1
juger. L’auteur l’appelle un « poème solaire », l’
éditeur
un roman, parce que ça se vend mieux. Ce récit des premiers combats d
2
ient, repartent vers la foi et s’arrêtent chez un
éditeur
. Cela fait un roman de plus. Il obtiendra le prix d’assiduité et l’ap
3
nnaissance ». 16. La Princesse Blanche, Stock,
éditeur
. 17. Qu’on lise, par exemple, l’admirable Goethe, histoire d’un homm
4
couverture photographique triomphe chez tous les
éditeurs
. Et ces éditeurs, que publient-ils ? Des collections documentaires, d
5
graphique triomphe chez tous les éditeurs. Et ces
éditeurs
, que publient-ils ? Des collections documentaires, des reportages à g
6
En réalité, la suite prouva la clairvoyance de l’
éditeur
, habile à saisir dès leur naissance les désirs à peine conscients du
7
, de critiques lucides. 6. Un volume chez Plon,
éditeur
. i. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Jeune Europe », Le Moment,
8
Il résulte de cette étude un gros livre que trois
éditeurs
refusent mais qui paraît finalement en librairie après la guerre. Ave
9
osses manœuvres publicitaires, et la méfiance des
éditeurs
à l’endroit des meilleurs esprits. À qui faut-il s’en prendre ? Aux c
10
rumeur des salons, des cafés, des antichambres d’
éditeurs
. À sa façon, non moins que les littérateurs dont j’ai parlé, elle ten
11
le discipline. Et une nouvelle aisance. 12. Un
éditeur
introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
12
attrapé, le curé, la politique et tout15 !… » Les
éditeurs
s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
13
ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des
éditeurs
, mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
14
essein vaguement subversif peut bien poursuivre l’
éditeur
qui publia ce résumé de la vie nulle d’un jeune bourgeois ? m. Rou
15
age est « sérieux et précis » selon les clercs, l’
éditeur
, le jugeant invendable, exigera des arrhes jamais récupérées sur la t
16
sprit actif, mieux il se vend. La crise force les
éditeurs
à se faire les interprètes du public auprès de l’auteur, et non l’inv
17
e n’est qu’une de ses tentations. 33. Grasset,
éditeur
. w. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Henry de Montherlant, Serv
18
u insuccès (auprès du public, de la critique, des
éditeurs
). La pauvreté et l’obscurité sont deux spectres classiques sans le co
19
normalement leur être subordonnées. Exemple : un
éditeur
refuse un livre dont la valeur artistique lui paraît évidente, mais q
20
lité du capital investi dans la maison obligent l’
éditeur
à n’accepter que des livres susceptibles de se vendre à 3000 exemplai
21
à 3000 exemplaires au moins. Par contre, ce même
éditeur
commandera à ce même auteur un bouquin sans valeur artistique mais «
22
par le « lancement » publicitaire organisé par l’
éditeur
, ce mauvais livre aura du succès. Et ce bon auteur finira par croire
23
s. Le système repose sur deux organisations : les
éditeurs
et les critiques. La plupart des critiques d’aujourd’hui trahissent l
24
pourquoi « parle »-t-on de ce livre ? Parce que l’
éditeur
a su préparer sa sortie par une série de manœuvres généralement très
25
le tient de tous côtés. Faut-il donc accuser les
éditeurs
? Jusqu’en 1930 environ, c’est-à-dire jusqu’à la crise, il y avait un
26
jusqu’à la crise, il y avait une foison de petits
éditeurs
qui étaient prêts à faire des sacrifices pour publier certains ouvrag
27
occurrence, ce phénomène. Restent donc les grands
éditeurs
. On pourrait concevoir qu’il se trouve parmi eux quelques esprits ind
28
i le mécanisme inexorable où se trouvent pris les
éditeurs
: 1. Les lois du capitalisme et l’importance sans cesse accrue des f
29
e sans cesse accrue des frais généraux obligent l’
éditeur
à « sortir » chaque année un certain nombre de livres fixé d’avance e
30
n. 2. Le déluge de livres qui en résulte oblige l’
éditeur
à augmenter sans cesse sa publicité, à recourir à tous les procédés c
31
: cercle vicieux typiquement capitaliste. Ainsi l’
éditeur
cesse d’être un artisan au service du livre. Il met le livre au servi
32
e. 3. Obligé de vendre beaucoup et à tout prix, l’
éditeur
est contraint à organiser en grand sa distribution. Or c’est alors qu
33
Messageries sur le prix des exemplaires vendus, l’
éditeur
qui, pour une raison ou pour une autre35, ne jouit pas d’un régime sp
34
vend mal, ce n’est plus un manque à gagner pour l’
éditeur
, c’est une perte. Et cette perte, selon les contrats, peut se monter
35
n’est donc plus question, matériellement, pour l’
éditeur
, de risquer un beau geste en faveur de quelque écrivain, peut-être gé
36
nvendable sur les quais de gare. Quant aux petits
éditeurs
, dont j’ai parlé, il a suffi de quelques années de ce régime pour qu’
37
des procédés utilisés pour « mettre au pas » les
éditeurs
, libraires, ou débitants de journaux qui feraient mine de résister. T
38
nt mine de résister. Tout cela est bien connu des
éditeurs
et des libraires, mais le public ne s’en doute guère. Et comment le l
39
ale des entreprises ON, qui confère également à l’
éditeur
une autonomie et des responsabilités concrètes. 35. Par exemple s’
40
rceptibles. On n’a qu’à se baisser, vraiment. Des
éditeurs
lancent chaque automne leur douzaine de nouveaux romanciers. Quand il
41
être d’augmenter le pouvoir de la pensée. 93. Un
éditeur
introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
42
ient « bourgeois » où je dis « pécheur ». 96. Un
éditeur
introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
43
n’est pas Paris-Soir-Dimanche. Quels chiffres nos
éditeurs
pourraient-ils opposer aux tirages invraisemblables des Allemands ? U
44
e l’édition. Malgré toute leur bonne volonté, les
éditeurs
ne sont pas des philanthropes. En tout cas, ils ne peuvent plus l’êtr
45
au baisse… Les moralistes se récrient en vain : l’
éditeur
répond qu’il faut vivre ! Règne de la publicité et de la littérature
46
p difficile. Tolstoï en 1937 ne trouverait pas un
éditeur
pour Guerre et Paix : pensez donc, un roman en 10 volumes ! Et l’Adol
47
es fantaisies. Ainsi la situation est telle qu’un
éditeur
, bon gré mal gré, se voit souvent contraint de refuser les meilleurs
48
du contrat d’édition. Depuis la crise, plusieurs
éditeurs
ont eu recours à l’expédient suivant. Lorsqu’un jeune auteur vient pr
49
e ces ouvrages se trouve par ailleurs assurée à l’
éditeur
jusqu’à 50 ans après la mort de l’écrivain. L’éditeur se réserve en o
50
eur jusqu’à 50 ans après la mort de l’écrivain. L’
éditeur
se réserve en outre le droit de refuser les manuscrits qui ne lui pla
51
ntrat de débutant, précisément ! Au bénéfice de l’
éditeur
, cela va de soi. Le projet de loi Jean Zay entend mettre une fin à ce
52
ition. Tous les écrivains applaudissent. Mais les
éditeurs
se récrient, et on les comprend assez bien : on les priverait de la r
53
s lors, les efforts très louables que tentent les
éditeurs
, ou même l’État, pour remettre le livre en honneur, sont voués à de f
54
se connaissent trop bien : auteurs, critiques et
éditeurs
; pratiquement, la franchise n’est pas possible.) De ces années, et d
55
momifié ! Je ne sais quelle était l’intention des
éditeurs
communistes de ce choix. Il en ressort à l’évidence que les « idées »
56
ttrapé, le curé, la politique et tout !… »11 Les
éditeurs
s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
57
ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des
éditeurs
, mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
58
atation historique.) Remercions donc le courageux
éditeur
qui vient d’entreprendre la réparation de cette inconcevable lacune,
59
de secret : un article de revue et un catalogue d’
éditeur
, tous deux publiés en Allemagne à l’occasion des fêtes. Le catalogue
60
emarque m’a frappé, faite en passant par l’un des
éditeurs
récents de la légende : tout au long du Roman, Tristan paraît physiqu
61
on relise les sommaires analytiques joints par un
éditeur
zélé à la troisième édition du roman : l’on y retrouve les situations
62
au. (Il insiste longuement, dans une lettre à son
éditeur
, sur son protestantisme et celui de ses héros : mais malgré sa sincér
63
ent de vulgarisateurs qui les trahissent), et les
éditeurs
(qui s’efforcent plutôt de refléter que de guider les goûts supposés
64
emarque m’a frappé, faite en passant par l’un des
éditeurs
récents de la légende : tout au long du Roman, Tristan paraît physiqu
65
on relise les sommaires analytiques joints par un
éditeur
zélé à la troisième édition du roman : l’on y retrouve les situations
66
au. (Il insiste longuement, dans une lettre à son
éditeur
, sur son protestantisme et celui de ses héros : mais malgré sa sincér
67
l’édition de 1956 C’est à la suggestion de mon
éditeur
anglais — qui par une chance dont je m’honore se trouve être T. S. El
68
emarque m’a frappé, faite en passant par l’un des
éditeurs
récents de la légende : tout au long du Roman, Tristan paraît physiqu
69
on relise les sommaires analytiques joints par un
éditeur
zélé à la troisième édition du roman : l’on y retrouve les situations
70
au. (Il insiste longuement, dans une lettre à son
éditeur
, sur son protestantisme et celui de ses héros : mais malgré sa sincér
71
it le record de production de l’atelier. Il était
éditeur
de son métier, et si peu adroit de ses mains qu’il assurait être le s
72
rès jalousement maintenues par les « producers »,
éditeurs
et directeurs de magazines à grand tirage. Le genre proprement roman
73
iment dans le climat étranger. En outre, j’ai des
éditeurs
à voir à Paris et en Suisse. Et je serais rentré il y a un an déjà si
74
; par la baisse du niveau intellectuel auquel les
éditeurs
contribuent en ne faisant de gros tirages que pour les ouvrages médio
75
us les avions volés… Début de janvier 1941
Éditeurs
. — Vu mon éditeur, et un autre. Tout s’est passé de la même façon dan
76
… Début de janvier 1941 Éditeurs. — Vu mon
éditeur
, et un autre. Tout s’est passé de la même façon dans les deux cas. L’
77
es bureaux jusqu’au bureau plus calme encore de l’
éditeur
. Vous dites et il dit ce qu’il y avait à dire. L’homme à lunettes est
78
etits bureaux miteux et encombrés des plus grands
éditeurs
de Paris, où l’on renverse des dossiers en se retournant pour dire bo
79
dont j’ai deviné quelques-unes en fréquentant les
éditeurs
d’ici. Atteindre le public d’un si vaste pays suppose trop de comprom
80
du fond de la Californie alerte à leur sujet deux
éditeurs
. Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L’un me répond
81
e mon devoir de publier ce livre. Mais en tant qu’
éditeur
, ce serait un suicide. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
82
je vous le dis, c’est la paresse d’esprit ! Cet
éditeur
doit publier le livre sur la Suisse que je projette à l’usage des Amé
83
Virginie Septembre 1943 Un
éditeur
américain m’ayant demandé d’écrire une version élargie de mon diable,
84
attrapé, le curé, la politique et tout38 !… » Les
éditeurs
s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
85
ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des
éditeurs
, mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
86
nt faire face à mes obligations envers différents
éditeurs
? Je m’étais engagé à remettre à Daniel-Rops, pour une collection qu’
87
us les avions volés… Début de janvier 1941
Éditeurs
. — Vu mon éditeur, et un autre. Tout s’est passé de la même façon dan
88
… Début de janvier 1941 Éditeurs. — Vu mon
éditeur
, et un autre. Tout s’est passé de la même façon dans les deux cas. L’
89
es bureaux jusqu’au bureau plus calme encore de l’
éditeur
. Vous dites et il dit ce qu’il y avait à dire. L’homme à lunettes est
90
etits bureaux miteux et encombrés des plus grands
éditeurs
de Paris, où l’on renverse des dossiers en se retournant pour dire bo
91
dont j’ai deviné quelques-unes en fréquentant les
éditeurs
d’ici. Atteindre le public d’un si vaste pays suppose trop de comprom
92
du fond de la Californie alerte à leur sujet deux
éditeurs
. Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L’un me répond
93
e mon devoir de publier ce livre. Mais en tant qu’
éditeur
, ce serait un suicide. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
94
je vous le dis, c’est la paresse d’esprit ! » Cet
éditeur
doit publier le livre sur la Suisse que je projette à l’usage des Amé
95
Virginie Septembre 1943 Un
éditeur
américain m’ayant demandé d’écrire une version élargie de mon diable,
96
dont j’ai deviné quelques-unes en fréquentant les
éditeurs
d’ici. Atteindre le public d’un si vaste pays suppose trop de comprom
97
du fond de la Californie alerte à leur sujet deux
éditeurs
. Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L’un me répond
98
e mon devoir de publier ce livre. Mais en tant qu’
éditeur
, ce serait un suicide. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
99
n’a fait que rêver. Condition des écrivains et
éditeurs
Pas de milieu ni de milieux dans ce pays. Entre l’écrivain d’avant
100
à l’heure de l’apéritif ; point d’antichambres d’
éditeurs
où se coudoient auteurs, débutants et critiques ; donc point de tribu
101
eu vendables pour le moment. Et s’il se trouve un
éditeur
pour leur faire crédit, c’est avec l’espoir avoué qu’un jour ou l’aut
102
en raison régulièrement inverse du succès. Et les
éditeurs
le savent bien. Or l’éditeur américain n’est pas « un monsieur qui ai
103
e du succès. Et les éditeurs le savent bien. Or l’
éditeur
américain n’est pas « un monsieur qui aime les livres parce qu’il n’e
104
Et l’on dirait parfois qu’il s’agit moins, pour l’
éditeur
, de découvrir et d’imposer un génie neuf, que de couvrir ses frais gé
105
r ce plan, est celle de l’édition européenne, des
éditeurs
qui publient ce qu’ils aiment… (Je sais bien que les vices américains
106
ainsi qu’il existait dans les revues et chez les
éditeurs
américains des personnages nommés re-writers ou editors, dont toute l
107
t. Bien écrire. — Il arrive très souvent qu’un
éditeur
américain réponde à l’écrivain qui lui a soumis un manuscrit : « Votr
108
il est notoirement faux et ridicule d’accuser les
éditeurs
américains de « tirer parti » du pessimisme d’un Miller ou d’un Faulk
109
ent l’absurdité technique de ce reproche : 1° Les
éditeurs
américains ne sont pas aux ordres de Truman, comme ceux de l’URSS son
110
eux de l’URSS sont aux ordres de Staline ; 2° Les
éditeurs
américains cherchent à faire de l’argent, comme les nôtres, tout en p
111
uccès à l’étranger d’un Henry Miller stupéfie les
éditeurs
américains qui en entendent parler, mais non pas Truman qui s’occupe
112
méricain n’est pas hypocrite dans ce domaine, les
éditeurs
de livres et de revues demandent avant tout d’un écrit qu’il se vende
113
tout d’un écrit qu’il se vende. On m’assure que l’
éditeur
d’Ambre fit savoir à la jeune et jolie femme qui en est l’auteur qu’i
114
un roman, bien plus que la passion du gain chez l’
éditeur
. En d’autres termes, si Ambre est un triomphe mondial qui réduit à né
115
tout autre a le droit d’ironiser sur ce sujet. L’
éditeur
américain, pour éduquer le grand public, cherche à le séduire et lui
116
e succès, je l’ai montré, loin d’être le fait des
éditeurs
américains, est celui de notre public. Mais sur l’Europe, en général,
117
e l’adjectif condensed (from…), il semble que nos
éditeurs
aient voulu souligner le caractère américain de leur entreprise, et d
118
it contraint de reconnaître dans l’entreprise des
éditeurs
modernes la suite d’une longue tradition bien française. J’en marquer
119
suis, que ce qui me choque dans l’entreprise des
éditeurs
français de « condensés », c’est qu’ils accordent à des ouvrages moye
120
escents. Mais le fameux grand public, si cher aux
éditeurs
, n’est-il pas un enfant devant la vraie culture ? N’a-t-il pas droit
121
les jours suivants dans mille échos, lettres à l’
éditeur
, et commentaires critiques sur le Congrès. Je quitterai l’Inde sans a
122
fficile, pour un débutant, de passer inaperçu des
éditeurs
. La multiplication des prix littéraires pousse non seulement à la réd
123
ne sont pas engagés par contrat avec au moins un
éditeur
devient infime. Dans ces conditions, un Prix européen réservé aux seu
124
nuscrits encore inédits mais déjà acceptés par un
éditeur
— ils étaient admis cette fois-ci par le règlement modifié, et ce fur
125
és aussitôt par les guildes, puis par de nombreux
éditeurs
en diverses langues, ont été révélés de la sorte à un très vaste publ
126
mai 1957. e. Introduit par la note suivante de l’
éditeur
: « En réponse au post-scriptum d’Emmanuel Berl, que nous lui avons f
127
l’ouvrage qu’il attaque, d’ailleurs écrit pour un
éditeur
de New York, ne parlait que de l’Occident en général. Quant au premie
128
rit un que j’ai retiré de justesse des mains de l’
éditeur
avant qu’il ne soit livré à l’imprimeur. Mais je n’ai pas renoncé. Je
129
0 journaux. — Première réunion du Pool européen d’
éditeurs
. 1957. Réorganisation des conseils, fondus en un seul conseil de di
131
entre européen de la culture, un groupe de grands
éditeurs
d’Allemagne (Ullstein), d’Espagne (Aguado), de France (Plon) et de Gr
132
l’association aura été complétée par l’adhésion d’
éditeurs
italiens, hollandais et scandinaves. Le Centre européen de la culture
133
ection européenne, publiée simultanément par sept
éditeurs
de premier rang, dans autant de pays et de langues. Il s’agissait de
134
ys et de langues. Il s’agissait de convaincre ces
éditeurs
de former, à cet effet, un pool ayant pour premier but la publication
135
n les directives d’un comité comprenant trois des
éditeurs
associés et un représentant du Centre. Des éditeurs de Suède, de Hol
136
teurs associés et un représentant du Centre. Des
éditeurs
de Suède, de Hollande, d’Italie et du Portugal ont manifesté depuis l
137
mps. bp. Rougemont Denis de, « Pool européen d’
éditeurs
», Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, février 1958, p
138
urs de festivals, instituteurs et universitaires,
éditeurs
, ingénieurs, médecins, juristes : les questions qui peuvent les group
139
; mais tout ne se vendra pas, nous rappellent nos
éditeurs
. Ils nous conseillent d’écrire un roman, si nous sommes essayistes, o
140
inct de la qualité. Mais aujourd’hui, ce sont les
éditeurs
, les marchands de tableaux et les impresarios qui ont repris cette fo
141
a fin de cette année, par les soins d’un groupe d’
éditeurs
représentant huit de nos langues, qui se sont associés sous les auspi
142
ns le domaine du livre. Depuis que je connais les
éditeurs
, je les entends parler de la crise du livre ; je les entends répéter
143
rce qu’il ne ressemble pas aux « succès » que ces
éditeurs
ont connus jusqu’à présent. Il semblerait, à les en croire, que le pu
144
le, et qui ont pris l’habitude de lire. Quant aux
éditeurs
, absolument hostiles au projet, ils déclarèrent que l’aventure échoue
145
s de 2 millions de lecteurs nouveaux, ce dont les
éditeurs
et libraires classiques ne peuvent que se féliciter. Il convient de s
146
cants et distributeurs de ces moyens de culture —
éditeurs
, dirigeants et producteurs de la radio et de la télévision — assument
147
ose les intérêts communs. Quant au problème de l’
éditeur
, il consiste d’abord à découvrir ce qui est valable et neuf dans l’ab
148
’agit d’une association qui groupe actuellement 8
éditeurs
, représentant non pas leur pays mais leur langue42. Les objectifs de
149
celui des auteurs traitant de l’Europe, celui des
éditeurs
désireux de les publier, et celui des institutions qui agissent à la
150
nes apparaissent contradictoires. Tout l’art de l’
éditeur
consiste à concilier les exigences de la qualité et celles de la vent
151
ncipales langues, moyennant un seul contrat ; aux
éditeurs
, la garantie que les ouvrages choisis bénéficieront du prestige et de
152
es de presse ; juristes, historiens, sociologues,
éditeurs
, ingénieurs, cinéastes, hygiénistes, pédagogues, sportifs même… Nous
153
cident du moins) : instituts, fondations, revues,
éditeurs
, bourses d’études, colloques, suffisent en général pour la demande ex
154
des savants, des sociologues, des éducateurs, des
éditeurs
, des publicistes, etc. — les instituts et associations culturelles mi
155
à Neuchâtel. Études de lettres et de philosophie.
Éditeur
à Paris dès 1931. Lecteur à l’Université de Francfort 1935-1936. Cour
156
e aucune des fonctions sacerdotales. » [Note de l’
éditeur
] L’édition américaine supprime la fin de cette note : « Il est curieu
157
e reviendrai tout à l’heure. Comme je parlais à l’
éditeur
d’un magazine américain d’un article où je voulais décrire l’extraord
158
er tout cela pose un autre problème, et c’est aux
éditeurs
qu’on voudrait demander de se montrer plus difficiles. Trop d’ouvrage
159
e l’indifférence ou la méfiance systématique. Les
éditeurs
auraient tout avantage à connaître ce qui s’est fait jusqu’à présent
160
r désormais. La première fut de limiter à un seul
éditeur
par langue la qualité de membre du pool. En effet, la variété des pub
161
ns, ne convenait pas aux programmes de chacun des
éditeurs
membres. Les uns se trouvaient outillés pour publier de grands ouvrag
162
’Histoire de l’Europe et du génie européen (par l’
éditeur
Robert Laffont, à Paris)53 — ont d’ailleurs démontré la rentabilité d
163
formule de coopération organisée. Quatre ou cinq
éditeurs
par langue, au lieu d’un seul ; un groupe de conseillers aux compéten
164
acer leurs péchés. Voici comment : 1°) En 1958, l’
éditeur
hambourgeois Axel Springer lance un insigne représentant la porte de
165
uts universitaires, des festivals de musique, des
éditeurs
, éducateurs, historiens, sociologues, économistes, spécialistes des c
166
uts universitaires, des festivals de musique, des
éditeurs
, des éducateurs, des historiens, des spécialistes des cultures d’outr
167
oyennant quoi l’on ignorait qu’il obtenait de ses
éditeurs
les droits les plus élevés de l’époque. Henri-Frédéric Amiel n’eut m
168
et les peintres de l’école rhénane, et les grands
éditeurs
humanistes, dont le premier est Frobenius. Zurich, avec les réformate
169
pays : cafés, revues, coteries, prix, intrigues,
éditeurs
. Il y eut enfin l’essor de Genève au temps de la SDN, et la Genève de
170
e nos trois régions, un public suffisant pour des
éditeurs
et des revues. Et elle bénéficie du fait que l’allemand n’est pas une
171
Hélas, en 1942, Edmond Gilliard (qui avait été l’
éditeur
de mon pamphlet dans ses « Petites Lettres de Lausanne ») ne voyait d
172
uts universitaires, des festivals de musique, des
éditeurs
, des éducateurs, des historiens, des spécialistes des cultures d’outr
173
ur le protestantisme, promis depuis longtemps à l’
éditeur
, et pour lequel je proposais, en guise de titre provisoire : La Réfor
174
e et directeurs de festivals, députés et préfets,
éditeurs
et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
175
collection de livres de poche : c’est dire que l’
éditeur
estime qu’il peut répondre à la curiosité d’un grand public. Certes,
176
ents de chambres de commerce, députés et préfets,
éditeurs
et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
177
ents de chambres de commerce, députés et préfets,
éditeurs
et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
178
s, des professeurs d’enseignement secondaire, des
éditeurs
. Nous avons d’autre part lancé une Campagne européenne d’éducation ci
179
s, des professeurs d’enseignement secondaire, des
éditeurs
. Nous avons d’autre part lancé une Campagne européenne d’éducation ci
180
ntraire — comme un danger pour les libraires, les
éditeurs
et les corporations du livre en général. Dans ce dernier champ de ses
181
merciaux et même littéraires, par ceux des grands
éditeurs
d’Europe qui, dès le début, s’étaient montrés les plus intolérants à
182
guildes entre eux d’abord, puis entre eux et les
éditeurs
. Quant à leurs relations avec le vrai public, les chiffres que je vie
183
’on sait. ⁂ J’ai écrit ce livre à la demande d’un
éditeur
de Paris pour un public français qui connaît peu la Suisse, et dans c
184
s coupées ici et là selon les vœux de mon premier
éditeur
français. Pour le reste, on se reportera aux ouvrages autorisés2. Qu
185
ents de chambres de commerce, députés et préfets,
éditeurs
et animateurs sociaux, je me vis le seul non-Français : j’en conclus
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es de presse ; juristes, historiens, sociologues,
éditeurs
, ingénieurs, cinéastes, hygiénistes, pédagogues, sportifs même… Nous
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inct de la qualité. Mais aujourd’hui, ce sont les
éditeurs
, les marchands de tableaux et les impresarios qui ont repris cette fo
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cident du moins) : instituts, fondations, revues,
éditeurs
, bourses d’études, colloques, suffisent en général pour la demande ex
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xamen des manuels et les contacts avec auteurs et
éditeurs
; — de nombreux manuels d’histoire incluent désormais un chapitre fin
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… Trois mois plus tard je commençais mon métier d’
éditeur
, à Clamart, et j’entrais dans la vie littéraire de Paris, mieux encor
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ne fois de plus, protestons contre la coutume des
éditeurs
français qui croient bon d’améliorer les titres originaux : le livre
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ssaut » n’exprime guère que l’idée banale que nos
éditeurs
se font du « dynamisme ». 122. Grasset, Paris, 1972. 123. C’est moi
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Gredler, ambassadeur d’Autriche, et Fritz Molden,
éditeur
. 2. Voir la préface de Jacques Monod à la traduction française de La
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user, le plus respecté et le plus respectable des
éditeurs
suisses, ont dû sacrifier à la préparation de ce livre de fête une pa
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son équipe du MIT à la demande du club de Rome. L’
éditeur
français Fayard en a fait Halte à la croissance ? Le grand public oub
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te la chose publique ». C’est ce que le principal
éditeur
et commentateur moderne d’Althusius a nommé « le fondement érotique d
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L’Amour et l’Occident à la date à laquelle mon
éditeur
m’avait demandé de le remettre. J’ai donc très volontiers cédé la pla
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que peut-être : pourquoi avoir choisi Stock comme
éditeur
? Tout simplement parce que c’est Christian de Bartillat qui m’a pers
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iscussion, il m’avait convaincu. C’est rare qu’un
éditeur
tienne à ce point à un livre, à un sujet. J’en ai été touché… Et j’y
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années d’efforts… Je dois préciser encore que mon
éditeur
habituel est Gallimard, qui regroupe peu à peu mes anciens livres pub
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zaine d’associations européennes d’enseignants, d’
éditeurs
, d’historiens, de sociologues, de politologues, d’instituts universit
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ce de la mort a paru en 1944 à New York grâce à l’
éditeur
allemand Kurt Wolff qui venait de fonder Pantheon Books. Titre anglai
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première année où je suis allé y travailler comme
éditeur
. Nous avons créé ensemble les revues Esprit et L’Ordre nouveau , d
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arte en avion. Il me passe Curtice Hitchcock (son
éditeur
) avec lequel j’ai une conversation sans conclusion en un anglais rend
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publié. J’étais censé livrer à ce moment-là à un
éditeur
, L’Amour et l’Occident , dont je n’avais pas encore écrit première l
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ié, puis une seconde fois, en 1972, dans ce que l’
éditeur
a appelé une « édition définitive » et qui, pour moi, ne l’est pas fo
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ollection qu’on m’avait offert de diriger chez un
éditeur
parisien, Henry Corbin m’écrivait : L’an dernier, je n’osais pas enc