1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
1 istesse des choses qui vous échappent, des amours impossibles , des histoires dont on ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
2 la Foi ». Acculée à la rigueur d’un choix presque impossible , notre incertitude paraît sans remède. Mais, ici, M. Daniel-Rops n’a-
3 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
3 s formes belles, ce monde qui devient impuissant. Impossible d’évoquer un personnage précis pour lui faire endosser le blâme, mais
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
4 plus terne. Mais bien vite un intermède bouffon, impossible et d’une désopilante poésie nous replonge dans une atmosphère autre,
5 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
5 pic trop élevé pour qu’on y puisse vivre, c’est l’ impossible . Mais justement, la gloire de M. Benda sera d’avoir soutenu que l’hum
6 utenu que l’humanité a besoin qu’on lui demande l’ impossible . Et quand bien même elle croirait n’en avoir plus besoin. Cet extrémi
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 ée, à demi recouverte de rosiers, et qu’il paraît impossible de situer dans l’ensemble des constructions. C’est là qu’on entre. Mu
8 t-il bon que je parsème ce texte de quelques noms impossibles et de beaucoup de chiffres vraisemblables ? Ainsi le lecteur superfic