1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 juger. L’auteur l’appelle un « poème solaire », l’ éditeur un roman, parce que ça se vend mieux. Ce récit des premiers combats d
2 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
2 ient, repartent vers la foi et s’arrêtent chez un éditeur . Cela fait un roman de plus. Il obtiendra le prix d’assiduité et l’ap
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3 nnaissance ». 16. La Princesse Blanche, Stock, éditeur . 17. Qu’on lise, par exemple, l’admirable Goethe, histoire d’un homm
4 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
4 couverture photographique triomphe chez tous les éditeurs . Et ces éditeurs, que publient-ils ? Des collections documentaires, d
5 graphique triomphe chez tous les éditeurs. Et ces éditeurs , que publient-ils ? Des collections documentaires, des reportages à g
6 En réalité, la suite prouva la clairvoyance de l’ éditeur , habile à saisir dès leur naissance les désirs à peine conscients du
5 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
7 , de critiques lucides. 6. Un volume chez Plon, éditeur . g. « Jeune Europe », Le Moment, Genève, n° 61, 4 décembre 1933, p. 
6 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
8 Il résulte de cette étude un gros livre que trois éditeurs refusent mais qui paraît finalement en librairie après la guerre. Ave
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
9 osses manœuvres publicitaires, et la méfiance des éditeurs à l’endroit des meilleurs esprits. À qui faut-il s’en prendre ? Aux c
8 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
10 rumeur des salons, des cafés, des antichambres d’ éditeurs . À sa façon, non moins que les littérateurs dont j’ai parlé, elle ten
11 le discipline. Et une nouvelle aisance. 12. Un éditeur introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
9 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
12 attrapé, le curé, la politique et tout15 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
13 ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs , mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
10 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
14 essein vaguement subversif peut bien poursuivre l’ éditeur qui publia ce résumé de la vie nulle d’un jeune bourgeois ? k. « Ma
11 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
15 age est « sérieux et précis » selon les clercs, l’ éditeur , le jugeant invendable, exigera des arrhes jamais récupérées sur la t
16 sprit actif, mieux il se vend. La crise force les éditeurs à se faire les interprètes du public auprès de l’auteur, et non l’inv
12 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
17 e n’est qu’une de ses tentations. 33. Grasset, éditeur . r. « Montherlant : Service inutile », Vendredi, Paris, n° 2, 15 nov
13 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
18 u insuccès (auprès du public, de la critique, des éditeurs ). La pauvreté et l’obscurité sont deux spectres classiques sans le co
19 normalement leur être subordonnées. Exemple : un éditeur refuse un livre dont la valeur artistique lui paraît évidente, mais q
20 lité du capital investi dans la maison obligent l’ éditeur à n’accepter que des livres susceptibles de se vendre à 3000 exemplai
21 à 3000 exemplaires au moins. Par contre, ce même éditeur commandera à ce même auteur un bouquin sans valeur artistique mais « 
22 par le « lancement » publicitaire organisé par l’ éditeur , ce mauvais livre aura du succès. Et ce bon auteur finira par croire
23 s. Le système repose sur deux organisations : les éditeurs et les critiques. La plupart des critiques d’aujourd’hui trahissent l
24 pourquoi « parle »-t-on de ce livre ? Parce que l’ éditeur a su préparer sa sortie par une série de manœuvres généralement très
25 le tient de tous côtés. Faut-il donc accuser les éditeurs  ? Jusqu’en 1930 environ, c’est-à-dire jusqu’à la crise, il y avait un
26 jusqu’à la crise, il y avait une foison de petits éditeurs qui étaient prêts à faire des sacrifices pour publier certains ouvrag
27 occurrence, ce phénomène. Restent donc les grands éditeurs . On pourrait concevoir qu’il se trouve parmi eux quelques esprits ind
28 i le mécanisme inexorable où se trouvent pris les éditeurs  : 1. Les lois du capitalisme et l’importance sans cesse accrue des f
29 e sans cesse accrue des frais généraux obligent l’ éditeur à « sortir » chaque année un certain nombre de livres fixé d’avance e
30 n. 2. Le déluge de livres qui en résulte oblige l’ éditeur à augmenter sans cesse sa publicité, à recourir à tous les procédés c
31 : cercle vicieux typiquement capitaliste. Ainsi l’ éditeur cesse d’être un artisan au service du livre. Il met le livre au servi
32 e. 3. Obligé de vendre beaucoup et à tout prix, l’ éditeur est contraint à organiser en grand sa distribution. Or c’est alors qu
33 Messageries sur le prix des exemplaires vendus, l’ éditeur qui, pour une raison ou pour une autre35, ne jouit pas d’un régime sp
34 vend mal, ce n’est plus un manque à gagner pour l’ éditeur , c’est une perte. Et cette perte, selon les contrats, peut se monter
35 n’est donc plus question, matériellement, pour l’ éditeur , de risquer un beau geste en faveur de quelque écrivain, peut-être gé
36 nvendable sur les quais de gare. Quant aux petits éditeurs , dont j’ai parlé, il a suffi de quelques années de ce régime pour qu’
37 des procédés utilisés pour « mettre au pas » les éditeurs , libraires, ou débitants de journaux qui feraient mine de résister. T
38 nt mine de résister. Tout cela est bien connu des éditeurs et des libraires, mais le public ne s’en doute guère. Et comment le l
39 ale des entreprises ON, qui confère également à l’ éditeur une autonomie et des responsabilités concrètes. 35. Par exemple s’
14 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
40 rceptibles. On n’a qu’à se baisser, vraiment. Des éditeurs lancent chaque automne leur douzaine de nouveaux romanciers. Quand il
15 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
41 être d’augmenter le pouvoir de la pensée. 93. Un éditeur introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
16 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
42 ient « bourgeois » où je dis « pécheur ». 96. Un éditeur introduit en ces termes une collection de romans populaires : « Tente
17 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
43 n’est pas Paris-Soir-Dimanche. Quels chiffres nos éditeurs pourraient-ils opposer aux tirages invraisemblables des Allemands ? U
18 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
44 e l’édition. Malgré toute leur bonne volonté, les éditeurs ne sont pas des philanthropes. En tout cas, ils ne peuvent plus l’êtr
45 au baisse… Les moralistes se récrient en vain : l’ éditeur répond qu’il faut vivre ! Règne de la publicité et de la littérature
46 p difficile. Tolstoï en 1937 ne trouverait pas un éditeur pour Guerre et Paix : pensez donc, un roman en 10 volumes ! Et l’Adol
47 es fantaisies. Ainsi la situation est telle qu’un éditeur , bon gré mal gré, se voit souvent contraint de refuser les meilleurs
48 du contrat d’édition. Depuis la crise, plusieurs éditeurs ont eu recours à l’expédient suivant. Lorsqu’un jeune auteur vient pr
49 e ces ouvrages se trouve par ailleurs assurée à l’ éditeur jusqu’à 50 ans après la mort de l’écrivain. L’éditeur se réserve en o
50 eur jusqu’à 50 ans après la mort de l’écrivain. L’ éditeur se réserve en outre le droit de refuser les manuscrits qui ne lui pla
51 ntrat de débutant, précisément ! Au bénéfice de l’ éditeur , cela va de soi. Le projet de loi Jean Zay entend mettre une fin à ce
52 ition. Tous les écrivains applaudissent. Mais les éditeurs se récrient, et on les comprend assez bien : on les priverait de la r
19 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
53 s lors, les efforts très louables que tentent les éditeurs , ou même l’État, pour remettre le livre en honneur, sont voués à de f
20 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
54 se connaissent trop bien : auteurs, critiques et éditeurs  ; pratiquement, la franchise n’est pas possible.) De ces années, et d
21 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
55 momifié ! Je ne sais quelle était l’intention des éditeurs communistes de ce choix. Il en ressort à l’évidence que les « idées »
22 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
56 atation historique.) Remercions donc le courageux éditeur qui vient d’entreprendre la réparation de cette inconcevable lacune,
23 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
57 de secret : un article de revue et un catalogue d’ éditeur , tous deux publiés en Allemagne à l’occasion des fêtes. Le catalogue
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
58 ttrapé, le curé, la politique et tout !… »11 Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
59 ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs , mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
25 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
60 agne (1918-1938) par Albert Rivaud (Armand Colin, éditeur ) », La Flèche, Paris, n° 142, 28 octobre 1938, p. 4. f. On a corrigé
26 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
61 ent de vulgarisateurs qui les trahissent), et les éditeurs (qui s’efforcent plutôt de refléter que de guider les goûts supposés
27 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
62 emarque m’a frappé, faite en passant par l’un des éditeurs récents de la légende : tout au long du Roman, Tristan paraît physiqu
28 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
63 on relise les sommaires analytiques joints par un éditeur zélé à la troisième édition du roman : l’on y retrouve les situations
64 au. (Il insiste longuement, dans une lettre à son éditeur , sur son protestantisme et celui de ses héros : mais malgré sa sincér
29 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
65 emarque m’a frappé, faite en passant par l’un des éditeurs récents de la légende : tout au long du Roman, Tristan paraît physiqu
30 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
66 on relise les sommaires analytiques joints par un éditeur zélé à la troisième édition du roman : l’on y retrouve les situations
67 au. (Il insiste longuement, dans une lettre à son éditeur , sur son protestantisme et celui de ses héros : mais malgré sa sincér
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
68 l’édition de 1956 C’est à la suggestion de mon éditeur anglais — qui par une chance dont je m’honore se trouve être T. S. El
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
69 emarque m’a frappé, faite en passant par l’un des éditeurs récents de la légende : tout au long du Roman, Tristan paraît physiqu
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
70 on relise les sommaires analytiques joints par un éditeur zélé à la troisième édition du roman : l’on y retrouve les situations
71 au. (Il insiste longuement, dans une lettre à son éditeur , sur son protestantisme et celui de ses héros : mais malgré sa sincér
34 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
72 it le record de production de l’atelier. Il était éditeur de son métier, et si peu adroit de ses mains qu’il assurait être le s
35 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
73 rès jalousement maintenues par les « producers », éditeurs et directeurs de magazines à grand tirage. Le genre proprement roman
36 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
74 iment dans le climat étranger. En outre, j’ai des éditeurs à voir à Paris et en Suisse. Et je serais rentré il y a un an déjà si
75 ; par la baisse du niveau intellectuel auquel les éditeurs contribuent en ne faisant de gros tirages que pour les ouvrages médio
37 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
76 us les avions volés… Début de janvier 1941 Éditeurs . — Vu mon éditeur, et un autre. Tout s’est passé de la même façon dan
77 … Début de janvier 1941 Éditeurs. — Vu mon éditeur , et un autre. Tout s’est passé de la même façon dans les deux cas. L’
78 es bureaux jusqu’au bureau plus calme encore de l’ éditeur . Vous dites et il dit ce qu’il y avait à dire. L’homme à lunettes est
79 etits bureaux miteux et encombrés des plus grands éditeurs de Paris, où l’on renverse des dossiers en se retournant pour dire bo
80 dont j’ai deviné quelques-unes en fréquentant les éditeurs d’ici. Atteindre le public d’un si vaste pays suppose trop de comprom
81 du fond de la Californie alerte à leur sujet deux éditeurs . Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L’un me répond
82 e mon devoir de publier ce livre. Mais en tant qu’ éditeur , ce serait un suicide. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
83 je vous le dis, c’est la paresse d’esprit ! Cet éditeur doit publier le livre sur la Suisse que je projette à l’usage des Amé
38 1946, Journal des deux mondes. Virginie
84 Virginie Septembre 1943 Un éditeur américain m’ayant demandé d’écrire une version élargie de mon diable,
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
85 attrapé, le curé, la politique et tout38 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du public. Il faut des livres fa
86 ourquoi ils le demandent ? Est-ce que le rôle des éditeurs , mais surtout et d’abord des écrivains, ne serait pas justement de sa
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
87 nt faire face à mes obligations envers différents éditeurs  ? Je m’étais engagé à remettre à Daniel-Rops, pour une collection qu’
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
88 us les avions volés… Début de janvier 1941 Éditeurs . — Vu mon éditeur, et un autre. Tout s’est passé de la même façon dan
89 … Début de janvier 1941 Éditeurs. — Vu mon éditeur , et un autre. Tout s’est passé de la même façon dans les deux cas. L’
90 es bureaux jusqu’au bureau plus calme encore de l’ éditeur . Vous dites et il dit ce qu’il y avait à dire. L’homme à lunettes est
91 etits bureaux miteux et encombrés des plus grands éditeurs de Paris, où l’on renverse des dossiers en se retournant pour dire bo
92 dont j’ai deviné quelques-unes en fréquentant les éditeurs d’ici. Atteindre le public d’un si vaste pays suppose trop de comprom
93 du fond de la Californie alerte à leur sujet deux éditeurs . Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L’un me répond
94 e mon devoir de publier ce livre. Mais en tant qu’ éditeur , ce serait un suicide. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
95 je vous le dis, c’est la paresse d’esprit ! » Cet éditeur doit publier le livre sur la Suisse que je projette à l’usage des Amé
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
96 Virginie Septembre 1943 Un éditeur américain m’ayant demandé d’écrire une version élargie de mon diable,
43 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
97 dont j’ai deviné quelques-unes en fréquentant les éditeurs d’ici. Atteindre le public d’un si vaste pays suppose trop de comprom
98 du fond de la Californie alerte à leur sujet deux éditeurs . Sur leur demande pressante, je leur envoie le livre. L’un me répond
99 e mon devoir de publier ce livre. Mais en tant qu’ éditeur , ce serait un suicide. — Comment cela ? — Vous êtes trop objectif. On
44 1947, Articles divers (1946-1948). La balance n’est pas égale entre les États-Unis et l’URSS (8 novembre 1947)
100 il est notoirement faux et ridicule d’accuser les éditeurs américains de « tirer parti » du pessimisme d’un Miller ou d’un Faulk
101 ent l’absurdité technique de ce reproche : 1° Les éditeurs américains ne sont pas aux ordres de Truman, comme ceux de l’URSS son
102 eux de l’URSS sont aux ordres de Staline ; 2° Les éditeurs américains cherchent à faire de l’argent, comme les nôtres, tout en p
103 uccès à l’étranger d’un Henry Miller stupéfie les éditeurs américains qui en entendent parler, mais non pas Truman qui s’occupe
104 méricain n’est pas hypocrite dans ce domaine, les éditeurs de livres et de revues demandent avant tout d’un écrit qu’il se vende
105 tout d’un écrit qu’il se vende. On m’assure que l’ éditeur d’Ambre fit savoir à la jeune et jolie femme qui en est l’auteur qu’i
106 un roman, bien plus que la passion du gain chez l’ éditeur . En d’autres termes, si Ambre est un triomphe mondial qui réduit à né
107 tout autre a le droit d’ironiser sur ce sujet. L’ éditeur américain, pour éduquer le grand public, cherche à le séduire et lui
108 e succès, je l’ai montré, loin d’être le fait des éditeurs américains, est celui de notre public. Mais sur l’Europe, en général,
45 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
109 n’a fait que rêver. Condition des écrivains et éditeurs Pas de milieu ni de milieux dans ce pays. Entre l’écrivain d’avant
110 à l’heure de l’apéritif ; point d’antichambres d’ éditeurs où se coudoient auteurs, débutants et critiques ; donc point de tribu
111 eu vendables pour le moment. Et s’il se trouve un éditeur pour leur faire crédit, c’est avec l’espoir avoué qu’un jour ou l’aut
112 en raison régulièrement inverse du succès. Et les éditeurs le savent bien. Or l’éditeur américain n’est pas « un monsieur qui ai
113 e du succès. Et les éditeurs le savent bien. Or l’ éditeur américain n’est pas « un monsieur qui aime les livres parce qu’il n’e
114 Et l’on dirait parfois qu’il s’agit moins, pour l’ éditeur , de découvrir et d’imposer un génie neuf, que de couvrir ses frais gé
115 r ce plan, est celle de l’édition européenne, des éditeurs qui publient ce qu’ils aiment… (Je sais bien que les vices américains
116 ainsi qu’il existait dans les revues et chez les éditeurs américains des personnages nommés re-writers ou editors, dont toute l
46 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
117 t.   Bien écrire. — Il arrive très souvent qu’un éditeur américain réponde à l’écrivain qui lui a soumis un manuscrit : « Votr
47 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
118 les jours suivants dans mille échos, lettres à l’ éditeur , et commentaires critiques sur le Congrès. Je quitterai l’Inde sans a
48 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Prix européen de littérature n’a pas été donné en 1956 (juin-juillet 1956)
119 fficile, pour un débutant, de passer inaperçu des éditeurs . La multiplication des prix littéraires pousse non seulement à la réd
120 ne sont pas engagés par contrat avec au moins un éditeur devient infime. Dans ces conditions, un Prix européen réservé aux seu
121 nuscrits encore inédits mais déjà acceptés par un éditeur — ils étaient admis cette fois-ci par le règlement modifié, et ce fur
49 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Prix européen de littérature : guildes et clubs du livre (août-septembre 1956)
122 és aussitôt par les guildes, puis par de nombreux éditeurs en diverses langues, ont été révélés de la sorte à un très vaste publ
50 1957, Articles divers (1957-1962). Lettre en réponse à Emmanuel Berl (mai 1957)
123 1957, p. 31. Introduit par la note suivante de l’ éditeur  : « En réponse au post-scriptum d’Emmanuel Berl, que nous lui avons f
51 1957, Articles divers (1957-1962). La fin justifie les moyens (9 juin 1957)
124 rit un que j’ai retiré de justesse des mains de l’ éditeur avant qu’il ne soit livré à l’imprimeur. Mais je n’ai pas renoncé. Je
52 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
125 l’ouvrage qu’il attaque, d’ailleurs écrit pour un éditeur de New York, ne parlait que de l’Occident en général. Quant au premie
53 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Centre européen de la culture : ce qu’il fait — d’où il vient — où il va (février 1958)
126 0 journaux. — Première réunion du Pool européen d’ éditeurs .   1957. Réorganisation des conseils, fondus en un seul conseil de di
54 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pool européen d’éditeurs (février 1958)
127 Pool européen d’ éditeurs (février 1958)az Communiqué de presse du 27 mai 1957 Genève. — So
128 entre européen de la culture, un groupe de grands éditeurs d’Allemagne (Ullstein), d’Espagne (Aguado), de France (Plon) et de Gr
129 l’association aura été complétée par l’adhésion d’ éditeurs italiens, hollandais et scandinaves. Le Centre européen de la culture
130 ection européenne, publiée simultanément par sept éditeurs de premier rang, dans autant de pays et de langues. Il s’agissait de
131 ys et de langues. Il s’agissait de convaincre ces éditeurs de former, à cet effet, un pool ayant pour premier but la publication
132 n les directives d’un comité comprenant trois des éditeurs associés et un représentant du Centre. Des éditeurs de Suède, de Hol
133 teurs associés et un représentant du Centre. Des éditeurs de Suède, de Hollande, d’Italie et du Portugal ont manifesté depuis l
134 avoir lieu au printemps. az. « Pool européen d’ éditeurs  », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 1, février 1
55 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
135 urs de festivals, instituteurs et universitaires, éditeurs , ingénieurs, médecins, juristes : les questions qui peuvent les group
56 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Pour une politique de la recherche
136 inct de la qualité. Mais aujourd’hui, ce sont les éditeurs , les marchands de tableaux et les impresarios qui ont repris cette fo
57 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
137 ns le domaine du livre. Depuis que je connais les éditeurs , je les entends parler de la crise du livre ; je les entends répéter
138 rce qu’il ne ressemble pas aux « succès » que ces éditeurs ont connus jusqu’à présent. Il semblerait, à les en croire, que le pu
139 le, et qui ont pris l’habitude de lire. Quant aux éditeurs , absolument hostiles au projet, ils déclarèrent que l’aventure échoue
140 s de 2 millions de lecteurs nouveaux, ce dont les éditeurs et libraires classiques ne peuvent que se féliciter. Il convient de s
141 cants et distributeurs de ces moyens de culture — éditeurs , dirigeants et producteurs de la radio et de la télévision — assument
58 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Editeuropa (septembre 1959)
142 ose les intérêts communs. Quant au problème de l’ éditeur , il consiste d’abord à découvrir ce qui est valable et neuf dans l’ab
143 ’agit d’une association qui groupe actuellement 8 éditeurs , représentant non pas leur pays mais leur langue44. Les objectifs de
144 celui des auteurs traitant de l’Europe, celui des éditeurs désireux de les publier, et celui des institutions qui agissent à la
145 nes apparaissent contradictoires. Tout l’art de l’ éditeur consiste à concilier les exigences de la qualité et celles de la vent
146 ncipales langues, moyennant un seul contrat ; aux éditeurs , la garantie que les ouvrages choisis bénéficieront du prestige et de
59 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. Introduction
147 a fin de cette année, par les soins d’un groupe d’ éditeurs représentant huit de nos langues, qui se sont associés sous les auspi
60 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
148 es de presse ; juristes, historiens, sociologues, éditeurs , ingénieurs, cinéastes, hygiénistes, pédagogues, sportifs même… Nous
61 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
149 cident du moins) : instituts, fondations, revues, éditeurs , bourses d’études, colloques, suffisent en général pour la demande ex
62 1962, Articles divers (1957-1962). La culture et l’union de l’Europe (avril 1962)
150 des savants, des sociologues, des éducateurs, des éditeurs , des publicistes, etc. — les instituts et associations culturelles mi
63 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
151 er tout cela pose un autre problème, et c’est aux éditeurs qu’on voudrait demander de se montrer plus difficiles. Trop d’ouvrage
152 e l’indifférence ou la méfiance systématique. Les éditeurs auraient tout avantage à connaître ce qui s’est fait jusqu’à présent 
153 r désormais. La première fut de limiter à un seul éditeur par langue la qualité de membre du pool. En effet, la variété des pub
154 ns, ne convenait pas aux programmes de chacun des éditeurs membres. Les uns se trouvaient outillés pour publier de grands ouvrag
155 ’Histoire de l’Europe et du génie européen (par l’ éditeur Robert Laffont, à Paris)57 — ont d’ailleurs démontré la rentabilité d
156 formule de coopération organisée. Quatre ou cinq éditeurs par langue, au lieu d’un seul ; un groupe de conseillers aux compéten
64 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
157 acer leurs péchés. Voici comment : 1°) En 1958, l’ éditeur hambourgeois Axel Springer lance un insigne représentant la porte de
65 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
158 à Neuchâtel. Études de lettres et de philosophie. Éditeur à Paris dès 1931. Lecteur à l’Université de Francfort 1935-1936. Cour
66 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
159 e aucune des fonctions sacerdotales. » [Note de l’ éditeur ] L’édition américaine supprime la fin de cette note : « Il est curieu
67 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
160 e reviendrai tout à l’heure. Comme je parlais à l’ éditeur d’un magazine américain d’un article où je voulais décrire l’extraord
68 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
161 uts universitaires, des festivals de musique, des éditeurs , des éducateurs, des historiens, des spécialistes des cultures d’outr
69 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
162 uts universitaires, des festivals de musique, des éditeurs , éducateurs, historiens, sociologues, économistes, spécialistes des c
70 1965, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Que signifie pour vous la formule célèbre ‟Ecclesia reformata semper reformanda” ? » (29 octobre 1965)
163 ur le protestantisme, promis depuis longtemps à l’ éditeur , et pour lequel je proposais, en guise de titre provisoire : La Réfor
71 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
164 oyennant quoi l’on ignorait qu’il obtenait de ses éditeurs les droits les plus élevés de l’époque. Henri-Frédéric Amiel n’eut m
165 et les peintres de l’école rhénane, et les grands éditeurs humanistes, dont le premier est Frobenius. Zurich, avec les réformate
166 pays : cafés, revues, coteries, prix, intrigues, éditeurs . Il y eut enfin l’essor de Genève au temps de la SDN, et la Genève de
167 e nos trois régions, un public suffisant pour des éditeurs et des revues. Et elle bénéficie du fait que l’allemand n’est pas une
168 Hélas, en 1942, Edmond Gilliard (qui avait été l’ éditeur de mon pamphlet dans ses « Petites Lettres de Lausanne ») ne voyait d
72 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
169 uts universitaires, des festivals de musique, des éditeurs , des éducateurs, des historiens, des spécialistes des cultures d’outr
73 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
170 e et directeurs de festivals, députés et préfets, éditeurs et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
171 collection de livres de poche : c’est dire que l’ éditeur estime qu’il peut répondre à la curiosité d’un grand public. Certes,
74 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
172 ents de chambres de commerce, députés et préfets, éditeurs et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
75 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
173 s, des professeurs d’enseignement secondaire, des éditeurs . Nous avons d’autre part lancé une Campagne européenne d’éducation ci
76 1968, Réforme, articles (1946–1980). Vers l’Europe des régions ? (30 novembre 1968)
174 s, des professeurs d’enseignement secondaire, des éditeurs . Nous avons d’autre part lancé une Campagne européenne d’éducation ci
77 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
175 ents de chambres de commerce, députés et préfets, éditeurs et animateurs sociaux, je me trouvais le seul non-Français : j’en con
78 1969, Articles divers (1963-1969). Toujours disponible (1969)
176 ntraire — comme un danger pour les libraires, les éditeurs et les corporations du livre en général. Dans ce dernier champ de ses
177 merciaux et même littéraires, par ceux des grands éditeurs d’Europe qui, dès le début, s’étaient montrés les plus intolérants à
178 guildes entre eux d’abord, puis entre eux et les éditeurs . Quant à leurs relations avec le vrai public, les chiffres que je vie
79 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
179 ’on sait. ⁂ J’ai écrit ce livre à la demande d’un éditeur de Paris pour un public français qui connaît peu la Suisse, et dans c
180 s coupées ici et là selon les vœux de mon premier éditeur français. Pour le reste, on se reportera aux ouvrages autorisés2. Qu
80 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC
181 es de presse ; juristes, historiens, sociologues, éditeurs , ingénieurs, cinéastes, hygiénistes, pédagogues, sportifs même… Nous
81 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Pour une politique de la recherche
182 inct de la qualité. Mais aujourd’hui, ce sont les éditeurs , les marchands de tableaux et les impresarios qui ont repris cette fo
82 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
183 cident du moins) : instituts, fondations, revues, éditeurs , bourses d’études, colloques, suffisent en général pour la demande ex
83 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
184 ents de chambres de commerce, députés et préfets, éditeurs et animateurs sociaux, je me vis le seul non-Français : j’en conclus
84 1972, Articles divers (1970-1973). Le sort de l’an 2000 se joue dans nos écoles (mars 1972)
185 xamen des manuels et les contacts avec auteurs et éditeurs  ; — de nombreux manuels d’histoire incluent désormais un chapitre fin
85 1972, Articles divers (1970-1973). Forteresse au centre de l’Europe : la Suisse (1972)
186 der’s Digest, 1972, p. 149-151. Titre donné par l’ éditeur .
86 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
187 ne fois de plus, protestons contre la coutume des éditeurs français qui croient bon d’améliorer les titres originaux : le livre
188 ssaut » n’exprime guère que l’idée banale que nos éditeurs se font du « dynamisme ». 126. Grasset, Paris, 1972. 127. C’est moi
87 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
189 … Trois mois plus tard je commençais mon métier d’ éditeur , à Clamart, et j’entrais dans la vie littéraire de Paris, mieux encor
88 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
190 Gredler, ambassadeur d’Autriche, et Fritz Molden, éditeur . 2. Voir la préface de Jacques Monod à la traduction française de La
89 1977, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La réponse de Denis de Rougemont (1977)
191 user, le plus respecté et le plus respectable des éditeurs suisses, ont dû sacrifier à la préparation de ce livre de fête une pa
90 1977, Articles divers (1974-1977). « Je suis un pessimiste actif » (17 octobre 1977)
192 L’Amour et l’Occident à la date à laquelle mon éditeur m’avait demandé de le remettre. J’ai donc très volontiers cédé la pla
91 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
193 son équipe du MIT à la demande du club de Rome. L’ éditeur français Fayard en a fait Halte à la croissance ? Le grand public oub
92 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
194 te la chose publique ». C’est ce que le principal éditeur et commentateur moderne d’Althusius a nommé « le fondement érotique d
93 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
195 que peut-être : pourquoi avoir choisi Stock comme éditeur  ? Tout simplement parce que c’est Christian de Bartillat qui m’a pers
196 iscussion, il m’avait convaincu. C’est rare qu’un éditeur tienne à ce point à un livre, à un sujet. J’en ai été touché… Et j’y
197 années d’efforts… Je dois préciser encore que mon éditeur habituel est Gallimard, qui regroupe peu à peu mes anciens livres pub
94 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
198 zaine d’associations européennes d’enseignants, d’ éditeurs , d’historiens, de sociologues, de politologues, d’instituts universit
95 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
199 ce de la mort a paru en 1944 à New York grâce à l’ éditeur allemand Kurt Wolff qui venait de fonder Pantheon Books. Titre anglai
96 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
200 première année où je suis allé y travailler comme éditeur . Nous avons créé ensemble les revues Esprit et L’Ordre nouveau , d
97 1980, Articles divers (1978-1981). Un précurseur de l’engagement politique (1er mai 1980)
201 publié. J’étais censé livrer à ce moment-là à un éditeur , L’Amour et l’Occident , dont je n’avais pas encore écrit première l
202 ié, puis une seconde fois, en 1972, dans ce que l’ éditeur a appelé une « édition définitive » et qui, pour moi, ne l’est pas fo
98 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
203 ollection qu’on m’avait offert de diriger chez un éditeur parisien, Henry Corbin m’écrivait : L’an dernier, je n’osais pas enc
99 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
204 s lumières s’éteignirent. II Invité par mon éditeur américain à me resituer aujourd’hui par rapport à ce texte âgé d’un q
100 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
205 bénéficié, parce qu’il a paru deux mois après. L’ éditeur m’a dit : « S’il avait paru en juin, peut-être que cela n’aurait pas