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e notre ère. On doit beaucoup de reconnaissance à
M. André Babelon
pour avoir traduit et introduit avec tant de justesse, voire de profo
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(Vers l’époque où il ébauche son Empédocle, note
M. Babelon
, Hölderlin écrit de nombreux essais philosophiques.) Le tragique de H
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» sa création. De là sa folie, qu’il pressent. Et
M. Babelon
cite à ce sujet des phrases très frappantes : « L’un garde encore la