1
ssent plus, il suffit de quelques mois aux jeunes
époux
de la Maladère pour se déprendre de leurs rêves. Un malentendu grandi
2
nsée, ses délires, ses visions. Un critique qui n’
épouse
pas le rythme d’une œuvre, mais s’avance à sa rencontre armé de l’app
3
s de l’Europe centrale, qu’elle subit comme jeune
épouse
d’un comte polonais, grand seigneur médiatisé, vaguement prétendant a
4
nouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père
épouse
une Française, puis une Anglaise ; son frère, une Française, puis une
5
marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul,
épouse
Henriette de Montmollin : elle était la petite-fille du « Grand Oster
6
tianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général,
épouse
Charlotte d’Ostervald, arrière-petite-fille de l’illustre pasteur. Le
7
fille de l’illustre pasteur. Le fils du Procureur
épouse
Marie-Philippine du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle je tro
8
femme mariée. Enfin il retrouve l’étudiante et l’
épouse
en vitesse au dernier paragraphe. Tout cela d’une vérité proprement d
9
x » d’une carrière, d’un parti politique ou d’une
épouse
. Et c’est ainsi que se compose l’éthique de l’homme moyen, cette irré
10
x » d’une carrière, d’un parti politique ou d’une
épouse
. Et c’est ainsi que se compose l’éthique de l’homme moyen, cette irré
11
? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en
épouse
la géographie physique mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
12
? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en
épouse
la géographie physique, mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
13
? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en
épouse
la géographie physique mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
14
aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des
époux
. 3. — Contraintes religieuses. Dans la mesure où la conscience mode
15
ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’
épouse
ne ressemble pas à la star la plus obsédante. (Encore la femme pourra
16
oussez la première porte venue ! Ce silence que l’
épouse
est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
17
otre future évolution, et encore moins celle de l’
épouse
choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
18
tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des
époux
dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, beauté
19
sentimental. Choisir une femme pour en faire son
épouse
, ce n’est pas dire à Mademoiselle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes
20
changerais ! Choisir une femme pour en faire son
épouse
, c’est dire à Mademoiselle Untel : « Je veux vivre avec vous telle qu
21
it absolu, sur quoi se fonde la personne même des
époux
. Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur
22
mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des
époux
est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
23
delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des
époux
est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
24
ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des
époux
». D’où peut venir une telle contradiction ? Si le secret de la crise
25
eur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux
époux
, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entré
26
êt, parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan
épouse
Iseut aux blanches mains « pour son nom et pour sa beauté ». Maintena
27
s cyniques ; ou telle qu’une vertueuse dame cette
épouse
adultère, et qui ne recule même pas devant un astucieux blasphème ? P
28
ltre qui cesse d’agir, n’était-il pas destiné aux
époux
? Alors, pourquoi limiter sa durée ? Trois ans, ce n’est guère pour l
29
ère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tristan
épouse
l’autre Iseut « pour son nom et pour sa beauté » mais cependant la la
30
ouser Iseut. Elle est le type de la femme qu’on n’
épouse
point, car alors on cesserait de l’aimer, puisqu’elle cesserait d’êtr
31
première et dernière fois). Iseut va revenir à l’
époux
légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’appro
32
ge » — cette communion de l’âme élue et du Christ
époux
de l’Église. Mais la voie de l’homme séparé, c’est la passion, — et l
33
istan se séparant d’Iseut lorsqu’il la rend à son
époux
: Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.
34
e » il la prie d’évoquer encore l’âme d’Orphée, l’
époux
de Canacée qui possédait la bague et les miroirs magiques, et finalem
35
; Tristan, le jeune premier, ou gigolo ; Iseut, l’
épouse
insatisfaite, oisive et lectrice de romans. Ici encore, deux morales
36
supériorité « spirituelle » de la maîtresse sur l’
épouse
. Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom ro
37
et ses lois minutieuses réglant les relations des
époux
, n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout ce
38
illes, et que le droit du mari à la fidélité de l’
épouse
ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait pris dans les pays no
39
aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des
époux
. 3. — Contraintes religieuses Dans la mesure où la conscience moderne
40
ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’
épouse
ne ressemble pas à la star la plus obsédante. (Encore la femme pourra
41
oussez le première porte venue ! Ce silence que l’
épouse
est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
42
otre future évolution, et encore moins celle de l’
épouse
choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
43
tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des
époux
dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, beauté
44
sentimental. Choisir une femme pour en faire son
épouse
, ce n’est pas dire à Mlle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes rêves, v
45
changerais ! Choisir une femme pour en faire son
épouse
, c’est dire à Mlle Untel : « Je veux vivre avec vous telle que vous ê
46
it absolu, sur quoi se fonde la personne même des
époux
. Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur
47
mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des
époux
est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
48
delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des
époux
est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
49
à condition qu’il cesse d’être vassal du roi. Il
épouse
Berthe, tandis qu’Elissent devient reine. Au jour où les deux couples
50
ns aucune obligation de nécessité, tandis que les
époux
sont tenus par devoir à toutes les volontés l’un de l’autre. Que ce j
51
la foi promise. Or on n’a pas oublié que Tristan
épouse
la seconde Iseut alors qu’il croit que la première le néglige. Ce n’e
52
equel elle s’ouvre à l’infini. « Et l’Esprit et l’
Épouse
disent : Viens ! Et que celui qui entend dise : Viens. Que celui qui
53
ée. — Et maintenant, te voici dans la paix, cher
époux
. Nous nous aimons et nos enfants grandissent dans le bonheur que Dieu
54
e sur ton chemin… Prends ceci pour la route, cher
époux
. (Elle lui tend un baluchon. Une lueur blanchit derrière le plan 3.)
55
ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des
époux
». D’où peut venir une telle contradiction ? Si le secret de la crise
56
eur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux
époux
, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entré
57
êt, parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan
épouse
Iseut aux blanches mains « pour son nom et pour sa beauté ». Maintena
58
s cyniques ; ou telle qu’une vertueuse dame cette
épouse
adultère, et qui ne recule même pas devant un astucieux blasphème ? P
59
ltre qui cesse d’agir, n’était-il pas destiné aux
époux
? Alors, pourquoi limiter sa durée ? Trois ans, ce n’est guère pour l
60
ère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tristan
épouse
l’autre Iseut « pour son nom et pour sa beauté » mais cependant la la
61
épouser Iseut. Elle est le type de femme qu’on n’
épouse
point, car alors on cesserait de l’aimer, puisqu’elle cesserait d’êtr
62
intérêt matériel et social, et se voit imposé aux
époux
sans qu’il soit tenu compte de leurs sentiments. En même temps, le re
63
a)… est fortement personnifiée : c’est la Déesse,
Épouse
et Mère… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se conce
64
se toute la nature féminine, elle est mère, sœur,
épouse
, fille… elle est le chemin du salut79 ». Ainsi le tantrisme apporte c
65
ensonge, corrompent les amants, les femmes et les
époux
. Ils vous disent qu’Amour va de travers, et c’est pourquoi les maris
66
première et dernière fois). Iseut va revenir à l’
époux
légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’appro
67
ge » — cette communion de l’âme élue et du Christ
époux
de l’Église. Mais la voie de l’homme séparé, c’est la passion — et la
68
istan se séparant d’Iseut lorsqu’il la rend à son
époux
: Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Son
69
», il la prie d’évoquer encore l’âme d’Orphée, l’
époux
de Canacée qui possédait la bague et les miroirs magiques, et finalem
70
; Tristan, le jeune premier, ou gigolo ; Iseut, l’
épouse
insatisfaite, oisive et lectrice de romans. Ici encore, deux morales
71
supériorité « spirituelle » de la maîtresse sur l’
épouse
. Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom ro
72
et ses lois minutieuses réglant les relations des
époux
, n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout ce
73
illes, et que le droit du mari à la fidélité de l’
épouse
ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait pris dans les pays no
74
aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des
époux
. 3. — Contraintes religieuses. — Dans la mesure où la conscience mod
75
ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’
épouse
ne ressemble pas à la star la plus obsédante. Ainsi la « liberté » de
76
oussez la première porte venue ! Ce silence que l’
épouse
est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
77
otre future évolution, et encore moins celle de l’
épouse
choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
78
tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des
époux
dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, physiq
79
sentimental. Choisir une femme pour en faire son
épouse
, ce n’est pas dire à Mlle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes rêves, v
80
changerais ! Choisir une femme pour en faire son
épouse
, c’est dire à Mlle Untel : « Je veux vivre avec vous telle que vous ê
81
it absolu, sur quoi se fonde la personne même des
époux
. Il faut bien voir que cette fidélité est à contre courant des valeur
82
mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des
époux
est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
83
delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des
époux
est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
84
ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des
époux
». D’où peut venir une telle contradiction ? Si le secret de la crise
85
eur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux
époux
, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entré
86
êt, parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan
épouse
Iseut aux blanches mains « pour son nom et pour sa beauté ». Maintena
87
plus cyniques ; ou telle une vertueuse dame cette
épouse
adultère, et qui ne recule même pas devant un astucieux blasphème ? P
88
ltre qui cesse d’agir, n’était-il pas destiné aux
époux
? Alors, pourquoi limiter sa durée ? Trois ans, ce n’est guère pour l
89
ère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tristan
épouse
l’autre Iseut « pour son nom et pour sa beauté » mais cependant la la
90
épouser Iseut. Elle est le type de femme qu’on n’
épouse
point, car alors on cesserait de l’aimer, puisqu’elle cesserait d’êtr
91
intérêt matériel et social, et se voit imposé aux
époux
sans qu’il soit tenu compte de leurs sentiments. En même temps, le re
92
a)… est fortement personnifiée : c’est la Déesse,
Épouse
et Mère… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se conce
93
se toute la nature féminine, elle est mère, sœur,
épouse
, fille… elle est le chemin du salut »70. Ainsi le tantrisme apporte c
94
ensonge, corrompent les amants, les femmes et les
époux
. Ils vous disent qu’Amour va de travers, et c’est pourquoi les maris
95
première et dernière fois). Iseut va revenir à l’
époux
légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’appro
96
ge » — cette communion de l’âme élue et du Christ
époux
de l’Église. Mais la voie de l’homme séparé, c’est la passion — et la
97
istan se séparant d’Iseut lorsqu’il la rend à son
époux
: Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.
98
», il la prie d’évoquer encore l’âme d’Orphée, l’
époux
de Canacée qui possédait la bague et les miroirs magiques, et finalem
99
; Tristan, le jeune premier, ou gigolo ; Iseut, l’
épouse
insatisfaite, oisive et lectrice de romans. Ici encore, deux morales
100
supériorité « spirituelle » de la maîtresse sur l’
épouse
. Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom ro
101
et ses lois minutieuses réglant les relations des
époux
, n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout ce
102
illes, et que le droit du mari à la fidélité de l’
épouse
ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait pris dans les pays no
103
aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des
époux
. 3. — Contraintes religieuses. — Dans la mesure où la conscience mode
104
ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’
épouse
ne ressemble pas à la star la plus obsédante. Ainsi la « liberté » de
105
oussez la première porte venue ! Ce silence que l’
épouse
est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
106
otre future évolution, et encore moins celle de l’
épouse
choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
107
tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des
époux
dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, physiq
108
sentimental. Choisir une femme pour en faire son
épouse
, ce n’est pas dire à Mlle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes rêves, v
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changerais ! Choisir une femme pour en faire son
épouse
, c’est dire à Melle Untel : « Je veux vivre avec vous telle que vous
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un fait absolu, sur quoi se fonde la personne des
époux
. Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur
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mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des
époux
est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
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delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des
époux
est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
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à condition qu’il cesse d’être vassal du roi. Il
épouse
Berthe, tandis qu’Elissent devient reine. Au jour où les deux couples
114
ns aucune obligation de nécessité, tandis que les
époux
sont tenus par devoir à toutes les volontés l’un de l’autre. Que ce j
115
la foi promise. Or on n’a pas oublié que Tristan
épouse
la seconde Iseut alors qu’il croit que la première le néglige. Ce n’e
116
ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon
époux
, et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
117
s (séparations, épreuves diverses, existence d’un
époux
légitime : le roi Marc, etc.). L’amour les invente quand ils n’existe
118
qu’un juriste la formule. Ainsi la star que l’on
épouse
n’est plus une star pour son mari. Voilà le grand malentendu que symb
119
qu’un juriste la formule. Ainsi la star que l’on
épouse
n’est plus une star pour son mari. Voilà le grand malentendu que symb
120
rons tous à l’amour qui ne tranche rien, mais qui
épouse
, qui accepte, qui pénètre, et qui sait bien que pour nouer un lien so
121
, et comblé pour l’éternité. « Mais l’Esprit et l’
Épouse
disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens ! à celui qui po
122
il y ait eu mariage. Or l’Église chrétienne est l’
Épouse
du Christ. Quand elle s’arrange trop bien avec le monde (Constantin e
123
e ce pays depuis plusieurs générations ; et leurs
épouses
, fort plantureuses, viennent d’Irlande. « True average-Americans all
124
ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon
époux
, et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
125
e ce pays depuis plusieurs générations ; et leurs
épouses
, fort plantureuses, viennent d’Irlande. « True average Americans all
126
? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en
épouse
la géographie physique mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
127
ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon
époux
, et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
128
e ce pays depuis plusieurs générations ; et leurs
épouses
, fort plantureuses, viennent d’Irlande. « True average Americans all
129
’alcooliques qu’aucune autre. Dans la femme qu’il
épouse
, le jeune Américain, inconsciemment, cherche la mère. Il la sert, ell
130
’alcooliques qu’aucune autre. Dans la femme qu’il
épouse
, le jeune Américain, inconsciemment, cherche la mère. Il la sert, ell
131
tement expéditif. Changer sauvent de métier, d’
épouse
, d’appartement. — Bien vu en Amérique. Mal vu chez nous. On dit là-ba
132
femmes en embrassant leur légitime et monstrueux
époux
! Question de convenance comme nous le disions hier1. Je trouve leur
133
laideur même. N’allez pas dire au citoyen Durand,
époux
d’une femme obèse mais rajeunie par les soins de l’art, que l’idéal n
134
ité de la beauté physique, et qui est cependant l’
époux
d’une jolie femme, permettez-moi de le dire… Le mari. Je ne vous le
135
rons tous à l’amour qui ne tranche rien, mais qui
épouse
, qui accepte, qui pénètre, et qui sait bien que pour nouer un lien so
136
, et comblé pour l’éternité. « Mais l’Esprit et l’
Épouse
disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens ! à celui qui po
137
ouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père
épouse
une Française, puis une Anglaise ; son frère, une Française, puis une
138
marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul,
épouse
Henriette de Montmollin : elle était la petite-fille du « grand Oster
139
tianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général,
épouse
Charlotte d’Ostervald, arrière-petite-fille de l’illustre pasteur. Le
140
fille de l’illustre pasteur. Le fils du Procureur
épouse
Marie-Philippine du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle je tro
141
ais à l’œuvre en Suisse, pays où la vie politique
épouse
mieux que nulle part ailleurs les réalités quotidiennes. Je me sentai
142
familial et décide de l’éducation des enfants. L’
épouse
ne peut exercer une profession qu’avec son consentement. Elle n’est p
143
de l’humanité. Quand on aime une femme et qu’on l’
épouse
, stipule-t-on par là une déclaration de haine à toutes les autres fem
144
de l’humanité. Quand on aime une femme et qu’on l’
épouse
, stipule-t-on par là une déclaration de haine à toutes les autres fem
145
laçant l’ancien patriarchat. Rappelons que Pierre
épouse
la maîtresse de son favori, Martha Glück, fille d’un pasteur allemand
146
intérêt matériel et social, et se voit imposé aux
époux
sans qu’il soit tenu compte de leurs sentiments. En même temps, le re
147
a)… est fortement personnifiée : c’est la Déesse,
Épouse
et Mère… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se conce
148
se toute la nature féminine, elle est mère, sœur,
épouse
, fille… elle est le chemin du salut »20. Ainsi le tantrisme apporte c
149
ensonge, corrompent les amants, les femmes et les
époux
. Ils vous disent qu’Amour va de travers, et c’est pourquoi les maris
150
e) de mon roman (éduqué en Europe, j’y insiste) n’
épouse
l’american way of life, en la personne d’une bourgeoise accomplie, qu
151
Intrigue démente pour posséder l’enfant, dont il
épouse
d’abord la mère. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une
152
Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Edgar Poe qui
épouse
une fille de 14 ans, et le génial Lewis Carroll : Alice au pays des m
153
Jivago, qu’elle soigne dans un hôpital, mais elle
épouse
un révolutionnaire et disparaît. Jivago la retrouve beaucoup plus tar
154
ejoindre Moscou, où il vit misérable et caché. Il
épouse
sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quit
155
omme encore Asie, et Métis ou la Raison, première
épouse
de Zeus. Beaucoup plus tard, nous retrouvons Europe non plus déesse m
156
qui était vierge auparavant, sans tarder devint l’
épouse
de Zeus ; sans tarder, elle conçut des enfants du fils de Cronos, et
157
iste, le symbole du génie hellénique. Sa deuxième
épouse
sera Thémis, la justice. Plus tard, il prendra pour femme Mnémosyne,
158
euse, qui devait nous mener à 1914. Henri Heine
épouse
au début l’idéologie de Herder et des romantiques allemands : celle d
159
onc trouver son analogie dans la vie sexuelle des
époux
fidèles à leur serment. De même, l’orthodoxie des Pères de l’Église,
160
e) de mon roman (éduqué en Europe, j’y insiste) n’
épouse
l’american way of life, en la personne d’une bourgeoise accomplie, qu
161
Intrigue démente pour posséder l’enfant, dont il
épouse
d’abord la mère. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une
162
Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Edgar Poe qui
épouse
une fille de 14 ans, et le génial Lewis Carroll : Alice au Pays des M
163
Jivago, qu’elle soigne dans un hôpital, mais elle
épouse
un révolutionnaire et disparaît. Jivago la retrouve beaucoup plus tar
164
ejoindre Moscou, où il vit misérable et caché. Il
épouse
sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quit
165
l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne l’
épouse
pas. Dans ses moments « d’équilibre doré » et d’évaluation créatrice
166
e Bayreuth surtout — où l’auteur de Tristan est l’
époux
comblé de Cosima… — loin du Nord désormais détesté, Nietzsche vit à G
167
est opposée à son amour pour Emmanuèle ; celle-ci
épouse
un certain T., dont on ne sait rien, et qui n’est là, visiblement, qu
168
tre l’illustre sage légendaire Yajnavalkya et son
épouse
Maitreyi, qui l’interroge sur l’immortalité. 125. Phrases empruntées
169
té, l’expose à devenir adultère, et que celui qui
épouse
une femme répudiée commet un adultère (Matt., V, 31). Sexualité et
170
ialogues entre l’illustre sage Yajnavalkya et son
épouse
Maitreyi, qui l’interroge sur l’immortalité. 92. Phrases empruntées
171
l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne l’
épouse
pas. Dans ses moments d’« équilibre doré » et d’évaluation créatrice
172
e Bayreuth surtout — où l’auteur de Tristan est l’
époux
comblé de Cosima… — loin du Nord désormais détesté, Nietzsche vit à G
173
omme encore Asie, et Métis ou la Raison, première
épouse
de Zeus. Beaucoup plus tard, nous retrouvons Europe non plus déesse m
174
qui était vierge auparavant, sans tarder devint l’
épouse
de Zeus ; sans tarder, elle conçut des enfants du fils de Cronos et d
175
iste, le symbole du génie hellénique. Sa deuxième
épouse
sera Thémis, la justice. Plus tard, il prendra pour femme Mnémosyne,
176
elques citations fort disparates. Au début, Heine
épouse
l’idéologie herdérienne d’une Europe des « nationalités » qu’il consi
177
peu à peu dans le lit de la puissance latine, il
épouse
les formes de l’empire. Il en adopte même les divisions administrativ
178
n. Malgré ses aventures amoureuses, il demeure un
époux
aimant et fidèle, un bon fils et un père exemplaire. Il ne conteste p
179
éel, il la respecte, il croit à ses vertus, il en
épouse
la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le fédéralisme refuse avec non
180
es structures de mon esprit, ou bien est-ce que j’
épouse
par l’esprit des structures objectives du réel ? Et l’homme qui reçoi
181
tre jusqu’à l’époque moderne, le choix mutuel des
époux
dépendait largement de facteurs collectifs : règles sacrées de l’exog
182
éel, il la respecte, il croit à ses vertus, il en
épouse
la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le fédéralisme refuse avec non
183
venu le cocu, Tristan, le jeune premier, Iseut, l’
épouse
insatisfaite et oisive) ; l’adultère devient un sujet de délicates an
184
ation des foules, disqualifiant automatiquement l’
épouse
, si elle ne ressemble pas à la star. Ne peut-on quand même supposer q
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est mariée, naturellement. Qu’elle divorce, il l’
épouse
! Avec elle, ce sera la vraie vie, l’épanouissement de ce Tristan qu’
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future évolution, et encore moins celle de votre
époux
, et encore moins celle de votre couple. On arrive alors à cette concl
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la vie quotidienne du bourgeois et surtout de son
épouse
. Tout ce qui est compliqué est vaguement immoral : l’art baroque en p
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ni consenties aux dépens de la nature propre des
époux
, mais seulement de leur égoïsme mal compris, de leur impérialisme uto
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la vie quotidienne du bourgeois et surtout de son
épouse
. Tout ce qui est compliqué est vaguement immoral : l’art baroque en p
190
ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon
époux
, et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
191
s remariés que je connais. La première fois, on
épouse
ses complexes D’abord la grande question : pensez-vous que le deux
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ui est psychanalyste, lors du premier mariage, on
épouse
ses complexes. Or, contrairement à ce que fait croire le langage cour
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chtenstein, d’Andorre ou de Saint-Marin, de leurs
épouses
et de leurs filles, et de cent autres communautés, cités, nations, ré
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entes. Dans le mythe de Tristan, l’obstacle est l’
époux
d’Iseut, le roi Marc. Dans Lolita, c’est l’âge (12 ans) de la jeune n
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s magasins. Or, les seigneurs, mais surtout leurs
épouses
, étaient généralement du côté de l’hérésie, non de l’Église. Et l’hér
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l’Angleterre, de la Bourgogne. L’une de ses sœurs
épouse
le roi Pierre d’Aragon, l’autre le roi Alfonse de Castille. Lui-même
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le plus faible, et il choisit de faire d’Iseut l’
épouse
de Marc, son véritable « père » coutumier. Du même coup, il culpabili
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du mariage d’amour : « L’union physique avec une
épouse
est source d’amitié, comme une participation en commun à de grands my
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a, co-éternelle avec Dieu (correspondant à Athéna
épouse
de Zeus), vénérée par tous les gnostiques, et parfois assimilée à la
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temps il appelle les hommes : « Et l’Esprit et l’
Épouse
disent : Viens. Et que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut p
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e sainte gui descend du Ciel « préparée comme une
épouse
», et qui n’a besoin « ni du Soleil ni de la Lune pour l’éclairer, ca
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eille ferme jurassienne qu’il a aménagée avec son
épouse
. Une conversation, où l’on éprouve soudain le sentiment d’être un peu
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ertainement vénérés par le maître de céans et son
épouse
qui a été la décoratrice de la maison. C’est important de pouvoir déc
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nonçait celui du roi lui-même, Sigismond Auguste,
époux
d’une Radziwill calviniste, il y a finalement rejet du protestantisme
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par malheur n’est pas la sainte, mais seulement l’
épouse
d’un grand-duc de Pologne. Voilà qui est pittoresque à souhait, pourt
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classique, mais déjà proche du baroque, dont elle
épouse
, telle une souple chlamyde, les formes et mouvements les plus subtils