit, pour la descente quotidienne au village . Emmitouflés et silencieux, nous devons ressembler à cette « chouette
210 4 mars 1935 Deux jours au soleil, à Cassis. Le village vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point de touristes dans les
211 iculture ; mettre en commun les terres d’un petit village  ; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven
212 ctuel des choses. Tant de régions abandonnées, de villages vides, de champs en friche et de propriétaires ruinés ; et surtout ce
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
213 ibres, nous les passions en commun à l’auberge du village … Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’école ; et tout délivr
214 riorité morale des non-Aryens). La seule fille du village qui trahisse son honneur : C’est qu’elle est née d’une mère russe. (T
215 tête figure l’Allemagne nouvelle. Grâce à lui, le village sera sauvé, les Russes proprement massacrés. Dans une scène pathétiqu
216 un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le village enfin délivré de la racaille asiatique, les jeunes gens se réunissent
217 he cosmique, comme une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
218 la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du village . Une heure creuse, à l’armée, quel beau vide, ou quelle plénitude du
219 e 1938. Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
220 e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du village , la rue bifurque : une route prend à droite vers la plaine, escortée
221 rrondies :   martine je suis aux champs   Paix du village , silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étai
222 secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce village aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
223 des approches du Midi ? Pourtant, voici quelques villages occupés par des formations de la légion tchèque désarmée. Et soudain,
224 in accepte de nous arrêter pour une heure dans un village . Nous dînons sur la place, à des tables rapidement dressées. Toute la
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
225 t, du moins. Forêts et plaines ondulées, quelques villages en bordure de la route avec leur église de bois blanc, mais peu de fe
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
226 mmune de Saint-Gothard (j’ignorais qu’il y eût un village de ce nom-là) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
227 és où galopaient des troupeaux de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
228 l depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les villages et les villes portent encore des noms de Sagamores ou de tribus fameu
229 capitalistes et centralisateurs. Point d’usine au village , mais quatre églises : l’anglicane, la presbytérienne, la catholique,
230 arqué qu’on me refusait du beurre à l’épicerie du village , et que j’en paraissais fort ennuyé, nos voisins vinrent un soir nous
231 e de mes Lettres. Hier, j’ai ramené le journal du village , et je l’ai lu presque en entier tout en marchant, malgré les petites
232 nt répercutée, venant du fond de la baie, près du village . Puis les cloches se sont mises à sonner, et le petit couvent de l’au
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
233 ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de village tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
234 ue cela prouve ? Quand l’avalanche balaye tout un village sauf deux maisons, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que c
92 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
235 e contraste entre le puritanisme rigoureux de tel village de la Pennsylvanie, de tel milieu méthodiste ou baptiste, et le laiss
93 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
236 ans l’agréable maison qu’il occupe à la sortie du village de Ferney, désormais et pour toujours, prénommé Voltaire. Il me sembl
94 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
237 nnonçait avec une emphatique autorité des noms de villages que tout le monde connaissait, mais cela faisait partie du jeu. En bo
95 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
238 dway, les grandes plaines couvertes d’usines, les villages , aux maisons de bois blanc sur des pelouses bien peignées, le drapeau
96 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
239 raditionnelles, et de lui faire subir la loi d’un village qui n’est pas le sien. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans l
97 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
240 é aucune école. John Dos Passos vit dans un petit village de pêcheurs portugais, sur la côte de l’Atlantique. Eugène O’Neil à S
241 e se font les diverses dénominations dans un même village . Mais ces traits extérieurs s’expliquent lorsqu’on découvre la réalit
242 isse était la commune. Aujourd’hui, le plus petit village compte deux ou trois églises différentes, et les paroisses sont deven
98 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
243 e contraste entre le puritanisme rigoureux de tel village de la Pennsylvanie, de tel milieu méthodiste ou baptiste, et le laiss
99 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
244 épicerie, les mêmes bistros sur la même place de village , les mêmes apéros, et la même grand-rue ? Un Américain pourrait le di
245 l’agitation créatrice ?   La religion. — Dans un village américain, si vous ne faites partie d’aucune église, ce qui est autan
246 devenir fou. Il en va bien différemment dans les villages . Vous y deviendrez fou aussi, mais pour des raisons toutes contraires
247 s, des capitaux et des avions. Ils ont libéré nos villages . Libérons-nous à leur contact, à leur exemple, de l’esprit villageois
100 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
248 ins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du village viennent donner la sérénade. Et nous montons à ce balcon sur l’eau, a