1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 5)l « Quel est celui-là qui s’avance » avec ce visage d’entre la vie et la mort « où se reflète le passage incessant d’oise
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 mis ; quel est le vrai ? — Ils me proposent vingt visages que je puis à peine reconnaître. Reste le monde, — les choses, les fa
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 phares d’automobiles étoilent le brouillard, les visages se cachent dans des fourrures, personne ne sait la richesse de ta vie
4 e consolante et libératrice. Mais tu m’offrais un visage un peu crispé, signe d’une ironie secrète et pour moi douloureuse enc
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
5 iver et soudain sous la lueur d’un incendie, deux visages tordus de passion. Cette fin est admirable, dont la brutalité si long
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
6 onter. Je finissais par vous voir partout. Chaque visage de femme révélait soudain un trait de votre visage. Il aurait fallu c
7 isage de femme révélait soudain un trait de votre visage . Il aurait fallu courir après celle-là qui venait de tourner à l’angl
8 e luxe s’était arrêté tout près de moi. Je vis un visage à l’intérieur se pencher vers la vitre… Je montai. Il n’y avait que d
9 nt la folie douloureuse qui devait contracter mon visage . Je promenais sur tous des regards angoissés, avides, implorants. Oh 
10 cuse pas. À peine si je puis encore évoquer votre visage . Peut-être ne vous ai-je pas vraiment aimée, mais bien ce goût profon
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
11 n ivre d’un projecteur, des signes fatidiques, le visage d’un ange. i. « Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle », R
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
12 ncontre parmi les éclairs d’un luxe mécanique, le visage dans sa fourrure. Elle découvre en passant près de lui le sourire d’a
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
13 d pas le sujet par l’intérieur, mais il taille ce visage dans une pâte riche et un peu lourde, son pinceau la palpe, la presse
14 iles, d’une plus grande certitude intérieure. Les visages sont plus calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point
15 mais une grande mèche insolente retombe devant le visage . Aurèle tient un livre ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le lise
16 encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que les visages qui s’y reflèteront soient aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
17 alicieuse et fine psychologie. Mais à ce mot, son visage s’assombrit un peu. « Tous nos ennuis nous seraient épargnés si nous
10 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
18 ait aussi : une fièvre faisait s’épanouir sur son visage je ne sais quel plaisir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit
11 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
19 ’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Voilà que la
20 un brusque faisceau de lumière m’apparaît avec le visage même de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied. Vertige de
21 quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le visage de mon voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire. Je sen
22 ntain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les
23 ans le temps et l’espace. Cent années et tous les visages aimés revivent dans cette coupe de songes avec toutes leurs illusions
12 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
24 res à se regarder dans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de lumière et de sentiments. Il découvre une sorte de rire a
25 rité. Peut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre visage . Car oublier son visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur es
26 naîtrais-tu sous un autre visage. Car oublier son visage , ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit ? » C’est un premie
27 gards. Stéphane rendu à la santé écrivait : « Ton visage me cache tous les miroirs » — à une femme qu’il aimait. m. « Miroir
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
28 -bas d’évocations hautes en couleur, de rêves, de visages , tandis que ç[à] et là s’ouvrent des perspectives saisissantes sur l’
14 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
29 ie des grandeurs de naguère, tout cela compose un visage romantique et ardent dont le voyageur s’éprend malgré lui, malgré tou
15 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
30 in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
16 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
31 in d’autres souvenirs attristés par le temps, des visages qui ne sont plus tout à fait les mêmes, des bonheurs qui signifient p
17 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
32 vent autour du monde où nous vivons parquent les visages les sons brassent les lueurs des messages et des sanglots perdus qui
33 ton nom même avec l’accent de notre amour et mon visage est immobile tourné vers l’ombre où tu m’entends. III Fais rentre
18 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
34 oux, le travail jusqu’à l’aube, la naissance d’un visage dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…) De là, je l
19 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
35 tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
36 us déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
37 plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages , lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
38 es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
39 mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au visage mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
21 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
40 aire une étude psychologique, en observant sur le visage de celui-ci les expressions changeantes qu’y imprimait la passion. Il
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
41 sur ses traits. Je ne me lasse pas de méditer ce visage dont Klauer modela l’effigie passionnément triste et dominatrice. Lar
23 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
42 ins leur nombre dans la pluie Autour de toi les visages qui fuient — l’éclair noyé dans ses yeux détournés ! — tout se re
24 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
43 n entendu de pareil, ainsi qu’en témoignent leurs visages anonymes. Ils n’auront pas à s’exprimer, d’ailleurs, sinon par la voi
25 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
44 ’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Et voici que
45 un brusque faisceau de lumière m’apparaît avec le visage même de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied. Vertige de
46 quitta la scène, un reflet balaya le parterre, le visage de mon voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe noire. Je sen
47 ntain, Aurélia lui répond d’un regard pareil. Des visages naissent comme des étoiles dans un halo, comme les couleurs sous les
48 ans le temps et l’espace. Cent années et tous les visages aimés revivent dans cette coupe de songes, avec leurs illusions, — ce
49 eules réelles, ces reflets qui nous illuminent le visage terrestre des choses dont l’autre moitié sera toujours cachée, ainsi
26 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
50 llerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visages .) On éteint. Et c’est alors, d’un balcon qui domine les groupes, une
51 ard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de sa mus
52 ent, Henny Porten immobile présente de profil son visage un peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je
53 mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque où tout ce q
54 hostile. Elle se tait. Alors je me tourne vers ce visage très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendres
55 d’où remonte notre peine. Ah ! surprendre sur un visage décontenancé, et jusque dans le rythme d’une respiration, l’envahisse
27 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
56 tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
57 us déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
58 plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages , lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
59 es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
60 mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au visage mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
28 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
61 in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
29 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
62 ns sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l
63 e branche et la Lune éclairait à longs traits nos visages . Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
64 seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’atrocité de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon l
30 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
65 oux, le travail jusqu’à l’aube, la naissance d’un visage dans ma mémoire (d’heure en heure ces yeux plus vivants…). De là, je
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
66 llerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visages .) On éteint. Et c’est alors, d’un balcon qui domine les groupes, une
67 ard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de sa mus
68 ent, Henny Porten immobile présente de profil son visage un peu plus grand que nature. À 17 ans, du fond d’un cinéma, l’ai-je
69 mégarde… On se presse au bar assourdissant et les visages se prennent à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque où tout ce q
70 hostile. Elle se tait. Alors je me tourne vers ce visage très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendres
71 d’où remonte notre peine. Ah ! surprendre sur un visage décontenancé, et jusque dans le rythme d’une respiration, l’envahisse
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
72 tant vu ! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage gris ; leurs yeux stupides me demandent où je n’ai pas dormi. Le seul
73 us déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards a
74 plus de noms, ils ne sont qu’une ivresse aux cent visages , lorsque j’entre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à oublier
75 es Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostal
76 mparées par un folkloriste aux yeux ardents et au visage mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques, à peine modulées, q
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
77 in et qui l’a consumé… Digne ? — Un adolescent au visage de jeune fille qui rimait sagement des odes à la liberté… Et voici da
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
78 ns sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l
79 e branche et la Lune éclairait à longs traits nos visages . Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose noire de Tannenbourg. La
80 seule pure —, et oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’atrocité de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon l
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
81 ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
82 ne vaste pièce où j’étais seul devant l’admirable visage , debout au pied du lit, prolongeant le gisant, j’ai su que j’étais d’
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
83 sais-je d’eux, qui me regardent ? Cette aïeule au visage émacié, coiffé de longues boucles noires, j’ai lu ses lettres. Derniè
38 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
84 oint menace encore ni même froncement de ce grand visage qui nous regarde tellement, mais nous sommes plutôt égarés dans son a
39 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
85 Jeune Europe (4 décembre 1933)g Que le visage de l’Europe ait changé, depuis dix ans, plus qu’il ne l’avait fait de
86 uveau organique, d’un afflux de sèves saines ? Ce visage étrange de l’Europe est-il celui d’un nouveau venu, ou bien y disting
87 rimacer d’une grimace fâcheusement américaine, le visage rajeuni de l’Europe. En vérité, et c’est une des observations capital
40 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
88 Le nous n’est rien qu’un biais, c’est un tu sans visage et qui vient se confondre avec un je désormais incertain de ses limit
41 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
89 t son profil, je veux dire par la tension que son visage rendait visible, ou mieux, imposait à la vue, comme l’image même de l
90 chez un homme que son mystère, et ceci définit un visage . d. « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu », Présence, Lausanne et G
42 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
91 rand évêque ou de cette fille de ferme « au mince visage de belette » qui enterre son enfant dans la neige avec une sorte d’in
43 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
92 e » dont nous connaissons désormais le monstrueux visage  ? — « Nous sommes sur la terre décisive… » Antithétique — an-archique
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
93 ctrines, reparaître les traits ironiques du grand visage de Kierkegaard, il me vient à l’esprit une image dont le burlesque n’
94 a pitié énigmatique d’un Dostoïevski. Ici tout le visage de Kierkegaard se recompose. Et l’on voit que son rire n’est rien que
95 rist, un homme oserait-il s’avancer et cracher au visage du Fils de Dieu ? Mais qu’il soit foule, il aura ce « courage », — il
45 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
96 l’argent, ce symbole unique de la puissance sans visage . Dire que le monde est devenu impensable, c’est avouer qu’il n’y a pl
46 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
97 rand évêque ou de cette fille de ferme « au mince visage de belette » qui enterre son enfant dans la neige avec une sorte d’in
47 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
98 es bourgeois s’obstinent à nommer l’ordre social. Visage de l’État, Raison d’État, semblable aux raisons obscures et implacabl
99 ez un de ces studios bien nus, où la vie prend un visage tellement abstrait qu’on n’arrive plus même à s’y aimer : Colette a d
48 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
100 end l’homme visible à l’homme, et nous sculpte un visage lisible. Sur la scène du monde, où nous avons été placés, dans ce dra
101 t inventer, il y a des figurants qui n’ont pas de visage  ; mais ceux qu’on voit sont les acteurs qui jouent leur rôle d’hommes
102 chœur des anonymes résignés, pour revêtir un vrai visage , un nom et une autorité, une attitude d’auteur de son propre destin ?
49 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
103 s ont un « front commun », mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le Bonheur est un mythe. C’est un éta
104 emagne, en Russie, en Italie, vous retrouverez ce visage , cette allure, ce sentiment de la vie immédiate que vous voyez grandi
50 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
105 e » dont nous connaissons désormais le monstrueux visage , qui est celui de l’État totalitaire ? — « Nous sommes sur la terre d
51 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
106 s ont un « front commun », mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le Bonheur est un mythe. C’est un éta
107 emagne, en Russie, en Italie, vous retrouverez ce visage , cette allure, ce sentiment de la vie immédiate que vous voyez grandi
52 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
108 m’approcher : la vision est un acte. Vision et visage La vision relie et sépare. Passant du sujet à l’objet, elle les un
109 n pourrait dire de la vision, on peut les dire du visage . La langue allemande ne connaît qu’un mot pour visage et vision : Ges
110 ge. La langue allemande ne connaît qu’un mot pour visage et vision : Gesicht. Quelle est donc cette parenté des apparences ? S
111 tte parenté des apparences ? Si la vision voit le visage , et de la sorte, s’en distingue, rappelons-nous qu’elle a son siège a
112 pelons-nous qu’elle a son siège au centre même du visage . Sans visage il n’est plus de vision. Ou l’inverse. Ainsi le je et le
113 u’elle a son siège au centre même du visage. Sans visage il n’est plus de vision. Ou l’inverse. Ainsi le je et le tu sont dist
114 i qui l’a créé. » (Col. 3.10) Sur la vision et le visage  : « Nous tous, qui, le visage découvert contemplons comme dans un mir
115 Sur la vision et le visage : « Nous tous, qui, le visage découvert contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nou
116 re de notre vocation et la forme visible de notre visage , il y a le péché, et les abîmes du temps. Dans le monde de la mesure
117 oient « les yeux de la foi », il semble que notre visage n’en soit qu’une mauvaise épreuve, déjà brûlée, ici et là, ridée froi
118 symphonies, danses, jardins, temples, statues, —  visages  ! Dans l’enfance de la lumière. L’image physionomique de l’Univers
119 autre part, bâtissent et soutiennent l’édifice du visage de l’homme. Kassner remarque qu’à la lecture des grands moralistes fr
120 s une phrase qui se rapporte à l’expression ou au visage . Même La Bruyère, physionomiste par tempérament, ne voit partout que
121 omme « l’extérieur » de l’homme, mais non pas son visage . Pour lui comme pour tous les autres (à l’exception de Pascal), l’hom
122 nous, il nous faut choisir : ou l’anecdote, ou le visage . L’expérience montre constamment que les hommes qui savent des anecdo
123 l’extension de son domaine… Il est le maître des visages , des anatomies, des machines. Il sait de quoi se fait un sourire ; il
124 bitées ; enfin je finis par me dire ; je vois des visages de générations passées — cette contrée est couverte par les images d’
125 de, ou plutôt une image du monde, dont l’étude du visage n’est qu’un particulier, à vrai dire privilégié. 24. La réaction ant
53 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
126 épuise en une saison, si j’en crois l’amitié, les visages , et les couleurs si pures qu’il laisse dans le souvenir. m. « Roger
54 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
127 t ses yeux vifs de Méditerranéen lui composent un visage classique, que d’aucuns n’hésitent pas à comparer à celui du Vinci, q
55 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
128 emps de l’acte vient s’inscrire sur les traits du visage héroïque. Dans cette chair qui doit vieillir, la tension de la mort e
129 Qu’est-ce que la personne ? C’est la vision et le visage du héros, sa vision contre son visage, sa vision qui crée son visage.
130 ision et le visage du héros, sa vision contre son visage , sa vision qui crée son visage. Le visage appartient au temps, mais l
131 vision contre son visage, sa vision qui crée son visage . Le visage appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle
132 tre son visage, sa vision qui crée son visage. Le visage appartient au temps, mais la vision à la parole dont elle procède, et
133 ue et fiévreux qui peuple nos cités, l’homme sans visage et sans prochain, — sans vocation ! — s’imagine que l’acte viendra co
134 algie, et son regard n’est pas une vision dans un visage , mais une manière de loucher vers « les autres », une chaîne qui le l
135  ? Me voici seul sur le chemin ; mais je vois des visages fraternels où s’agitait la foule confuse et menaçante. Nous ne voyons
136 foule confuse et menaçante. Nous ne voyons aucun visage ailleurs que dans l’acte d’aimer. 7. Toute vocation est sans précé
137 nt, et dès l’origine. C’est pourquoi l’homme a un visage et une vision, ce que n’ont pas les animaux ; c’est pourquoi l’homme
56 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
138 t transformé en domaine. Il faut le lire comme un visage . Qu’est-ce qu’un domaine, qu’est-ce qu’une propriété réelle, sinon l’
139 crient : Esprit ! Esprit43 ! Mais je regarde leur visage . « Si c’était vrai, ça se verrait »… Ainsi la clé de toute création e
140 ait »… Ainsi la clé de toute création est dans le visage de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créateur, c’est-à-dire un
141 e dans la main qui réalise une vision. Et dans le visage qui conditionne le regard, et se modèle selon les prises du regard. (
142 allemand, le seul mot Gesicht signifie à la fois visage , vision, et vue au sens d’idée.) ⁂ Ouvrez un livre de Ramuz : les cho
143 cret, fût-il même un silence, laisse une trace au visage de l’homme, modifie sa forme existante. « La figure a été faite sur l
57 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
144 ion du regard de Rembrandt, et par là même de son visage , qu’une reproduction de ses modèles qui nous importent assez peu. Cet
58 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
145 le nous n’est rien qu’un biais : c’est un tu sans visage qui vient se confondre avec un moi désormais incertain de ses limites
59 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
146 ion du regard de Rembrandt, et par là même de son visage , qu’une reproduction de ses modèles qui nous importent assez peu. Cet
60 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
147 le nous n’est rien qu’un biais : c’est un tu sans visage qui vient se confondre avec un moi désormais incertain de ses limites
61 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
148 rchon de papier d’emballage. Pas un de ces petits visages qui ne soit beau et fin mais incroyablement crasseux. Vers la gare, i
149 gre, casquette et veste de toile bleue proprette, visage nerveux et intelligent. — Vous avez mon Huma ? — Bou die ! je les ai
150 st toi qu’on va mettre à la mairie ? » L’homme au visage maigre fait un geste réticent. Le vieux le tient par la manche et lui
62 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
151 appelle pour Nietzsche le fatum, la fatalité sans visage du Retour éternel de toutes choses. Pour Luther, elle est au contrair
63 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
152 te des diversités merveilleuses que proposent ces visages attentifs, éclairés ou butés, douloureux, tendus ou épanouis dans une
153 rtée de ces esprits, visibles et lisibles sur ces visages . Presque nécessairement l’entretien institué dans la salle se prolong
64 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
154 es et de gars peu bruyants, presque tous laids de visage et très épais de corps. Nous étions assis derrière eux. Au fond, sur
155 ! » C’est un jeune homme d’allure énergique et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines ma
65 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
156 le épaisse au milieu. Derrière la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’impression que je lui gâte la vie. Trois fois la
66 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
157 le épaisse au milieu. Derrière la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’impression que je lui gâte la vie. Trois fois la
67 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
158 s que mon regard s’attache un peu longuement à un visage , au corps et aux vêtements, aux mains, à l’attitude distraite et vrai
68 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
159 de race : La Beauté nordique ; Art et race ; Le visage des chefs allemands (22e mille) ; Race et humour ; La mère allemande
69 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
160 uvre l’avant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages glacés. « Tire le gramophone entre tes jambes, là, sous ton imperméab
70 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
161 le épaisse au milieu. Derrière la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’impression que je lui gâte la vie. Trois fois la
162 es et de gars peu bruyants, presque tous laids de visage et très épais de corps. Nous étions assis derrière eux. Au fond, sur
163 ! » C’est un jeune homme d’allure énergique et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines ma
71 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
164 rchon de papier d’emballage. Pas un de ces petits visages qui ne soit beau et fin, mais incroyablement crasseux. Vers la gare,
165 te des diversités merveilleuses que proposent ces visages attentifs, éclairés ou butés, douloureux, tendus ou épanouis dans une
166 rtée de ces esprits, visibles et lisibles sur ces visages . Presque nécessairement l’entretien institué dans la salle se prolong
167 gre, casquette et veste de toile bleue proprette, visage nerveux et intelligent. — Vous avez mon Huma ? — Bou die ! je les ai
168 st toi qu’on va mettre à la mairie ? — L’homme au visage maigre fait un geste réticent. Le vieux le tient par la manche et lui
72 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
169 e tous côtés. Tantôt ils m’offusquaient par leurs visages fermés et pâles, par leur tenue avachie ou insolente, par leurs parfu
170 C’est une divagation souterraine de lueurs et de visages superposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas rythmé qui rejoi
73 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
171 s que mon regard s’attache un peu longuement à un visage , au corps et aux vêtements, aux mains, à l’attitude distraite et vrai
74 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
172 runes s’étagent jusqu’à la troisième galerie, les visages indistincts. Immense roulement de tambour, rarement interrompu par un
173 ure, les yeux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre
75 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
174 au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les visages , les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
76 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
175 runes s’étagent jusqu’à la troisième galerie, les visages indistincts. Immense roulement de tambour, rarement interrompu par un
176 ure, les yeux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre
177 , sur le ciel rouge. Au-dessous, une vingtaine de visages d’ouvriers, éclatants de santé et de joie. Au milieu, cette devise :
178 mains sur l’appui et regarder son auditoire. Beau visage énergique et tourmenté, stature mince et très droite, vêtue de noir.
77 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
179 tionnaires. Il sourit avant de répondre, puis son visage devient plus grave : Je n’attache pas une grande importance aux quere
78 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
180 replié sur lui-même, le regard intelligent et un visage buriné par de longues méditations, voici Denis de Rougemont qui aband
79 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
181 a bleuâtre obscurité, nul écriteau lisible et nul visage reconnaissable. Une course haletante et bousculée dans le dédale des
80 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
182 au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les visages , les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
81 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
183 reste passive, impersonnelle, pur principe, sans visage et sans nom. Une école mystique du tantrisme tardif, le Sahajiyâ, « a
82 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
184 au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les visages , les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
83 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
185 reste passive, impersonnelle, pur principe, sans visage et sans nom. Une école mystique du tantrisme tardif, le Sahajiyâ, « a
84 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
186 au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les visages , les destins singuliers : « Non plus d’Isolde, plus de Tristan, plus
85 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
187 rêle et à face énorme, riait d’un air stupide, le visage en plein soleil, et regardait au hasard devant lui. Ô abîme ! les Alp
86 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
188 fatigue d’un soir pluvieux, Paris, souffrance des visages et des corps, exercice perpétuel de charité dans une atmosphère extén
87 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
189 phiques de Germaine Martin et de H. L. Mermod. Ce visage puissamment travaillé et simplifié, cet œil halluciné par le réel, c’
88 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
190 ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
89 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
191 s du désastre. Envisager, c’est regarder en plein visage . Notre salut, le seul et le dernier possible — quelle que soit l’issu
90 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
192 s du désastre. Envisager, c’est regarder en plein visage . Notre salut, le seul et le dernier possible — quelle que soit l’issu
91 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
193 a fin de sa vie, un regard doux et perspicace, un visage aigu de malade, peint avec la véracité d’un homme qui sait exactement
92 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
194 des groupements naguère hostiles, nous créons le visage de la nouvelle génération et nous marchons dans la seule voie possibl
93 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
195 e salle éclairée, un public dont j’ignorais et le visage et les soucis, et devant lequel je m’étais engagé à disserter de la c
94 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
196 rêle et à face énorme, riait d’un air stupide, le visage en plein soleil, et regardait au hasard devant lui. O abîme ! les Alp
95 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
197 d a le courage d’envisager — de regarder en plein visage — ce qui nous ruine. Non qu’il soit pessimiste par tempérament — ce n
96 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
198 nt la contagion de ce mal, changent subitement de visage , se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
199 ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
97 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
200 nose, le médecin parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant
201 être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes
202 on aime l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage levé, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde
98 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
203 nt la contagion de ce mal, changent subitement de visage , se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
204 ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le
99 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
205 nose, le médecin parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant
206 être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes
207 on aime l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage levé, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde
100 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
208 nt la contagion de ce mal, changent subitement de visage , se raidissent, se ferment à tout raisonnement, à toute discussion sé
209 ècles de grandeur, de misère, de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fière qu’aucune autre portait le