1
urdir sur un ballon ou bien l’on poursuit hors du
village
une discussion toujours trop courte. Et les repas réunissent tout le
2
ine à d’excellents garçons. Revenons au civil. Au
village
, quand on vous parle avec respect et trémolo d’un môssieu très instru
3
ce épanouie quoique énergique d’un de ces coqs de
village
qu’on vient de jucher sur la flèche de l’édifice administratif. Et c’
4
ce épanouie quoique énergique d’un de ces coqs de
village
qu’on vient de jucher sur la flèche de l’édifice administratif. Et c’
5
taxi, « nous deux le fantôme » comme on disait au
village
où je suis né, qui n’est pas ma patrie. Ce soir-là, le fantôme ayant
6
liers d’exemplaires, tels que banlieue française,
village
suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
7
végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des
villages
vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
8
ceau de bravoure, la page sur « les bruits de mon
village
» qui servira de modèle aux écoliers futurs. Mais lorsqu’il stigmatis
9
ers d’exemplaires, tels que : banlieue française,
village
suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
10
végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des
villages
vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
11
rtons en break à deux chevaux, pour l’un des onze
villages
du burgraviat. Par des chemins à peine tracés au ras de la plaine sab
12
partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un
village
que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plu
13
ers d’exemplaires, tels que : banlieue française,
village
suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
14
végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des
villages
vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
15
rtons en break à deux chevaux, pour l’un des onze
villages
du burgraviat. Par des chemins à peine tracés au ras de la plaine sab
16
partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un
village
que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plu
17
ue cela prouve ? Quand l’avalanche balaye tout un
village
sauf deux maisons, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que c
18
s’arrêter, passer une nuit, se réveiller dans ce
village
où je suis né ; mesurer mon âge et le Temps. Mais la vie, mais ce tra
19
ins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du
village
viennent donner la sérénade. Et nous montons à ce balcon sur l’eau, a
20
maire, dont j’ai parlé ailleurse ; l’idée que mon
village
ne ressemble à aucun autre ; une connaissance intime de la neige ; le
21
vers la fin de la guerre, dans le presbytère d’un
village
de la Suisse allemande, un jeune pasteur, Karl Barth. Autour de lui,
22
par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon
village
. « Je vous dépose ici ? Où voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devan
23
struire un des trucs-là juste en face l’église du
village
, vous voyez d’ici ! Et toutes les combines que ça amène, ah ! mais al
24
he cosmique, comme une avalanche qui passe sur un
village
des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en
25
uption d’une forme d’imagination nouvelle dans un
village
ou une contrée, plus rarement chez un individu, qui constitue le vrai
26
et s’installer, comme se sont installés dans ces
villages
malsains et mal soignés la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hér
27
r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les
villages
de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux nid d’aigle, une pier
28
as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le
village
de N. parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou
29
u Midi sont construits en général sur la place du
village
. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes
30
que les communistes sont les plus intelligents du
village
. Ce sont eux, et eux seuls, qui proposent des réformes pratiques, qui
31
iculture ; mettre en commun les terres d’un petit
village
; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven
32
. Il me tardait de voir une fois les habitants du
village
réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinai
33
ptais me rendre à la première conférence. Mais le
village
d’A… est à huit kilomètres et la tempête m’avait empêché d’y aller à
34
ique, en effet, comme d’ailleurs tout le monde au
village
, à part la petite minorité de mauvaises têtes qui suit les prêches la
35
quelque chose de joliment absurde. Les paysans du
village
ne sont pas même tous capables de lire le journal, et j’ai remarqué q
36
dispersion ridicule des parcelles tout autour du
village
: l’homme qui travaille ces bouts de champ, grands comme ma chambre,
37
Mais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le
village
comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six Sociétés de caractère util
38
uis un an, et c’était la ressource principale des
villages
. Le chef-lieu est en train de devenir la proie des politiciens de Par
39
r un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre
village
? 15 mars 1934 Je rentre de Vendée. On m’avait demandé d’y aller fair
40
ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque
village
. Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
41
oupes, à bicyclette ou en charrettes, de tous les
villages
voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeun
42
L’autre est « républicain et antifasciste ». 2.
Village
à l’autre extrémité de l’île. 3. Combien d’ailleurs savent que ce mo
43
que sous Richelieu. Depuis lors, semble-t-il, les
villages
se dépeuplent, les traditions se perdent et les champs tombent en fri
44
9 novembre Premiers contacts avec les gens. — Le
village
se termine au bout de notre jardin. Passée la porte, on enfile une pe
45
las, commencer par l’épicière, quand on aborde le
village
où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
46
ne parviens pas à partager avec les hommes de ce
village
ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple fait que je ne
47
et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux.
Villages
blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte de varech séché vient d
48
désignée. La première qu’il croisera en allant au
village
, si elle n’est pas mariée, deviendra sa compagne. Il sort. Il s’en fa
49
contre cette fois-ci, la plus pauvre orpheline du
village
; elle est défigurée par une énorme tache de vin. Faudra-t-il accepte
50
onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du
village
, de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle
51
embre 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le
village
se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet
52
las, commencer par l’épicière, quand on aborde le
village
où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
53
ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque
village
. Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
54
ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du
village
, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
55
ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du
village
. De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
56
l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le
village
apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques
57
l’île dans sa longueur. Nous traversons de longs
villages
blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauvres, des landes où
58
uis endormi un moment. Nous approchons du dernier
village
. L’île devient très étroite. Par endroits, ce n’est plus qu’une bande
59
onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du
village
, de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle
60
que sous Richelieu. Depuis lors, semble-t-il, les
villages
se dépeuplent, les traditions se perdent et les champs tombent en fri
61
re 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le
village
se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet
62
las, commencer par l’épicière, quand on aborde le
village
où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
63
n sournoise d’une épicière. Ennui de traverser le
village
, quand on se sent observé derrière les fenêtres. Ô liberté des villes
64
tes les trois, en dix minutes, à une plage. Notre
village
est en effet situé sur une pointe avancée de l’île, et la quatrième d
65
rasser du regard une bonne partie de l’île, notre
village
, les marais et deux ou trois clochers lointains, noirs et blancs. La
66
es aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le
village
vu des dunes tantôt ressemble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d
67
ne parviens pas à partager avec les hommes de ce
village
ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple fait que je ne
68
. Il me tardait de voir une fois les habitants du
village
réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinai
69
ptais me rendre à la première conférence. Mais le
village
d’A. est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêché d’y aller à bic
70
ique, en effet, comme d’ailleurs tout le monde au
village
, à part la petite minorité de mauvaises têtes qui suit les prêches la
71
quelque chose de joliment absurde. Les paysans du
village
ne sont pas même tous capables de lire le journal, et j’ai remarqué q
72
, ou « hustubuse » comme l’appellent les vieux du
village
. Il faisait nuit noire, et un de ces mauvais froids humides. Rien de
73
dispersion ridicule des parcelles tout autour du
village
: l’homme qui travaille ces bouts de champ grands comme ma chambre do
74
Mais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le
village
comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six sociétés de caractère util
75
uis un an, et c’était la ressource principale des
villages
. Le chef-lieu est en train de devenir la proie des politiciens de Par
76
r un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre
village
? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — E
77
ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque
village
. Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
78
oupes, à bicyclette ou en charrettes, de tous les
villages
voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeun
79
et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux.
Villages
blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de Venise. Une ode
80
L’autre est « républicain et antifasciste ». 2.
Village
à l’autre extrémité de l’île. 3. Combien d’ailleurs savent que ce mo
81
la mère Renaud s’occupe à faire la statistique du
village
: 45 personnes sont âgées de 80 à 90 ans, sur une population de 450 â
82
et s’installer, comme se sont installés dans ces
villages
malsains et mal soignés, la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hé
83
par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon
village
. « Je vous dépose ici ? Où voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devan
84
un de ces trucs-là juste en face [de] l’église du
village
, vous voyez d’ici ! Et toutes les combines que ça amène, ah ! mais al
85
latrice des rythmes du pays. Pauvreté de tous ces
villages
! Et sur les routes, quelles autos incroyables, vieux tas de ferraill
86
r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les
villages
de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux nid d’aigle, une pier
87
as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le
village
de N. parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou
88
u Midi sont construits en général sur la place du
village
. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes
89
que les communistes sont les plus intelligents du
village
. Ce sont eux et eux seuls qui proposent des réformes pratiques, qui d
90
ombée de la nuit, pour la descente quotidienne au
village
. Emmitouflés et silencieux, nous devons ressembler à cette « chouette
91
4 mars 1935 Deux jours au soleil, à Cassis. Le
village
vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point de touristes dans les
92
iculture ; mettre en commun les terres d’un petit
village
; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven
93
ctuel des choses. Tant de régions abandonnées, de
villages
vides, de champs en friche et de propriétaires ruinés ; et surtout ce
94
ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du
village
, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
95
ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du
village
. De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
96
l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le
village
apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques
97
bres, nous les passions en commun, à l’auberge du
village
… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’école ; et tout délivr
98
rent-ils ? Par la terreur. Ils arrivaient dans un
village
, par petits groupes montés sur des camions mettaient le feu à la bour
99
ibres, nous les passions en commun à l’auberge du
village
… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’école ; et tout délivr
100
riorité morale des non aryens). La seule fille du
village
qui trahisse son honneur : c’est qu’elle est née d’une mère russe. (T
101
tête figure l’Allemagne nouvelle. Grâce à lui, le
village
sera sauvé, les Russes proprement massacrés. Dans une scène pathétiqu
102
un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le
village
enfin délivré de la racaille asiatique, les jeunes gens se réunissent
103
he cosmique, comme une avalanche qui passe sur un
village
des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en
104
de la France : par les routes, sur les places, de
village
en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de Dieu », les
105
e d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le
village
que les fourrageurs lui ont assigné pour y dormir cette nuit-là. Or l
106
fois par semaine il s’en va communier dans un des
villages
voisins, et c’est là toute sa nourriture. Car n’est-il pas écrit, com
107
pitaine dans les guerres, bon juge ensuite en nos
villages
, et te voici avec tes dix enfants, seul maître sur ta terre, et le me
108
a bonne heure ! On n’attendait plus que vous ! Le
village
est plein comme une arche. Nos beaux seigneurs et les paysans, veau,
109
de la France : par les routes, sur les places, de
village
en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de Dieu », les
110
e d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le
village
que les fourrageurs lui ont assigné pour y dormir cette nuit-là. Or l
111
de la France : par les routes, sur les places, de
village
en château. Les poèmes de Jacopone da Todi, « jongleur de Dieu », les
112
e d’Azincourt. Par erreur, le soir, il dépasse le
village
que les fourrageurs lui ont assigné pour y dormir cette nuit-là. Or l
113
, dans la plupart des villes, et dans beaucoup de
villages
. Même si de nombreuses familles d’ouvriers en font encore partie, c’e
114
e se font les diverses dénominations dans un même
village
. Mais ces traits extérieurs s’expliquent lorsqu’on découvre la réalit
115
41)e Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long
village
en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
116
e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du
village
, la route bifurque : l’une des routes prend à droite, vers la plaine,
117
dies : martine je suis aux champs Paix du
village
, silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étai
118
secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce
village
aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
119
’expérience que la vie paisible des villes ou des
villages
ne leur aurait pas donné en dix ans. Ces 3 mois sont un puissant toni
120
ontacts avec les affaires militaires. Dans chaque
village
, dans chaque club de tir, on voit des « cercles d’amis » pour officie
121
ense qu’il y a de défilés et de montagnes. Chaque
village
de la Suisse est devenu un fort, ses entrées fermées par des barricad
122
risées pourrait seulement se faire en évitant les
villages
et en passant à travers les forêts ou les pâturages. Mais les routes
123
le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de
village
. Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
124
le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de
village
. Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
125
le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de
village
. Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
126
re 1940 Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long
village
en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
127
e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du
village
, la rue bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée
128
dies : Martine Je suis Aux champs Paix du
village
, silence des rues vides ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais
129
secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce
village
aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
130
le Christ dans le fils de Joseph, charpentier de
village
. Mais l’incognito et l’alibi du diable sont exactement inverses : c’e
131
penteur. On l’a convoqué au château qui domine un
village
de montagne, pour lui confier, probablement, des travaux relevant de
132
ndre Monsieur le comte. Tout le roman se passe au
village
, et se borne à décrire minutieusement les vaines tentatives de K. pou
133
t de Dieu qui dirige les destinées humaines (le «
village
»), la vertu des hasards et des délibérations mystérieuses qui planen
134
larant que K. n’a pas réellement droit de cité au
village
, mais qu’on l’autorise tout de même à y vivre et à y travailler, par
135
uption d’une forme d’imagination nouvelle dans un
village
ou une contrée, plus rarement chez un individu, qui constitue le vrai
136
l depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les
villages
et les villes portent encore des noms de Sagamores ou de tribus fameu
137
capitalistes et centralisateurs. Point d’usine au
village
, mais quatre églises : l’anglicane, la presbytérienne, la catholique,
138
dway, les grandes plaines couvertes d’usines, les
villages
aux maisons de bois blanc sur des pelouses bien peignées, le drapeau
139
lle planétaire. La flèche servait à la guerre des
villages
; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
140
ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de
village
tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
141
ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de
village
tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
142
lle planétaire. La flèche servait à la guerre des
villages
; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
143
traditionnelles et de lui faire subir la loi d’un
village
qui n’est pas le sien. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans l
144
isse était la commune. Aujourd’hui, le plus petit
village
compte deux ou trois églises différentes, et les paroisses sont deven
145
s, des capitaux et des avions. Ils ont libéré nos
villages
. Libérons-nous à leur contact, à leur exemple, de l’esprit villageois
146
arqué qu’on me refusait du beurre à l’épicerie du
village
de Lake George10, et que j’en paraissais fort ennuyé, nos voisins vin
147
la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du
village
. Une heure creuse à l’armée, quel beau vide, ou quelle plénitude du l
148
e 1938… Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long
village
en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
149
e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du
village
, la rue bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée
150
ondies : martine je suis aux champs Paix du
village
, silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étai
151
secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce
village
aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
152
des approches du Midi ? Pourtant, voici quelques
villages
occupés par des formations de la légion tchèque désarmée. Et soudain,
153
in accepte de nous arrêter pour une heure dans un
village
. Nous dînons sur la place, à des tables rapidement dressées. Toute la
154
l’Amérique. Forêts et plaines ondulées, quelques
villages
en bordure de la route avec leur église de bois blanc, mais peu de fe
155
mmune de Saint-Gothard (j’ignorais qu’il y eût un
village
de ce nom-là) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires
156
és où galopaient des troupeaux de chevaux, et des
villages
aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais
157
l depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les
villages
et les villes portent encore des noms de Sagamores ou de tribus fameu
158
capitalistes et centralisateurs. Point d’usine au
village
, mais quatre églises : l’anglicane, la presbytérienne, la catholique,
159
arqué qu’on me refusait du beurre à l’épicerie du
village
, et que j’en paraissais fort ennuyé, nos voisins vinrent un soir nous
160
nt répercutée, venant du fond de la baie, près du
village
. Puis les cloches se sont mises à sonner, et le petit couvent de l’au
161
ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de
village
tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
162
ue cela prouve ? Quand l’avalanche balaye tout un
village
sauf deux maisons, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que c
163
our, à Hiroshima. Hier, j’ai ramené le journal du
village
, et je l’ai lu presque en entier tout en marchant, malgré les petites
164
chat noir est devenu à moitié blanc. Un cowboy du
village
de Brigham accuse l’Atome d’avoir fait grisonner sa barbe. » — « Bost
165
lle planétaire. La flèche servait à la guerre des
villages
; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
166
our, à Hiroshima. Hier, j’ai ramené le journal du
village
, et je l’ai lu presque en entier tout en marchant, malgré les petites
167
chat noir est devenu à moitié blanc. Un cowboy du
village
de Brigham accuse l’atome d’avoir fait grisonner sa barbe. » — « Bost
168
lle planétaire. La flèche servait à la guerre des
villages
; le fusil à la guerre des provinces ; le canon à la guerre des natio
169
rtons en break à deux chevaux, pour l’un des onze
villages
du burgraviat. Par des chemins à peine tracés au ras de la plaine sab
170
partielle. J’ai vu sur les terres de Waldburg un
village
que le burgrave a de son propre chef « libéré ». C’est de tous le plu
171
ers d’exemplaires, tels que : banlieue française,
village
suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta e
172
végétations. J’ai traversé l’angoisse lunaire des
villages
vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasa
173
l’île dans sa longueur. Nous traversons de longs
villages
blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauvres, des landes où
174
uis endormi un moment. Nous approchons du dernier
village
. L’île devient très étroite. Par endroits, ce n’est plus qu’une bande
175
onneux que l’on fume avec du varech. De l’île, du
village
, de la mer, je ne veux rien dire encore : je laisse tout cela se mêle
176
que sous Richelieu. Depuis lors, semble-t-il, les
villages
se dépeuplent, les traditions se perdent et les champs tombent en fri
177
re 1933 Premiers contacts avec les gens. — Le
village
se termine au bout de notre jardin. Passé la porte, on enfile une pet
178
las, commencer par l’épicière, quand on aborde le
village
où l’on va vivre. Celle-ci est énorme et goutteuse. Elle a des douleu
179
n sournoise d’une épicière. Ennui de traverser le
village
, quand on se sent observé derrière les fenêtres. Ô liberté des villes
180
tes les trois, en dix minutes, à une plage. Notre
village
est en effet situé sur une pointe avancée de l’île, et la quatrième d
181
rasser du regard une bonne partie de l’île, notre
village
, les marais et deux ou trois clochers lointains, noirs et blancs. La
182
es aux champs, petits hommes noirs courbés. Et le
village
vu des dunes tantôt ressemble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d
183
ne parviens pas à partager avec les hommes de ce
village
ce qui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple fait que je ne
184
. Il me tardait de voir une fois les habitants du
village
réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse, d’ordinai
185
ptais me rendre à la première conférence. Mais le
village
d’A… est à 8 kilomètres et la tempête m’avait empêché d’y aller à bic
186
ique, en effet, comme d’ailleurs tout le monde au
village
, à part la petite minorité de mauvaises têtes qui suit les prêches la
187
quelque chose de joliment absurde. Les paysans du
village
ne sont pas même tous capables de lire le journal, et j’ai remarqué q
188
, ou « hustubuse » comme l’appellent les vieux du
village
. Il faisait nuit noire, et un de ces mauvais froids humides. Rien de
189
dispersion ridicule des parcelles tout autour du
village
: l’homme qui travaille ces bouts de champ grands comme ma chambre do
190
ais personne n’a l’idée de rien entreprendre. Le
village
comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six sociétés de caractère util
191
uis un an, et c’était la ressource principale des
villages
. Le chef-lieu est en train de devenir la proie des politiciens de Par
192
r un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre
village
? 19 février 1934 Les gens : récit d’une journée paysanne. — E
193
ares, ce qu’il y a de plus attristant dans chaque
village
. Aujourd’hui, les stations d’autocars sont sur la place principale. C
194
oupes, à bicyclette ou en charrettes, de tous les
villages
voisins. Du haut de la colline où nous étions tous réunis pour déjeun
195
et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux.
Villages
blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de Venise. Une ode
196
ans l’odeur des lauriers épais. Voici les rues du
village
, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgissent des c
197
ttres à porter à l’autobus. Il faut s’éloigner du
village
. De nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons
198
l’ouverture de la boîte aux lettres. De loin, le
village
apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas, éclairent quelques
199
L’autre est « républicain et antifasciste ». 27.
Village
à l’autre extrémité de l’île. 28. Combien d’ailleurs savent que ce m
200
la mère Renaud s’occupe à faire la statistique du
village
: 45 personnes sont âgées de 80 à 90 ans, sur une population de 450 â
201
et s’installer, comme se sont installés dans ces
villages
malsains et mal soignés, la tuberculose, l’alcoolisme et la misère hé
202
par nécessité… Nous arrivons sur la place de mon
village
. « Je vous dépose ici ? Où voulez-vous ? Tenez, on va s’arrêter devan
203
e un de ces trucs-là juste en face de l’église du
village
, vous voyez d’ici ! Et toutes les combines que ça amène, ah ! mais al
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latrice des rythmes du pays. Pauvreté de tous ces
villages
! Et sur les routes, quelles autos incroyables, vieux tas de ferraill
205
r vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les
villages
de N… et de V… où il habite. V…, c’est un vieux nid d’aigle, une pier
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as d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le
village
de N… parmi les rangées de peupliers : il faut suivre des yeux la rou
207
u Midi sont construits en général sur la place du
village
. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes
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que les communistes sont les plus intelligents du
village
. Ce sont eux et eux seuls qui proposent des réformes pratiques, qui d
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ombée de la nuit, pour la descente quotidienne au
village
. Emmitouflés et silencieux, nous devons ressembler à cette « chouette
210
4 mars 1935 Deux jours au soleil, à Cassis. Le
village
vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point de touristes dans les
211
iculture ; mettre en commun les terres d’un petit
village
; vendre le vin du pays dans les épiceries du pays, lesquelles ne ven
212
ctuel des choses. Tant de régions abandonnées, de
villages
vides, de champs en friche et de propriétaires ruinés ; et surtout ce
213
ibres, nous les passions en commun à l’auberge du
village
… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’école ; et tout délivr
214
riorité morale des non-Aryens). La seule fille du
village
qui trahisse son honneur : C’est qu’elle est née d’une mère russe. (T
215
tête figure l’Allemagne nouvelle. Grâce à lui, le
village
sera sauvé, les Russes proprement massacrés. Dans une scène pathétiqu
216
un Dieu qui sauve l’honneur de mon peuple ! » Le
village
enfin délivré de la racaille asiatique, les jeunes gens se réunissent
217
he cosmique, comme une avalanche qui passe sur un
village
des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en
218
la soupe. Nous dînerons dans une heure au café du
village
. Une heure creuse, à l’armée, quel beau vide, ou quelle plénitude du
219
e 1938. Périgny… C’était bien ce nom-là ? Un long
village
en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée,
220
e, au ras de la plaine. Un peu avant la sortie du
village
, la rue bifurque : une route prend à droite vers la plaine, escortée
221
rrondies : martine je suis aux champs Paix du
village
, silence des rues vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étai
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secret de pudeur naïvement dévoilé. Secret de ce
village
aux volets clos. Imaginant une idylle muette. Celui qui revient au pa
223
des approches du Midi ? Pourtant, voici quelques
villages
occupés par des formations de la légion tchèque désarmée. Et soudain,
224
in accepte de nous arrêter pour une heure dans un
village
. Nous dînons sur la place, à des tables rapidement dressées. Toute la
225
t, du moins. Forêts et plaines ondulées, quelques
villages
en bordure de la route avec leur église de bois blanc, mais peu de fe
226
mmune de Saint-Gothard (j’ignorais qu’il y eût un
village
de ce nom-là) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires
227
és où galopaient des troupeaux de chevaux, et des
villages
aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais
228
l depuis l’époque des Iroquois et des Hurons. Les
villages
et les villes portent encore des noms de Sagamores ou de tribus fameu
229
capitalistes et centralisateurs. Point d’usine au
village
, mais quatre églises : l’anglicane, la presbytérienne, la catholique,
230
arqué qu’on me refusait du beurre à l’épicerie du
village
, et que j’en paraissais fort ennuyé, nos voisins vinrent un soir nous
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e de mes Lettres. Hier, j’ai ramené le journal du
village
, et je l’ai lu presque en entier tout en marchant, malgré les petites
232
nt répercutée, venant du fond de la baie, près du
village
. Puis les cloches se sont mises à sonner, et le petit couvent de l’au
233
ser de trouver cela nigaud, et de faire le coq de
village
tout hérissé, griffu, inefficace. Circulez donc, allez voir, et aimez
234
ue cela prouve ? Quand l’avalanche balaye tout un
village
sauf deux maisons, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que c
235
e contraste entre le puritanisme rigoureux de tel
village
de la Pennsylvanie, de tel milieu méthodiste ou baptiste, et le laiss
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ans l’agréable maison qu’il occupe à la sortie du
village
de Ferney, désormais et pour toujours, prénommé Voltaire. Il me sembl
237
nnonçait avec une emphatique autorité des noms de
villages
que tout le monde connaissait, mais cela faisait partie du jeu. En bo
238
dway, les grandes plaines couvertes d’usines, les
villages
, aux maisons de bois blanc sur des pelouses bien peignées, le drapeau
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raditionnelles, et de lui faire subir la loi d’un
village
qui n’est pas le sien. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans l
240
é aucune école. John Dos Passos vit dans un petit
village
de pêcheurs portugais, sur la côte de l’Atlantique. Eugène O’Neil à S
241
e se font les diverses dénominations dans un même
village
. Mais ces traits extérieurs s’expliquent lorsqu’on découvre la réalit
242
isse était la commune. Aujourd’hui, le plus petit
village
compte deux ou trois églises différentes, et les paroisses sont deven
243
e contraste entre le puritanisme rigoureux de tel
village
de la Pennsylvanie, de tel milieu méthodiste ou baptiste, et le laiss
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épicerie, les mêmes bistros sur la même place de
village
, les mêmes apéros, et la même grand-rue ? Un Américain pourrait le di
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l’agitation créatrice ? La religion. — Dans un
village
américain, si vous ne faites partie d’aucune église, ce qui est autan
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devenir fou. Il en va bien différemment dans les
villages
. Vous y deviendrez fou aussi, mais pour des raisons toutes contraires
247
s, des capitaux et des avions. Ils ont libéré nos
villages
. Libérons-nous à leur contact, à leur exemple, de l’esprit villageois
248
ins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du
village
viennent donner la sérénade. Et nous montons à ce balcon sur l’eau, a