1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 es présences animales. Tandis que sur la plaine s’ élève le long beuglement des taureaux et le ohéohéohé des bouviers « comme
2 peu obsède dans l’inflexion des phrases, ce qui s’ élève en fin de compte de tous ces tableaux de violence et de passion, c’es
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
3 r j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’ élève pour mettre en doute l’excellence du principe de l’instruction publiq
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
4 suivre syllabe après syllabe les ânonnements des élèves qui déchiffraient les premières phrases exemplaires. (J’aimais pourta
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
5 ortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à l’autre il n’y a pas de solution de con
6 eur-lieutenant qui veut traiter militairement ses élèves témoigne de la même maladresse professionnelle. J’en connaissais un q
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
7 e est particulièrement indiquée pour préparer les élèves à une composition française ? Question oiseuse et saugrenue, — naïve.
8 ntité des réponses « fournies » par le prévenu (l’ élève examiné) n’a qu’un lointain rapport avec la qualité et la quantité de
9 quence du gavage, c’est qu’on ne peut laisser aux élèves le temps qu’il faut pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont for
10 t occasion de développer les vertus sociales de l’ élève . « Une classe est une société en miniature. » Ceci est une énorme bou
11 licats par les plus vulgaires ? L’idéal du bon élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser
12 l du bon élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme d
13 poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui dont
14 je ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le bon élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits
15 ereuse de ceux qui voient avec leurs yeux. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeur cède
16 voient avec leurs yeux. Le bon élève est aussi l’ élève discipliné. L’école veut que partout la valeur cède le pas à la règle
17 s ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater que la
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
18 e des « jardins d’enfants » où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle de l’éco
19 s l’étude des verbes actifs sera aussi active, un élève se mettra à marcher dans le couloir en s’écriant : je marche, ou : j’
20 nne était un enseignement, et qui n’avait pas des élèves , mais des disciples. Celui-là seul favorise le développement des indi
7 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
21 lentement le fleuve. Au cœur de Prophète chauve s’ élève la montagne de pierre de St-Gellert. Elle tombe en hautes falaises da
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
22 r j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’ élève pour mettre en doute l’excellence du principe de l’instruction publiq
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
23 suivre syllabe après syllabe les ânonnements des élèves qui déchiffraient les premières phrases exemplaires. (J’aimais pourta
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
24 ortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à l’autre, il n’y a pas de solution de co
25 eur-lieutenant qui veut traiter militairement ses élèves témoigne de la même maladresse professionnelle. J’en connais un qui a
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
26 e est particulièrement indiquée pour préparer les élèves à une composition française ? Question oiseuse et saugrenue, — naïve.
27 ntité des réponses « fournies » par le prévenu (l’ élève examiné) n’a qu’un lointain rapport avec la qualité et la quantité de
28 quence du gavage, c’est qu’on ne peut laisser aux élèves le temps qu’il faut pour assimiler ce qu’ils apprennent. Ils sont for
29 t occasion de développer les vertus sociales de l’ élève . « Une classe est une société en miniature. » Ceci est une énorme bou
30 s par les plus vulgaires ? 3.g. L’idéal du bon élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser
31 l du bon élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme d
32 poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui dont
33 e ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le bon élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits
34 e dangereuse de ceux qui voient avec leurs yeux d’ élèves . Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout
35 ceux qui voient avec leurs yeux d’élèves. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeur cède
36 vec leurs yeux d’élèves. Le bon élève est aussi l’ élève discipliné. L’école veut que partout la valeur cède le pas à la règle
37 s ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater que la
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
38 e des « jardins d’enfants » où l’on apprend à des élèves âgés de 3 à 4 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle l’école
39 s l’étude des verbes actifs sera active aussi, un élève se mettra à marcher dans le couloir en s’écriant : je marche, ou : j’
40 nne était un enseignement, et qui n’avait pas des élèves , mais des disciples. Celui-là seul favorise le développement des indi
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
41 une colline que le Danube contourne, la basilique élève une coupole d’ocre éclatante, immense et froide, dominant cette plain
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
42 e héros de Vol de nuit, non déshumanisé certes, s’ élève à une vertu surhumaine. Je crois que ce qui me plaît surtout dans ce
15 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 une colline que le Danube contourne, la Basilique élève une coupole d’ocre éclatante, immense et froide, dominant cette plain
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
44 une colline que le Danube contourne, la Basilique élève une coupole d’ocre éclatant, immense et froide, dominant cette plaine
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
45 , à l’incognito de la gloire. Je voudrais qu’on y élève un monument dédié à l’Illustre Inconnu. Il serait en forme de banc. Q
18 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
46 r de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’ élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui man
19 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
47 ète enfin — c’est-à-dire tout ce qui stabilise et élève l’homme — disparaît, et il ne reste à ce dernier, livré au pire capit
20 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
48 er tous les problèmes de notre siècle. Le ton s’y élève à la hauteur de l’invective prophétique : Plains-toi, l’Éternel ne c
49 ose se plaindre comme il sied à un homme ? Parle, élève la voix, parle fort, Dieu peut bien parler plus fort, lui qui dispose
21 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
50  : « Qu’on lui coupe la tête ! » Alors, le chat s’ élève dans les airs et peu à peu rend son corps invisible, seule subsiste s
22 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
51 r de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’ élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui man
23 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
52 i s’alimente à l’étranger. Je veux dire qu’elle s’ élève contre un fait dont malgré tout nous ignorons la pleine signification
24 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
53 itique Qu’y a-t-il donc sous cette révolte qui élève en moi son cri contre les choses qui viennent à grands pas assurés, e
25 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
54 ssion, de plus en plus abstraite à mesure qu’on s’ élève à des nombres plus grands, du pouvoir prochain de la personne ; il n’
26 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
55 r de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’ élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont dominée, ceux qui man
27 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
56 i s’alimente à l’étranger. Je veux dire qu’elle s’ élève contre un fait dont malgré tout nous ignorons la pleine signification
28 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
57 itique Qu’y a-t-il donc sous cette révolte qui élève en moi son cri contre les choses qui viennent à grands pas assurés, e
29 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
58 a vie chrétienne n’est pas une construction qui s’ élève au-dessus du reste de la vie. C’est toute profane et banale, la vie q
30 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
59 r une pleine et ferme confiance en soi, qui seule élève le cœur et l’esprit. À celui qui a perdu cette confiance, plus rien n
31 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
60 ateur le domaine de l’action quotidienne. Plus on élève le spirituel au-dessus des humaines contingences, plus sûrement on li
32 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
61 oules. Il ne s’agit pas d’un tribun déchaîné ; il élève rarement la voix, sauf à la fin ; il ne dit que des choses simples, r
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
62 ui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’ élève un même et formidable appel profond des peuples. Il a jailli de la mi
34 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
63 n exprimée par Rosenberg dans un discours où il s’ élève avec violence contre toute conception ascétique ou moyenâgeuse de la
35 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
64 ui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’ élève un même et formidable appel profond des peuples. Il a jailli de la mi
36 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
65 nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs élèves , dans un ordre de choses, on le sait, où l’idéal a su se rendre oblig
66 tuel, livré aux érudits, aux professeurs, à leurs élèves et à tous ceux qui forment l’opinion, dicte ses lois au créateur et s
67 nts enseignent à leur tour dans les lycées. Leurs élèves écriront dans les journaux. Le peuple enfin ne se nourrit plus que de
37 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
68 n exprimée par Rosenberg dans un discours où il s’ élève avec violence contre toute conception ascétique ou moyenâgeuse de la
38 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
69 ui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’ élève un même et formidable appel profond des peuples. Il a jailli de la mi
39 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
70 nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs élèves , dans un ordre de choses, on le sait, où l’idéal a su se rendre oblig
71 tuel, livré aux érudits, aux professeurs, à leurs élèves et à tous ceux qui forment l’opinion, dicte ses lois au créateur et s
72 nts enseignent à leur tour dans les lycées. Leurs élèves écriront dans les journaux. Le peuple enfin ne se nourrit plus que de
40 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
73 e prêchent les prophètes au peuple et qui seule l’ élève , l’assemble et donne un sens à la vie de chacun. Ce peuple errait san
41 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
74 viers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’ élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres.
42 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
75 école libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves . On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quel
43 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
76 viers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’ élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres.
44 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
77 école libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves . On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quel
45 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
78 une colline que le Danube contourne, la Basilique élève une coupole d’ocre éclatant, immense et froide, dominant cette plaine
46 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
79 s la chambre de son fils : il prend le petit et l’ élève devant lui en disant : — « Oui, toi tu seras un vrai guerrier ! » Sa
80 rcourue de moteurs. Une voix dure et nasillarde s’ élève d’une tribune que nous ne voyons pas. (J’ai déjà entendu ce discours,
81 neux. Silence morne. Alors une voix plus claire s’ élève  : « Mais la vieille légende germanique nous annonçait que le Libérate
47 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
82 t le libre développement des vocations chez leurs élèves … Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple qui me ferait la pa
48 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
83  : au premier acte, Nicolas quitte le monde, il s’ élève donc du plan 2 au plan 3. Au deuxième acte, le monde vient à lui : le
49 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
84 nt un enseignement oral, en vers gnomiques, à des élèves qu’ils gardaient auprès d’eux pendant vingt ans17. (On a pu rapproche
50 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
85 ui, de la ferveur de l’instinct de procréation, s’ élève en se purifiant à la ferveur divine, mais n’en conserve pas moins les
51 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
86 gardien des marcassins sacrés », c’est-à-dire des élèves des druides, rival de son oncle Markh, le roi-cheval, et amant d’Essy
87 on aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vie de l’esprit. Tout cela est vraisemblable, et contes
52 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
88 s c’est aussi « la Matière, à l’instant où elle s’ élève jusqu’à l’Esprit ». Voilà bien la profonde ambiguïté où naît le roman
89 leur est intérieure et pourtant étrangère, qui s’ élève dans les profondeurs d’eux-mêmes sans qu’ils puissent faire autre cho
53 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
90 arde Nicolas.) Le chœur. Ô Dieu, ton serviteur élève la voix dans les ténèbres. Écoute-le ! Détourne le Malin qui rôde ! Ô
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
91 nt un enseignement oral, en vers gnomiques, à des élèves qu’ils gardaient auprès d’eux pendant vingt ans20. On a pu rapprocher
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
92 ui, de la ferveur de l’instinct de procréation, s’ élève en se purifiant à la ferveur divine, mais n’en conserve pas moins les
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
93 nt un enseignement oral, en vers gnomiques, à des élèves qu’ils gardaient auprès d’eux pendant vingt ans13. On a pu rapprocher
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre III. Passion et mystique
94 ui, de la ferveur de l’instinct de procréation, s’ élève en se purifiant à la ferveur divine, mais n’en conserve pas moins les
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
95 gardien des marcassins sacrés », c’est-à-dire des élèves des druides, rival de son oncle Markh, le roi-cheval, et amant d’Essy
96 on aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vie de l’esprit. Tout cela est vraisemblable, et contes
59 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
97 t le libre développement des vocations chez leurs élèves … Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple qui me ferait la pa
60 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
98 ndre au niveau du peuple, il faut que le peuple s’ élève au niveau du pays. C’est un appel encore, un appel de tous les instan
61 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
99 t le libre développement des vocations chez leurs élèves … Mais je m’en voudrais d’insister sur cet exemple qui me ferait la pa
62 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). Le miracle suisse (1942)
100 La doctrine militaire qu’on inculquait alors aux élèves officiers était la suivante : la prochaine guerre ne sera pas une gue
63 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
101 a mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’ élève ces vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleu
64 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
102 a mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’ élève ces vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleu
65 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
103 a mort, plus absurde et plus simple que jamais. J’ élève ces vertus devant mes yeux non comme une utopie de lendemains meilleu
66 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
104 r amoureuse, par mille étreintes successives il s’ élève à la jouissance imaginaire et désespérément consciente de l’Être. L’a
67 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
105 de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays élève autour du massif du Gothard, invincible et désert, cœur mystérieux du
68 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 2. Goethe médiateur
106 branches parfois bizarrement tordues, mais qui s’ élève d’une poussée si majestueuse vers l’épanouissement, vers cette espèce
69 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
107 i : « Qu’on lui coupe la tête ! » Alors le Chat s’ élève dans les airs et peu à peu, rend son corps invisible ; seule subsiste
70 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
108 is c’est aussi « la Matière à l’instant où elle s’ élève jusqu’à l’esprit. » Voilà bien la profonde ambiguïté où naît le roman
109 leur est intérieure et pourtant étrangère, qui s’ élève dans les profondeurs d’eux-mêmes sans qu’ils puissent faire autre cho
71 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
110 nsmutations matérielles ou physiques… Celui qui s’ élève sera abaissé et celui qui s’abaisse sera élevé. Synonymes. Droite :
111 bis, mi-loup mi-homme, coloré en rouge (désir), s’ élève de la matière et évolue vers le Père : c’est l’homme qui s’éveille de
72 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
112 litarisme », entendez aux idées communistes. Elle élève des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet d
73 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
113 de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays élève , nuit et jour, autour du massif du Gothard, cœur mystérieux du contin
74 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
114 Mais on dirait aussi que son regard, dès qu’il l’ élève avec angoisse vers le rocher, retient le rocher. Étrange lieu que ce
75 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
115 nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’ élève et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
76 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
116 nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’ élève et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
77 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
117 de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays élève , nuit et jour, autour du massif du Gothard, cœur mystérieux du contin
78 1946, Journal des deux mondes. Virginie
118 nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’ élève et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
79 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
119 litarisme », entendez aux idées communistes. Elle élève des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet d
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
120 une colline que le Danube contourne, la basilique élève une coupole d’ocre éclatante, immense et froide, dominant cette plain
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
121 école libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves . On aurait besoin de nourriture intellectuelle pour se soutenir. Quel
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
122 viers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’ élève de l’herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres.
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
123 s la chambre de son fils : il prend le petit et l’ élève devant lui en disant : « Oui, toi tu seras un vrai guerrier ! » Sa fe
124 rcourue de moteurs. Une voix dure et nasillarde s’ élève d’une tribune que nous ne voyons pas. (J’ai déjà entendu ce discours,
125 neux. Silence morne. Alors une voix plus claire s’ élève  : « Mais la vieille légende germanique nous annonçait que le Libérate
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
126 de notre ère. Et je songe au bastion que mon pays élève , nuit et jour, autour du massif du Gothard, cœur mystérieux du contin
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
127 nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’ élève et s’ouvre sur la cour sablée des écuries. Celles-ci se déploient en
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
128 litarisme », entendez aux idées communistes. Elle élève des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet d
87 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
129 aissait, mais cela faisait partie du jeu. En bons élèves , les voyageurs préparaient leurs billets pour l’inspection. Tout se p
88 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
130 me qui, chez nous, pervertit la vie sexuelle et l’ élève au niveau de la culture. Puritain ou émancipé, le jeune Américain sem
89 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
131 me qui, chez nous, pervertit la vie sexuelle et l’ élève au niveau de la culture. Puritain ou émancipé, le jeune Américain sem
90 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
132 amoureuse, par mille étreintes successives, il s’ élève à la jouissance imaginaire et désespérément consciente de l’Être. L’a
91 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
133 Mais on dirait aussi que son regard, dès qu’il l’ élève avec angoisse vers le rocher, retient le rocher. Étrange lieu que ce
92 1948, Suite neuchâteloise. VI
134 , à l’incognito de la gloire. Je voudrais qu’on y élève un monument dédié à l’Illustre Inconnu. Il serait en forme de banc. Q
93 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
135 ments scolaires sont stricts : toute absence d’un élève qui n’est pas justifiée par des raisons « réputées légitimes », telle
136 passer sans la moindre difficulté apparente. Les élèves adventistes reçoivent dispense pour le samedi et si les examens ont l
94 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Amérique veut nous unir (7 novembre 1949)
137 l’année prochaine. Réaction classique du mauvais élève après une bonne semonce du professeur. L’élève un peu confus manifest
138 is élève après une bonne semonce du professeur. L’ élève un peu confus manifeste ses bonnes résolutions, et l’OECE elle aussi,
95 1949, {Title}. Présentation du Rapport général de la Conférence européenne de la culture à Lausanne (8 décembre 1949)
139 bien vus des pouvoirs, de quelques boursiers bons élèves  ; et quelques phrases bien plates sur l’indispensable solidarité de n
96 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
140 bien vus des pouvoirs, de quelques boursiers bons élèves  ; et quelques phrases bien plates sur l’indispensable solidarité de n
97 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
141 a discipline qui tourne au fétichisme lorsqu’on l’ élève au rang de vertu civique, ou qu’on lui confère une sorte de mérite va
142 moins envahissants qu’en Amérique. En général, l’ élève suisse acquiert plus de connaissance précises que l’américain, et ne
143 ilial sont autorisés, mais à la condition que les élèves ainsi formés puissent passer avec succès les examens des écoles publi
144 le matériel scolaire sont fournis sans frais aux élèves . Ce régime n’est rendu praticable, dans les cantons pauvres, que par
98 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (octobre-novembre 1954)
145 epuis 1947 dans les 16 pays du CE et en Suisse, s’ élève à 491. Leur tirage total a légèrement dépassé 3 millions d’exemplaire
99 1955, Articles divers (1951-1956). Rien n’est perdu, tout reste à faire (janvier 1955)
146 is 1947 dans les seize pays du CE et en Suisse, s’ élève à quatre-cent-quatre-vingt-onze. Leur tirage total a légèrement dépas
100 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
147 t assuré par la musique russe nouvelle, œuvre des élèves de Rimski-Korsakov, par Scriabine et par Stravinsky en premier lieu.