1
es présences animales. Tandis que sur la plaine s’
élève
le long beuglement des taureaux et le ohéohéohé des bouviers « comme
2
peu obsède dans l’inflexion des phrases, ce qui s’
élève
en fin de compte de tous ces tableaux de violence et de passion, c’es
3
lentement le fleuve. Au cœur de Prophète chauve s’
élève
la montagne de pierre de St-Gellert. Elle tombe en hautes falaises da
4
r j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’
élève
pour mettre en doute l’excellence du principe de l’instruction publiq
5
suivre syllabe après syllabe les ânonnements des
élèves
qui déchiffraient les premières phrases exemplaires. (J’aimais pourta
6
ortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un bon
élève
qu’un instituteur : de l’un à l’autre il n’y a pas de solution de con
7
eur-lieutenant qui veut traiter militairement ses
élèves
témoigne de la même maladresse professionnelle. J’en connaissais un q
8
e est particulièrement indiquée pour préparer les
élèves
à une composition française ? Question oiseuse et saugrenue, — naïve.
9
ntité des réponses « fournies » par le prévenu (l’
élève
examiné) n’a qu’un lointain rapport avec la qualité et la quantité de
10
quence du gavage, c’est qu’on ne peut laisser aux
élèves
le temps qu’il faut pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont for
11
t occasion de développer les vertus sociales de l’
élève
. « Une classe est une société en miniature. » Ceci est une énorme bou
12
licats par les plus vulgaires ? L’idéal du bon
élève
Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser
13
l du bon élève Le bon sens voudrait que le bon
élève
soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme d
14
poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon
élève
soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui dont
15
je ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le bon
élève
est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits
16
ereuse de ceux qui voient avec leurs yeux. Le bon
élève
est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeur cède
17
voient avec leurs yeux. Le bon élève est aussi l’
élève
discipliné. L’école veut que partout la valeur cède le pas à la règle
18
s ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons
élèves
de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater que la
19
e des « jardins d’enfants » où l’on apprend à des
élèves
âgés de 3 à 4 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle de l’éco
20
s l’étude des verbes actifs sera aussi active, un
élève
se mettra à marcher dans le couloir en s’écriant : je marche, ou : j’
21
nne était un enseignement, et qui n’avait pas des
élèves
, mais des disciples. Celui-là seul favorise le développement des indi
22
r j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’
élève
pour mettre en doute l’excellence du principe de l’instruction publiq
23
suivre syllabe après syllabe les ânonnements des
élèves
qui déchiffraient les premières phrases exemplaires. (J’aimais pourta
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ortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un bon
élève
qu’un instituteur : de l’un à l’autre, il n’y a pas de solution de co
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eur-lieutenant qui veut traiter militairement ses
élèves
témoigne de la même maladresse professionnelle. J’en connais un qui a
26
e est particulièrement indiquée pour préparer les
élèves
à une composition française ? Question oiseuse et saugrenue, — naïve.
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ntité des réponses « fournies » par le prévenu (l’
élève
examiné) n’a qu’un lointain rapport avec la qualité et la quantité de
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quence du gavage, c’est qu’on ne peut laisser aux
élèves
le temps qu’il faut pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont for
29
t occasion de développer les vertus sociales de l’
élève
. « Une classe est une société en miniature. » Ceci est une énorme bou
30
s par les plus vulgaires ? 3.g. L’idéal du bon
élève
Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser
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l du bon élève Le bon sens voudrait que le bon
élève
soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme d
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poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le bon
élève
soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui dont
33
e ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le bon
élève
est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits
34
e dangereuse de ceux qui voient avec leurs yeux d’
élèves
. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout
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ceux qui voient avec leurs yeux d’élèves. Le bon
élève
est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeur cède
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vec leurs yeux d’élèves. Le bon élève est aussi l’
élève
discipliné. L’école veut que partout la valeur cède le pas à la règle
37
s ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons
élèves
de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater que la
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e des « jardins d’enfants » où l’on apprend à des
élèves
âgés de 3 à 4 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle l’école
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s l’étude des verbes actifs sera active aussi, un
élève
se mettra à marcher dans le couloir en s’écriant : je marche, ou : j’
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nne était un enseignement, et qui n’avait pas des
élèves
, mais des disciples. Celui-là seul favorise le développement des indi
41
une colline que le Danube contourne, la basilique
élève
une coupole d’ocre éclatante, immense et froide, dominant cette plain
42
e héros de Vol de nuit, non déshumanisé certes, s’
élève
à une vertu surhumaine. Je crois que ce qui me plaît surtout dans ce
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une colline que le Danube contourne, la Basilique
élève
une coupole d’ocre éclatante, immense et froide, dominant cette plain
44
une colline que le Danube contourne, la Basilique
élève
une coupole d’ocre éclatant, immense et froide, dominant cette plaine
45
, à l’incognito de la gloire. Je voudrais qu’on y
élève
un monument dédié à l’Illustre Inconnu. Il serait en forme de banc. Q
46
r de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’
élève
contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui man
47
ète enfin — c’est-à-dire tout ce qui stabilise et
élève
l’homme — disparaît, et il ne reste à ce dernier, livré au pire capit
48
er tous les problèmes de notre siècle. Le ton s’y
élève
à la hauteur de l’invective prophétique : Plains-toi, l’Éternel ne c
49
ose se plaindre comme il sied à un homme ? Parle,
élève
la voix, parle fort, Dieu peut bien parler plus fort, lui qui dispose
50
: « Qu’on lui coupe la tête ! » Alors, le chat s’
élève
dans les airs et peu à peu rend son corps invisible, seule subsiste s
51
ssion, de plus en plus abstraite à mesure qu’on s’
élève
à des nombres plus grands, du pouvoir prochain de la personne ; il n’
52
r de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’
élève
contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui man
53
i s’alimente à l’étranger. Je veux dire qu’elle s’
élève
contre un fait dont malgré tout nous ignorons la pleine signification
54
itique Qu’y a-t-il donc sous cette révolte qui
élève
en moi son cri contre les choses qui viennent à grands pas assurés, e
55
r de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’
élève
contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui man
56
i s’alimente à l’étranger. Je veux dire qu’elle s’
élève
contre un fait dont malgré tout nous ignorons la pleine signification
57
itique Qu’y a-t-il donc sous cette révolte qui
élève
en moi son cri contre les choses qui viennent à grands pas assurés, e
58
a vie chrétienne n’est pas une construction qui s’
élève
au-dessus du reste de la vie. C’est toute profane et banale, la vie q
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r une pleine et ferme confiance en soi, qui seule
élève
le cœur et l’esprit. À celui qui a perdu cette confiance, plus rien n
60
ateur le domaine de l’action quotidienne. Plus on
élève
le spirituel au-dessus des humaines contingences, plus sûrement on li
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oules. Il ne s’agit pas d’un tribun déchaîné ; il
élève
rarement la voix, sauf à la fin ; il ne dit que des choses simples, r
62
ui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’
élève
un même et formidable appel profond des peuples. Il a jailli de la mi
63
n exprimée par Rosenberg dans un discours où il s’
élève
avec violence contre toute conception ascétique ou moyenâgeuse de la
64
ui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’
élève
un même et formidable appel profond des peuples. Il a jailli de la mi
65
nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs
élèves
, dans un ordre de choses, on le sait, où l’idéal a su se rendre oblig
66
tuel, livré aux érudits, aux professeurs, à leurs
élèves
et à tous ceux qui forment l’opinion, dicte ses lois au créateur et s
67
nts enseignent à leur tour dans les lycées. Leurs
élèves
écriront dans les journaux. Le peuple enfin ne se nourrit plus que de
68
n exprimée par Rosenberg dans un discours où il s’
élève
avec violence contre toute conception ascétique ou moyenâgeuse de la
69
ui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’
élève
un même et formidable appel profond des peuples. Il a jailli de la mi
70
nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs
élèves
, dans un ordre de choses, on le sait, où l’idéal a su se rendre oblig
71
tuel, livré aux érudits, aux professeurs, à leurs
élèves
et à tous ceux qui forment l’opinion, dicte ses lois au créateur et s
72
nts enseignent à leur tour dans les lycées. Leurs
élèves
écriront dans les journaux. Le peuple enfin ne se nourrit plus que de
73
viers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’
élève
de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres.
74
école libre qui nous a pris les deux tiers de nos
élèves
. On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quel
75
école libre qui nous a pris les deux tiers de nos
élèves
. On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quel
76
viers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’
élève
de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres.
77
e prêchent les prophètes au peuple et qui seule l’
élève
, l’assemble et donne un sens à la vie de chacun. Ce peuple errait san
78
une colline que le Danube contourne, la Basilique
élève
une coupole d’ocre éclatant, immense et froide, dominant cette plaine
79
s la chambre de son fils : il prend le petit et l’
élève
devant lui en disant : — « Oui, toi tu seras un vrai guerrier ! » Sa
80
rcourue de moteurs. Une voix dure et nasillarde s’
élève
d’une tribune que nous ne voyons pas. (J’ai déjà entendu ce discours,
81
neux. Silence morne. Alors une voix plus claire s’
élève
: « Mais la vieille légende germanique nous annonçait que le Libérate
82
s c’est aussi « la Matière, à l’instant où elle s’
élève
jusqu’à l’Esprit ». Voilà bien la profonde ambiguïté où naît le roman
83
leur est intérieure et pourtant étrangère, qui s’
élève
dans les profondeurs d’eux-mêmes sans qu’ils puissent faire autre cho
84
nt un enseignement oral, en vers gnomiques, à des
élèves
qu’ils gardaient auprès d’eux pendant vingt ans17. (On a pu rapproche
85
ui, de la ferveur de l’instinct de procréation, s’
élève
en se purifiant à la ferveur divine, mais n’en conserve pas moins les
86
gardien des marcassins sacrés », c’est-à-dire des
élèves
des druides, rival de son oncle Markh, le roi-cheval, et amant d’Essy
87
on aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire
élève
l’initié à la vie de l’esprit. Tout cela est vraisemblable, et contes
88
t le libre développement des vocations chez leurs
élèves
… Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple qui me ferait la pa
89
arde Nicolas.) Le chœur. Ô Dieu, ton serviteur
élève
la voix dans les ténèbres. Écoute-le ! Détourne le Malin qui rôde ! Ô
90
: au premier acte, Nicolas quitte le monde, il s’
élève
donc du plan 2 au plan 3. Au deuxième acte, le monde vient à lui : le
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nt un enseignement oral, en vers gnomiques, à des
élèves
qu’ils gardaient auprès d’eux pendant vingt ans20. On a pu rapprocher
92
ui, de la ferveur de l’instinct de procréation, s’
élève
en se purifiant à la ferveur divine, mais n’en conserve pas moins les
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nt un enseignement oral, en vers gnomiques, à des
élèves
qu’ils gardaient auprès d’eux pendant vingt ans13. On a pu rapprocher
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ui, de la ferveur de l’instinct de procréation, s’
élève
en se purifiant à la ferveur divine, mais n’en conserve pas moins les
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gardien des marcassins sacrés », c’est-à-dire des
élèves
des druides, rival de son oncle Markh, le roi-cheval, et amant d’Essy
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on aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire
élève
l’initié à la vie de l’esprit. Tout cela est vraisemblable, et contes
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t le libre développement des vocations chez leurs
élèves
… Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple qui me ferait la pa
98
ndre au niveau du peuple, il faut que le peuple s’
élève
au niveau du pays. C’est un appel encore, un appel de tous les instan
99
t le libre développement des vocations chez leurs
élèves
… Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple qui me ferait la pa
100
a mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’
élève
ces vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleu
101
a mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’
élève
ces vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleu
102
a mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’
élève
ces vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleu
103
r amoureuse, par mille étreintes successives il s’
élève
à la jouissance imaginaire et désespérément consciente de l’Être. L’a
104
de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays
élève
autour du massif du Gothard, invincible et désert, cœur mystérieux du
105
branches parfois bizarrement tordues, mais qui s’
élève
d’une poussée si majestueuse vers l’épanouissement, vers cette espèce
106
i : « Qu’on lui coupe la tête ! » Alors le Chat s’
élève
dans les airs et peu à peu, rend son corps invisible ; seule subsiste
107
is c’est aussi « la Matière à l’instant où elle s’
élève
jusqu’à l’esprit. » Voilà bien la profonde ambiguïté où naît le roman
108
leur est intérieure et pourtant étrangère, qui s’
élève
dans les profondeurs d’eux-mêmes sans qu’ils puissent faire autre cho
109
litarisme », entendez aux idées communistes. Elle
élève
des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet d
110
nsmutations matérielles ou physiques… Celui qui s’
élève
sera abaissé et celui qui s’abaisse sera élevé. Synonymes. Droite :
111
bis, mi-loup mi-homme, coloré en rouge (désir), s’
élève
de la matière et évolue vers le Père : c’est l’homme qui s’éveille de
112
de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays
élève
, nuit et jour, autour du massif du Gothard, cœur mystérieux du contin
113
Mais on dirait aussi que son regard, dès qu’il l’
élève
avec angoisse vers le rocher, retient le rocher. Étrange lieu que ce
114
nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’
élève
et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
115
nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’
élève
et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
116
de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays
élève
, nuit et jour, autour du massif du Gothard, cœur mystérieux du contin
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nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’
élève
et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
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litarisme », entendez aux idées communistes. Elle
élève
des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet d
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une colline que le Danube contourne, la basilique
élève
une coupole d’ocre éclatante, immense et froide, dominant cette plain
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école libre qui nous a pris les deux tiers de nos
élèves
. On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quel
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viers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’
élève
de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres.
122
s la chambre de son fils : il prend le petit et l’
élève
devant lui en disant : « Oui, toi tu seras un vrai guerrier ! » Sa fe
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rcourue de moteurs. Une voix dure et nasillarde s’
élève
d’une tribune que nous ne voyons pas. (J’ai déjà entendu ce discours,
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neux. Silence morne. Alors une voix plus claire s’
élève
: « Mais la vieille légende germanique nous annonçait que le Libérate
125
de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays
élève
, nuit et jour, autour du massif du Gothard, cœur mystérieux du contin
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nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’
élève
et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
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litarisme », entendez aux idées communistes. Elle
élève
des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet d
128
me qui, chez nous, pervertit la vie sexuelle et l’
élève
au niveau de la culture. Puritain ou émancipé, le jeune Américain sem
129
aissait, mais cela faisait partie du jeu. En bons
élèves
, les voyageurs préparaient leurs billets pour l’inspection. Tout se p
130
amoureuse, par mille étreintes successives, il s’
élève
à la jouissance imaginaire et désespérément consciente de l’Être. L’a
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Mais on dirait aussi que son regard, dès qu’il l’
élève
avec angoisse vers le rocher, retient le rocher. Étrange lieu que ce
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me qui, chez nous, pervertit la vie sexuelle et l’
élève
au niveau de la culture. Puritain ou émancipé, le jeune Américain sem
133
, à l’incognito de la gloire. Je voudrais qu’on y
élève
un monument dédié à l’Illustre Inconnu. Il serait en forme de banc. Q
134
ments scolaires sont stricts : toute absence d’un
élève
qui n’est pas justifiée par des raisons « réputées légitimes », telle
135
passer sans la moindre difficulté apparente. Les
élèves
adventistes reçoivent dispense pour le samedi et si les examens ont l
136
bien vus des pouvoirs, de quelques boursiers bons
élèves
; et quelques phrases bien plates sur l’indispensable solidarité de n
137
a discipline qui tourne au fétichisme lorsqu’on l’
élève
au rang de vertu civique, ou qu’on lui confère une sorte de mérite va
138
moins envahissants qu’en Amérique. En général, l’
élève
suisse acquiert plus de connaissance précises que l’américain, et ne
139
ilial sont autorisés, mais à la condition que les
élèves
ainsi formés puissent passer avec succès les examens des écoles publi
140
le matériel scolaire sont fournis sans frais aux
élèves
. Ce régime n’est rendu praticable, dans les cantons pauvres, que par
141
epuis 1947 dans les 16 pays du CE et en Suisse, s’
élève
à 491. Leur tirage total a légèrement dépassé 3 millions d’exemplaire
142
is 1947 dans les seize pays du CE et en Suisse, s’
élève
à quatre-cent-quatre-vingt-onze. Leur tirage total a légèrement dépas
143
t assuré par la musique russe nouvelle, œuvre des
élèves
de Rimski-Korsakov, par Scriabine et par Stravinsky en premier lieu.
144
esse prédomine, et avec elle la froideur des bons
élèves
. » ⁂ L’opéra célèbre du compositeur américain Gershwin, Porgy and Bes
145
et les morts favorables), on cherche à donner à l’
élève
les moyens intellectuels de se débrouiller dans la société, et l’on d
146
utres graduations que celles qu’impose l’âge de l’
élève
. Le fait que, malgré tout, certaines études demeurent encore difficil
147
demeurent encore difficilement accessibles à des
élèves
pauvres, se voit dénoncé comme antidémocratique. Peut-on ramener tous
148
sif aboutit à ne plus rien imposer du tout. Si un
élève
déclare qu’il n’a pas envie de faire de l’arithmétique ce matin (et q
149
gnement tendent régulièrement à économiser pour l’
élève
l’effort de l’intelligence, de la mémoire et de l’attention. Elles on
150
’ironie : personne n’en tire bénéfice, même pas l’
élève
le plus ignare, car il voit son ignorance acceptée comme la norme ! Q
151
f est ici la spécialisation dirigée par l’État. L’
élève
qui a réussi ses épreuves de sortie (après dix ans d’école) peut entr
152
igoureusement prescrit pour chaque spécialité : l’
élève
n’a aucun droit d’option et il n’existe pas de cours facultatifs, ni
153
système américain, lui aussi, livre finalement l’
élève
à une sorte de conditionnement social, non dirigé bien sûr, capricieu
154
aissait, mais cela faisait partie du jeu. En bons
élèves
, les voyageurs préparaient leur billet pour l’inspection. Tout se pas