1
5)l « Quel est celui-là qui s’avance » avec ce
visage
d’entre la vie et la mort « où se reflète le passage incessant d’oise
2
mis ; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt
visages
que je puis à peine reconnaître. Reste le monde, — les choses, les fa
3
phares d’automobiles étoilent le brouillard, les
visages
se cachent dans des fourrures, personne ne sait la richesse de ta vie
4
e consolante et libératrice. Mais tu m’offrais un
visage
un peu crispé, signe d’une ironie secrète et pour moi douloureuse enc
5
iver et soudain sous la lueur d’un incendie, deux
visages
tordus de passion. Cette fin est admirable, dont la brutalité si long
6
onter. Je finissais par vous voir partout. Chaque
visage
de femme révélait soudain un trait de votre visage. Il aurait fallu c
7
isage de femme révélait soudain un trait de votre
visage
. Il aurait fallu courir après celle-là qui venait de tourner à l’angl
8
e luxe s’était arrêté tout près de moi. Je vis un
visage
à l’intérieur se pencher vers la vitre… Je montai. Il n’y avait que d
9
nt la folie douloureuse qui devait contracter mon
visage
. Je promenais sur tous des regards angoissés, avides, implorants. Oh
10
cuse pas. À peine si je puis encore évoquer votre
visage
. Peut-être ne vous ai-je pas vraiment aimée, mais bien ce goût profon
11
n ivre d’un projecteur, des signes fatidiques, le
visage
d’un ange. i. « Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle », R
12
ncontre parmi les éclairs d’un luxe mécanique, le
visage
dans sa fourrure. Elle découvre en passant près de lui le sourire d’a
13
d pas le sujet par l’intérieur, mais il taille ce
visage
dans une pâte riche et un peu lourde, son pinceau la palpe, la presse
14
iles, d’une plus grande certitude intérieure. Les
visages
sont plus calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point
15
mais une grande mèche insolente retombe devant le
visage
. Aurèle tient un livre ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le lise
16
encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que les
visages
qui s’y reflèteront soient aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle
17
alicieuse et fine psychologie. Mais à ce mot, son
visage
s’assombrit un peu. « Tous nos ennuis nous seraient épargnés si nous
18
ait aussi : une fièvre faisait s’épanouir sur son
visage
je ne sais quel plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit
19
’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce
visage
aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Voilà que la
20
un brusque faisceau de lumière m’apparaît avec le
visage
même de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied. Vertige de
21
quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le
visage
de mon voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire. Je sen
22
ntain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des
visages
naissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les
23
ans le temps et l’espace. Cent années et tous les
visages
aimés revivent dans cette coupe de songes avec toutes leurs illusions
24
res à se regarder dans les yeux. Il varie sur son
visage
les jeux de lumière et de sentiments. Il découvre une sorte de rire a
25
rité. Peut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre
visage
. Car oublier son visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur es
26
naîtrais-tu sous un autre visage. Car oublier son
visage
, ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit ? » C’est un premie
27
gards. Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton
visage
me cache tous les miroirs » — à une femme qu’il aimait. m. « Miroir
28
-bas d’évocations hautes en couleur, de rêves, de
visages
, tandis que ç[à] et là s’ouvrent des perspectives saisissantes sur l’
29
ie des grandeurs de naguère, tout cela compose un
visage
romantique et ardent dont le voyageur s’éprend malgré lui, malgré tou
30
in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au
visage
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
31
in d’autres souvenirs attristés par le temps, des
visages
qui ne sont plus tout à fait les mêmes, des bonheurs qui signifient p
32
vent autour du monde où nous vivons parquent les
visages
les sons brassent les lueurs des messages et des sanglots perdus qui
33
ton nom même avec l’accent de notre amour et mon
visage
est immobile tourné vers l’ombre où tu m’entends. III Fais rentre
34
oux, le travail jusqu’à l’aube, la naissance d’un
visage
dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De là, je l
35
tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon
visage
gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
36
us déverse dans cette foule et ces musiques, deux
visages
amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
37
plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent
visages
, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
38
es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le
visage
impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
39
mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au
visage
mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
40
aire une étude psychologique, en observant sur le
visage
de celui-ci les expressions changeantes qu’y imprimait la passion. Il
41
sur ses traits. Je ne me lasse pas de méditer ce
visage
dont Klauer modela l’effigie passionnément triste et dominatrice. Lar
42
ins leur nombre dans la pluie Autour de toi les
visages
qui fuient — l’éclair noyé dans ses yeux détournés ! — tout se re
43
n entendu de pareil, ainsi qu’en témoignent leurs
visages
anonymes. Ils n’auront pas à s’exprimer, d’ailleurs, sinon par la voi
44
’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce
visage
aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Et voici que
45
un brusque faisceau de lumière m’apparaît avec le
visage
même de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied. Vertige de
46
quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le
visage
de mon voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire. Je sen
47
ntain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des
visages
naissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les
48
ans le temps et l’espace. Cent années et tous les
visages
aimés revivent dans cette coupe de songes, avec leurs illusions, — ce
49
eules réelles, ces reflets qui nous illuminent le
visage
terrestre des choses dont l’autre moitié sera toujours cachée, ainsi
50
llerines est émouvant, masque plus vrai que leurs
visages
.) On éteint. Et c’est alors, d’un balcon qui domine les groupes, une
51
ard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon
visage
où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de sa mus
52
ent, Henny Porten immobile présente de profil son
visage
un peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je
53
mégarde… On se presse au bar assourdissant et les
visages
se prennent à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque où tout ce q
54
hostile. Elle se tait. Alors je me tourne vers ce
visage
très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendres
55
d’où remonte notre peine. Ah ! surprendre sur un
visage
décontenancé, et jusque dans le rythme d’une respiration, l’envahisse
56
tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon
visage
gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
57
us déverse dans cette foule et ces musiques, deux
visages
amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
58
plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent
visages
, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
59
es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le
visage
impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
60
mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au
visage
mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
61
in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au
visage
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
62
ns sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le
visage
blanc de la femme debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l
63
e branche et la Lune éclairait à longs traits nos
visages
. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
64
seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des
visages
devant l’atrocité de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon l
65
oux, le travail jusqu’à l’aube, la naissance d’un
visage
dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…). De là, je
66
llerines est émouvant, masque plus vrai que leurs
visages
.) On éteint. Et c’est alors, d’un balcon qui domine les groupes, une
67
ard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon
visage
où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de sa mus
68
ent, Henny Porten immobile présente de profil son
visage
un peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je
69
mégarde… On se presse au bar assourdissant et les
visages
se prennent à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque où tout ce q
70
hostile. Elle se tait. Alors je me tourne vers ce
visage
très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendres
71
d’où remonte notre peine. Ah ! surprendre sur un
visage
décontenancé, et jusque dans le rythme d’une respiration, l’envahisse
72
tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon
visage
gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
73
us déverse dans cette foule et ces musiques, deux
visages
amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
74
plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent
visages
, lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
75
es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le
visage
impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
76
mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au
visage
mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
77
in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au
visage
de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
78
ns sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le
visage
blanc de la femme debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l
79
e branche et la Lune éclairait à longs traits nos
visages
. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
80
seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des
visages
devant l’atrocité de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon l
81
ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
82
ne vaste pièce où j’étais seul devant l’admirable
visage
, debout au pied du lit, prolongeant le gisant, j’ai su que j’étais d’
83
sais-je d’eux, qui me regardent ? Cette aïeule au
visage
émacié, coiffé de longues boucles noires, j’ai lu ses lettres. Derniè
84
oint menace encore ni même froncement de ce grand
visage
qui nous regarde tellement, mais nous sommes plutôt égarés dans son a
85
Jeune Europe (4 décembre 1933)g Que le
visage
de l’Europe ait changé, depuis dix ans, plus qu’il ne l’avait fait de
86
uveau organique, d’un afflux de sèves saines ? Ce
visage
étrange de l’Europe est-il celui d’un nouveau venu, ou bien y disting
87
rimacer d’une grimace fâcheusement américaine, le
visage
rajeuni de l’Europe. En vérité, et c’est une des observations capital
88
Le nous n’est rien qu’un biais, c’est un tu sans
visage
et qui vient se confondre avec un je désormais incertain de ses limit
89
t son profil, je veux dire par la tension que son
visage
rendait visible, ou mieux, imposait à la vue, comme l’image même de l
90
chez un homme que son mystère, et ceci définit un
visage
. d. « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu », Présence, Lausanne et G
91
rand évêque ou de cette fille de ferme « au mince
visage
de belette » qui enterre son enfant dans la neige avec une sorte d’in
92
e » dont nous connaissons désormais le monstrueux
visage
? — « Nous sommes sur la terre décisive… » Antithétique — an-archique
93
ctrines, reparaître les traits ironiques du grand
visage
de Kierkegaard, il me vient à l’esprit une image dont le burlesque n’
94
a pitié énigmatique d’un Dostoïevski. Ici tout le
visage
de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son rire n’est rien que
95
rist, un homme oserait-il s’avancer et cracher au
visage
du Fils de Dieu ? Mais qu’il soit foule, il aura ce « courage », — il
96
l’argent, ce symbole unique de la puissance sans
visage
. Dire que le monde est devenu impensable, c’est avouer qu’il n’y a pl
97
rand évêque ou de cette fille de ferme « au mince
visage
de belette » qui enterre son enfant dans la neige avec une sorte d’in
98
es bourgeois s’obstinent à nommer l’ordre social.
Visage
de l’État, Raison d’État, semblable aux raisons obscures et implacabl
99
ez un de ces studios bien nus, où la vie prend un
visage
tellement abstrait qu’on n’arrive plus même à s’y aimer : Colette a d
100
end l’homme visible à l’homme, et nous sculpte un
visage
lisible. Sur la scène du monde, où nous avons été placés, dans ce dra
101
t inventer, il y a des figurants qui n’ont pas de
visage
; mais ceux qu’on voit sont les acteurs qui jouent leur rôle d’hommes
102
chœur des anonymes résignés, pour revêtir un vrai
visage
, un nom et une autorité, une attitude d’auteur de son propre destin ?
103
s ont un « front commun », mais ils n’ont plus de
visages
particuliers. Deux mythes Le Bonheur est un mythe. C’est un éta
104
emagne, en Russie, en Italie, vous retrouverez ce
visage
, cette allure, ce sentiment de la vie immédiate que vous voyez grandi
105
e » dont nous connaissons désormais le monstrueux
visage
, qui est celui de l’État totalitaire ? — « Nous sommes sur la terre d
106
s ont un « front commun », mais ils n’ont plus de
visages
particuliers. Deux mythes Le Bonheur est un mythe. C’est un éta
107
emagne, en Russie, en Italie, vous retrouverez ce
visage
, cette allure, ce sentiment de la vie immédiate que vous voyez grandi
108
m’approcher : la vision est un acte. Vision et
visage
La vision relie et sépare. Passant du sujet à l’objet, elle les un
109
n pourrait dire de la vision, on peut les dire du
visage
. La langue allemande ne connaît qu’un mot pour visage et vision : Ges
110
ge. La langue allemande ne connaît qu’un mot pour
visage
et vision : Gesicht. Quelle est donc cette parenté des apparences ? S
111
tte parenté des apparences ? Si la vision voit le
visage
, et de la sorte, s’en distingue, rappelons-nous qu’elle a son siège a
112
pelons-nous qu’elle a son siège au centre même du
visage
. Sans visage il n’est plus de vision. Ou l’inverse. Ainsi le je et le
113
u’elle a son siège au centre même du visage. Sans
visage
il n’est plus de vision. Ou l’inverse. Ainsi le je et le tu sont dist
114
i qui l’a créé. » (Col. 3.10) Sur la vision et le
visage
: « Nous tous, qui, le visage découvert contemplons comme dans un mir
115
Sur la vision et le visage : « Nous tous, qui, le
visage
découvert contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nou
116
re de notre vocation et la forme visible de notre
visage
, il y a le péché, et les abîmes du temps. Dans le monde de la mesure
117
oient « les yeux de la foi », il semble que notre
visage
n’en soit qu’une mauvaise épreuve, déjà brûlée, ici et là, ridée froi
118
symphonies, danses, jardins, temples, statues, —
visages
! Dans l’enfance de la lumière. L’image physionomique de l’Univers
119
autre part, bâtissent et soutiennent l’édifice du
visage
de l’homme. Kassner remarque qu’à la lecture des grands moralistes fr
120
s une phrase qui se rapporte à l’expression ou au
visage
. Même La Bruyère, physionomiste par tempérament, ne voit partout que
121
omme « l’extérieur » de l’homme, mais non pas son
visage
. Pour lui comme pour tous les autres (à l’exception de Pascal), l’hom
122
nous, il nous faut choisir : ou l’anecdote, ou le
visage
. L’expérience montre constamment que les hommes qui savent des anecdo
123
l’extension de son domaine… Il est le maître des
visages
, des anatomies, des machines. Il sait de quoi se fait un sourire ; il
124
bitées ; enfin je finis par me dire ; je vois des
visages
de générations passées — cette contrée est couverte par les images d’
125
de, ou plutôt une image du monde, dont l’étude du
visage
n’est qu’un particulier, à vrai dire privilégié. 24. La réaction ant
126
épuise en une saison, si j’en crois l’amitié, les
visages
, et les couleurs si pures qu’il laisse dans le souvenir. m. « Roger
127
t ses yeux vifs de Méditerranéen lui composent un
visage
classique, que d’aucuns n’hésitent pas à comparer à celui du Vinci, q
128
emps de l’acte vient s’inscrire sur les traits du
visage
héroïque. Dans cette chair qui doit vieillir, la tension de la mort e
129
Qu’est-ce que la personne ? C’est la vision et le
visage
du héros, sa vision contre son visage, sa vision qui crée son visage.
130
ision et le visage du héros, sa vision contre son
visage
, sa vision qui crée son visage. Le visage appartient au temps, mais l
131
vision contre son visage, sa vision qui crée son
visage
. Le visage appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle
132
tre son visage, sa vision qui crée son visage. Le
visage
appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle procède, et
133
ue et fiévreux qui peuple nos cités, l’homme sans
visage
et sans prochain, — sans vocation ! — s’imagine que l’acte viendra co
134
algie, et son regard n’est pas une vision dans un
visage
, mais une manière de loucher vers « les autres », une chaîne qui le l
135
? Me voici seul sur le chemin ; mais je vois des
visages
fraternels où s’agitait la foule confuse et menaçante. Nous ne voyons
136
foule confuse et menaçante. Nous ne voyons aucun
visage
ailleurs que dans l’acte d’aimer. 7. Toute vocation est sans précé
137
nt, et dès l’origine. C’est pourquoi l’homme a un
visage
et une vision, ce que n’ont pas les animaux ; c’est pourquoi l’homme
138
t transformé en domaine. Il faut le lire comme un
visage
. Qu’est-ce qu’un domaine, qu’est-ce qu’une propriété réelle, sinon l’
139
crient : Esprit ! Esprit43 ! Mais je regarde leur
visage
. « Si c’était vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de toute création e
140
ait »… Ainsi la clé de toute création est dans le
visage
de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créateur, c’est-à-dire un
141
e dans la main qui réalise une vision. Et dans le
visage
qui conditionne le regard, et se modèle selon les prises du regard. (
142
allemand, le seul mot Gesicht signifie à la fois
visage
, vision, et vue au sens d’idée.) ⁂ Ouvrez un livre de Ramuz : les cho
143
cret, fût-il même un silence, laisse une trace au
visage
de l’homme, modifie sa forme existante. « La figure a été faite sur l
144
ion du regard de Rembrandt, et par là même de son
visage
, qu’une reproduction de ses modèles qui nous importent assez peu. Cet
145
le nous n’est rien qu’un biais : c’est un tu sans
visage
qui vient se confondre avec un moi désormais incertain de ses limites
146
ion du regard de Rembrandt, et par là même de son
visage
, qu’une reproduction de ses modèles qui nous importent assez peu. Cet
147
le nous n’est rien qu’un biais : c’est un tu sans
visage
qui vient se confondre avec un moi désormais incertain de ses limites
148
rchon de papier d’emballage. Pas un de ces petits
visages
qui ne soit beau et fin mais incroyablement crasseux. Vers la gare, i
149
gre, casquette et veste de toile bleue proprette,
visage
nerveux et intelligent. — Vous avez mon Huma ? — Bou die ! je les ai
150
st toi qu’on va mettre à la mairie ? » L’homme au
visage
maigre fait un geste réticent. Le vieux le tient par la manche et lui
151
appelle pour Nietzsche le fatum, la fatalité sans
visage
du Retour éternel de toutes choses. Pour Luther, elle est au contrair
152
te des diversités merveilleuses que proposent ces
visages
attentifs, éclairés ou butés, douloureux, tendus ou épanouis dans une
153
rtée de ces esprits, visibles et lisibles sur ces
visages
. Presque nécessairement l’entretien institué dans la salle se prolong
154
es et de gars peu bruyants, presque tous laids de
visage
et très épais de corps. Nous étions assis derrière eux. Au fond, sur
155
! » C’est un jeune homme d’allure énergique et de
visage
intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines ma
156
le épaisse au milieu. Derrière la grille, le long
visage
de Pédenaud. J’ai l’impression que je lui gâte la vie. Trois fois la
157
le épaisse au milieu. Derrière la grille, le long
visage
de Pédenaud. J’ai l’impression que je lui gâte la vie. Trois fois la
158
s que mon regard s’attache un peu longuement à un
visage
, au corps et aux vêtements, aux mains, à l’attitude distraite et vrai
159
de race : La Beauté nordique ; Art et race ; Le
visage
des chefs allemands (22e mille) ; Race et humour ; La mère allemande
160
uvre l’avant du bateau, et de l’eau gicle sur nos
visages
glacés. « Tire le gramophone entre tes jambes, là, sous ton imperméab
161
le épaisse au milieu. Derrière la grille, le long
visage
de Pédenaud. J’ai l’impression que je lui gâte la vie. Trois fois la
162
es et de gars peu bruyants, presque tous laids de
visage
et très épais de corps. Nous étions assis derrière eux. Au fond, sur
163
! » C’est un jeune homme d’allure énergique et de
visage
intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines ma
164
rchon de papier d’emballage. Pas un de ces petits
visages
qui ne soit beau et fin, mais incroyablement crasseux. Vers la gare,
165
te des diversités merveilleuses que proposent ces
visages
attentifs, éclairés ou butés, douloureux, tendus ou épanouis dans une
166
rtée de ces esprits, visibles et lisibles sur ces
visages
. Presque nécessairement l’entretien institué dans la salle se prolong
167
gre, casquette et veste de toile bleue proprette,
visage
nerveux et intelligent. — Vous avez mon Huma ? — Bou die ! je les ai
168
st toi qu’on va mettre à la mairie ? — L’homme au
visage
maigre fait un geste réticent. Le vieux le tient par la manche et lui
169
e tous côtés. Tantôt ils m’offusquaient par leurs
visages
fermés et pâles, par leur tenue avachie ou insolente, par leurs parfu
170
C’est une divagation souterraine de lueurs et de
visages
superposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas rythmé qui rejoi
171
s que mon regard s’attache un peu longuement à un
visage
, au corps et aux vêtements, aux mains, à l’attitude distraite et vrai
172
runes s’étagent jusqu’à la troisième galerie, les
visages
indistincts. Immense roulement de tambour, rarement interrompu par un
173
ure, les yeux fixés sur ce point lumineux, sur ce
visage
au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre
174
au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les
visages
, les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
175
runes s’étagent jusqu’à la troisième galerie, les
visages
indistincts. Immense roulement de tambour, rarement interrompu par un
176
ure, les yeux fixés sur ce point lumineux, sur ce
visage
au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre
177
, sur le ciel rouge. Au-dessous, une vingtaine de
visages
d’ouvriers, éclatants de santé et de joie. Au milieu, cette devise :
178
mains sur l’appui et regarder son auditoire. Beau
visage
énergique et tourmenté, stature mince et très droite, vêtue de noir.
179
tionnaires. Il sourit avant de répondre, puis son
visage
devient plus grave : Je n’attache pas une grande importance aux quere
180
replié sur lui-même, le regard intelligent et un
visage
buriné par de longues méditations, voici Denis de Rougemont qui aband
181
a bleuâtre obscurité, nul écriteau lisible et nul
visage
reconnaissable. Une course haletante et bousculée dans le dédale des
182
au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les
visages
, les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
183
reste passive, impersonnelle, pur principe, sans
visage
et sans nom. Une école mystique du tantrisme tardif, le Sahajiyâ, « a
184
au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les
visages
, les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
185
reste passive, impersonnelle, pur principe, sans
visage
et sans nom. Une école mystique du tantrisme tardif, le Sahajiyâ, « a
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au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les
visages
, les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
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rêle et à face énorme, riait d’un air stupide, le
visage
en plein soleil, et regardait au hasard devant lui. Ô abîme ! les Alp
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fatigue d’un soir pluvieux, Paris, souffrance des
visages
et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère extén
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phiques de Germaine Martin et de H. L. Mermod. Ce
visage
puissamment travaillé et simplifié, cet œil halluciné par le réel, c’
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ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
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s du désastre. Envisager, c’est regarder en plein
visage
. Notre salut, le seul et le dernier possible — quelle que soit l’issu
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s du désastre. Envisager, c’est regarder en plein
visage
. Notre salut, le seul et le dernier possible — quelle que soit l’issu
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a fin de sa vie, un regard doux et perspicace, un
visage
aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement
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des groupements naguère hostiles, nous créons le
visage
de la nouvelle génération et nous marchons dans la seule voie possibl
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e salle éclairée, un public dont j’ignorais et le
visage
et les soucis, et devant lequel je m’étais engagé à disserter de la c
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rêle et à face énorme, riait d’un air stupide, le
visage
en plein soleil, et regardait au hasard devant lui. O abîme ! les Alp
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d a le courage d’envisager — de regarder en plein
visage
— ce qui nous ruine. Non qu’il soit pessimiste par tempérament — ce n
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nt la contagion de ce mal, changent subitement de
visage
, se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
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ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
200
nose, le médecin parfois souffle doucement sur le
visage
du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant
201
être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le
visage
torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes
202
on aime l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le
visage
levé, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde
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nt la contagion de ce mal, changent subitement de
visage
, se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
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ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
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nose, le médecin parfois souffle doucement sur le
visage
du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant
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être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le
visage
torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes
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on aime l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le
visage
levé, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde
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nt la contagion de ce mal, changent subitement de
visage
, se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
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ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le
visage
de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le