1
lot fou ! Revenez, mes joies du large !… Tiens, j’
écoute
le vent ; je pense au monde. Chant des horizons, images qui s’éclaire
2
er, croyez-moi. Car, enfin, si je suis ici à vous
écouter
, c’est que je cherche ce qu’on est convenu d’appeler — pardonnez la l
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parlez de « procédés lassants ». Pierre Girard n’
écoute
plus : il pense à des Vénézuéliennes ou à Gérard de Nerval. Bientôt v
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le, éclabousse, ils n’y comprendront jamais rien,
écoutez
-les, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui couvrent une ango
5
monde contemporain l’absurdité de ses ambitions.
Écoutons
Garine, l’un de ces chefs (c’est lui qui parle au nom de l’auteur, je
6
n est mieux pour donner le coup de pied de l’âne…
Écoutons
plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c
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ndre position dans un débat où les voix les mieux
écoutées
ont dit ce qu’elles avaient à dire. Et d’autre part, les lecteurs de
8
ent. Morigéner l’une c’est faire pleurer l’autre.
Écouter
ce que dit l’une, c’est savoir ce que l’autre pense. Elles ne mourron
9
cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas le temps d’
écouter
la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de façons, qu
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ent. Morigéner l’une c’est faire pleurer l’autre.
Écouter
ce que dit l’une, c’est savoir ce que l’autre pense. Elles ne mourron
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cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas le temps d’
écouter
la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de façons, qu
12
mment tu pleurais. Au carrefour des cris perdus j’
écoute
encore une voix nue qui vient de dire ton nom même avec l’accent de n
13
f délivre un souffle tes lèvres battent doucement
écoute
-les. IV Tends moi la main à travers cette ombre rapide si je te j
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e rapide si je te joins nous la tiendrons captive
écoute
les cloches et le scintillement des étoiles les eaux profondes qui éc
15
diante qui pleurait très doucement. Un moment, il
écouta
sa mélopée. Puis envahi par un dernier feu, il se précipita dans sa c
16
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour
écouter
ce qu’il entend. 3. Au tombeau de Gül Baba Dans Bude il y a des
17
-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils
écoutent
au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une
18
épose sur la table sabres et képis, s’assied pour
écouter
: tout est jugé d’avance. Deux heures durant, quelques pasteurs et qu
19
er dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour
écouter
Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait a
20
le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’
écouter
autre chose… En vérité le monde propose à l’imagination de bien ét
21
idicule. Le corps diplomatique, debout en cercle,
écoute
dans un recueillement stupide, applaudit, poliment enivré. Mais le mi
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d’un homme » devant lequel il faut se taire pour
écouter
ce qu’il entend. iii Au tombeau de Gül Baba Dans Bude il y a d
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-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils
écoutent
au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une
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n est mieux pour donner le coup de pied de l’âne…
Écoutons
plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c
25
l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour
écouter
et respirer longuement, choisissant parfois pour y sommeiller une lis
26
ntre une épaule, attends encore un peu plus fort,
écoute
encore plus purement… Solennité autour de nous : il y a une grande le
27
nité qui ouvre la bouche pour dire quelque chose,
écoute
, attends… Peut-être que déjà la parole fut dite et reçue quelque part
28
diante qui pleurait très doucement. Un moment, il
écouta
sa mélopée. Puis envahi par un dernier feu, il se précipita dans sa c
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qui n’ont pas de point de vue sur le beau temps.
Écoutez
-moi bien, Sonnette : Vos actions et vos pensées, votre conception de
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er dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour
écouter
Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait a
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le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’
écouter
autre chose… En vérité le monde propose à l’imagination de bien étran
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idicule. Le corps diplomatique, debout en cercle,
écoute
dans un recueillement stupide, applaudit, poliment enivré. Mais le mi
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d’un homme » devant lequel il faut se taire pour
écouter
ce qu’il entend. Au tombeau de Gül Baba Dans Bude il y a des ru
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-ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils
écoutent
au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une
35
ntre une épaule, attends encore un peu plus fort,
écoute
encore plus purement… Solennité autour de nous : il y a une grande le
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nité qui ouvre la bouche pour dire quelque chose,
écoute
, attends… Peut-être que déjà la parole fut dite et reçue quelque part
37
n est mieux pour donner le coup de pied de l’âne…
Écoutons
plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine quand c’
38
l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour
écouter
et respirer longuement, choisissant parfois pour y sommeiller une lis
39
ttarde à suivre encore ces harmoniques, comme à l’
écoute
clandestine, l’oreille au son d’un passé qui faiblit mais qui n’a pas
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ergnats, mais grimace de douleur à nous entendre.
Écoutez
les jeunes gens dans la rue (« sur la rue » ou « en rue », diraient-i
41
ord à tous les privilèges bourgeois, et nous vous
écouterons
! Certes, nous savons que le premier aspect de toute révolution est d
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s’il n’avait pas été révoqué, si Sully avait été
écouté
, si les jésuites n’étaient pas revenus, s’ils n’avaient pas armé, apr
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taphysique me souffle : “Et après ?” Mais je ne l’
écoute
pas et trouve malgré tout ces chiffres consolants. » Au salut par l’é
44
le chrétien ne peut plus rien, que personne ne l’
écoute
plus, qu’on le laisse parler dans ses temples justement parce qu’on n
45
égorique. Si nous considérons l’histoire, si nous
écoutons
ses leçons, il me paraît qu’aucun doute n’est permis. De Constantin,
46
in, passionné et précis, au parler vif et sachant
écouter
, rompu aux abstractions et sachant voir, toujours prêt à l’accueil le
47
i que rien ne protège et la prudence de celui qui
écoute
, dans le tourment et dans la joie d’une découverte quotidienne du che
48
à la lecture des évangiles par exemple) au lieu d’
écouter
l’ordre, au lieu de croire et de faire un pas dans la nuit, sur ce «
49
faire… Comme je citais cette page à un abbé fort
écouté
, dont les travaux marient avec aisance théologie et humanisme, il me
50
zaines de milliers attendaient. J’étais venu pour
écouter
aussi la foule. Je me trouvais au milieu d’ouvriers, de jeunes milici
51
me mettre dans la peau d’un électeur allemand qui
écoute
ce langage. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui
52
avec la géographie physique. À lire nos revues, à
écouter
les débats les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se
53
poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’
écouter
. Mais je suis fortement curieux de tirer d’un exemple aussi considéra
54
les domaines les plus imprévus. Nous y viendrons.
Écoutons
Nietzsche, qui ricane sa sagesse : « Ne pas périr imperceptiblement !
55
avec la géographie physique. À lire nos revues, à
écouter
les débats les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se
56
poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’
écouter
. Mais je suis fortement curieux de tirer d’un exemple aussi considéra
57
les domaines les plus imprévus. Nous y viendrons.
Écoutons
Nietzsche, qui ricane sa sagesse : « Ne pas périr imperceptiblement !
58
border des réalités. Donc, par amour du peuple, n’
écoutons
plus ses assemblées, ce n’est pas lui. Écoutons les observations que
59
n’écoutons plus ses assemblées, ce n’est pas lui.
Écoutons
les observations que formulent des individus pris à part, dans leur v
60
s le peuple comme vers un abîme insondable pour y
écouter
les paroles d’une vérité nouvelle. Ce ne sont pas des oracles que fai
61
et singulières de lire ce qu’un autre a écrit, d’
écouter
ce qu’un autre leur dit. Quand un lecteur vous écrit, il s’exprime le
62
fin quoi, les secouer un peu ! Ils sont là à vous
écouter
sans bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contrair
63
sont là à vous écouter sans bouger, comme ils ont
écouté
les autres qui disaient le contraire, et pas moyen de savoir avec qui
64
le lui sont incompréhensibles ; mais ceux qui les
écoutent
ont l’air de trouver cela tout naturel. Je fus certainement le seul i
65
gresser la science, et cela c’est bien. On va les
écouter
avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec
66
, qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l’
écoutera
bien patiemment, s’il a su se rendre sympathique et surtout s’il a l’
67
e leur travail aux champs ou à la côte, et je les
écoute
avec toute l’attention d’un apprenti ; de leurs souvenirs, parfois to
68
ait exercer sa mission. Ils ne veulent pas même l’
écouter
, et toute sa raison d’être est cependant de leur parler. Il n’a rien
69
, les gestes incongrus et mécaniques des autres ;
écoute
bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’ils croient dire ; ess
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e leur travail aux champs ou à la côte, et je les
écoute
avec toute l’attention d’un apprenti ; de leurs souvenirs, parfois to
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fin quoi, les secouer un peu ! Ils sont là à vous
écouter
sans bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contrair
72
sont là à vous écouter sans bouger, comme ils ont
écouté
les autres qui disaient le contraire, et pas moyen de savoir avec qui
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le lui sont incompréhensibles ; mais ceux qui les
écoutent
ont l’air de trouver cela tout naturel. Je fus certainement le seul i
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gresser la Science, et cela c’est bien. On va les
écouter
avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec
75
, qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l’
écoutera
bien patiemment, s’il a su se rendre sympathique et surtout s’il a l’
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ait exercer sa mission. Ils ne veulent pas même l’
écouter
, et toute sa raison d’être est cependant de leur parler. Il n’a rien
77
ce où des retraités tirent leurs savates, quand j’
écoute
ce qui se dit chez la marchande de journaux, quand je m’informe des r
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nous irrite ou excite notre ironie. Si l’on nous
écoutait
, il faudrait refaire ce petit monde de fond en comble ! La lecture de
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et singulières de lire ce qu’un autre a écrit, d’
écouter
ce qu’un autre leur dit. Quand un lecteur vous écrit, il s’exprime le
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border des réalités. Donc, par amour du peuple, n’
écoutons
plus ses assemblées, ce n’est pas lui. Écoutons les observations que
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n’écoutons plus ses assemblées, ce n’est pas lui.
Écoutons
les observations que formulent des individus pris à part, dans leur v
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écrit M. Duhamel ! Mais non, elles vous forcent à
écouter
dix mélodies et trois parleurs à la fois, de sorte qu’il n’est plus p
83
, les gestes incongrus et mécaniques des autres :
écoute
bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’ils croient dire : ess
84
caniques d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez
écouter
le Führer, nous en reparlerons demain. Seulement allez-y tout de suit
85
eur de la province nasille des lieux communs, mal
écouté
. Je suis debout, malaxé et soutenu par la foule, depuis bientôt quatr
86
me positif et allemand » des nazis… Tout cela fut
écouté
avec un intérêt courtois, vaguement étonné, déconcerté… Mais de la pa
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caniques d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez
écouter
le Führer, nous en reparlerons demain. Seulement allez-y tout de suit
88
d’auditeurs immédiats. Je suis venu avec l’idée d’
écouter
aussi la foule. Je me trouve au milieu d’ouvriers, de jeunes milicien
89
eur de la province nasille des lieux communs, mal
écouté
. Je suis debout, malaxé et soutenu par la foule, depuis bientôt quatr
90
cours desquelles des milliers de fidèles viennent
écouter
les chefs de leur mouvement, et communier dans la prière. Ce soir, le
91
de différence avec le régime russe. Mon cours fut
écouté
avec un intérêt courtois, vaguement étonné il est vrai… 17. (Note de
92
me mettre dans la peau d’un électeur allemand qui
écoute
ce langage. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui
93
arriés par une foule ? » Il m’a répondu : « Allez
écouter
le Führer, nous en reparlerons ensuite ». Est-ce donc une révélation
94
cateur ? Le mérite-t-elle encore ? Saura-t-elle l’
écouter
? Puisse du moins le souvenir de Nicolas de Flue nous faire comprendr
95
ique : « Le poète et le rêveur sont passifs ; ils
écoutent
le langage d’une voix qui leur est intérieure et pourtant étrangère,
96
ait arrivé. Deux semaines auparavant, à Venise, j’
écoutais
Honegger dirigeant son Nocturne dans le théâtre goldonien de la Fenic
97
gage résonne avec tant de douceur que l’âme qui l’
écoute
et l’entend s’écrie : — Malheureuse que je suis ! Je ne suis pas capa
98
douleur qu’elle nous rend désirable notre perte.
Écoutons
la Religieuse portugaise, Mariana Alcoforado, comme elle écrit à l’ho
99
ma sœur, vous l’avez épousée pour l’amour de moi.
Écoutez
-moi, vous, comtes Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère sœur, receve
100
es d’orchestre.) Le récitant. Le chœur. Or
écoutez
Confédérés ! Prêtez l’oreille ! Tutti. Commence ici le Jeu de Ni
101
bat. J’entends encore notre fanfare dans la nuit,
écoute
! Est-ce que tu entends aussi ? (Fanfare en sourdine.) Regarde ! Est-
102
e chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde !
Écoute
! 1er officier. — Capitaine de Flue ! Nicolas3. — Présent !
103
e chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde !
Écoute
! Scène iv. (La scène latérale de droite s’éclaire. On voit ci
104
tous payés ! Je vais témoigner pour le plaignant,
écoutez
-moi ! Le juge. — C’est trop tard. Tu n’as pas la parole ! (Aux ju
105
armi les assistants.) Nicolas. — Concitoyens !
Écoutez
-moi ! Pour la première fois parmi nous, c’est l’injustice qui triomph
106
e chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde !
Écoute
! Scène v. (Plan 2.) Dorothée. — Et maintenant, te voici da
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u, ton serviteur élève la voix dans les ténèbres.
Écoute
-le ! Détourne le Malin qui rôde ! Ô Dieu… (Pendant la prière qui sui
108
roublés. Plus d’un attend conseil du frère Claus.
Écoutez
bien : plus d’un voudrait l’avoir de son côté ! Ainsi, pour moi, le c
109
as à la révolte. Nicolas. — Tu dis vrai. Mais
écoute
-moi : si tous les riches étaient de bons chrétiens, ils n’auraient pa
110
faut-il encore un autre chef ? Le pèlerin. —
Écoute
! Notre misère crie jusqu’au ciel ! Le temps de la révolte est là. Si
111
danger tout ton peuple se tourne vers toi pour t’
écouter
! Choral ii. Nicolas ! Nicolas ! Nicolas ! Prends ta garde ! De
112
le, guetteur aux yeux fermés, Avertis, car nous t’
écoutons
! Prie pour nous, le danger se lève ! Témoin frugal et prophétique Tu
113
m de Dieu qui nous entend, et de mon peuple qui m’
écoute
. Hornek. — L’empereur t’envoie son salut ! Il se souvient de ta v
114
s illustre encore, et vénérée. Un peuple entier t’
écoute
et reçoit tes conseils. De toi seul dépend le succès du grand dessein
115
ous les cantons soient d’accord — et ceux d’ici n’
écoutent
que ta voix, frère Claus ! Voilà pourquoi je suis venu. Nicolas. —
116
rie.) Confédérés ! Confédérés ! réveillez-vous, n’
écoutez
pas le Tentateur ! (Lumière sur le plan 2. Entrée des Suisses armés,
117
récitatif, jeu de scène indiquant que les Suisses
écoutent
de tous côtés, dans l’inquiétude.) Choral ii. Sentinelle ! Sentin
118
. Jour du désir, jour de l’angoisse ! Confédérés,
écoutez
, écoutez ! (Une moitié du groupe des Suisses se tourne vers le plan
119
désir, jour de l’angoisse ! Confédérés, écoutez,
écoutez
! (Une moitié du groupe des Suisses se tourne vers le plan 3, l’aut
120
s villes. — C’est le grand astrologue de Berne !
Écoutez
-le ! Voix des campagnes. — Funeste conseiller des villes ! Vendu
121
uchant ! Diesbach. — Il fait signe, il crie !
Écoutez
! Hornek. — Alerte ! Je l’entends ! Il crie : Alerte ! Diesbac
122
ssadeurs de l’étranger pour inaugurer les débats.
Écoutez
! (Ils s’arrêtent, les marteaux levés. Fanfare dans la coulisse.) Les
123
nds la colère ! Dans la nuit, vois notre misère !
Écoute
-nous, reviens à nous ! Ne cesse pas d’implorer Dieu pour nous ! S
124
ept ans je les avertissais. Mais ils ne m’ont pas
écouté
. Haimo. — C’est vrai… Nicolas. — Je leur disais : Restez dans
125
voulez garder vos libertés. Mais ils ne m’ont pas
écouté
. Haimo. — C’est vrai… Nicolas. — Et cette nuit, ils se prépar
126
aussi ma solitude et redescendre chez les hommes…
Écoute
-moi. C’est comme un effrayant blasphème… C’est comme si Dieu lui-même
127
Chant des Compagnons, en sourdine.) Nicolas. —
Écoute
-moi ! Je ne puis plus avancer. Je vais te dicter un message pour les
128
cène x. Récitatif. (Chœur à bouche fermée.)
Écoute
-moi, mon peuple, et je t’avertirai ! Dieu te parlait, mais toi tu sui
129
oix sur la place. — Ils ont entendu le message !
Écoutez
! Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Oh ! si mon peuple enfin re
130
es joyeuses et sereines.) Voix sur la place. —
Écoutez
! Qu’ont-ils dit ? Écoutez ! Voix de la coulisse. — Je ne sais pa
131
Voix sur la place. — Écoutez ! Qu’ont-ils dit ?
Écoutez
! Voix de la coulisse. — Je ne sais pas ! — Je les vois qui se lè
132
« croyants », le grand public cultivé ou non, qui
écoute
les troubadours et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or
133
é sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.)
Écoutez
! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seul
134
gage résonne avec tant de douceur que l’âme qui l’
écoute
et l’entend s’écrie : — Malheureuse que je suis ! Je ne suis pas capa
135
douleur qu’elle nous rend désirable notre perte.
Écoutons
la Religieuse portugaise, Mariana Alcaforado, comme elle écrit à l’ho
136
« croyants », le grand public cultivé ou non, qui
écoute
les troubadours et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or
137
é sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.)
Écoutez
! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seul
138
gage résonne avec tant de douceur que l’âme qui l’
écoute
et l’entend s’écrie : — Malheureuse que je suis ! Je ne suis pas capa
139
douleur qu’elle nous rend désirable notre perte.
Écoutons
la Religieuse portugaise, Mariana Alcoforado, comme elle écrit à l’ho
140
ma sœur, vous l’avez épousée pour l’amour de moi.
Écoutez
-moi, vous, comtes Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère sœur, receve
141
uses. Nous avons été avertis. Nous avons refusé d’
écouter
. Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injustice triomp
142
uses. Nous avons été avertis. Nous avons refusé d’
écouter
. Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injustice triomph
143
tous « ceux du dehors » puissent entrer, puissent
écouter
et puissent entendre sans éprouver le sentiment de s’être égarés dans
144
ns contre ce que je vais dire. Je suis prêt à les
écouter
avec déférence. Mais je cherchais depuis longtemps l’occasion de form
145
mosphère, notre ton, nos manières de prêcher ou d’
écouter
, afin de rendre possible une action missionnaire dans toutes les couc
146
tionne, le gouvernement répond, il s’explique, il
écoute
à son tour. N’importe quel citoyen peut critiquer publiquement telle
147
Dieu bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’
écoute
le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures, n
148
gagnera la confiance des États du Middle West… J’
écoutais
hier la cérémonie dite de « l’Inauguration ». La veille, le président
149
mer le Prince de ces Lieux ? — Mais on m’appelle,
écoute
, la voix venait du parc ? — Es-tu bien sûr que c’était une voix ? Ils
150
eur le rôle ironiquement providentiel des Tyrans.
Écoutez
le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties capitali
151
iserait s’il se montrait, et nous fuirions sans l’
écouter
, tandis que le péché nous fait moins peur qu’envie. Si nous savions v
152
affolée par des agents prétendus mystérieux. Ils
écoutaient
à la radio, soir après soir, des bruits sans suite, cacophonie abruti
153
qu’une bien gentille dame et ses charmants amis l’
écoutent
d’une oreille, poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely,
154
i la démocratie moderne est spécialement tentée d’
écouter
ses conseils. Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre dépend
155
eur le rôle ironiquement providentiel des Tyrans.
Écoutez
le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties capitalis
156
iserait s’il se montrait, et nous fuirions sans l’
écouter
, tandis que le péché nous fait moins peur qu’envie. Si nous savions v
157
affolée par des agents prétendus mystérieux. Ils
écoutaient
à la radio, soir après soir, des bruits sans suite, cacophonie abruti
158
qu’une bien gentille dame et ses charmants amis l’
écoutent
d’une oreille, poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely,
159
i la démocratie moderne est spécialement tentée d’
écouter
ses conseils. Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre dépend
160
eur le rôle ironiquement providentiel des Tyrans.
Écoutez
le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties capitalis
161
isse, 24 mai 1940. Poste militaire à la frontière
Écouté
la radio : opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée, toutes ces nui
162
, on entendait répéter constamment : « Je viens d’
écouter
la radio. Rien de nouveau, toujours les mêmes histoires, pas de décis
163
i que rien ne protège et la prudence de celui qui
écoute
, dans le tourment et dans la joie d’une découverte quotidienne du che
164
la lecture des évangiles, par exemple) au lieu d’
écouter
l’ordre, au lieu de croire et de faire un pas dans la nuit, sur ce «
165
stique. « Le poète et le rêveur sont passifs, ils
écoutent
le langage d’une voix qui leur est intérieure et pourtant étrangère,
166
n très bon moyen de propagande. Les Américains en
écoutent
énormément, et les oublient le lendemain. J’ai donc écrit un livre su
167
’ensemble de l’humanité.) Et maintenant, veuillez
écouter
la retransmission planétaire de la première répétition des trompettes
168
vos singeries, vous l’appelez exagéré, démesuré.
Écoutez
-moi : s’il se trouvait que le monde réellement fût perdu, quel que so
169
euses en délire, passer une heure aux Actualités,
écouter
les conversations des voisins dans un bar, coudoyer des hommes déform
170
Dieu bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’
écoute
le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures, n
171
énisque. On me renvoie à Berne. 24 mai 1940
Écouté
la radio. Opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée, toutes ces nuit
172
ibunal militaire. On me reconduit enfin chez moi.
Écouté
la radio pendant des heures. La débâcle est consommée, la Suisse cern
173
e précautions sont nécessaires, car je sens qu’on
écoute
mes téléphones.) Le risque individuel prend sa place normale dans le
174
euses en délire, passer une heure aux Actualités,
écouter
les conversations des voisins dans un bar, coudoyer des hommes déform
175
t la lutte ! Mais vous ne le savez pas, vous ne m’
écoutez
pas, c’est pourquoi vous serez confus dans votre gaspillage et dans v
176
chez « Saint-Ex » faire une partie d’échecs et l’
écouter
parler des malheurs de sa France… Juin 1942 La guerre va mal, i
177
ute une ère qui nous sépare… Non, c’en est trop !
Écoutez
-moi, venez ici et regardez avec moi. Quand je vois que tout est chang
178
es, radoteurs à gages, ils sont tous fous, ne les
écoutez
plus ! — quand je vois que si je dis tout cela, les gens sourient et
179
ute une ère qui nous sépare. Non, c’en est trop !
Écoutez
-moi, venez ici et regardez avec moi. Quand je vois que tout est chang
180
es, radoteurs à gages, ils sont tous fous, ne les
écoutez
plus ! — quand je vois que si je dis tout cela, les gens sourient et
181
er dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour
écouter
Mozart et attendre, qui sait ? qu’une femme s’appuie… Il faudrait all
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le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’
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autre chose… En vérité le monde propose à l’imagination de bien étran
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idicule. Le corps diplomatique, debout en cercle,
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dans un recueillement stupide, applaudit, poliment enivré. Mais le mi