1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 lot fou ! Revenez, mes joies du large !… Tiens, j’ écoute le vent ; je pense au monde. Chant des horizons, images qui s’éclaire
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
2 er, croyez-moi. Car, enfin, si je suis ici à vous écouter , c’est que je cherche ce qu’on est convenu d’appeler — pardonnez la l
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
3 parlez de « procédés lassants ». Pierre Girard n’ écoute plus : il pense à des Vénézuéliennes ou à Gérard de Nerval. Bientôt v
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 le, éclabousse, ils n’y comprendront jamais rien, écoutez -les, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui couvrent une ango
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
5 monde contemporain l’absurdité de ses ambitions. Écoutons Garine, l’un de ces chefs (c’est lui qui parle au nom de l’auteur, je
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6 n est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c
7 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
7 ndre position dans un débat où les voix les mieux écoutées ont dit ce qu’elles avaient à dire. Et d’autre part, les lecteurs de
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
8 ent. Morigéner l’une c’est faire pleurer l’autre. Écouter ce que dit l’une, c’est savoir ce que l’autre pense. Elles ne mourron
9 cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas le temps d’ écouter la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de façons, qu
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
10 ent. Morigéner l’une c’est faire pleurer l’autre. Écouter ce que dit l’une, c’est savoir ce que l’autre pense. Elles ne mourron
11 cela est absurde. Pour qu’on n’ait pas le temps d’ écouter la nature qui répète par toutes ses voix, d’un milliard de façons, qu
10 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
12 mment tu pleurais. Au carrefour des cris perdus j’ écoute encore une voix nue qui vient de dire ton nom même avec l’accent de n
13 f délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute -les. IV Tends moi la main à travers cette ombre rapide si je te j
14 e rapide si je te joins nous la tiendrons captive écoute les cloches et le scintillement des étoiles les eaux profondes qui éc
11 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
15 diante qui pleurait très doucement. Un moment, il écouta sa mélopée. Puis envahi par un dernier feu, il se précipita dans sa c
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
16 d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il entend. 3. Au tombeau de Gül Baba Dans Bude il y a des
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
17 -ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une
14 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
18 épose sur la table sabres et képis, s’assied pour écouter  : tout est jugé d’avance. Deux heures durant, quelques pasteurs et qu
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
19 er dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait a
20 le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’ écouter autre chose… En vérité le monde propose à l’imagination de bien ét
21 idicule. Le corps diplomatique, debout en cercle, écoute dans un recueillement stupide, applaudit, poliment enivré. Mais le mi
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
22 d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il entend. iii Au tombeau de Gül Baba Dans Bude il y a d
23 -ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
24 n est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
25 l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour écouter et respirer longuement, choisissant parfois pour y sommeiller une lis
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
26 ntre une épaule, attends encore un peu plus fort, écoute encore plus purement… Solennité autour de nous : il y a une grande le
27 nité qui ouvre la bouche pour dire quelque chose, écoute , attends… Peut-être que déjà la parole fut dite et reçue quelque part
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
28 diante qui pleurait très doucement. Un moment, il écouta sa mélopée. Puis envahi par un dernier feu, il se précipita dans sa c
21 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
29 qui n’ont pas de point de vue sur le beau temps. Écoutez -moi bien, Sonnette : Vos actions et vos pensées, votre conception de
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
30 er dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait a
31 le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’ écouter autre chose… En vérité le monde propose à l’imagination de bien étran
32 idicule. Le corps diplomatique, debout en cercle, écoute dans un recueillement stupide, applaudit, poliment enivré. Mais le mi
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il entend. Au tombeau de Gül Baba Dans Bude il y a des ru
34 -ce qu’ils regardent en jouant ? Qu’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique — car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
35 ntre une épaule, attends encore un peu plus fort, écoute encore plus purement… Solennité autour de nous : il y a une grande le
36 nité qui ouvre la bouche pour dire quelque chose, écoute , attends… Peut-être que déjà la parole fut dite et reçue quelque part
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
37 n est mieux pour donner le coup de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine quand c’
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
38 l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour écouter et respirer longuement, choisissant parfois pour y sommeiller une lis
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
39 ttarde à suivre encore ces harmoniques, comme à l’ écoute clandestine, l’oreille au son d’un passé qui faiblit mais qui n’a pas
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
40 ergnats, mais grimace de douleur à nous entendre. Écoutez les jeunes gens dans la rue (« sur la rue » ou « en rue », diraient-i
29 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
41 ord à tous les privilèges bourgeois, et nous vous écouterons  ! Certes, nous savons que le premier aspect de toute révolution est d
30 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
42 s’il n’avait pas été révoqué, si Sully avait été écouté , si les jésuites n’étaient pas revenus, s’ils n’avaient pas armé, apr
31 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
43 taphysique me souffle : “Et après ?” Mais je ne l’ écoute pas et trouve malgré tout ces chiffres consolants. » Au salut par l’é
32 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
44 le chrétien ne peut plus rien, que personne ne l’ écoute plus, qu’on le laisse parler dans ses temples justement parce qu’on n
45 égorique. Si nous considérons l’histoire, si nous écoutons ses leçons, il me paraît qu’aucun doute n’est permis. De Constantin,
33 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
46 in, passionné et précis, au parler vif et sachant écouter , rompu aux abstractions et sachant voir, toujours prêt à l’accueil le
34 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
47 i que rien ne protège et la prudence de celui qui écoute , dans le tourment et dans la joie d’une découverte quotidienne du che
48 à la lecture des évangiles par exemple) au lieu d’ écouter l’ordre, au lieu de croire et de faire un pas dans la nuit, sur ce « 
35 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
49 faire… Comme je citais cette page à un abbé fort écouté , dont les travaux marient avec aisance théologie et humanisme, il me
36 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
50 zaines de milliers attendaient. J’étais venu pour écouter aussi la foule. Je me trouvais au milieu d’ouvriers, de jeunes milici
37 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
51 me mettre dans la peau d’un électeur allemand qui écoute ce langage. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
52 avec la géographie physique. À lire nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
53 poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’ écouter . Mais je suis fortement curieux de tirer d’un exemple aussi considéra
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
54 les domaines les plus imprévus. Nous y viendrons. Écoutons Nietzsche, qui ricane sa sagesse : « Ne pas périr imperceptiblement !
41 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
55 avec la géographie physique. À lire nos revues, à écouter les débats les plus acharnés qui surexcitent les intellectuels, on se
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
56 poser en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’ écouter . Mais je suis fortement curieux de tirer d’un exemple aussi considéra
43 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
57 les domaines les plus imprévus. Nous y viendrons. Écoutons Nietzsche, qui ricane sa sagesse : « Ne pas périr imperceptiblement !
44 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
58 border des réalités. Donc, par amour du peuple, n’ écoutons plus ses assemblées, ce n’est pas lui. Écoutons les observations que
59 n’écoutons plus ses assemblées, ce n’est pas lui. Écoutons les observations que formulent des individus pris à part, dans leur v
45 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
60 s le peuple comme vers un abîme insondable pour y écouter les paroles d’une vérité nouvelle. Ce ne sont pas des oracles que fai
46 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
61 et singulières de lire ce qu’un autre a écrit, d’ écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un lecteur vous écrit, il s’exprime le
47 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
62 fin quoi, les secouer un peu ! Ils sont là à vous écouter sans bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contrair
63 sont là à vous écouter sans bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contraire, et pas moyen de savoir avec qui
64 le lui sont incompréhensibles ; mais ceux qui les écoutent ont l’air de trouver cela tout naturel. Je fus certainement le seul i
65 gresser la science, et cela c’est bien. On va les écouter avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec
66 , qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l’ écoutera bien patiemment, s’il a su se rendre sympathique et surtout s’il a l’
48 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
67 e leur travail aux champs ou à la côte, et je les écoute avec toute l’attention d’un apprenti ; de leurs souvenirs, parfois to
68 ait exercer sa mission. Ils ne veulent pas même l’ écouter , et toute sa raison d’être est cependant de leur parler. Il n’a rien
49 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
69 , les gestes incongrus et mécaniques des autres ; écoute bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’ils croient dire ; ess
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
70 e leur travail aux champs ou à la côte, et je les écoute avec toute l’attention d’un apprenti ; de leurs souvenirs, parfois to
71 fin quoi, les secouer un peu ! Ils sont là à vous écouter sans bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contrair
72 sont là à vous écouter sans bouger, comme ils ont écouté les autres qui disaient le contraire, et pas moyen de savoir avec qui
73 le lui sont incompréhensibles ; mais ceux qui les écoutent ont l’air de trouver cela tout naturel. Je fus certainement le seul i
74 gresser la Science, et cela c’est bien. On va les écouter avec plaisir quand ils viennent faire une conférence instructive avec
75 , qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l’ écoutera bien patiemment, s’il a su se rendre sympathique et surtout s’il a l’
76 ait exercer sa mission. Ils ne veulent pas même l’ écouter , et toute sa raison d’être est cependant de leur parler. Il n’a rien
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
77 ce où des retraités tirent leurs savates, quand j’ écoute ce qui se dit chez la marchande de journaux, quand je m’informe des r
78 nous irrite ou excite notre ironie. Si l’on nous écoutait , il faudrait refaire ce petit monde de fond en comble ! La lecture de
79 et singulières de lire ce qu’un autre a écrit, d’ écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un lecteur vous écrit, il s’exprime le
80 border des réalités. Donc, par amour du peuple, n’ écoutons plus ses assemblées, ce n’est pas lui. Écoutons les observations que
81 n’écoutons plus ses assemblées, ce n’est pas lui. Écoutons les observations que formulent des individus pris à part, dans leur v
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
82 écrit M. Duhamel ! Mais non, elles vous forcent à écouter dix mélodies et trois parleurs à la fois, de sorte qu’il n’est plus p
53 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
83 , les gestes incongrus et mécaniques des autres : écoute bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’ils croient dire : ess
54 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
84 caniques d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en reparlerons demain. Seulement allez-y tout de suit
85 eur de la province nasille des lieux communs, mal écouté . Je suis debout, malaxé et soutenu par la foule, depuis bientôt quatr
86 me positif et allemand » des nazis… Tout cela fut écouté avec un intérêt courtois, vaguement étonné, déconcerté… Mais de la pa
55 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
87 caniques d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en reparlerons demain. Seulement allez-y tout de suit
88 d’auditeurs immédiats. Je suis venu avec l’idée d’ écouter aussi la foule. Je me trouve au milieu d’ouvriers, de jeunes milicien
89 eur de la province nasille des lieux communs, mal écouté . Je suis debout, malaxé et soutenu par la foule, depuis bientôt quatr
90 cours desquelles des milliers de fidèles viennent écouter les chefs de leur mouvement, et communier dans la prière. Ce soir, le
91 de différence avec le régime russe. Mon cours fut écouté avec un intérêt courtois, vaguement étonné il est vrai… 17. (Note de
56 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
92 me mettre dans la peau d’un électeur allemand qui écoute ce langage. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui
57 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
93 arriés par une foule ? » Il m’a répondu : « Allez écouter le Führer, nous en reparlerons ensuite ». Est-ce donc une révélation
58 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
94 cateur ? Le mérite-t-elle encore ? Saura-t-elle l’ écouter  ? Puisse du moins le souvenir de Nicolas de Flue nous faire comprendr
59 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
95 ique : « Le poète et le rêveur sont passifs ; ils écoutent le langage d’une voix qui leur est intérieure et pourtant étrangère,
60 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
96 ait arrivé. Deux semaines auparavant, à Venise, j’ écoutais Honegger dirigeant son Nocturne dans le théâtre goldonien de la Fenic
61 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
97 gage résonne avec tant de douceur que l’âme qui l’ écoute et l’entend s’écrie : — Malheureuse que je suis ! Je ne suis pas capa
98 douleur qu’elle nous rend désirable notre perte. Écoutons la Religieuse portugaise, Mariana Alcoforado, comme elle écrit à l’ho
62 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
99 ma sœur, vous l’avez épousée pour l’amour de moi. Écoutez -moi, vous, comtes Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère sœur, receve
63 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
100 es d’orchestre.) Le récitant. Le chœur. Or écoutez Confédérés ! Prêtez l’oreille ! Tutti. Commence ici le Jeu de Ni
64 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
101 bat. J’entends encore notre fanfare dans la nuit, écoute  ! Est-ce que tu entends aussi ? (Fanfare en sourdine.) Regarde ! Est-
102 e chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute  ! 1er officier. —  Capitaine de Flue ! Nicolas3. —  Présent !
103 e chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute  ! Scène iv. (La scène latérale de droite s’éclaire. On voit ci
104 tous payés ! Je vais témoigner pour le plaignant, écoutez -moi ! Le juge. —  C’est trop tard. Tu n’as pas la parole ! (Aux ju
105 armi les assistants.) Nicolas. —  Concitoyens ! Écoutez -moi ! Pour la première fois parmi nous, c’est l’injustice qui triomph
106 e chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute  ! Scène v. (Plan 2.) Dorothée. —  Et maintenant, te voici da
107 u, ton serviteur élève la voix dans les ténèbres. Écoute -le ! Détourne le Malin qui rôde ! Ô Dieu… (Pendant la prière qui sui
65 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
108 roublés. Plus d’un attend conseil du frère Claus. Écoutez bien : plus d’un voudrait l’avoir de son côté ! Ainsi, pour moi, le c
109 as à la révolte. Nicolas. —  Tu dis vrai. Mais écoute -moi : si tous les riches étaient de bons chrétiens, ils n’auraient pa
110 faut-il encore un autre chef ? Le pèlerin. —  Écoute  ! Notre misère crie jusqu’au ciel ! Le temps de la révolte est là. Si
111 danger tout ton peuple se tourne vers toi pour t’ écouter  ! Choral ii. Nicolas ! Nicolas ! Nicolas ! Prends ta garde ! De
112 le, guetteur aux yeux fermés, Avertis, car nous t’ écoutons  ! Prie pour nous, le danger se lève ! Témoin frugal et prophétique Tu
113 m de Dieu qui nous entend, et de mon peuple qui m’ écoute . Hornek. —  L’empereur t’envoie son salut ! Il se souvient de ta v
114 s illustre encore, et vénérée. Un peuple entier t’ écoute et reçoit tes conseils. De toi seul dépend le succès du grand dessein
115 ous les cantons soient d’accord — et ceux d’ici n’ écoutent que ta voix, frère Claus ! Voilà pourquoi je suis venu. Nicolas. —
116 rie.) Confédérés ! Confédérés ! réveillez-vous, n’ écoutez pas le Tentateur ! (Lumière sur le plan 2. Entrée des Suisses armés,
117 récitatif, jeu de scène indiquant que les Suisses écoutent de tous côtés, dans l’inquiétude.) Choral ii. Sentinelle ! Sentin
118 . Jour du désir, jour de l’angoisse ! Confédérés, écoutez , écoutez ! (Une moitié du groupe des Suisses se tourne vers le plan
119 désir, jour de l’angoisse ! Confédérés, écoutez, écoutez  ! (Une moitié du groupe des Suisses se tourne vers le plan 3, l’aut
120 s villes. —  C’est le grand astrologue de Berne ! Écoutez -le ! Voix des campagnes. —  Funeste conseiller des villes ! Vendu 
121 uchant ! Diesbach. —  Il fait signe, il crie ! Écoutez  ! Hornek. —  Alerte ! Je l’entends ! Il crie : Alerte ! Diesbac
66 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
122 ssadeurs de l’étranger pour inaugurer les débats. Écoutez  ! (Ils s’arrêtent, les marteaux levés. Fanfare dans la coulisse.) Les
123 nds la colère ! Dans la nuit, vois notre misère ! Écoute -nous, reviens à nous ! Ne cesse pas d’implorer Dieu pour nous ! S
124 ept ans je les avertissais. Mais ils ne m’ont pas écouté . Haimo. —  C’est vrai… Nicolas. —  Je leur disais : Restez dans
125 voulez garder vos libertés. Mais ils ne m’ont pas écouté . Haimo. —  C’est vrai… Nicolas. —  Et cette nuit, ils se prépar
126 aussi ma solitude et redescendre chez les hommes… Écoute -moi. C’est comme un effrayant blasphème… C’est comme si Dieu lui-même
127 Chant des Compagnons, en sourdine.) Nicolas. —  Écoute -moi ! Je ne puis plus avancer. Je vais te dicter un message pour les
128 cène x. Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Écoute -moi, mon peuple, et je t’avertirai ! Dieu te parlait, mais toi tu sui
129 oix sur la place. —  Ils ont entendu le message ! Écoutez  ! Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Oh ! si mon peuple enfin re
130 es joyeuses et sereines.) Voix sur la place. —  Écoutez  ! Qu’ont-ils dit ? Écoutez ! Voix de la coulisse. —  Je ne sais pa
131 Voix sur la place. —  Écoutez ! Qu’ont-ils dit ? Écoutez  ! Voix de la coulisse. —  Je ne sais pas ! — Je les vois qui se lè
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
132 « croyants », le grand public cultivé ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or
133 é sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez  ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seul
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
134 gage résonne avec tant de douceur que l’âme qui l’ écoute et l’entend s’écrie : — Malheureuse que je suis ! Je ne suis pas capa
135 douleur qu’elle nous rend désirable notre perte. Écoutons la Religieuse portugaise, Mariana Alcaforado, comme elle écrit à l’ho
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
136 « croyants », le grand public cultivé ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or
137 é sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez  ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seul
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
138 gage résonne avec tant de douceur que l’âme qui l’ écoute et l’entend s’écrie : — Malheureuse que je suis ! Je ne suis pas capa
139 douleur qu’elle nous rend désirable notre perte. Écoutons la Religieuse portugaise, Mariana Alcoforado, comme elle écrit à l’ho
71 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
140 ma sœur, vous l’avez épousée pour l’amour de moi. Écoutez -moi, vous, comtes Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère sœur, receve
72 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
141 uses. Nous avons été avertis. Nous avons refusé d’ écouter . Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injustice triomp
73 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
142 uses. Nous avons été avertis. Nous avons refusé d’ écouter . Et maintenant il faut payer. Non point parce que l’injustice triomph
74 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
143 tous « ceux du dehors » puissent entrer, puissent écouter et puissent entendre sans éprouver le sentiment de s’être égarés dans
144 ns contre ce que je vais dire. Je suis prêt à les écouter avec déférence. Mais je cherchais depuis longtemps l’occasion de form
145 mosphère, notre ton, nos manières de prêcher ou d’ écouter , afin de rendre possible une action missionnaire dans toutes les couc
75 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
146 tionne, le gouvernement répond, il s’explique, il écoute à son tour. N’importe quel citoyen peut critiquer publiquement telle
76 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
147 Dieu bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’ écoute le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures, n
77 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
148 gagnera la confiance des États du Middle West… J’ écoutais hier la cérémonie dite de « l’Inauguration ». La veille, le président
78 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
149 mer le Prince de ces Lieux ? — Mais on m’appelle, écoute , la voix venait du parc ? — Es-tu bien sûr que c’était une voix ? Ils
79 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
150 eur le rôle ironiquement providentiel des Tyrans. Écoutez le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties capitali
80 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
151 iserait s’il se montrait, et nous fuirions sans l’ écouter , tandis que le péché nous fait moins peur qu’envie. Si nous savions v
81 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
152 affolée par des agents prétendus mystérieux. Ils écoutaient à la radio, soir après soir, des bruits sans suite, cacophonie abruti
82 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
153 qu’une bien gentille dame et ses charmants amis l’ écoutent d’une oreille, poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely,
154 i la démocratie moderne est spécialement tentée d’ écouter ses conseils. Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre dépend
83 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
155 eur le rôle ironiquement providentiel des Tyrans. Écoutez le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties capitalis
84 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
156 iserait s’il se montrait, et nous fuirions sans l’ écouter , tandis que le péché nous fait moins peur qu’envie. Si nous savions v
85 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
157 affolée par des agents prétendus mystérieux. Ils écoutaient à la radio, soir après soir, des bruits sans suite, cacophonie abruti
86 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
158 qu’une bien gentille dame et ses charmants amis l’ écoutent d’une oreille, poliment, disant lorsque c’est terminé : « So lovely,
159 i la démocratie moderne est spécialement tentée d’ écouter ses conseils. Le pouvoir d’un régime fondé sur le grand nombre dépend
87 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
160 eur le rôle ironiquement providentiel des Tyrans. Écoutez le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties capitalis
88 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
161 isse, 24 mai 1940. Poste militaire à la frontière Écouté la radio : opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée, toutes ces nui
162 , on entendait répéter constamment : « Je viens d’ écouter la radio. Rien de nouveau, toujours les mêmes histoires, pas de décis
89 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
163 i que rien ne protège et la prudence de celui qui écoute , dans le tourment et dans la joie d’une découverte quotidienne du che
164 la lecture des évangiles, par exemple) au lieu d’ écouter l’ordre, au lieu de croire et de faire un pas dans la nuit, sur ce « 
90 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
165 stique. « Le poète et le rêveur sont passifs, ils écoutent le langage d’une voix qui leur est intérieure et pourtant étrangère,
91 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
166 n très bon moyen de propagande. Les Américains en écoutent énormément, et les oublient le lendemain. J’ai donc écrit un livre su
92 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
167 ’ensemble de l’humanité.) Et maintenant, veuillez écouter la retransmission planétaire de la première répétition des trompettes
93 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
168 vos singeries, vous l’appelez exagéré, démesuré. Écoutez -moi : s’il se trouvait que le monde réellement fût perdu, quel que so
94 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
169 euses en délire, passer une heure aux Actualités, écouter les conversations des voisins dans un bar, coudoyer des hommes déform
170 Dieu bénisse l’Amérique… » Je ferme les yeux et j’ écoute le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures, n
95 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
171 énisque. On me renvoie à Berne. 24 mai 1940 Écouté la radio. Opéra de Mozart. Et dans une seule bouffée, toutes ces nuit
172 ibunal militaire. On me reconduit enfin chez moi. Écouté la radio pendant des heures. La débâcle est consommée, la Suisse cern
173 e précautions sont nécessaires, car je sens qu’on écoute mes téléphones.) Le risque individuel prend sa place normale dans le
96 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
174 euses en délire, passer une heure aux Actualités, écouter les conversations des voisins dans un bar, coudoyer des hommes déform
175 t la lutte ! Mais vous ne le savez pas, vous ne m’ écoutez pas, c’est pourquoi vous serez confus dans votre gaspillage et dans v
97 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
176 chez « Saint-Ex » faire une partie d’échecs et l’ écouter parler des malheurs de sa France… Juin 1942 La guerre va mal, i
98 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
177 ute une ère qui nous sépare… Non, c’en est trop ! Écoutez -moi, venez ici et regardez avec moi. Quand je vois que tout est chang
178 es, radoteurs à gages, ils sont tous fous, ne les écoutez plus ! — quand je vois que si je dis tout cela, les gens sourient et
99 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
179 ute une ère qui nous sépare. Non, c’en est trop ! Écoutez -moi, venez ici et regardez avec moi. Quand je vois que tout est chang
180 es, radoteurs à gages, ils sont tous fous, ne les écoutez plus ! — quand je vois que si je dis tout cela, les gens sourient et
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
181 er dans les plis de ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre, qui sait ? qu’une femme s’appuie… Il faudrait all
182 le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’ écouter autre chose… En vérité le monde propose à l’imagination de bien étran
183 idicule. Le corps diplomatique, debout en cercle, écoute dans un recueillement stupide, applaudit, poliment enivré. Mais le mi