1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
1 ssent plus, il suffit de quelques mois aux jeunes époux de la Maladère pour se déprendre de leurs rêves. Un malentendu grandi
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 nsée, ses délires, ses visions. Un critique qui n’ épouse pas le rythme d’une œuvre, mais s’avance à sa rencontre armé de l’app
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
3 s de l’Europe centrale, qu’elle subit comme jeune épouse d’un comte polonais, grand seigneur médiatisé, vaguement prétendant a
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
4 nouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père épouse une Française, puis une Anglaise ; son frère, une Française, puis une
5 marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul, épouse Henriette de Montmollin : elle était la petite-fille du « Grand Oster
6 tianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général, épouse Charlotte d’Ostervald, arrière-petite-fille de l’illustre pasteur. Le
7 fille de l’illustre pasteur. Le fils du Procureur épouse Marie-Philippine du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle je tro
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
8 femme mariée. Enfin il retrouve l’étudiante et l’ épouse en vitesse au dernier paragraphe. Tout cela d’une vérité proprement d
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
9 x » d’une carrière, d’un parti politique ou d’une épouse . Et c’est ainsi que se compose l’éthique de l’homme moyen, cette irré
7 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
10 x » d’une carrière, d’un parti politique ou d’une épouse . Et c’est ainsi que se compose l’éthique de l’homme moyen, cette irré
8 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
11 ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en épouse la géographie physique, mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
9 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
12 ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en épouse la géographie physique mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
13 ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en épouse la géographie physique mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
11 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
14 aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des époux .   3. — Contraintes religieuses. Dans la mesure où la conscience mode
15 ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’ épouse ne ressemble pas à la star la plus obsédante. (Encore la femme pourra
12 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
16 oussez la première porte venue ! Ce silence que l’ épouse est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
17 otre future évolution, et encore moins celle de l’ épouse choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
18 tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des époux dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, beauté
19 sentimental. Choisir une femme pour en faire son épouse , ce n’est pas dire à Mademoiselle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes
20 changerais ! Choisir une femme pour en faire son épouse , c’est dire à Mademoiselle Untel : « Je veux vivre avec vous telle qu
21 it absolu, sur quoi se fonde la personne même des époux . Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur
22 mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des époux est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
23 delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
13 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
24 equel elle s’ouvre à l’infini. « Et l’Esprit et l’ Épouse disent : Viens ! Et que celui qui entend dise : Viens. Que celui qui
14 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
25 ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des époux  ». D’où peut venir une telle contradiction ? Si le secret de la crise
26 eur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux époux , et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entré
27 êt, parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan épouse Iseut aux blanches mains « pour son nom et pour sa beauté ». Maintena
28 s cyniques ; ou telle qu’une vertueuse dame cette épouse adultère, et qui ne recule même pas devant un astucieux blasphème ? P
29 ltre qui cesse d’agir, n’était-il pas destiné aux époux  ? Alors, pourquoi limiter sa durée ? Trois ans, ce n’est guère pour l
30 ère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tristan épouse l’autre Iseut « pour son nom et pour sa beauté » mais cependant la la
31 ouser Iseut. Elle est le type de la femme qu’on n’ épouse point, car alors on cesserait de l’aimer, puisqu’elle cesserait d’êtr
15 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
32 première et dernière fois). Iseut va revenir à l’ époux légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’appro
33 ge » — cette communion de l’âme élue et du Christ époux de l’Église. Mais la voie de l’homme séparé, c’est la passion, — et l
16 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
34 istan se séparant d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux  : Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.
35 e » il la prie d’évoquer encore l’âme d’Orphée, l’ époux de Canacée qui possédait la bague et les miroirs magiques, et finalem
36 ; Tristan, le jeune premier, ou gigolo ; Iseut, l’ épouse insatisfaite, oisive et lectrice de romans. Ici encore, deux morales
37 supériorité « spirituelle » de la maîtresse sur l’ épouse . Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom ro
17 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
38 et ses lois minutieuses réglant les relations des époux , n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout ce
39 illes, et que le droit du mari à la fidélité de l’ épouse ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait pris dans les pays no
18 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
40 aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des époux . 3. — Contraintes religieuses Dans la mesure où la conscience moderne
41 ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’ épouse ne ressemble pas à la star la plus obsédante. (Encore la femme pourra
19 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
42 oussez le première porte venue ! Ce silence que l’ épouse est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
43 otre future évolution, et encore moins celle de l’ épouse choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
44 tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des époux dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, beauté
45 sentimental. Choisir une femme pour en faire son épouse , ce n’est pas dire à Mlle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes rêves, v
46 changerais ! Choisir une femme pour en faire son épouse , c’est dire à Mlle Untel : « Je veux vivre avec vous telle que vous ê
47 it absolu, sur quoi se fonde la personne même des époux . Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur
48 mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des époux est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
49 delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
20 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
50 à condition qu’il cesse d’être vassal du roi. Il épouse Berthe, tandis qu’Elissent devient reine. Au jour où les deux couples
51 ns aucune obligation de nécessité, tandis que les époux sont tenus par devoir à toutes les volontés l’un de l’autre. Que ce j
52 la foi promise. Or on n’a pas oublié que Tristan épouse la seconde Iseut alors qu’il croit que la première le néglige. Ce n’e
21 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
53 ée. —  Et maintenant, te voici dans la paix, cher époux . Nous nous aimons et nos enfants grandissent dans le bonheur que Dieu
54 e sur ton chemin… Prends ceci pour la route, cher époux . (Elle lui tend un baluchon. Une lueur blanchit derrière le plan 3.)
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
55 ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des époux  ». D’où peut venir une telle contradiction ? Si le secret de la crise
56 eur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux époux , et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entré
57 êt, parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan épouse Iseut aux blanches mains « pour son nom et pour sa beauté ». Maintena
58 s cyniques ; ou telle qu’une vertueuse dame cette épouse adultère, et qui ne recule même pas devant un astucieux blasphème ? P
59 ltre qui cesse d’agir, n’était-il pas destiné aux époux  ? Alors, pourquoi limiter sa durée ? Trois ans, ce n’est guère pour l
60 ère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tristan épouse l’autre Iseut « pour son nom et pour sa beauté » mais cependant la la
61 épouser Iseut. Elle est le type de femme qu’on n’ épouse point, car alors on cesserait de l’aimer, puisqu’elle cesserait d’êtr
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
62 intérêt matériel et social, et se voit imposé aux époux sans qu’il soit tenu compte de leurs sentiments. En même temps, le re
63 a)… est fortement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et Mère… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se conce
64 se toute la nature féminine, elle est mère, sœur, épouse , fille… elle est le chemin du salut79 ». Ainsi le tantrisme apporte c
65 ensonge, corrompent les amants, les femmes et les époux . Ils vous disent qu’Amour va de travers, et c’est pourquoi les maris
24 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
66 première et dernière fois). Iseut va revenir à l’ époux légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’appro
67 ge » — cette communion de l’âme élue et du Christ époux de l’Église. Mais la voie de l’homme séparé, c’est la passion — et la
25 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
68 istan se séparant d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux  :         Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Son
69  », il la prie d’évoquer encore l’âme d’Orphée, l’ époux de Canacée qui possédait la bague et les miroirs magiques, et finalem
70 ; Tristan, le jeune premier, ou gigolo ; Iseut, l’ épouse insatisfaite, oisive et lectrice de romans. Ici encore, deux morales
71 supériorité « spirituelle » de la maîtresse sur l’ épouse . Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom ro
26 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
72 et ses lois minutieuses réglant les relations des époux , n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout ce
73 illes, et que le droit du mari à la fidélité de l’ épouse ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait pris dans les pays no
27 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
74 aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des époux . 3. — Contraintes religieuses. — Dans la mesure où la conscience mod
75 ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’ épouse ne ressemble pas à la star la plus obsédante. Ainsi la « liberté » de
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
76 oussez la première porte venue ! Ce silence que l’ épouse est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
77 otre future évolution, et encore moins celle de l’ épouse choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
78 tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des époux dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, physiq
79 sentimental. Choisir une femme pour en faire son épouse , ce n’est pas dire à Mlle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes rêves, v
80 changerais ! Choisir une femme pour en faire son épouse , c’est dire à Mlle Untel : « Je veux vivre avec vous telle que vous ê
81 it absolu, sur quoi se fonde la personne même des époux . Il faut bien voir que cette fidélité est à contre courant des valeur
82 mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des époux est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
83 delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
84 ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des époux  ». D’où peut venir une telle contradiction ? Si le secret de la crise
85 eur verse par erreur « le vin herbé » destiné aux époux , et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boivent. Les voici entré
86 êt, parce que le philtre cesse d’agir ; — Tristan épouse Iseut aux blanches mains « pour son nom et pour sa beauté ». Maintena
87 plus cyniques ; ou telle une vertueuse dame cette épouse adultère, et qui ne recule même pas devant un astucieux blasphème ? P
88 ltre qui cesse d’agir, n’était-il pas destiné aux époux  ? Alors, pourquoi limiter sa durée ? Trois ans, ce n’est guère pour l
89 ère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tristan épouse l’autre Iseut « pour son nom et pour sa beauté » mais cependant la la
90 épouser Iseut. Elle est le type de femme qu’on n’ épouse point, car alors on cesserait de l’aimer, puisqu’elle cesserait d’êtr
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
91 intérêt matériel et social, et se voit imposé aux époux sans qu’il soit tenu compte de leurs sentiments. En même temps, le re
92 a)… est fortement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et Mère… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se conce
93 se toute la nature féminine, elle est mère, sœur, épouse , fille… elle est le chemin du salut »70. Ainsi le tantrisme apporte c
94 ensonge, corrompent les amants, les femmes et les époux . Ils vous disent qu’Amour va de travers, et c’est pourquoi les maris
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
95 première et dernière fois). Iseut va revenir à l’ époux légitime — l’hérésie rentrer au giron. Mais tandis que le roi s’appro
96 ge » — cette communion de l’âme élue et du Christ époux de l’Église. Mais la voie de l’homme séparé, c’est la passion — et la
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
97 istan se séparant d’Iseut lorsqu’il la rend à son époux  : Ô dure départie Pourquoi m’as-tu de mon mal éloigné ? (Sonnet 254.
98  », il la prie d’évoquer encore l’âme d’Orphée, l’ époux de Canacée qui possédait la bague et les miroirs magiques, et finalem
99 ; Tristan, le jeune premier, ou gigolo ; Iseut, l’ épouse insatisfaite, oisive et lectrice de romans. Ici encore, deux morales
100 supériorité « spirituelle » de la maîtresse sur l’ épouse . Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom ro
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
101 et ses lois minutieuses réglant les relations des époux , n’ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats. Tout ce
102 illes, et que le droit du mari à la fidélité de l’ épouse ne revêtait pas ce caractère absolu qu’il avait pris dans les pays no
34 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
103 aractère privé de ce qu’on appelle le bonheur des époux . 3. — Contraintes religieuses. — Dans la mesure où la conscience mode
104 ns cette mesure — et disqualifie le mariage, si l’ épouse ne ressemble pas à la star la plus obsédante. Ainsi la « liberté » de
35 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
105 oussez la première porte venue ! Ce silence que l’ épouse est censée ménager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir,
106 otre future évolution, et encore moins celle de l’ épouse choisie, encore bien moins celle du couple formé. Les facteurs mis en
107 tout se passe d’ordinaire comme si le bonheur des époux dépendait en réalité d’un nombre fini de facteurs : caractère, physiq
108 sentimental. Choisir une femme pour en faire son épouse , ce n’est pas dire à Mlle Untel : « Vous êtes l’idéal de mes rêves, v
109 changerais ! Choisir une femme pour en faire son épouse , c’est dire à Melle Untel : « Je veux vivre avec vous telle que vous
110 un fait absolu, sur quoi se fonde la personne des époux . Il faut bien voir que cette fidélité est à contre-courant des valeur
111 mpêcher le monde d’envahir l’âme, la fidélité des époux est l’accueil de la créature, la volonté d’accepter l’autre tel qu’il
112 delà de son propre bonheur. Ainsi la personne des époux est une mutuelle création, elle est le double aboutissement de « l’am
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
113 à condition qu’il cesse d’être vassal du roi. Il épouse Berthe, tandis qu’Elissent devient reine. Au jour où les deux couples
114 ns aucune obligation de nécessité, tandis que les époux sont tenus par devoir à toutes les volontés l’un de l’autre. Que ce j
115 la foi promise. Or on n’a pas oublié que Tristan épouse la seconde Iseut alors qu’il croit que la première le néglige. Ce n’e
37 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
116 ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon époux , et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
38 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
117 qu’un juriste la formule. Ainsi la star que l’on épouse n’est plus une star pour son mari. Voilà le grand malentendu que symb
39 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
118 qu’un juriste la formule. Ainsi la star que l’on épouse n’est plus une star pour son mari. Voilà le grand malentendu que symb
40 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
119 rons tous à l’amour qui ne tranche rien, mais qui épouse , qui accepte, qui pénètre, et qui sait bien que pour nouer un lien so
41 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
120 , et comblé pour l’éternité. « Mais l’Esprit et l’ Épouse disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens ! à celui qui po
42 1946, Esprit, articles (1932–1962). « Un divorce entre le christianisme et le monde ? » (août-septembre 1946)
121 il y ait eu mariage. Or l’Église chrétienne est l’ Épouse du Christ. Quand elle s’arrange trop bien avec le monde (Constantin e
43 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
122 e ce pays depuis plusieurs générations ; et leurs épouses , fort plantureuses, viennent d’Irlande. « True average-Americans all 
44 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
123 ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon époux , et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
45 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
124 e ce pays depuis plusieurs générations ; et leurs épouses , fort plantureuses, viennent d’Irlande. « True average Americans all 
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
125 ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle en épouse la géographie physique mais aussi humaine. Elle quitte à tout propos
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
126 ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon époux , et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
127 e ce pays depuis plusieurs générations ; et leurs épouses , fort plantureuses, viennent d’Irlande. « True average Americans all 
49 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
128 ’alcooliques qu’aucune autre. Dans la femme qu’il épouse , le jeune Américain, inconsciemment, cherche la mère. Il la sert, ell
50 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
129 femmes en embrassant leur légitime et monstrueux époux  ! Question de convenance comme nous le disions hier1. Je trouve leur
130 laideur même. N’allez pas dire au citoyen Durand, époux d’une femme obèse mais rajeunie par les soins de l’art, que l’idéal n
131 ité de la beauté physique, et qui est cependant l’ époux d’une jolie femme, permettez-moi de le dire… Le mari. Je ne vous le
51 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
132 rons tous à l’amour qui ne tranche rien, mais qui épouse , qui accepte, qui pénètre, et qui sait bien que pour nouer un lien so
52 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
133 , et comblé pour l’éternité. « Mais l’Esprit et l’ Épouse disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens ! à celui qui po
53 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
134 ’alcooliques qu’aucune autre. Dans la femme qu’il épouse , le jeune Américain, inconsciemment, cherche la mère. Il la sert, ell
54 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
135 tement expéditif.   Changer sauvent de métier, d’ épouse , d’appartement. — Bien vu en Amérique. Mal vu chez nous. On dit là-ba
55 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
136 ais à l’œuvre en Suisse, pays où la vie politique épouse mieux que nulle part ailleurs les réalités quotidiennes. Je me sentai
56 1948, Suite neuchâteloise. IV
137 ouveau du sang français.) Mon arrière-grand-père épouse une Française, puis une Anglaise ; son frère, une Française, puis une
138 marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul, épouse Henriette de Montmollin : elle était la petite-fille du « grand Oster
139 tianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général, épouse Charlotte d’Ostervald, arrière-petite-fille de l’illustre pasteur. Le
140 fille de l’illustre pasteur. Le fils du Procureur épouse Marie-Philippine du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle je tro
57 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
141 familial et décide de l’éducation des enfants. L’ épouse ne peut exercer une profession qu’avec son consentement. Elle n’est p
58 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
142 de l’humanité. Quand on aime une femme et qu’on l’ épouse , stipule-t-on par là une déclaration de haine à toutes les autres fem
59 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
143 de l’humanité. Quand on aime une femme et qu’on l’ épouse , stipule-t-on par là une déclaration de haine à toutes les autres fem
60 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
144 laçant l’ancien patriarchat. Rappelons que Pierre épouse la maîtresse de son favori, Martha Glück, fille d’un pasteur allemand
61 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
145 intérêt matériel et social, et se voit imposé aux époux sans qu’il soit tenu compte de leurs sentiments. En même temps, le re
146 a)… est fortement personnifiée : c’est la Déesse, Épouse et Mère… Le dynamisme créateur revient à la Déesse… Le culte se conce
147 se toute la nature féminine, elle est mère, sœur, épouse , fille… elle est le chemin du salut »21. Ainsi le tantrisme apporte c
148 ensonge, corrompent les amants, les femmes et les époux . Ils vous disent qu’Amour va de travers, et c’est pourquoi les maris
62 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
149 e) de mon roman (éduqué en Europe, j’y insiste) n’ épouse l’american way of life, en la personne d’une bourgeoise accomplie, qu
150 Intrigue démente pour posséder l’enfant, dont il épouse d’abord la mère. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une
151 Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Edgar Poe qui épouse une fille de 14 ans, et le génial Lewis Carroll : Alice au pays des m
152 Jivago, qu’elle soigne dans un hôpital, mais elle épouse un révolutionnaire et disparaît. Jivago la retrouve beaucoup plus tar
153 ejoindre Moscou, où il vit misérable et caché. Il épouse sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quit
63 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
154 omme encore Asie, et Métis ou la Raison, première épouse de Zeus. Beaucoup plus tard, nous retrouvons Europe non plus déesse m
155 qui était vierge auparavant, sans tarder devint l’ épouse de Zeus ; sans tarder, elle conçut des enfants du fils de Cronos, et
156 iste, le symbole du génie hellénique. Sa deuxième épouse sera Thémis, la justice. Plus tard, il prendra pour femme Mnémosyne,
64 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
157 euse, qui devait nous mener à 1914. Henri Heine épouse au début l’idéologie de Herder et des romantiques allemands : celle d
65 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
158 ialogues entre l’illustre sage Yajnavalkya et son épouse Maitreyi, qui l’interroge sur l’immortalité. 92. Phrases empruntées
66 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
159 l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne l’ épouse pas. Dans ses moments d’« équilibre doré » et d’évaluation créatrice
160 e Bayreuth surtout — où l’auteur de Tristan est l’ époux comblé de Cosima… — loin du Nord désormais détesté, Nietzsche vit à G
67 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
161 onc trouver son analogie dans la vie sexuelle des époux fidèles à leur serment. De même, l’orthodoxie des Pères de l’Église,
68 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
162 e) de mon roman (éduqué en Europe, j’y insiste) n’ épouse l’american way of life, en la personne d’une bourgeoise accomplie, qu
163 Intrigue démente pour posséder l’enfant, dont il épouse d’abord la mère. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une
164 Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Edgar Poe qui épouse une fille de 14 ans, et le génial Lewis Carroll : Alice au Pays des M
165 Jivago, qu’elle soigne dans un hôpital, mais elle épouse un révolutionnaire et disparaît. Jivago la retrouve beaucoup plus tar
166 ejoindre Moscou, où il vit misérable et caché. Il épouse sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quit
69 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
167 l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne l’ épouse pas. Dans ses moments « d’équilibre doré » et d’évaluation créatrice
168 e Bayreuth surtout — où l’auteur de Tristan est l’ époux comblé de Cosima… — loin du Nord désormais détesté, Nietzsche vit à G
70 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
169 est opposée à son amour pour Emmanuèle ; celle-ci épouse un certain T., dont on ne sait rien, et qui n’est là, visiblement, qu
71 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
170 tre l’illustre sage légendaire Yajnavalkya et son épouse Maitreyi, qui l’interroge sur l’immortalité. 125. Phrases empruntées
72 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — L’amour selon les évangiles
171 té, l’expose à devenir adultère, et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère (Matt., V, 31). Sexualité et
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
172 omme encore Asie, et Métis ou la Raison, première épouse de Zeus. Beaucoup plus tard, nous retrouvons Europe non plus déesse m
173 qui était vierge auparavant, sans tarder devint l’ épouse de Zeus ; sans tarder, elle conçut des enfants du fils de Cronos et d
174 iste, le symbole du génie hellénique. Sa deuxième épouse sera Thémis, la justice. Plus tard, il prendra pour femme Mnémosyne,
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
175 elques citations fort disparates. Au début, Heine épouse l’idéologie herdérienne d’une Europe des « nationalités » qu’il consi
75 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
176 peu à peu dans le lit de la puissance latine, il épouse les formes de l’empire. Il en adopte même les divisions administrativ
177 n. Malgré ses aventures amoureuses, il demeure un époux aimant et fidèle, un bon fils et un père exemplaire. Il ne conteste p
76 1963, Articles divers (1963-1969). L’amour ? le mariage ? la fidélité ? l’adultère ? la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)
178 venu le cocu, Tristan, le jeune premier, Iseut, l’ épouse insatisfaite et oisive) ; l’adultère devient un sujet de délicates an
179 ation des foules, disqualifiant automatiquement l’ épouse , si elle ne ressemble pas à la star. Ne peut-on quand même supposer q
180 est mariée, naturellement. Qu’elle divorce, il l’ épouse  ! Avec elle, ce sera la vraie vie, l’épanouissement de ce Tristan qu’
181 future évolution, et encore moins celle de votre époux , et encore moins celle de votre couple. On arrive alors à cette concl
77 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
182 éel, il la respecte, il croit à ses vertus, il en épouse la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le fédéralisme refuse avec non
78 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
183 éel, il la respecte, il croit à ses vertus, il en épouse la loi, bref, il l’aime. D’autre part, le fédéralisme refuse avec non
79 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
184 es structures de mon esprit, ou bien est-ce que j’ épouse par l’esprit des structures objectives du réel ? Et l’homme qui reçoi
80 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
185 tre jusqu’à l’époque moderne, le choix mutuel des époux dépendait largement de facteurs collectifs : règles sacrées de l’exog
81 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
186 la vie quotidienne du bourgeois et surtout de son épouse . Tout ce qui est compliqué est vaguement immoral : l’art baroque en p
82 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
187 ni consenties aux dépens de la nature propre des époux , mais seulement de leur égoïsme mal compris, de leur impérialisme uto
83 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
188 la vie quotidienne du bourgeois et surtout de son épouse . Tout ce qui est compliqué est vaguement immoral : l’art baroque en p
189 ssance ». Rappelons alors que ce guerrier fut bon époux , et bon père de six enfants ; que cet artiste, l’un des plus grands d
84 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
190 s remariés que je connais. La première fois, on épouse ses complexes D’abord la grande question : pensez-vous que le deux
191 ui est psychanalyste, lors du premier mariage, on épouse ses complexes. Or, contrairement à ce que fait croire le langage cour
85 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
192 chtenstein, d’Andorre ou de Saint-Marin, de leurs épouses et de leurs filles, et de cent autres communautés, cités, nations, ré
86 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
193 entes. Dans le mythe de Tristan, l’obstacle est l’ époux d’Iseut, le roi Marc. Dans Lolita, c’est l’âge (12 ans) de la jeune n
87 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
194 s magasins. Or, les seigneurs, mais surtout leurs épouses , étaient généralement du côté de l’hérésie, non de l’Église. Et l’hér
195 l’Angleterre, de la Bourgogne. L’une de ses sœurs épouse le roi Pierre d’Aragon, l’autre le roi Alfonse de Castille. Lui-même
196 le plus faible, et il choisit de faire d’Iseut l’ épouse de Marc, son véritable « père » coutumier. Du même coup, il culpabili
88 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
197 du mariage d’amour : « L’union physique avec une épouse est source d’amitié, comme une participation en commun à de grands my
89 1977, Articles divers (1974-1977). La fonction et la structure de la ville future (décembre 1977)
198 e sainte gui descend du Ciel « préparée comme une épouse  », et qui n’a besoin « ni du Soleil ni de la Lune pour l’éclairer, ca
90 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
199 a, co-éternelle avec Dieu (correspondant à Athéna épouse de Zeus), vénérée par tous les gnostiques, et parfois assimilée à la
91 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
200 temps il appelle les hommes : « Et l’Esprit et l’ Épouse disent : Viens. Et que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut p
92 1978, Articles divers (1978-1981). Un autre avenir pour la planète (février 1978)
201 eille ferme jurassienne qu’il a aménagée avec son épouse . Une conversation, où l’on éprouve soudain le sentiment d’être un peu
93 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
202 ertainement vénérés par le maître de céans et son épouse qui a été la décoratrice de la maison. C’est important de pouvoir déc
94 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
203 nonçait celui du roi lui-même, Sigismond Auguste, époux d’une Radziwill calviniste, il y a finalement rejet du protestantisme
95 1984, Articles divers (1982-1985). Les Rougemont de Saint-Aubin [préface] (1984)
204 par malheur n’est pas la sainte, mais seulement l’ épouse d’un grand-duc de Pologne. Voilà qui est pittoresque à souhait, pourt
96 1985, Articles divers (1982-1985). Éloge de Jean Starobinski (1985)
205 classique, mais déjà proche du baroque, dont elle épouse , telle une souple chlamyde, les formes et mouvements les plus subtils